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Un après concert tout en légèreté !!
Après se concert excellent en qualité, nous rentrons tout doucement, et, avant d’arrivé au mas, Justine nous propose de prendre un verre au bar du village sous les platanes, nous acquiesçons, elle se gare un peu en vrac avec son gros 4×4 ce n’ai pas grave, nous nous installons sur la terrasse dans de grands fauteuils en rotin assez profond, le serveur arrive pour prendre commende, il est sourient et bel homme.
Bonjour mes dames, il nous tend la carte et attend notre commende, whisky, vodka, gin, et deux bières, tout le temps de son attente il nous a dévore du regard, nos robes courtes et nos cuisses largement ouverte ne lui ont rien caché, au moment ou il revient, Justine passe soigneusement la pointe de sa langue sur ses lèvres y rajoutant un petit clin d’œil accompagné d’un léger mouvement de tête, puis se lève et se dirige vers sa voiture en nous jetant un : Je reviens !!
Je suis la seule à avoir vu le manège, je surveille le serveur qui ; notre service terminé pose son plateau et part dans la même direction que Justine ;
J’attends quelques minutes et, prétextent avoir oublie mes cigarettes, je me lève et file vers le 4×4, là, stupéfaction, Justine à genoux pompe le serveur comme une folle, puis se relève, se retourne et se fait prendre par derrière, là, debout un pied sur le pare-choc les seins écrasés sur le capot, il la besogne rudement, lors la vague de son orgasme arrive elle dégage la verge de son sexe et la prend en bouche pour la terminer par une fellation royale quelle avale avec soin ;je retourne à table , ou je lâche ,zut je n’en ai plus, je rentre dans le bar d’une démarche chaloupé et demande : avez-vous des cigarettes SVP!!
Désole je n’ai plus rien me répond la birmane
Là un jeune homme se lève et me tend un paquet ouvert ;
Servez vous si cela vous convient !
Merci cela est très aimable de votre par, et en tirant une cigarette une autre est tombée, je me baisse sur les genoux se qui me force à écarter les cuisses, je suis entrain de leur offrir un spectacle magnifique car la cordelette blanche de mes boules pend généreusement entre mes jambes ; mon geste est lent et le temps mort que je marque en position ouverte et baissé est très calculé
Lorsque je me relève le jeune homme est un peu gêné de me mater comme il le fait ;
Je le soulage rapidement en lui posent une question
Cela vous a plus !!
Eu… ! Oui cela est très joli!!
Nous résidons pour une semaine au mas des Bastides au fleurs, passez donc prendre un verre un de ses jour !!
Bien sur comptez sur moi !!
Le sourire qu’il arbore est prometteur, il y aura surement un bon moment à passer.
Il enchaine et me propose de m’offrir un verre, je refuse poliment ;
Je suis avec mes amies et j’ai déjà un verre, mais vous pouvez vous joindre à nous !!
Il hésite un peu puis se décide ; OK !!
Nous sortons du bar, sous des regards envieux, arrive à la table sur la terrasse je présente le plateau de fille :
Voila Justine, qui est dans votre jolie village de puis 1 mois ;
Eve sa sœur
Charlie ma mère
France mon amie très chaire
Et vous ?
Moi mon prénom est Pascal, pour vous servir !!
il a un beau sourire en nous disant cela.
Il se retourne pour tirer un fauteuil, et dans se laps de temps chacune de mais petites camarades y vont d’un petit signe d’approbation sur mon initiative
Nous l’installons entre France et moi, bien sur, et il a en face de lui Charlie, Eve et Justine qui se délecte de son affolement, car Eve a ouvert le compas de ses longues jambes et dévoile ainsi
une vision de son sexe épilé ou s’agite deux gros anneaux en or qui traversent ses petite lèvres.
Nous papotons avec lui environs une ½ heure, ainsi nous apprenons qu’il a une entreprise de maçonnerie qui fonctionne très bien avec de gros chantiers qui lui prennes beaucoup de temps, nous nous présentons professionnellement sans rentre dans les détails.
Justine à côté d’Eve ne c’est pas mêlé a la conversation, mais depuis 10 mn après avoir décroisé les jambes a enfonce un doigt dans son sexe et titille son clito avec un sourire de béatitude.
