Chapitre 9 : Une maman très curieuse.
Je me réveille avec une des sensations les plus douces qu’un fils peut avoir ; sa mère embrassant affectueusement et avec félicité le bout du sexe de son fils.
– Huuummm, bonjour, maman. Dis-je en lui caressant sa tête.
Maman lève ses beaux yeux et me regarde sans quitter mon gland enveloppé hermétiquement par ses lèvres pendant que sa langue papillonne sur ma chair sensible. Avec un fort bruit de succion, elle sort mon pénis de sa bouche et répond.
– Bonjour, Dany. J’espère que je ne te dérange pas… J’ai une petite faim et je ne pouvais pas attendre le petit déjeuner
Elle me reprend en bouche, ses yeux ne quittant pas les miens pendant qu’elle me suce.
– Oh, je…euh, maman, non… tu peux continuer de me sucer ma bite…
J’en dis pas plus car je gémis quand elle enfonce toute ma queue en érection dans sa bouche, pour me faire une gorge profonde, puis elle la retire lentement en passant sa langue dessous et me dit.
– Pendant que je prends mon petit déjeuner… raconte-moi tes premiers ébats sexuels de jeune homme. Quelle est la première femme qui t’a sucé la bite ?
Même dans cette situation je me sens rougir quand elle me pose cette question en suçant elle-même ma bite.
– Julie, lors de ma première année au lycée.
Maman me lâche de nouveau et relevant ses sourcils.
– Cette petite fille si mignonne avec des cheveux longs et noir ? Et alors…comment était-elle ?
Je ris et gémis en même temps car maman me donne un coup de langue sur mon nœud.
– Eh bien, maman, tu sais comment on est à cet âge-là. Même une pipe bâclée est une bonne pipe.
Avec un filet de pré-sperme tendu entre ses lèvres et mon gland elle dit :
– Bon, passons. Dis-moi alors qui t’as donné une bonne pipe pour la première fois.
Toujours un peu gêné, je lui réponds quand même.
– Charlène Vidal le 27 juin de ma dernière année.
Maman relève sa tête et avec un regard incrédule,
– Charlène ? La femme aux cheveux noirs, dans les 30 ans, mariée avec le prof de gym, et des gros seins ?
Je hoche la tête et maman secoue la tête.
– Putain, bébé, tu avais à peine 17 ans et tu t’es fait sucer par une femme presque aussi vieille que moi ?
Maman se rend compte d’un seul coup de sa bêtise.
-Humm, j’ai rien dit !
Et reprend ma bite pour me sucer de plus bel jusqu’à ce que je m’agrippe au drap. Elle s’arrête aussi sec, pour continuer son interrogatoire.
– Combien de femmes ont eues le plaisir de sucer ta belle bite, Dany ?
Et elle passe sa langue le long de ma queue mouillée par sa salive.
Comment peut-on réfléchir clairement alors que la bouche de sa mère avale le pénis de son fils. Je balbutie,
– Huumm, je…je…pense…une douzaine avant toi, maman.
Maman se met à rire et dit :
– Seulement douze ? Seigneur, Dany, je parie que j’en ai sucé deux fois plus pendant ma dernière année de lycée. Et quelle fut la première femme qui t’a permis d’éjaculer sur son visage ? Tu peux m’en parler ?
– Le Professeur Véronique Leroy, mon professeur de sciences politiques.
Je souris en me souvenant de cette femme d’âge moyen et récemment divorcée qui m’a choqué par sa demande et qui a pris du plaisir en recevant mes giclées de sperme sur son visage. Je décris à maman comment c’est passé ce moment.
« Véronique est à genoux et délicieusement sexy dans une robe noire à corset et débraillée, ses gros seins légèrement affaissés par leur poids, cheveux défait alors que maintenu dans un chignon stricte avant notre baise. Les yeux dans les miens, devant ma bite elle me dit « Crache ta sauce ! ». Elle garde son sourire angélique sur son visage alors que jet après jet, mon sperme éclabousse son visage jusqu’à ce qu’il semble recouvert d’une crème de beauté, puis, elle racle avec ses doigts et sa langue autant de sperme qu’elle peut, pour le déguster avec un plaisir évident. »
En racontant ce passage à maman, sa bouche fait des choses incroyables sur mon sexe en érection. Comme je manifeste des signes d’un orgasme à venir, elle s’arrête et d’une voix rauque déformée par son excitation elle demande.
