Résumé des épisodes précédents: Michel et Claudine ont sauté le pas.
Il l’a un peu forcée au début mais maintenant qu’elle a connu l’extase avec son fils, elle en redemande.
La meilleure amie de Claudine, Patricia, a réussit la promesse qu’elle s’était faite, se faire sauter par l’énorme vit de Michel. Mais son fils les a surpris en pleine copulation et ça a fini un peu plus tard à trois.
Michel s’est occupé de la mère et du fils trop content, c’est un homo et il a toujours été attiré par Michel mais n’avait jamais osé avec lui car c’est un copain d’enfance.
Chapitre 10 : Patricia, Claudine et Michel.
Une semaine après les événements qui se sont déroulés chez Patricia, elle rend visite à Claudine.
Après les habituelles conversations entre femmes, Patricia dirige insidieusement la conversation sur la prestation de Michel.
-Tu sais que ton fils est bien foutu, j’ai fais des photos formidables avec lui et mes commanditaires ont été ravis. Ils ont pratiquement tout gardé et m’ont fait un beau chèque.
Au fait, je ne t’avais pas dit sur quelle collection je travaillais, c’était sur des sous-vêtements.
-Mais il y a eu quelques problèmes quand on en est arrivé aux strings, ton fils est tellement bien membré qu’il a fait exploser certains modèles, il y en a même quelques-uns qu’il n’a pas pu passer tellement il a de gros attributs.
-Un modèle lui étranglait tellement la verge qu’elle est devenue aussitôt congestionnée de sang et droite comme un I.
-Quand j’ai vu cette hampe magnifique avec ce champignon à l’extrémité, je n’ai pu résister et comme toi l’autre jour dans ma chambre d’ami, je me suis précipitée pour lui rendre les hommages dus à un tel bélier mais je n’ai pu en goûter que la gueule tellement elle est grosse.
Claudine a le souffle coupé par les révélations de Patricia et met un long moment avant de réagir à ces propos grivois.
-Mais ! Qu’est-ce que tu me dis ? Tu ne t’es quand même pas taper mon fils ?
-Oh que si et je ne regrette rien, c’est un sacré bon coup. Hormis son sexe hors-norme, c’est aussi un partenaire sexuel de première. Et je crois que tu le sais aussi bien que moi. Il m’a tout raconté pour vous deux et vos amours i****tueuses.
-Mon dieu, quel grosse queue il a ! Je me souviens du petit zizi qu’il avait quand, vers dix-onze ans, je le douchais avec mon fils un jour qu’ils étaient revenus complètement crottés.
Comment est-ce possible qu’il soit devenu ce jeune homme membré comme un cheval !
Je ne me serais jamais douté que l’adolescent qui dormait si souvent chez moi aurait un jour un pénis deux fois plus gros que celui de mon mari…
Claudine devient tout rouge et ne voit pas quoi répondre. Comment peut-elle reprocher à son amie de s’être taper un jeunot alors qu’elle-même, sa propre mère n’a pu résister.
Et le pire, c’est qu’elle ne regrette rien et que s’il rentrait à l’instant dans la pièce et voulait lui faire l’amour, elle dirait oui sans hésiter.
Petit à petit, elle accepte ce qu’elle vient d’apprendre et la conversation dé**** sur Michel.
Chacune s’enhardissant, y allant de détails de plus en plus croustillants et des exploits et performances sexuels réalisés pendant leurs copulations.
Claudine interroge Patricia.
-Tu reste à déjeuner ? Michel ne va pas tarder à rentrer!
-J’accepte volontiers !
Michel vient d’arriver et fait la bise à sa mère et à Patricia. Mais elle l’embrasse à pleine bouche, sa langue s’activant pour passer entre ses lèvres.
Michel a un geste de recul regardant en coin sa mère mais Patricia insiste avant de le libérer et le rassure en lui confiant.
-J’ai tout avoué à ta mère, elle sait pour notre partie de jambes en l’air !
Michel ne sait plus ou se mettre, abasourdit par la révélation de Patricia. Il n’ose plus regarder sa mère qui le rassure.