Le jeune homme nous offre nos consommations, et nous nous apprêtons à le quitter lorsque Justine se rapproche de lui et lui dit à l’oreille :
Je vous attends tout à l’heure à la Bastide, le portail sera ouvert vous n’aurais qu’a entré.
Homme souri et acquiesce, il la regarde dans les yeux et passe le bout de sa lange sur ses lèvres de façon très suggestive.
Une fois montés dans la voiture Justine nous avoue que la mise en bouche avec le serveur lui a ouvert l’appétit et qu’elle désirait prendre une grosse dérouillée.
Au cours de notre petit trajet de retour je me blottis contre France pour lui dire de mots doux et la caresser, notre complicité est immense sans exclusivité..
Des notre arrivée je prends France par la main, souhaitant une bonne nuit à toutes nous nous retirons dans notre chambre pour nous retrouver et jouir mutuellement de nos caresses, blottie l’une contre l’autre ; le sommeil nous ratt**** et enveloppe nos corps alanguies sur la couche dans des rêves ouatés ou nous récupérons de cette journée bien remplie.
Justine en bas range un peu en attendent le sieur Pascal.
Eve et Charlie ont fait comme nous, elles ont retrouves leur couche, elles prennent le temps malgré tout de se brouter le minou, mais sur tout leur curiosité les incitent à surveiller l’arrive de se bel homme qui les a pas laissés indifférentes.
Toute les deux sont des expertes en caresses et ne ménages pas leurs peines pour se faire décollé, elles se donnent un maximum.
Le bruit de la voiture sur le gravier les tirent de leurs jeux saphiques, elles tendent l’oreille, puis, après avoir enfilé une grande chemise d’homme quelles laissent grande ouverte elle se dirige à pas de velours, pieds nu vers la mezzanine qui surplombe le séjour et le salon.
Justine est plantée la au centre de la pièce, un verre de whisky dans chaque main, Pascal avance lentement de façon à pouvoir se délecter du spectacle que lui offre, cette femme splendide,
qui ne porte rien d’autre qu’un peignoir en soie dont elle n’a pas noue la ceinture, son corps bronzé ne porte aucune marque de maillot, ses seins ronds haut perchés dont les gros bouts longs vous montre du doigt, le seins gauche porte un tatouage tribal très joli, sont pubis bombé est glabre brille comme tout son corps quelle entretien avec soin par des crèmes et des onguents, juste en dessous son clitoris est long et volumineux, comme un petit sexe en érection, dessous encore les deux anneaux en or de ses petite lèves, rehausse le tout par leurs éclats dorés
Il se saisit du verre et le porte a ses lèvres, Justine a fait un pas en avant, a pose sa main sur la proéminence de son short au bas de son ventre, il n’y a aucun doute, elle ne s’est pas trompé, son outillage est de belle qualité.
Dans le même temps, lui a commence a prospecte du bout des doigts ce corps souple et tiède dans lequel brule un feu pétillant;
Ses doigts caresse se flanc tiède, remonte jusque aux seins qu’il malaxe les bouts son long et dur, il y tire dessus, et tout le corps s’avance ; il avale une nouvelle gorgée d’alcool puis pose son verre sur une petite table ou trône une grosse lampe.
Justine dégage cette bite de se carcan de tissu, la malaxe et la décalotte pour la griffe doucement du bout des ongles, la réaction est immédiate, il pivote, passe derrière elle, lui retire le frêle tissu quelle porte sur ses épaules, se saisissent de ses seins les présents en allant jusqu’aux bouts qu’ils pincent, lorsqu’ils les lâchent ces pour lui claquer les fesses attisent son excitation, elle pousse de petits cris qui échauffent ses sens.
Après cela il a enfonce deux doigts dans son sexe, collant le sien tendu à la verticale entre ses fesses de Justine, il la tient fermement le jus odorant qui se déverse de sa vulve qui coule déjà copieusement le long des cuisses, elle se tortille pour recevoir toujours plus…
IL retire ses doigts, les portent à sa bouche pour gouter à cette crème, Justine se plein, non, reste, revient !!!
Elle est sur le point de partir, sa tête bouillonne et son ventre ondule, elle n’a pas le temps de rajouter quelque chose quelle se retrouve allongée sur la banquette du salon.