– Et de toutes ces femmes, qu’elle était la meilleure pipeuse ?
Je soupire…
– Sans équivoque… maman …t’es la meilleure !
Maman me sourit et dit :
– Tu as sacrément raison, je suis la meilleure ! Personne ne suce une bite comme ta maman !
Elle engloutit ma bite entièrement et sous ses mouvements de langue, je jouis dans sa bouche chaude et aimante.
Ensuite, maman blottit contre moi, ses seins agréablement pressés sur ma poitrine je lui dis.
– Maman, j’aime beaucoup ta technique d’interrogatoire. Veux-tu savoir autre chose ?
Maman sourit mystérieusement et répond.
– On verra bien ce qui se passera avant ce soir…OK ?
On fait nos valises et nous reprenons la route pour rentrer à la maison. Nous rentrons tranquillement en prenant les routes de campagne en nous arrêtant chaque fois que nous en ressentons le besoin.
Maman a mis une petite jupe qui lui arrive à mi-cuisse et un haut de coton qui met parfaitement en valeur sa belle poitrine. Il lui moule parfaitement ses seins voluptueux et ses tétons sont bien visibles sous le tissu fin.
Je roule doucement pour profiter du paysage et jetant un œil sur maman je vois ses doigts caresser légèrement son sein droit. A chaque regard successifs, il me semble que son sein est de plus en plus visible jusqu’à ce que je me rend compte qu’elle a tiré le décolleté vers le bas pour laisser son téton s’échapper. Maman joue avec son téton maintenant tout gonflé et gorgé de sang.
– Dany, à qui appartenaient les premiers seins que tu as touchés ? Dit maman d’une voix rêveuse… Après les miens quand je t’allaitais, mon bébé.
– Oh, c’est facile, c’est ceux d’une fille du Lycée, un soir lorsque nous regardions un match de hand sur les gradins. Elle m’a laissé mettre ma main entière sous son pull et soutien-gorge. Elle avait des mamelons comme des petites boules de gomme.
– Raconte-moi la première fois que tu as sucé les tétons d’une femme.
Dit ma mère en soulevant son sein pour lécher et sucer son long téton.
– Euh, c’était Alice Lefranc de la supérette. L’été, pour gagner un peu d’argent, je donnais un coup de main pour décharger les livraisons et les ranger dans le magasin. Alice avait la réputation d’être un peu chaude du cul et j’ai pu le vérifier lorsqu’elle m’a coincé dans l’arrière salle pour me montrer ses seins et me demander de les sucer. J’étais un peu ignare en la matière et j’ai fait ce que j’ai pu. Mais malheureusement, en suçant les longs et minces tétons de cette blonde platine, j’ai perdu le contrôle et j’ai jouis dans mon pantalon. J’ai dû décevoir la belle Alice car elle n’a pas recommencé avec moi.
Maman rit de ma mésaventure et remet son sein dans son chemisier et se tait pendant un certain temps, probablement plongée dans ses pensées.
Nous nous arrêtons dans un coin aménagé pour le pique-nique avec quelques tables nichées dans un bosquet ombragé d’arbres. Maman et moi sommes les seuls, à part quelques écureuils curieux, il fait chaud et nous avons tous deux un brillant de sueur sur notre corps.
Maman a fini son sandwich au jambon et elle grimpe sur la table pour étirer ses longues jambes, alors que je termine mon sandwich au fromage. Je tends ma main et je caresse sa jambe, laissant ma main dériver vers le haut au-dessus du genou de maman. Mes doigts disparaissent sous sa jupe et lorsque je glisse vers son entre cuisse maman chantonne.
– Attention…surprise…
Je découvre que ma coquine de maman n’a pas de slip !
Mes doigts glissent dans sa toison de poils soyeux et ma mère soupire et écarte légèrement ses jambes, ce qui me permet de découvrir son humidité.
– Dany, dis-moi, à qui la première chatte que tu as touchée.
– Euh, c’est de nouveau Julie, celle de la pipe bâclée. Julie n’avait pratiquement aucun poil sur sa chatte. J’étais vraiment surpris. J’avais déjà jeté un œil sur la tienne et je pensais que toutes les femmes avaient un beau pubis poilu comme le tien.
En y pensant je rigole et j’ajoute.
– En fait, j’ai été plus déçu que choqué.