-Ne te mets pas dans un tel état, j’ai été aussi surprise que toi quand elle m’a avoué ce que vous avez fait mais qui suis-je pour te faire la leçon ayant moi aussi cédée à ma libido avec toi !
-J’ai réalisé avec toi mes fantasmes les plus pervers, et le problème maintenant c’est que je ne peux plus m’en passer, je dois être un peu folle car je ne pense qu’à recommencer à chaque fois que je te vois.
Michel vient de réaliser l’emprise qu’il a sur ces deux femmes quadragénaires. Il suffit qu’il claque des doigts et elles feront tout ce qu’il demandera.
Une idée vient de germer dans la tête de Michel, pourquoi-pas avec les deux en même temps ???
Pendant le repas Patricia n’arrête pas de l’aguicher. Sous la table, elle a tendu la jambe et frotte son pied dénudé dans l’entrejambe de Michel. Elle sent sous la plante de son pied la bosse qui commence à déformer son pantalon.
Claudine s’est levée pour aller chercher le dessert, Patricia fait exprès de laisser tomber sa cuillère sous la table et se glisse sous la table pour la récupérer.
Mais soudain Michel sent une main qui est en train de baisser la fermeture éclair de son jean, Patricia glisse la main dans son pantalon et en retire avec difficulté la verge qui a pris de la vigueur.
Elle enfourne entre ses lèvres presque les deux tiers de son pieu mais sous sa fellation experte, il continue sa croissance et repousse sa bouche qui ne peut s’opposer à la taille phénoménale atteinte par son sexe.
Michel voit revenir sa mère qui se rassoit à coté de lui, il essaie de rester stoïque sous les assauts de cette bouche-four et quand sa mère lui demande ou est passé Patricia, il fait l’ignorant.
Claudine remarque le comportement bizarre de Michel qui se tortille sur sa chaise.
Prise d’un pressentiment, elle se penche et regarde sous la table.
Ses yeux lui sortent de la tête quand elle voit Patricia en pleine fellation, elle a les deux mains sur le chibre de Michel pour limiter la pénétration dans sa bouche qui va et vient sur la hampe sans fin.
Patricia l’a vue, elle interrompt son travail pour lui lancer.
-Sacré sucre d’orge hein ? Mais on sera beaucoup mieux pour continuer sur un lit !
Et elle se redresse, dit à Michel de se lever et saisit sa verge avec une main ferme pour l’entraîner dans sa chambre. Sa pine dans l’étau des doigts de Patricia, il la suit observant sa mère.
Elle est comme figée par le culot de Patricia puis décide de les suivre.
A peine arrivée dans la chambre, Patricia déshabille Michel, en un rien de temps, il se retrouve nu comme un vers, la bite à l’horizontale devant les deux femmes.
Patricia s’adresse à Claudine et lui ordonne.
-A toi l’honneur !
Claudine hésite, elle n’a jamais fait ça devant un public. Mais la vue du phallus dressé de son fils envoie aux orties ses dernières inhibitions.
Elle lui glisse à l’oreille, « Il faut que je te suce, j’ai trop envie de goûter encore à ton énorme bite ! »
Elle se met à genoux devant lui, comme pour une prière, le regarde dans les yeux.
Elle saisit le mandrin massif avec les deux mains et elle dirige le sexe vers sa bouche, le lèche et joue avec, l’embrasse, le mordille… Elle adore sa grosse bite.
Son phallus dépasse largement de sa main, il dépasse même de ses deux mains !
Elle embouche son énorme gland, il est chaud et doux.
Elle a empoigné sa verge bien dure et suce doucement ce monstre avant de le retirer complètement, un sourire en coin en regardant son fils.
Patricia vient prendre place à coté d’elle et redirige la tige pharaonique vers sa bouche, elle le suce en le regardant droit dans les yeux.
Patricia est stupéfaite, contrairement à elle, Claudine dans une gorge profonde incroyable a pratiquement avalé la totalité de la teub de son fils avant de commencer à s’activer comme une folle sur son bâton enduit de salive.
-Oh Maman tu es la reine des suceuses, Patricia, maman est une surdouée de la pipe, il va falloir que tu te surpasses pour la battre.