Eve & Charlie de leur poste d’observantin ne perdons pas une miette de l’asseau quelle subit.
Elle vient d’être pénétré d’un seul coup, jusqu’à la garde, de façon irrémédiable, elle pousse une longue plainte, cris de plaisir, ses jambes relève pour mieux l’accueillir, elle enserre sa taille de ses jambes, Pascal tape au font d’elle par de toute petite poussées, sans ressortir, puis, se saisie de ses chevilles pour pouvoir écarter au maximum ses cuisses en les rabattants vers ses seins et commence à la défoncé sur une cadence soutenu.
Justine n’en peu plus elle explose une première fois, puis tout son corps se m’est à vibrer, elle jouit bruyamment crie et pleurs, le plaisir intense lui provoque très souvent cette réaction, le mot qui revient est « toujours, fort, plus et encore″.
Au bout d’un long moment de se traitement, Pascal se retire, et sans lâcher les chevilles plonge la tête dans cette fontaine pour y boire à la source, il aspire la petite bite de Justine, son clito, et le mordille, elle est sur le point de s’évanouir tellement son plaisir la submerge, elle hurle un ouhaaa !!!….. qui se perd dans la maison.
Eve et Charlie sont toujours sur le tas de cousins quelle ont trouvé sur la mezzanine et à travers la balustrade elles assistent à la montée en puissance de cette grande défonce, mais elles ne sont pas encore au bout du spectacle et des surprises.
Pascal qui n’a pas encore déversé sa semence, est toujours fier, le sexe dressé c’est étalé la tête contre l’accoudoir à l’opposé de Justine, qu’il laisse un peut récupérer; c’est à ce moment la que nous apercevons Yan qui descend par les escaliers, probablement réveillé par les cris caractéristiques de Justine qu’il connait bien.
N’y Justine n’y Pascal de l’ont entendu, et lorsqu’il caresse ses cheveux, Justine reconnait son touché, elle ouvre les yeux il est là nu la bite tendue à porté de ses mains et de sa bouche qu’elle ouvre pour le recevoir, elle lui sourie, ce redresse un peu et rapproche sa tête de ce sexe.
Pascal n’a pas bougé et observe.
Elle aime pratiquer la fellation à cette bite énorme qu’elle utilise très souvent, Yan a fait glisser ses doigts dans sa crinière aux cheveux soyeux, elle enfourne la totalité de ce sexe au fond de sa bouche, elle doit déglutie pour y parvenir, écrasant son nez contre son pubis ; Elle est sur le point de s’étouffer lorsqu’elle ressort brutalement l’outil de sa bouche, et l’on entend un Ho Ha??? Lâché par Yan qu’elle a abandonné pour se jeter la bouche ouverte sur Pascal, elle suce pendent un moment les deux bites séparément puis ensembles.
Enfin une vrais grande fellation.
Pascal est sur le dos et Justine c’est place à la verticale de son pieu sur le quel elle descend, elle le fait disparaitre en elle, commençant une chevauché fantastique, tout en continuent la fellation de Yan.
Au bout d’un moment un cri, étouffé par le sexe qu’elle a en bouche, retenti elle s’immobilise empalée jusqu’à la garde sur cette colonne de chair qui frappe le font de son pot, elle oscille des hanches pour être sure de tout avoir bien pris ;
Yan qu’elle a abandonné, a mis une main derrière sa tête et la poussée en avant, elle a comprit ce qui va lui arriver, elle aime cela et ne craint rien, Yan est un expert en sodomie.
La tête posée au creux de l’épaule de Pascal, elle écarte un maximum ses fesses, Yan viens la lécher et y dépose une grosse quantité de salive, le petit œillet pulse de plaisir, lorsqu’il enfonce un, puis deux doigts dans ce fourreau étroit, il s’applique à bien le lubrifier ayant fait couler un peut de gèle en plus pour que le plaisir soit grand, sans douleur mais total.
Justine porte ses mains à ses fesses pour écarter le plus possible ses globes et là, Yan ne lui laisse pas le temps de souffler, la poussée est impitoyable, il s’enfonce en une seule fois, Justine a la bouche ouverte en apnée, elle ne pousse un cri que lorsqu’il est entre totalement, un grand ouah ??
