J’avais sorti mon portefeuille pour payer et la caissière a vu qu’il était plein de billets. Ils ne venaient pas du distributeur mais d’un client à qui j’avais fait faire une bonne affaire.
– Ah, vous au moins, vous êtes riche, m’a fait la caissière !
Je ne l’avais jamais vue et ça devait être une étudiante. Qu’est-ce que je risquais ? Qu’elle pousse un cri ? Qu’elle s’énerve ? Les caisses à proximité était fermées et ses collègues étaient tout à l’autre bout.
– Vous êtes contagieuse, lui ai-je demandé ? Pourquoi est-ce qu’on vous a exilée ?
Elle m’a souri puis elle m’a dit qu’il y a des caméras de surveillance.
– On peut parler ?
Elle m’a répondu qu’il n’y a que des images. J’ai pris un billet de cinq cents et je l’ai plié en quatre avant de le glisser dans la poche qu’elle avait sur sa blouse sur son sein gauche. Il y avait déjà son nom dessus. J’ai enfoncé le billet dans la poche de la blouse et en même temps j’ai appuyé sur le sein et la fille a mis sa main sur la mienne mais j’ai du retirer mes doigts.
J’ai payé mes achats puis je les ai mis dans mon sac avant de glisser un autre billet à la fille en lui disant que c’est pour elle.
– Je n’ai pas le droit, m’a-t-elle alors dit !
Je lui ai répondu qu’elle en a plus besoin que moi puis j’ai ajouté que je peux lui en donner d’autres si elle veut être gentille avec moi. Elle avait si bien compris qu’elle m’a dit qu’elle finit dans une demi-heure. J’ai ajouté que je suis garé dans la rangée vingt-deux du parking, tout au début, une voiture rouge.
J’ai mis mes achats dans le coffre et je me suis assis au volant et j’ai attendu. Une demi-heure après, la fille a cogné à la vitre. Je lui ai ouvert et elle s’est assise à côté de moi. Je lui ai dit que j’ai envie d’elle. Elle m’a répondu que les hommes sont tous les mêmes.
– On doit te le dire souvent vu que tu es top, lui ai-je répondu ! Tu as tout bon !
– Vous m’avez dit que vous me donnerez d’autres billets, a ajouté la fille !
– Toi, tu sais ce que tu veux !
Elle m’a répondu qu’elle profite de ce que la nature lui a donné.
– Et tu fais souvent ça ?
Elle est devenue rouge comme une tomate.
– Je serai très gentille avec vous si vous gentil avec moi, a ajouté la fille !
– Et si je te donne de l’argent ?
Elle était bien d’accord.
– Ecarte tes cuisses et remonte ta jupe, lui ai-je alors ordonné !
Elle m’a obéi. J’ai glissé mes doigts dans son string et je les ai enfoncés dans sa vulve. Elle ma dit que je sais ce que je veux. Après, je lui ai annoncé la couleur, qu’on va aller dans la forêt et qu’on va baiser. C’est ce qu’on a fait. Je me suis garé dans une allée et j’ai plaqué la fille sur le capot et j’ai enfoncé ma bite et après un petit quart d’heure de travail, j’ai joui sur ses fesses par précaution.
– Tu risques rien, lui ai-je demandé ?
– Non ! La semaine prochaine seulement !
Je l’ai prévenue qu’on allait recommencer. Je savais qu’il y avait un petit lac un peu plus loin et j’ai pris une couverture dans le coffre de la voiture et la fille m’a suivie. Elle m’a aidé à étaler la couverture.
– Je me déshabille ?
Elle avait tout compris. Je lui ai quand même dit que j’aimerais bien la regarder. J’avais oublié qu’à cet âge-là les filles sont vraiment belles. D’autant plus qu’elle n’était pas rasée. Je lui ai dit de s’allonger et j’ai roulé deux gros billets que j’ai enfoncé dans son vagin. Elle les a laissés un petit moment puis elle les a rangés dans son sac. Je lui ai demandé si elle veut me sucer la bite. Elle a accepté et je lui ai demandé si elle a déjà fait ça. Elle a hésité.
– J’avais jamais fait l’amour avant vous, m’a expliqué la fille ! Je pensais que j’allais me garder pour mon mari…
– Foutaises !