Patricia lui rétorque.
– Tu ne sais pas de quoi je suis capable mon chéri !
Joignant le geste à la parole elle s’agenouille à coté de Claudine à qui elle subtilise le gourdin de chair et le prend en bouche.
Michel est aux anges, Patricia la meilleure copine de sa mère le suce, alors qu’elle a la bouche bien remplie par l’énorme bite, sa maman commence à lécher les boules gonflées.
Son fantasme est en train de se réaliser ! Il va baiser sa mère et sa meilleure copine.
Elles changent régulièrement, le pompant furieusement l’une et l’autre.
Elles se mettent à le sucer et le lécher ensemble. Patricia s’agenouille devant l’offrande majestueuse et ses lèvres se resserrent sur son manche et glissent le plus loin qu’elles peuvent.
Son boutefeu n’a pas quitté une bouche qu’il se renfonce dans l’autre, mais le contraste est saisissant entre Patricia qui n’arrive pas à en avaler plus des deux tiers en forçant alors que Claudine arrive à plonger son nez dans les poils pubiens de son fils qui les supplie.
-Continuez, surtout n’arrêtez pas, c’est divin ! Mais à ce rythme là, je ne vais pas pouvoir résister bien longtemps ! Merde que c’est bonnnnn !!! Mais je veux voir vos seins !
Alternativement, elles enlèvent le haut pendant que l’autre entretien l’érection dantesque de Michel.
Ses yeux se posent sur les charmes étourdissants exposés sans aucun complexe devant lui.
Les globes massifs de sa mère pointent fièrement en avant comme deux obus d’albâtre aux mamelons très foncés, fièrement dressés au centre des aréoles très larges.
Ses yeux quittent ces gros nichons fermes, lourds pour se poser sur la poitrine menue de Patricia aux seins comme de gros pamplemousses bien fermes avec de petits tétins.
Une de ses mains se pose sur chaque poitrine et commence à masser les globes si différents. Il est stupéfait de la différence entre la fermeté de l’une et la grande élasticité de l’autre.
Les mamelons durs et pointus deviennent vivants sous ses doigts.
Elles gémissent doucement sous ses caresses.
Ces femmes d’âge mûr le rendent fou avec leurs bouches et leurs mains.
– Mon Dieu ! murmure-t-il involontairement, je suis en plein rêve !
Elles l’engloutissent tour à tour et il sent monter la jouissance et s’écrie.
-Bordel, ça y est, je vais cracher !!!!
Claudine ne veut pas lâcher sa verge et l’enfonce au fond de sa gorge ou il explose instantanément.
Elle étouffe sous le flot de jus bien épais et expulse sa grosse lance pour reprendre sa respiration.
Patricia n’attend pas pour aussitôt enfourner à son tour son gros bâton crémeux et recevoir son nectar avant qu’elle aussi, la bouche pleine, elle le retire de ses lèvres.
Le sperme continue de s’éjecter en longs jets du méat et dégouline sur leurs visages.
Elles se regardent dans les yeux puis tombent dans les bras l’une de l’autre et s’embrassent goulûment avant de récupérer la moindre goutte à grands coups de langues.
Michel se rend compte du pouvoir qu’il a sur ces deux femelles et leur ordonne effrontément.
-Bon, les filles, c’est à mon tour, enlever vos culottes et couchez-vous sur le dos, les pieds sur le sol.
Dès qu’elles lui ont obéit, Michel se met à genoux entre les cuisses de sa mère et lui caresse doucement son sexe. Elle pousse un petit cri de plaisir écartant au maximum ses cuisses puissantes.
Il a sous son regard sa chatte. Une merveille ! Bien charnue avec des grandes lèvres épaisses et proéminentes séparant son sexe en deux quartiers d’orange sanguine, les petites lèvres sont roses et luisantes ouvertes sur sa grotte humide et sombre, il examine son clitoris de bonne taille, qui durcit comme un petit pénis.
Elle offre sa vulve devant la bouche de son fils qui est assez ignorant de ce qu’elle attend de lui.