Je glisse un doigt dans la chatte de maman et lentement il décrit des cercles à l’intérieur de sa moiteur chaude.
– Huuummmm, euh, Muuummm…C’est la première chatte d’une fille que tu as doigté, fils ?
– Oui, j’étais tellement excitée et nous étions tous les deux tremblants et gênés, mais je voulais la toucher et lui faire plaisir après qu’elle m’avait sucé ma bite.
– Je suis sûre que tu t’es bien débrouillé fils. Tu es tellement attentionné quand tu fais quelque chose.
Elle se tortille un peu sous mon doigt inquisiteur et ajoute.
– Et tu lui as sucé sa chatte, Dany ?
– Non, elle n’a pas voulu. Elle était vierge et un peu coincée, mais je l’ai fait jouir et elle m’a semblé très heureuse de cette expérience.
Elle est maintenant assise juste en face de moi, ses jambes de chaque côtés de mon corps et elle avance ses fesses, forçant mon doigt sur sa chatte. Maman lève sa jupe et me montre sa chatte. Sa transpiration mélangée à son jus fait briller ses cuisses. Sa toison épaisse brille d’humidité et ses lèvres charnues sont écartées, révélant la chair tendre et rose de sa grotte d’amour, dégoulinante d’excitation.
– Alors raconte-moi ton premier bouffage de chatte, mon chéri.
Plusieurs de mes doigts fouillent sa chatte et je continue de l’exciter avec mes souvenirs sexuels.
– C’était juste après mon diplôme, maman. Rappelle-toi, tu m’as demandé de tondre la pelouse de Jeanine cet été-là parce que son mari était absent pendant six semaines ?
Maman halète et je sais que je vais la surprendre car maman et Jeanine étaient amies lorsque nous habitions juste quatre maisons plus bas que Jeanine et de sa famille. Ils ont déménagés il y a deux ans.
– Tu as bouffé la chatte de ma meilleure amie !
Ma mère est presque sans voix et je pense qu’elle va se fâcher, mais elle reste assise, les cuisses bien écartée laissant mes doigts s’humidifier de plus en plus pendant que je lui décris ma relation avec son amie.
« Cette belle brune de 40 ans, dans un moment de frustration sexuelle, m’a baissé mon short après m’avoir observé un moment lorsque que je mâtais entre ses cuisses et que j’avais une belle érection. Elle m’a fait une superbe fellation puis elle m’a demandé de faire pareil avec sa chatte. Elle me pressait contre sa chatte qui mouillait mon visage. »
Maman gémit plus fort quand je lui donne des détails.
« Jeanine avait une toison de poils très fins et taillée en « V » .Sa chatte avait une belle forme avec des lèvres longues et minces qu’elle aimait qu’on lui suce mais surtout elle avait un clitoris extrêmement long quand on l’excitait. Presque 3 cm de long. On aurait dit une petite bite avec le bout gonflé. Je pense qu’elle n’avait pas souvent l’occasion de se faire bouffer sa chatte, car, elle a semblé surprise quand son corps a tremblé et qu’elle m’a supplié de ne pas arrêter.
Apres avoir jouit en maintenant ma bouche écrasée sur sa chatte dégoulinante et m’avoir presque étouffé, elle m’a avoué que c’était la première fois qu’elle avait un orgasme aussi fort sans être pénétrée par une queue. »
Maman grogne de plaisir et se penchant, elle prend ma tête dans ses mains et plaque mon visage entre ses cuisses. La chatte de maman est trempée et son jus est chaud et délicieux dès que je cède à sa fervente exclamation.
– Mange-moi, Dany. Mange ma chatte, dévore-moi et fais-moi jouir ! Ouiiiii, donne du plaisir à maman.
Je ravage la chatte de maman avec ma langue, je siphonne avidement tout son jus, je grignote et lèche sa chair fragile et chaude. Les jambes nues de maman sont passées sur mes épaules et elle croise ses chevilles pour resserrer ses cuisses autour de ma tête. Les cris des oiseaux dans les arbres, accompagnent les gémissements et les cris de plaisir de maman pendant que je me régale de cette chair si particulière. Son jus est doux, légèrement piquant, son parfum enflamme mon désir et accentue mon besoin de plaire à maman et aussi de savourer sa succulente chatte.
Ma mère est tellement excitée qu’il ne lui faut pas longtemps pour que l’air soit rempli avec ses cris de plaisir, sous un orgasme que j’entretiens avec ma langue qui s’affole dans le haut de sa chatte, sur cette partie hyper sensible de nombreuse femme.
