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Clémence Thermet aime la pisse

Clémence Thermet aime la pisse



Je m’appelle Clémence Thermet et j’adore l’uro et tous les jeux autour de la pisse, qu’on l’appelle or liquide ou champagne. J’ai découvert l’uro quand j’avais 20 ans, toujours avec Carlos Luis, mon pygmalion en matière de sexe. Il m’a tout fait découvrir, et moi qui étais une petite bourgeoise coincée de par mon éducation et mon milieu social, j’ai appris bien vite entre ses bras à me transformer en une jeune salope avide de plaisirs, avant de me révéler en tant que pute.

Mes parents m’ont toujours tout donné, même si leur présence n’était pas leur fort, occupés qu’ils étaients à leur métier, ingénieur pour mon père, céramiste pour ma mère (enfin elle se dit artiste). On peut dire qu’ils se sont occupé de moi, même si je me suis souvent sentie seule et un peu délaissée. Mon père en particulier préférait toujours mes soeurs à moi, et j’en nourissait une vraie souffrance et un peu de rancoeur. J’étais à ses yeux soit trop grande, soit trop musclée (« comme un mec » me disait-il souvent), soit trop maigre. Je m’était jetée à corps perdu dans les compétitions de gymnastique dans mon club à Houdan, proche du village où je suis née. J’ai fait souffrir mon corps pour qu’il fasse des merveilles qui émerveilleraient mon père ou éveilleraient la curiosité de ma mère.

Malheureusement, rien de tout cela n’arriva. J’avais démarré trop tard, beaucoup trop alors qu’il faut démarrer petite fille et dans ma quête pour briller, j’en avais oublié à quel point les compétitions de gymnastiques sont terribles pour le corps et l’esprit. Pire, je faisais beaucoup de barres, et j’ai commencé à développer les muscles du haut de mon corps. Mon père, qui d’ordinaire n’était pas très flatteur, trouvait là un terrain de jeu rêvé, et m’appelait son « grand mec bien costaud » au fur et à mesure qua ma carrure se développait et que ma poitrine diminuait.

Mon coeur saignait et j’en nourissait un véritable complexe, fait de rage, de colère contre moi-même, de frustration, de douleur et souffrance. Je me demandais même si je ne serais pas mieux en lesbienne, au moins on m’aurait donné un role à ma mesure. Il y a toujours des filles qui arrivent à trouver du charme à une fille masculine alors pourquoi pas? J’en étais là et je me sentais délaissée. Et puis un jour, je suis tombée sur Carlos.

Un mec sympa, plus agé que moi (j’en avais seulement 20!) qui avait l’air d ebien mener sa barque. Il était libertin depuis plusieurs années et avait beaucoup d’expérience en matière de sexe. Je ne sais pas ce qui l’a attiré chez moi, mais il a su deviner dans les tréfonds de mon ame de quoi j’étais faite, quelles souffrances allaient sculpter ma sexualité avec lui, comme un artiste (un vrai, pas comme ma mère!) ciselant son modèle à ses volontés.

Ce fut lors d’une soirée entre amis qu’il me mit le grappin dessus, mais avec lui tout semblait facile et naturel. Je n’ai pas compris comment je me suis retrouvée à l’étage chez ses amis dans une chambre à le sucer, moi qui étais d’orinaire très timide et réservée. J’avais envie d’un homme, j’avais envie qu’un ainé s’occupe de moi, et je voulais m’ouvrir à la sexualité, quelque chose chez lui sentait tout cela à la fois. Alors je m’en suis remise à lui sans résister, en me laissant guider dans une pente que je n’imaginais pas si glissante.

Dès cette première nuit, il m’a retourné les sens et m’a fait ce que lui voulait. Je me sentais tellement bien que je me laissais entraîner en toute confiance. C’est le premier homme que je prenais sans capote, le premier qui a éjaculé dans moi mais j’avais confiance en lui. Je l’ai laissé me prendre à cru, sa muqueuse contre la mienne, et j’ai pris un pied monstrueux à le sentir s’activer à l’intérieur de moi, comme si c’étais la première fois. Tant de sensations nouvelles! Ainsi donc c’était ça sans capote! J’en suis devenue accro instantanément, au point que ce qui était dans mon esprit un petit coup vite fait se transforma en nuit de baise avec une petite salope d’apprentie ingénieur en rut!

J’étais assoiffée de sa bite, qu’il utilisait avec douceur ou comme outil de punition, sachant me caresser de l’intérieur comme une princess ou m’éclater la chatte comme on le fait à une pute sous crack. Il était endurant comme pas possible, bien pourvu par la nature et incroyablement dur même après une soirée à la beuh. Il m’a eclatée comme on cherche à démolir une cloison dans le bâtiment, en y mettant toute sa force pour cogner de plus fort possible en tranversant la paroi pour passer à travers. Bien souvent je crus qu’il m’avait déchiré la matrice tant je hurlais de douleur tout au fond à chaque coup de reins qu’il savait rendre hargneux et incroyablement pervers. Il savait que j’aimais ça!

Je ne demandais que ça et plus on baisait, plus j’en voulais, il me fallait ma ration, mon speed, mon sniff, ma drogue sauf que pour moi ma drogue c’était sa bite. Il m’a faite tourner auprès de ses potes tellement mon appétit devenait gargantuesque, et c’était des minibus de potes qui débarquaient le week end chez lui pour se « taper la petite pute bourgeoise ». Mes études n’avaient plus d’importance, seuls comptaient les heures que je comptais avant de me faire mettre comme une chienne. Une heure de la fin, je coulais sur ma chaise, dix minutes de la fin ma chatte se contractait déjà dans l’attente de la dévastation qui s’annonçait.