Pascal et Yan prennent le même rythme et pistonne, un devant l’autre derrière, Justine comme une folle et cela dure longtemps, elle est ravage par les orgasmes qui défiles dans ses reins, sa tête est en feu, elle n’entend plus rien sauf ses cris.
Yan est le premier à se déverser en elle quatre long jet la comble, suivie de prés par Pascal qui cris au moment ou il se déverse en elle
Justine pleure, et aux milieux de ses sanglots, remercie ses hommes qui l’ont porte jusqu’à l’extase extrême, ils s’écroulent tous les trois épuises et heureux.
France et moi regagnons notre couche nous aussi épuises par le plaisir que nous nous sommes donnés et que nous avons pris au spectacle de cette splendide défonce..
Le lendemain matin après une nuit plutôt agitée nous émergeons avec le désir rivé au ventre car le spectacle d’hier, la baise de Justine cette nuit nous a excite au plus haut point.
France a commence à me dévorer le clitoris et fouillé mon sexe avec sa langue, se quoi a pour effet de me déchainé, j’aspire le bout de ses seins qui deviennes dur, elle ronronne, le doigt que je fais pénètre en elle lui arrache des petits cris quelle émets dans mon sexe et qui pousse dans mon ventre, je jouis violemment et me déverse sur sa langue, elle recueille ce jus fruité et l’apporte à ma bouche pour me le faire partager.
En arrivant sur la terrasse pour déjeuner nous apercevons Eve en tain de nager dans la piscine ;
Elle est bonne ?? demande France
Eve passe sur le dos et cris :
Très très bonne !! Comme la nuit !!
A suivre…Alexis N°7
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Alexis 28 Ans / Avenir sexe N°7
Marché de Provence
Eve nous propose avec sourire ;
Venez-vous avec nous au marché de St Rémy ??
Réponse en cœur bien sur. !!
Doudou vient de nous apporte un grand pot de café du pain grillé, de la confiture et du miel sur la table, Fleur arrive aussi, elle étale le beurre et le miel sur sa tartine, et elle laiche avec sensualité la cuillère
Avez-vous entendu maman cette nuit, elle a pris cher avec le mec quelle a invite, elle a crie une partie de la nuit, se sera encore pire lorsque papa va rentre.
Yan n’est pas encore levé ?
Non pas vu
Viens-tu avec nous ?
Oui oui, je me dépêche.
Le café avalé nous remontons pour ce préparé, dans les escaliers France, nu sous sa chemise, m’excite, Je glisse ma main entre ses cuisses et lui caresse le sexe et les fesses.
Soit sage, nous allons être en retard siffle t’elle, mais elle a ralenti le pas et surtout écarte les cuisses pour me faciliter l’accès à son coquillage, elle c’est arrête et c’est retourné pour m’embrasser à plaine bouche,
Mon doigt la pénètre et son petit ronronnement en dit long sur ses besoins, nous nous collons une à l’autre pour bien se sentir, nos seins durcissent et le désir monte en nous.
Viens vite, je veux te lécher et boire ton jus, car depuis hier soir je me retiens, j’ai envi de toi mon amour.
France rentre la première dans la chambre, me prend par le bras et me jette sur le lit, je suis nu moi aussi sous mon débardeur, elle plonge entre mes cuisses que j’ai grandes ouverte et se met à aspirer tout le jus de mon sexe, tire de façon énergique sur mon clitoris, la vague qui me prend est rapide et forte, le oui que je lâche ne laisse aucun doute sur l’état dans le quel elle me met, je jouis, et lorsque le calme revient France m’embrasse pour me faire gouter à mon propre jus musquait..
Notre toilette terminé en vitesse, et avant de sortir de la salle d’eau je prends mes grosse boule et celle de France ;
Chérie viens là ;
France obtempère et s’avance, ses seins opulent bien en avant, ils débordent du débardeur, sa jupe est courte, je lui montre les boules au creux de ma main, elle fini de s’avance et écarte ses jambes de façon à recevoir les objets qui lui sont destinés, je passe un doigt entre ses petites lèvres et introduit les boules que je pousse bien au fond, le ouf !! Est clair, elle les a bien reçu.
