Une histoire au style (d’écriture) un peu particulier
pour une bonne et simple raison, elle n’est pas romancée du tout.
Tout est vrai sans aucune interprétation, il n’y a donc que
mes sensations qui y sont décrits.
Seuls les prénoms ont été changé ainsi que le nom d’une entreprise,
pour un soucis d’anonymat.
Tout le reste est exact dans les moindres détails.
Enfin, ultime précision, l’histoire que vous allez lire est un fantasme pour bien des gens…
pas pour moi, comme quoi quand on demande rien, la vie réserve quelque fois des, bonnes, surprises.
Bonne Lecture
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8 Juillet 1988
Peu avant Minuit
Quelque part dans Paris
J’écrasais ma cigarette dans le cendrier et je les dévisageais. Je me
demandais s’ils plaisantaient ou pas.
– Alors qu’en penses-tu, d’accord ou pas ? Me demanda Isabelle
Ok ils ne plaisantent pas… Comment ça qu’est ce que j’en pense ?
Elle est marrante Isabelle me lancer ça comme ça et me demander mon
avis en cinq secondes.
J’avais connue Isabelle il y a un an, par mes études, je travaillais
en alternance dans une entreprise où elle était comptable.
J’avais 17 piges et j’étais célibataire, elle en avait 30, était
mariée et mère de famille. Je n’ai jamais compris pourquoi il y a six
mois, elle m’a emmené chez elle et m’a sauté dessus. Ok son mari était
descendu dans le Sud pour trouver un emploi et un appart, ils avaient
l’intention de déménager, mais pourquoi moi ? Dix sept ans avec
quelques expériences sexuelles, ça et là, rien de transcendant, un
amateur du sexe et elle trente ans avec une expérience longue comme le
bras. Toujours est-il que depuis six mois elle m’en avait appris des
choses, la coquine. De comment embrasser à savoir mettre une fessé en
passant par savoir caresser un clitoris du bout des doigts ou de la
langue, éveiller le désir en posant un baiser du bout des lèvres et de
la langue dans le cou d’une femme, s’introduire dans un petit trou
sans provoquer de douleur… ou au contraire savoir être un « a****l »
déchainé quand elle le désirait. Six mois que l’on baisait comme des
bêtes dans touts les lieux possibles et imaginables, dans un lit, sur
une table, dans une cage d’escalier déserte, dans une porte cochère en
pleine rue, un ascenseur, un bar bondé de monde, partout… Elle menait
la danse, d’un regard elle me faisait comprendre ce qu’elle voulait,
elle me faisait bander à en être mal à l’aise dans mon jean trop
serré. D’un coup de langue elle savait comment et quand me faire
jouir. Elle était ma maitresse et j’étais son apprenti-amant. Et
j’avoue que le simple fait de me balader avec cette sculpturale brune
à mon bras faisait de moi le coq le plus fier de la basse-cour, elle
était magnifique et pour une raison qui m’échappe complètement c’était
moi qu’elle avait choisit. Elle avait fait mon éducation sexuelle…
Tout y était passé… Tout… Mais ça bon sang… je ne m’y attendais pas.
Ils s’étaient mit d’accord de leur coté et maintenant ils me demandaient mon avis.
Je crachais la fumée en continuant de les dévisager.
– Banco, je marche !!! Lançais-je, après tout on ne vit qu’une fois.
Je me levais du sofa dans lequel j’étais, lui prit la main et
l’entrainais sur la piste de danse. Le DJ de la boite de nuit avait
commencé une série de slows. Elle passa ses bras autour de mon cou et
m’embrassa longuement. Sa langue fouillait ma bouche tandis qu’elle
frottait son pubis contre le mien. Elle me regarda droit dans les yeux
avec son sourire angélique et innocent.
– T’es fière de toi ? Lui demandais-je.
– Pas trop à l’étroit dans ton jean, cow-boy ? Fit-elle avec son air narquois.
Je tournais la tête et appelais Stéphane du regard, qui était resté
assis. Il se leva et s’approcha de nous. Je pris la main d’Isabelle et
la tendit à Stéphane. Il prit alors Isabelle dans ses bras en
l’embrassant langoureusement. J’allais m’assoir et j’allumais une
cigarette en les regardant. A coté de moi, deux types qui avaient
suivit la scène me regardaient médusés. Je souris tout en pensant « Si
vous saviez les mecs… »
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Deux heures plus tard, nous étions chez elle, elle jeta sa veste et
son sac à main dans le canapé et nous entraina dans la chambre. Là
elle s’allongea sur le lit et nous regarda.
– Vous allez vous faire désirer longtemps ?
Stéphane s’allongea à ses cotés, moi je m’agenouillais au pied du lit
et commença par lui retirer ses escarpins. Je caressais ses pieds et
ses oreilles doucement, d’abord de mes doigts, puis de ma langue. Elle
eut deux tressaillements puis éclata de rire.
– Tu me chatouille… s’pèce de sagouin !!!
Je souris et commençait a embrasser ses chevilles, puis ses jambes
tout en remontant sa jupe pour arriver à ses cuisses. De son coté
Stéphane l’embrassait à pleine bouche et commençait à défaire son
chemiser de soie noir. Arrivé à son string je déposais un baiser sur
son sexe, au travers du tissu puis je finissais de m’allonger à ses
cotés en la regardant avec un sourire narquois en sachant très bien ce
que je venais de faire. Elle me regarda en se pinçant les lèvres.
– Saligaud… t’as pas le droit de m’allumer comme ça. Chuchotât-elle.