Sadiquement je poursuis mes coups de langue jusqu’à ce que maman m’implore d’arrêter et de me dire en sanglotant.
– C’est trop bon, bébé… mais j’en peux plus ! Je vais exploser !
J’arrête et je contemple maman, savourant cette vue que j’ai de ma mère, incroyablement belle et lumineuse quand elle jouit et surtout de sa chatte poilue exposée au monde, entourée de ses cuisses dorées et essayant de reprendre son souffle.
Je range notre panier pique-nique tandis que maman reste étendue sur la table, nue de la taille aux pieds, souriante et fredonnant un air qu’elle affectionne particulièrement après un orgasme (love to love, love me baby). Arrivés à la voiture, je lui ouvre sa porte et elle me dit.
– Je n’en reviens pas que mon fils s’est tapé ma meilleure amie !
En roulant, maman me regarde avec cette expression d’amour et de bonheur qui me rend heureux. J’aime aussi la regarder, surtout qu’elle a sa jupe relevée et qu’elle m’offre sa chatte poilue sans fausse honte.
Nous restons sages jusqu’à notre prochaine étape et maman à un sourire de joie en reconnaissant la vieille auberge ou nous nous sommes arrêtés une semaine avant.
– Dany, Oh, j’adore cet endroit ! Je souris, satisfait de ma surprise.
– J’ai appelé pendant que tu étais sous la douche ce matin, maman. J’ai même réservé la même chambre avec le lit en laiton, dans lequel nous faisons si bien l’amour.
– Whaou, bébé, roucoule maman.
Elle m’embrasse et descendant de voiture.
– Je t’aime mon fils. Tu es un amour et maman va bien baiser son bébé ce soir !
Le dîner vite avalé et de retour dans notre chambre, nous nous embrassons sous une douce musique qui vient de l’extérieur et en quelques secondes nous nous retrouvons complètement nus, nos corps serrés l’un contre l’autre. Quand nos lèvres arrivent à se séparer maman recommence à me poser des questions.
– Parle-moi de la première fois où tu as fait l’amour à une femme…ou à une fille.
– Euh, c’est avec Charlène Vidal, maman.
Même avec ma bite sur le ventre de ma mère je suis bêtement gêné de dire à maman quand j’ai perdu ma virginité.
Maman se met à rire.
– Encore une fois avec une femme plus âgée ! Elle avait…quoi, vingt ans de plus que toi ?
– Pas plus de dix-huit ans, maman. Elle avait trente-six ans.
Maman me pousse vers le lit et me pousse dessus pour grimper au-dessus de moi. Je sens son pubis humide qui frotte merveilleusement contre mon érection.
-Dis-moi tout, Dany !
Maman frotte son sexe contre ma bite raide et puis très habilement elle me prend à l’intérieur d’elle. En quelques secondes je retrouve ce plaisir indescriptible que ma mère me procure en enfermant ma bite dans sa chatte douce et brûlante et dotée de sa propre vie.
Je lui raconte comment un soir d’été Charlène m’a proposé de boire un verre et de manger une pizza près du parc. Nous avons bavardé et flirté et elle m’a suggéré d’aller dans un coin plus isolé.
– Huuummm, je vois. Et mon fils de 18 ans a accepté d’y aller avec une femme de deux fois son âge, hein ?
Maman s’enfonce bien sur ma bite et frotte sa toison sur la mienne et toujours souriante griffe légèrement ma poitrine.
– Je me demande bien lequel des deux avait le plus envie de l’autre.
Entre ses gémissements qu’elle se procure toute seule avec sa chatte en mouvement sur ma queue, je lui détaille la suite et comment sur la banquette arrière de sa vieille Peugeot, après m’avoir fait une magnifique pipe qui lui a permis de déguster mon sperme, elle s’est remise à me sucer pour me rendre raide encore une fois. C’est Charlène qui c’est baisée toute seule, sur moi avec ses cuisses bien écartées jusqu’à ce que nous soyons en sueur et hors d’haleine après un orgasme incroyable et simultané.
Maman fait la même chose et elle monte et descend sur ma bite, ses gros seins se balançant et frappant mon visage, alors qu’elle s’agrippe sur la tête de lit.
– Je déteste que ce ne fût pas moi la première ! Mais je me rends compte de quelque chose.