Comprenant son hésitation, elle écarte avec ses deux mains sa vulve et vient l’appuyer sur les lèvres de Michel qui comprend soudain ce qu’elle désire. Maladroitement, il embrasse la chair tendre qu’il sent sur ses lèvres, puis s’enhardissant, il lèche l’intérieur du vagin, enfouissant sa langue dans les replis des grandes lèvres, arrachant un gémissement bref à sa mère.
– Oui ! Continue, lèche-moi, mordille un peu, mais vas-y doucement.
Sous ses encouragements, il ne se fait pas prier, excité par les chairs qui s’offrent à lui, le vagin laisse suinter sa cyprine odorante et elle gémit de plus en plus quand il mordille doucement les grandes lèvres et le capuchon du clitoris le plus délicatement possible.
Elle a des soubresauts, de plus en plus saccadés aux caresses linguales qui deviennent, de plus en plus adroites.
Soudain il change de place pour cette fois-ci découvrir la vulve bombée de Patricia, sa fente est minuscule par rapport à celle de sa mère, à peine plus de la moitié, les grandes lèvres sont serrées ne laissant rien voir de son fourreau et il faut qu’il écarte son abricot de ses mains pour découvrir cet antre minuscule qui a avalé sa pine il y a quelques jours.
Le sexe de la femme est heureusement très élastique, il entre deux doigts entre les grandes lèvres et titille son clitoris la faisant gigoter et s’ouvrir sous ses caresses.
De son autre main, il enfonce deux doigts dans le vagin trempée de sa mère, un mouvement rapide de va et vient anime ses mains dans ces deux chattes si différentes.
Il sent un liquide chaud poisser ses doigts et couler ses mains.
Elles gémissent de concert. Patricia s’est saisit de sa main pour s’en servir comme d’un gode obligeant ses doigts à entrer le plus profondément possible dans son vagin et à entreprendre des allers-retours de plus en plus rapides.
Patricia commente tout haut ce que lui fait subir Michel.
-Oouuiiii ! Goûte-moi, avale-moi… c’est si bon. N’arrête pas ! Continue, lèche-moi à fond, fais-moi couler ! Ta langue me lèche toute la chatte sans en oublier un recoin!
Elle écarte encore plus les cuisses pour que sa tête puisse aller encore plus prêt, donnant un coup de bassin pour venir encore plus à sa rencontre.
La queue de Michel est redevenue toute raide depuis déjà un moment. Mais à défaut de sa queue, il se serre de ses doigts qui les fouillent avec agilité et font des va-et-vient tantôt rapides, tantôt lents.
Elles sont au bord de la jouissance !
Mais, juste avant qu’elles n’y arrivent, il retire ses doigts.
Claudine écarte impudiquement ses cuisses et supplie Michel de revenir à la charge.
-Allez ! Maman a très envie que tu lui lèche la chatte, oh si j’avais su que tu savais si bien le faire je te l’aurais demandé bien plus tôt !
Michel change de sexe et se remet aussitôt à l’ouvrage excité par les paroles d’encouragement de sa mère.
-Oui, c’est ça, plus fort, suce-moi le clito, bois ma mouille, bouffe-moi la chatte, embrasse-la, lèche la, bouffe-là, tu sais y faire, mon bébé, haaaaaa, haaaaaaaaaaaaa. !
Il passe de plus en plus rapidement de l’une à l’autre, s’enfonçant le plus profondément possible entre leurs cuisses interrompant ses manœuvres quand il les sent prêtes à jouir.
Elles n’en peuvent plus, halètent comme des bébés. Il sent tous leurs muscles tendus à l’extrême ; elles vont jouir.
Il lèche, mord, suce encore si bien que sa mère a de multiples orgasmes presque ininterrompus sous l’effet de sa langue agile et insatiable. Dans un long râle profond elle déverse sur sa main un liquide abondant et chaud.
Il repasse entre les cuisses de Patricia et en quelques coups de langues adroits déclenche à nouveau un geyser de cyprine.