Je fais de même pour moi, et je l’exprime de la même façon par le ouf !! Nos boules font 5 cm de diamètre, et lorsque nous les portons nous les sentons bien, car la vibration que provoque la bille qui se trouve à l’intérieur est divine.
Justine n’a pas encore émergé, elle a besoin de récupérer de sa nuit très agité.
Eve conduit prudemment et le trajet se passe à merveille, Doudou est venue avec nous elle doit faire des course pour les repas, elle se trouve entre France et moi a l’arrière ; sans s’être concerté la main de France et la mienne remonte chacune sur une cuisses de la ravissante noire, elle ne bouge pas, si ce n’est légèrement pour écarté les cuisses, nous faisans ainsi un peu plus de place, remontée jusqu’à son string je passe la première sous le frêle tissu et là je trouve un petit abricot juteux, je me mets à lui faire un doigt jusqu’à l’entendre feuler.
C’est trop Mam-sell’ !! Je vais partir, et elle se met à emmètre un son roque qui vient du plus profond d’elle, je perçois des vibrations énormes dans son ventre et elle jouis sans retenue
Charlie à l’avant s’est retourné et ne perd rien de se délire, une fois termine elle lui dit : Jolie, tu pars bien il faudra que je te goute.
Arrive sur le marché nous nous éparpillons tout en prennent rendez-vous à la voiture pour poser nos emplettes vers 12h30, en suite nous irons manger un morceau sur place avant de rentrer.
Nous avons pris notre temps, et avons vu plein de chose, les camelots vous interpellent, et font du charme, juste pour le plaisir des yeux, comme il dise, et, ma belle viens voir j’ai de jolies jupettes qui t’irais à ravir, il en profite pour te peloter un peu les fesses, tu continu et la c’est un potier qui te propose ses services, tasses, bols, coupes, avec un coup d’œil dans ton décoté, que tu lui offre avec plaisir.
Un peut plus loin un forain nous propose des espadrilles de couleur vive, je suis attiré par un modèle qui se lasse au tour de la cheville, tranquillement, je fouille dans les cartons pour voir les tailles un homme m’interpelle
Et belle brune veux-tu que je t’aide ; quel pointure ??
Un 38 pour voir !
Il bouge des cartons, puis part à son camion juste à coté et me rapporte deux boites,
Essaye !! Il faut toujours essayer, pose toi là, tu seras bien ;
Il me montre un petit banc, j’obtempère, j’enfile une puis deux chaussures, elles sont un peux grande !!
Attend fait voir, l’homme c’est accroupie devant moi et me lasse les cordelettes autour de la chevilles,
Il remonte ses yeux vers moi, regarde elle son faite pour toi
Je me penche en avant pour jeter un regard, je croise le sien qui est figé entre mes cuisses écartées, il est en apnée, car il a une vue sur mon sexe qui baille, le temps a l’air de s’être suspendu.
Il revient à lui lorsque je lui dis : non, je vais voir, si je trouve quelque chose d’autre, si non je reviendrais
Reviens vers 12h30 ce sera un coup, le sous entendu est clair.
Lorsque je me relève, je me retrouve face à une jeune femme très charmante,
Tong short et débardeur sous le quel ses seins s’agitent sans aucune entrave.
Elle s’adresse à moi :
Elles vous vont bien, vous avez de très jolies jambes, la flatterie me fait sentir un certain désir chez cette femme jeune et sexy, nous engageons la conversation et commençons un bout de chemin ensemble, elle est de la région et s’occupe de tourisme pour une grande marque de résidence de vacance dont le nom est Maxiplaix.
Chemin faisant, nous rencontrons Eve et France qui étaient partie de leur cote pour faire les galeries à l’affut d’un tableau ou d’une sculpture qui les accrocheraient.
Une jeune femme que je viens de rencontrer sur un stand de chaussures,
je me retourne vers elle et lui dit : comment tu t’appelle !!
Fanny nous répond t’elle
Nous allons prendre une bière, vous venez !!
Non merci, nous allons dans une autre galerie, juste la derrière un peu plus loin, à tout à l’heure ; Elles se dirigent ver une petite rue transversale, et disparaissent.