Ma bite tremble et mon érection douloureuse est atténuée par le confort chaleureux de sa chatte soyeuse et chaude.
– AAaahhh…et…c’est quoi, maman ?
– Toutes les femmes que tu me parles se ressemblent. Cheveux noirs, corps voluptueux, gros seins…cela m’est familier…
Je vois ou elle veut en venir…
Maman utilise ses muscles vaginaux pour jouer avec ma bite et elle me ferait presque pleurer de plaisir.
– Huuummmm, et qu’elle est la dernière femme que tu as baisé avant moi ?
Maman me met au bord de l’orgasme rien quand massant ma bite avec son vagin et ses rotations de hanches mais elle sait comment me maintenir au bord sans que je tombe.
– Martine…Martine Chevalier, maman. Elle était dans certains de mes cours.
Maman me regarde attentivement, des flammes dans les yeux. De l’amour et peut-être de la jalousie.
– Décris-moi là, Dany. Décris-moi cette Martine, cette salope.
-Oooohhhh, maman…doucement… Ma…Martine à les cheveux noirs, à peu près de ta taille, des gros seins lourds comme…OOOoohhh, maman ! Comme…
Maman pousse un soupir de plaisir et sa sueur dégouline sur son visage pour éclabousser ma poitrine. Elle finit ma phrase.
– Comme moi…comme ta salope de dévergondé de mère !!!
Maman m’embrasse et murmure.
– Mon bébé avait tellement envie de baiser sa mère qu’il baisait des femmes qui me ressemble…n’est-ce pas ?
Et elle me comprime tellement fort ma bite que je ne peux plus me retenir. J’explose avec un énorme jet de sperme chaud en criant.
– OUIIIIIIIII ! PUTAIN ! OUIIIIIII…..
Et enfoncé dans le ventre en feu de maman, je me vide complètement en poussant des grognements de plaisirs, savourant chaque seconde cette copulation taboue que m’offre ma merveilleuse maman.
Maman gémit sous mes giclées de sperme qui frappent sa chair et en sanglotant.
– Oh oui, Dany ! Tu baiseras toujours ta maman, n’est-ce pas ? Je t’aime, Dany ! OHHH, je t’aime tellement…et…maintenant, tu peux me baiser quand tu veux bébé ! Maman se tend comme un arc sous son orgasme, l’ancien lit de laiton cogne sur le mur, elle tord ma bite dans ses convulsions et son premier orgasme à peine terminé, le second la fait trembler de nouveau et elle réussit à me faire éjaculer aussi.
Maman trait ma bite pour m’assécher et mon membre fléchissant elle s’effondre au-dessus de moi en haletant.
– Ta mère t’appartient mon fils. Nous sommes liés pour le reste de notre vie !
Entre deux bouffées d’air nous nous embrassons passionnément, nos corps collés l’un contre l’autre.
Je chéris toujours ces moments après nos jouissances, quand nous nous caressons tendrement nos corps exténués par nos orgasmes. Nos étreinte sont tellement serrées, que nous sommes plus qu’un. Et quel fils ne se sentirait pas aimer et en sécurité dans les bras de sa mère ?
– Je t’aime maman, pour toujours…à jamais.
Je me réveille quelques heures plus tard pour trouver maman à côté de moi, une de ses cuisses posée sur mes jambes, avec un doigt qui caresse doucement ma poitrine. Quand elle voit que je suis réveillé, elle murmure.
– Je t’aime, Dany…
– Je t’aime maman… OOohhh, maman…
– J’ai beaucoup pensé à ce que tu m’as raconté hier soir, à tes amantes…
Me dit maman d’une voix un peu étrange.
– Humm, tu n’es quand même pas jalouse, maman…
– Oui… et…non. C’est surtout cette femme, Charlène, celle qui a pris ta virginité. Mais quand je pense à toi, avec elle et les autres, je suis tellement excitée et humide entre mes cuisses que je reconnais que j’aurai souhaité être là… et de te voir prendre une femme pour la première fois.
Maman se lève sur un coude et regarde mon visage dans la lumière du matin.
– Tu comprends ce que je ressens ?
Je lui donne un doux baiser avant de répondre.
– Oui maman, je comprends. Quand tu m’as dit avoir sucé la bite du père Benoît dans ta jeunesse, j’ai eu un pincement de jalousie. Mais la seconde suivante je me suis mis à bander en imaginant la scène.