Il avait beau s’y attendre et avoir reculé vivement la tête, les jets d’une incroyable puissance lui noient le visage avant de s’élever dans les airs et de lui retomber dans le dos et couler sur ses fesses avant de finir au sol. Les deux femmes sont exsangues sur le lit et ne réagissent plus. Elles ont joui comme jamais.
Fier du devoir accompli il se relève, épuisé, la bouche et la gorge rassasié, maculé de leurs jus mêlés.
Mais les deux amantes en veulent plus. Elles se relèvent, se regardent d’un air complice, attirent Michel à son tour sur le lit et l’étendent sur le dos.
Patricia se met entre ses jambes et prend ses couilles à pleine bouche tenant son engin d’une main. Sa tête remonte jusqu’au gland qu’elle agace avec sa langue. Sa main monte et descend sur la hampe pour la rendre bien dur pendant qu’elle suce son gland. Il se laisse faire. Elle passe plusieurs fois le monumental gland sur ses lèvres et commence à le sucer, à l’enfoncer dans sa bouche, elle essaie comme une vraie malade d’en faire entrer le plus possible.
Mais il y en a trop.
Elle sent qu’il durcit encore, il a l’air d’apprécier. Elle l’enfonce dans sa gueule grande ouverte, en le branlant vigoureusement pendant que son autre main palpe son lourd paquet de couilles.
-Quelle masse de bite et de couilles tu as ! On pourrait se goinfrer à plusieurs là-dessus tellement t’es énorme !
Lui murmure Claudine regardant la scène.
Michel geint de plaisir. Patricia l’enjambe, tenant sa queue bien droite qu’elle frotte sur sa vulve, elle place sa chatte humide et incroyablement excitée au-dessus de la teub énorme, abaisse son bassin au-dessus de l’organe épais et s’empale dessus en poussant un haaann de plaisir, faisant jouer les muscles de sont vagin. Elle a passé une main dans son dos pour atteindre ses testicules et les malaxer.
-Oh putain, ma queue est prise dans un étau tellement ta chatte me serre, s’exclame Michel après le premier contact du gros gland avec sa chatte. Que c’est divin.
Il ne peut en dire plus, Claudine vient de se mettre face à Patricia et chevauche sa tête, écrasant sa vulve sur les lèvres de son fils. Il lui prend la chatte à pleine bouche ne s’occupant plus de Patricia en pleine séance de rodéo bien empalée sur son axe, elle ne peut pas interrompre sa chevauchée et reposer ses fesses sur les cuisses de Michel car elle n’arrive pas à l’introduire en totalité dans sa grotte d’amour.
Les deux femmes en profitent pour se caresser et s’embrasser à pleine bouche et sur des paroles qu’il ne comprend pas, assourdies par le fessier imposant qu’il a sur le visage, les deux femmes inversent leur place.
Michel sent la chatte de sa mère glisser le long de son phallus et ne s’arrêter que quand ses fesses écrase les burnes gonflées, Patricia comme à son habitude, est une vraie fontaine et noie la bouche sous un flot de cyprine.
Plusieurs fois de suite elles échangent leur place, ménageant Michel pour qu’il tienne le plus longtemps possible.
Patricia n’en peut plus de la bouche qui la broute et une énième fois se met à califourchon sur la verge énorme, écarte le plus possible sa vulve et s’introduit le membre si imposant.
Perdant toute prudence, elle s’assoit sur le gourdin, s’empalant sur la hampe épaisse qui repousse ses entrailles.
Elle a perdu la raison et laisse l’engin dévaster ses muqueuses criant de douleur, mais elle ne veut plus essayer de se retirer, trop épuisée par ce qu’elle est en train d’accomplir.
La queue de Michel pénètre inexorablement cette chair qui s’offre à lui, et soudain elle s’affale dans un cri inhumain, empalée jusqu’à la garde sur ce boutefeu qui envoie son foutre par saccades interminables au fond de sa grotte.
Elle hurle et sanglote d’un atroce mais merveilleux plaisir, son corps se contorsionne frénétiquement sur cet énorme pal. Son corps convulse, une jouissance phénoménale et continue de tout son corps supplicié par elle-même, jusqu’à l’évanouissement lâche des flots de cyprine qui se mélangent à l’abondante semence, et tel un lavement s’écoule entre leurs deux corps.