Nous nous installons à la terrasse de l’un des bars de l’avenue, Fanny et moi parlons de chose et d’autre, puis Fanny à brule pour poing me demande :
Aimes-tu faire l’amour avec des femmes ? Un peu interloqué je marque un temps d’arrêt, puis je réponds en toute franchise, oui beaucoup, mais j’aime aussi les hommes.
Fanny profite du blanc pour poser sa main sur ma cuisse, j’ai un Lège mouvement pour écarter mes cuisses, se qui ne laisse aucun doute sur ma position, elle remonte vers mon sexe, et le trouve nu et humide, son corps s’affole et je perçois une accélération de sa respiration, elle a laisse sa main sur mon genoux ;
J’avale une grande gorgée de bière, avant de lui demander : tu a envie ?
Oh oui !! Sa main est toujours sur ma cuisse et elle la fait coulissé vers le haut avec de toute petite pression, et cela m’excite.
Suis-moi !! Et je me lève pour me diriger vers les toilettes, laissent les consommations, une écharpe, et un livre sur la table, Fanny me rejoint rapidement.
Ses seins sont pas très gros mais dur et de plus excite comme elle est il suffi de la caresser pour qu’elle se mette à ronronné, elle a le sexe trempé lorsque mon doigt inquisiteur la fouille elle miaule comme une chatte quelle est, je la branle longuement et son orgasme n’est pas feint.
Elle se met à genoux et remonte ma jupe pour lécher les replis de mon sexe, ou elle trouve la petite cordelette de mes boules sur laquelle elle tire légèrement, pour moi l’effet est immédiat, je dégorge sur sa langue tout le jus de ma vulve et crie mon plaisir sans retenue, son doigt titille mon clito et trouve mes anneaux, cela la trouble énormément, elle joue avec de la langue et fini par me demander si elle ne me fait pas mal, la réponse est simple car la façon que j’ai de jouir ne laisse aucun doute.
Une fois notre plaisir pris nous retournons terminer notre bière, nous nous regardons tendrement, notre dialogue est propice aux confidences, Fanny m’avoue quelle viens de prendre un immense plaisir avec moi, elle me confie ses craintes et ses phobies par rapport à l’homme et au regard des autres.
Je lui propose de venir vendredi soir à la partie grillade que Justine et Eve ont prévues pour le retour d’ Henry-Charles, je lui donne mon N° de téléphone pour pouvoir aller la chercher lorsqu’elle arrivera sur le village, nous nous embrassons sur la bouche tendrement et nous nous souhaitons une bonne fin de journée.
A bientôt !!!…
Je retrouve en premier Fleur et Doudou qui ont fait les courses avec fruits et légumes pour deux ou trois jours, puis France et Eve arrive un paquet sous le bras, Eve a fini par acheter une petite aquarelle sur le thème de Alpilles.
C’est pour amélioré les jours sombres en région parisienne en hiver, annonce t’elle toute guillerette.
Et vous avez-vous trouve votre bonheur !!
Fleur et Doudou ont fait des emplettes pour les repas, de la viande pour les grillades des fruits et des légumes.
Moi j’ai trouve un petit bracelet fantaisie et original chez un fabricant baba cool, cela me fera un souvenir agréable.
Et âpres j’ai sympathisé avec une jeune femme très sympa, nous avons bu une bière et je me suis fait manger la chatte et je l’ai masturbée, cela a été un très bon moment.
Les filles : cochonne !!
Et oui j’aime sa, vous la verrez certainement car je l’ai invitée pour vendredi soir, elle n’habite pas très loin de chez nous.
Nous arrivons devant un restaurent que France et Eve ont vu se matin dans leur quête de galeries, et ou elles s’ont réservés pour être sure d’avoir de la place.
Eve ne prend pas d’apéritif car elle conduit, le repas, salade verte, brochettes, tomates à la provençale, glaces et café, se passe dans la bonne humeur, à tour de rôle nous recompteront chacune notre matinée.
Départ du resto vers 14h45 pour rentrée !!
De retour au Mas, Justine n’est pas encore revenue d’Aix en Provence où elle avait un rendez-vous avec un banquier, en l’attendant nous nous installons au bord de la piscine, la plu part d’entre nous, après s’être enduites de crème solaire, plonge dans une petite sieste réparatrice.
Doudou, pendent ce temps s’active à ranger les course et à préparer le repas du soir.
A Suivre N°8
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