Maman, pensive, hoche de la tête et dit.
– Bon ! Comme je suis curieuse, parle-moi de cette Martine.
– Nous nous sommes rencontrés il y a environ deux ans dans un cours de science naturel et un jour dans la bibliothèque elle est venue vers moi pour me demander si je pouvais l’aider sur un sujet. C’est là, en la regardant habillée différemment que pendant les cours, que j’ai été attiré par sa beauté.
Je caresse le visage de maman.
-Rien à voir avec ta beauté sensuelle mais j’avoue qu’elle te ressemble et en plus, elle a le même sourire que toi qui peut faire craquer beaucoup d’hommes. Je pense que je devais aussi lui inspirer des sentiments assez forts car nous avons couché ensemble le soir même.
– C’était quelqu’un de spéciale pour toi ? Je n’ai pas gâché une histoire d’amour entre vous deux en devenant ta maîtresse ?
Il y a un soupçon d’inquiétude dans la voix de maman.
– Oh non, maman. Nous sommes de très bons amis, nous nous soucions de l’autre, mais surtout on aimait baiser ensemble et pour tout te dire je pense que Martine préfère plus les filles que les gars.
Maman écarquille ses beaux yeux et roucoule doucement.
– Aaah, oui… Elle est intéressante cette fille. Quand l’as-tu vu pour la dernière fois ? Heu, je veux dire…quand as-tu baisé avec elle la dernière fois ?
– Huuummm, c’était le week-end avant Noël, maman. Lorsque je l’ai revue après le jour de l’an, je lui ai dit que j’étais avec quelqu’un et que nous devons rester seulement des amis.
– Vraiment ? dit maman un peu surprise.
– Oui, maman. Tu es la femme que j’aime et je t’ai fait une promesse. Je ne veux pas et je n’ai pas besoin d’une autre femme.
– Mon chéri…
Et ma mère m’embrasse longuement ce qui provoque une réaction dans ma bite.
– Je pense quand même que çà…
Elle pose sa main sur ma bite à moitié dure
– Ça va lui manquer sûrement. Et toi elle ne te manque pas un peu…
En riant je lui réponds.
– Pas vraiment. Elle est superbe et c’est agréable de la baiser mais quand je suis en cours c’est à toi que je pense, maman.
– Fils de pute ! Tu sais parler aux femmes !
Me dit maman en caressant ma queue complètement en érection.
– Martine est fâchée ou elle t’a pardonné de la laisser tomber ?
-Non, enfin oui. Pendant presque 2 mois elle ne m’a plus adressé la parole. Puis on a eu l’occasion de discuter calmement et de laisser le sexe de côté dans notre relation.
Je repense à Martine et à nos discutions et je me rappelle qu’elle m’a même dit un jour en rigolant.
« Le moins que tu pourrais faire en tant qu’ex amant, c’est de me présenter un jour la femme qui m’a pris ton cœur et surtout ta belle bite ! »
Maman branle doucement ma bite et songeuse me dit.
– Si Martine n’est plus fâchée…il faudra que tu me la présente… un jour. J’espère que je n’ai pas cassé un grand amour.
– Mon amour et mon sexe sont maintenant pour toi, maman.
Et sur un gros soupir elle m’entraîne au-dessus d’elle en guidant ma bite entre ses lèvres intimes décidément toujours humides et chaudes.
– Muuummmmm, oui, bébé. Tu as raison mon fils. Et tu sais ou ta belle queue se plait le mieux, mon chéri.
Maman soulève ses jambes et les croise derrière mon dos.
– Je t’aime mon fils. Donne du plaisir à ta salope de maman.
Nous faisons l’amour lentement, en bougeant ensemble, savourant chaque mouvement de ma bite dans la chatte de maman. Et malgré ça elle ajoute.
– Pourtant je me sens mal pour ton amie. Je l’ai peut-être fait souffrir…
Maman ferme ses yeux pendant plusieurs secondes, mordant sa lèvre inférieure pendant que je m’enfonce dans son corps si chaud tout en faisant rouler ses seins dans mes mains.
Tout à coup, maman rouvre ses yeux et je vois dedans une petite lueur que je commence à connaître quand elle pense à quelque chose de coquin, vicieux et aventureux.
– Dany, à la rentrée je veux la rencontrer. Quand tu viendras me voir tu me présenteras ton amie Martine.
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