Elle s’écroule pantelante contre le corps de l’adolescent dans un gémissement à peine audible.
Michel se retire avec difficulté de cette chatte qui telle une sangsue continue à compresser sa verge et étend sur le lit avec douceur Patricia qui s’est évanouie de bonheur.
Claudine est un peu déçue car elle va devoir attendre pour elle aussi connaître le 7ème ciel, mais elle comprend vite son erreur en voyant le bélier toujours dressé
Soudain, Michel l’att**** par les hanches et la soulève comme une poupée la reposant face à lui assit au bord du lit. Il écarte ses jambes de chaque côté des siennes. Lui suce les tétons avec passion.
Il est devant elle, avec son pieu géant encore raide qui pointe en l’air. Elle ne peut détacher son regard de son gourdin totalement obnubilée par une seule chose, s’en emparer, le peser, le tâter, le branler, faire sortir cet énorme gland du prépuce, prendre sa queue de cheval dans ses mains, cette verge si énorme, si raide et frotter son sexe dur contre ses fesses.
Puis Michel la soulève à nouveau, Patricia qui vient de reprendre ses esprits prévient Claudine.
– Fais attention, ma chère, il a une queue d’âne !
Il éclate de rire.
Puis il fait redescendre lentement le corps de sa mère, l’empalant sur son énorme queue. Son corps se raidit sous l’envahissement de ce jonc titanesque, les parois vaginales se contractant autour de la formidable pine de son fils.
Il ne cesse ses allers retours de son sexe toujours dur. Cela fait une espèce de bruit de succion obscène et humide, elle est étonnée qu’il n’est pas débandé après ses deux jouissances rapprochées. Elle se sent chaude et mouillée à l’intérieur avant que sa chatte n’explose dans un formidable orgasme, faisant jaillir de la mouille autour de son mât massif.
Elle se colle contre sa poitrine, l’embrasse à pleine bouche, ses seins aux bouts très gros et très sensibles s’écrasent sur son torse.
Claudine ressent toujours la présence de ce boutefeu en elle et essaie de le faire ressortir, avant de le remboîter bien en elle.
Elle repense à mon mari, à son sexe ridicule comparé à celui de Michel qui se recroquevillait comme un escargot dans sa coquille après l’acte qui ne durait que quelques minutes.
Elle contracte ses muscles vaginaux compressant son gland abouté au col de l’utérus à chaque pénétration.
Il essaie de bouger, mais sa position le prive de la conduite de l’amour alors il la couche sur le côté lui soulevant une jambe et il entreprend un pilonnage dément la pénétrant en force. Il la baise mécaniquement à grands coups de reins, avec une régularité de métronome.
Le troisième chargement de sperme jaillit hors de sa bite. Michel se répand à l’intérieur de sa mère, elle le sent gicler puissamment, inondant les profondeurs de sa grotte, son utérus est noyé sous un chargement chaud et libérateur de liquide séminal.
Elle relâche ses muscles épuisés autour du manche juteux, l’aidant à se vider complètement les burnes jusqu’à la dernière goutte dans son ventre.
Claudine n’a même plus le sentiment de culpabilité, ni honte ni dégoût ne viennent à son esprit depuis qu’elle a succombé pour la première fois son propre fils.
Elle l’implorerait plutôt pour qu’il la tringle. Elle sera toujours prête à soulager son propre fils à chaque fois qu’il bande et que son énorme chibre cherche un sexe accueillant ……
Michel vient de se retirer de la chatte en feu qui se vide du surplus de sa semence. Il débande enfin mais sa bite reste toujours aussi imposante même au repos. Il prend la parole.
-Les filles, vous m’avez vidé les burnes, si vous voulez encore jouer avec mon engin, il va falloir que je recharge un peu les accus et que je reprenne des forces. Voue êtes d’accord pour qu’on reprenne ça dans la soirée ?
Les deux femmes se demandent comment elles vont pouvoir attendre jusqu’à ce soir pour goûter à nouveau au plaisir.
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