Je la prit délicatement dans mes bras et l’embrassait en la tournant
vers moi, je fit glisser son chemisier que Stéphane avait déboutonné
en entier puis passant la main dans son dos je fis sauter l’agrafe de
son soutien-gorge d’une pichenette… comme elle me l’avait appris. Puis
toujours en l’embrassant je commençais à lui caresser les seins
doucement au début, effleurant ses tétons du bout de mes doigts puis
les faisant rouler par la suite. Isabelle avait levé les mains au
dessus de sa tête et commençait à griffer le mur. Je lâchais sa bouche
pour embrasser ses seins. Elle commençait à gémir de plus en plus
fort, ses seins étaient très sensible certes et je savais comment les
titiller mais là… Je tournai la tête et compris d’où venait son état
d’excitation. Stéphane n’avait pas perdu de temps, nu comme un ver il
avait fait voler la jupe et le string et s’était agenouillé entre ses
cuisses pour lui bouffer, littéralement, la chatte. Je n’eu pas le
temps de retourner la tête vers Isabelle que celle-ci me plaqua sur le
lit et me déshabilla à une vitesse folle. Je me retrouvais à poil en
quelques secondes.
– J’veux ta queue !!! Dis-telle en se mettant à quatre pattes entre
mes jambes et en commençant à me sucer.
Stéphane placé derrière elle commençait une superbe levrette.
Sa langue vint titiller mon méat, puis roula autour de mon gland pour
finir par exciter mon frein. J’ai un sursaut, la vache elle me connait
à fond la garce, elle joue avec moi comme avec une poupée de chiffon
ou mieux un jouet télécommandé dont le joystick, en forme de verge,
s’enfonce dans sa bouche. Je soupire et regarde Stéphane dans les
yeux, je vois sa bouche se crisper et je comprends, elle remue son cul
à un rythme bien particulier et je sais ce qu’elle est en train de lui
faire subir, elle est en train de contracter son vagin autour de sa
queue. Même dans cette position et dans cette situation elle mène la
danse. Je vois le visage de Stéphane rougir, ses yeux sont exorbités…
il n’a pas tenu la distance, grosse surprise pour lui, il n’était pas
préparé à ça. Isabelle était capable de se masturber jusqu’à l’orgasme
simplement en contractant les muscles de son vagin, …
Alors vous pensez bien une bite.
Elle s’est mise en tête de m’avoir aussi rapidement et je dois avouer
que sans les six derniers mois où elle m’a fait tout subir je n’aurai
pas tenu plus longtemps que Stéphane. J’ »att**** » sa tête entre mes mains
et remonte son visage à la hauteur du mien. Ses lèvres perdant ma queue font un
bruit de succion assez épouvantable. Je colle mes yeux dans les siens.
Ils sont troubles, les pupilles largement dilatés, ses lèvres tressaillent,
j’ai déjà vu ce regard cent fois. Je sais exactement ce qu’elle va faire et ce
qu’elle va dire… Elle me tourne le dos, tourne la tête et me regarde. Les
mêmes mots que bien des fois se répètent dans sa bouche.
– Encule-moi !
Stéphane écarquille les yeux, il découvre qui est Isabelle, on ne
dirait pas à la voir la comptable de l’entreprise XXXX qui se
trémousse, pompe et utilise un langage aussi cru. Comme elle l’a
suggéré et comme elle me l’a si bien apprit je pose mon gland sur son
petit trou, aujourd’hui ce qu’elle veut c’est que j’entre doucement.
Je prends ma verge d’une main et applique une poussé vers le bas, sa
rosette se détend, la salive sur ma queue et la cyprine qui a coulé
jusque là jouent leur rôle… Je glisse en elle doucement, je m’arrête,
fait remuer ma queue en cercle dans son petit trou afin de le détendre
un peu plus, puis je continue ma progression jusqu’au bout. Elle a
accompagné ma progression d’un ‘Ho’ tout en crescendo. Je saisis ses
anches, J’ai ouvert le bal, mais c’est elle qui mène la danse, c’est
elle qui commence à faire rouler son bassin et imprime elle-même les
allers-retours au rythme qui lui convient. Elle accélère… de plus en
plus vite… de plus en plus fort… mon bassin vient claquer contre ses
fesses. Le tout devient alors un ballet frénétique dans le quel je me
rue à corps et queue perdus. Puis soudain elle s’affale et hurle dans
les draps, je n’attendais que cela pour l’accompagner dans l’orgasme.
Je me colle au plus profond d’elle et lâche ma semence. Elle met une
main dans son dos et l’ouvre et la ferme continuellement, je la saisie
et la serre fort, puis je la redresse,
elle vient se coller à mon torse inondé de sueur, nos peaux glissent
l’une contre l’autre. Mes mains glissent sur son ventre, ses seins,
fouillent sa chatte. On se rejoint, non pas dans nos orgasmes, mais
dans NOTRE orgasme. Pendant un instant nous ne faisons plus qu’un et rien
d’autre au monde n’existe. Pas même Stéphane qui nous regarde
complètement éberlué. Puis nous nous allongeons côte à côte. Elle
passe ses doigts sur ma poitrine et les fait glisser, dessinant des
courbes dans la sueur brillante de mon torse imberbe.
– Comme d’hab p’tit mec. Lance t elle.
Un message à mon intention, que moi seul peut comprendre. Je
l’embrasse. Et je lui réponds.
– Je te déteste.
Sa réponse claque comme d’habitude.
– Je te hais !!!
Elle venais de me faire entrer dans le monde particulier de la luxure.
un large sourire s’afficha sur son visage.
Elle a une idée derrière la tête mais quoi ?
– Au fait p’tit mec.
– Oui ?
– Bon anniversaire.
Je fronce les sourcils puis regarde ma montre, il est 6h00 du mat, on
est le 9 Juillet 1988, je viens d’avoir 18 ans…
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