Elle a paru étonnée que je lui dise ça.
– Masturbe-toi !
Elle a paru encore plus étonnée mais elle s’est exécutée et je l’ai regardée faire tout en lui posant des questions. Quand je lui ai demandé si elle pouvait imaginer faire l’amour avec une fille, elle a rougi.
– Ça te fait peur ?
– Non, mais c’est plutôt mes parents, m’a répondu la fille !
– Pourquoi ? Ils ont peur que tu sois lesbienne ?
Elle ne m’a pas répondu. J’ai ajouté que si elle veut, je la paierai pour baiser avec une fille et je lui ai proposé de lui trouver une partenaire. Elle a semblé dubibative. Je lui ai demandé si elle veut choisir elle-même.
– Tu as peut-être quelqu’un en vue ? Peut-être pas une gouine mais une fille que tu voudrais amener à le faire avec toi ?
Elle a hésité puis elle m’a dit qu’il y a sa cousine Sasha qui n’arrête pas de parle de mariage et qu’elle voudrait bien…
– Tu veux la gouiner ? C’set ça ?
– Oui, m’a répondu la fille !
– Mais maintenant, j’ai envie !
Je n’avais pas l’intention de la laisser divaguer. Je l’avais raide et je l’ai prise dans la chatte avant de continuer dans son anus. Je la limais depuis un petit moment quand elle m’a demandé ce que je fais.
– Je t’encule, ma chérie !
– Ah !
– Ça ne te plaît pas ? Je suis désolé, mais pour ça, je ne te demande pas ton avis, ai-je ajouté et j’ai continué. Elle s’est mise à gémir et à me dire que ça fait mal avant de se mettre à ronronner. J’ai fini par lui dire qu’elle aime ça.
– Oui, m’a répondu la fille ! Est-ce que je peux me masturber ?
– Non !
J’ai ajouté que ne veux pas qu’elle se gâte.
– Tu me fais mal, a-t-elle encore gémi !
C’était trop tard parce que j’avais joui au fond de son anus. J’ai gémi que c’est bon et j’ai attendu de débander pour m’écarter. Elle m’avait vite fait dit qu’elle ne prend pas la pilule. J’ai ajouté que la semaine prochaine, c’est ce qu’on fera et que je la prendrai aussi dans la bouche et je lui ai même demandé si elle a déjà avalé du sperme. Elle n’avait jamais fait ça.
Un rayon de soleil est passé au travers des arbres et il est venu nous réchauffer. J’ai serré la fille contre moi et je lui ai dit, pour la rassurer, que je ne vais pas lui demander de m’épouser.
– C’est juste pour la baise, ai-je ajouté !
La fille s’est mise à pleurer. Je lui ai demandé ce qu’il y a mais elle ne m’a pas répondu puis je lui ai confirmé que je ne vais pas l’épouser. Après je l’ai laissée se rhabiller et je l’ai déposée au coin de la rue, pas loin de chez elle. Je lui ai dit qu’elle n’oublie pas, que je viendrais la chercher pour aller baiser avec elle. Chaque fois que je devais aller faire des course au supermarché, le lui téléphonais pour savoir à quelle caisse elle est et je plaisantais avec elle puis quand elle sortait, on allait baiser en changeant à chaque fois d’endroit.
Un jour, elle m’a dit qu’elle est enceinte et qu’elle va garder l’enfant. Je n’ai rien dit vu le tas de pognon que je lui avais déjà donné. On s’est bien mis d’accord. Le hasard a fait qu’en l’accompagnant à la clinique pour un examen, nous avons sympathisé avec une de ses anciennes copines qui était aussi enceinte. J’avais mes deux gros ventres et mes deux paires de gros nichons. Il ne restait plus qu’à prendre rendez-vous et j’ai pu gouiner les deux femmes.
Je n’avais jamais rien vu de plus excitant et je bandais comme un étalon quand je me suis enfoncé dans tous leurs trous. Elle ne se sont pas plaintes. Je suis passé de l’une à l’autre puis j’ai fini dans la bouche de l’autre femme. Nous avons continué. Un soir, il a fallu que je l’emmène à la clinique pour accoucher. C’est la dernière fois que je les ai vues.
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