Et ça n’y coupait pas. Je faisait ma timide au début, puis dès les premiers doigtages je devenais une vraie chienne, au regard provocateur, rien à voir avec la jeune fille un peu coincée que j’étais quelques mois auparavant seulement. Jamais mes copines de classe du lycée de la Queue (lol) les Yvelines n’auraient pu me reconnaître. J’étais devenue une dépravée, une serpillère à foutre, une junkie du sexe, une accro à la baise brutale et a****le. Carlos m’a même livrée en pature aux mecs de ma classe qui se sont fait un bonheur de me détruire ensuite par ma réputation. Mais le moment était mémorable, les mecs n’en revenaient pas de ce que je pouvais prendre encore et encore pendant des heures jusqu’à assécher toutes les bites de l’amphi.

Mes seins grossisaient à force d’orgasmes, ma cambrure se marquait à force de position obscènes, ma bouche s’élargissaient à force de bites, mes fesses s’arrondissaient au gré des claques généreuses qu’on me mettait à chaque orgie. Je devenais une vraie femme ! Meme mon père trouvais que je me féminisais pour son plus grand plaisir, mais je n’en avais plus rien à foutre. « Si tu savais Papa par quoi je suis passée pour en arriver là, tu ne regarderais plus ta fille comme ça », je pensais à l’intérieur de ma tête. « Tu voudrais même te la faire je suis sûre » je me disais en guise de revanche.

Mais aussi intenses qu’étaient mes sécances de chienne, je finissais par m’y habituer, mon seuil d’excitation retombait et ce n’était quà la dixième queue que je commençais à me mettre en route, sans compter la réputation que je me faisais là où j’étudiais ainsi qu’en soirées étudiantes. J’étais de nouveau en manque et un régiment de soudards n’auraient pas suffi pour me rassasier.

C’est alors qu’un jour ou il m’avait prise plus longtemps que d’habitude, Carlos resta en moi au lieu de se retirer. D’accord, c’était une bonne sensation mais que voulait-il ? Je le sus dans la seconde qui suivit. D’abord une tiédeur humide dans ma chatte, puis juste après la sensation qu’elle gonflait, gonflait, gonflait, avec qu’elle ne vomisse… la pisse de Carlos! Il m’avait pissé dans la chatte ! Sans me le dire! Mon coeur fit un bond dans ma poitrine, puis il cogna très fort au fur et à mesure que l’odeur de son déchet liquide me parvenait à mes narines.

L’interdit, la saleté, le tabou et en même temps son bonheur à lui! Il marquait son territoire comme un chien marque le sien, il marquait sa chienne de son odeur, de sa pisse, il faisait de moi sa possession. Sans respect, il me disait ce que j’étais. Sa chienne, sa salope à pisse, sa propriété. Il me pissait dedans pour dire que ma chatte était sa propriété, qu’elle ne m’appartenait meme plus, elle était à lui et uniquement à lui.

Puis ça recommença à gonfler dans mon ventre, avant de se vider sur les drap. Et ça recommençait encore et encore. Mon coeur battait à tout rompre, partagée en bonheur honteux et humiliation totale, j’avais l’impression de franchir une frontière interdite. Et j’aimais ça! J’aimais qu’il m’utilise comme un urinoir, j’aimais qu’il me marque de son odeur, j’aimais qu’il souille ma chatte de son liquide jaunatre! Je me donnais à lui totalement, je le laissais dipsoser de ma chatte comme d’une pissotière,je devenais son outre à pisse.

Puis une giclée plus volumineuse dans ma chatte, mon coeur battant comme un fou, mes tempes complètements affolées, et une contraction plus violente qui me fit partir comme une bête dans un orgasme sale, un cri de bête, et des spasmes d’exorcisme, c’était trop pour moi! Tout se mélangeait dans ma tête, le plaisir, la honte, l’humiliation, la soumission, le dégoût mais le plaisir et quel plaisir! La jouissance le plus intense que j’avais connue jusqu’alors, un orgasme terrifiant qui me faisait tordre de douleur, et ma propre vessie qui s’y mettait elle aussi à balancer ma pisse à chaque spasme d’orgasme!

Je venais de franchir un palier, celui des interdits, que Carlos a fini par lever un par un, maintenant que le plus dur était fait.Il veanit de me révéler ce que j’étais, une véritable pute qui ne trouvait son plaisir que dans la décadence la plus vile, la plus sale et la plus inavouable, décuplant mon plaisir à force de nouveauté toutes plus sordides les unes que les autres.

Il me fit avaler sa pisse sans en laisser tomber une à terre,toute sa vessie se vida dans mon estomac. Il me fit boire la mienne au goût douceatre et écoeurant alors que la sienne sentait bon le musc et la bite. Il recouvrit mon corps de son liquide doré et légèrement gras sur la peau, à l’odeur tenace surtout quand il m’arrosait avant que je parte à mes cours sans me laver. Je puais la pisse de mâle toute la journée dans l’amphi, et mes potes savaient très exactement ce qui s’était passé pour que je sente à ce point la femelle à la pisse.

Il m’a fait boire la pisse de ses amis, toutes au goût différent, jusu’au vomissement. Il avait pour cela disposé sur la mezzanine un bidon de 10 litres que ses amsi ont rempli au cours de la soirée après plusieurs bières, on se serait cru à la fête de la bière à Munich. Quand il fut à moitié rempli, il m’a fait prendre le tuyau qui en ressortait par le dessous pour me le mettre dans la bouche et il a enlevé le bouchon avant de me planter le tuyau dans la gorge. J’étais obligée d’avaler et ses potes me tenaient à cause des mouvements que je faisais tellement je croyais m’étouffer. je n’en pouvais plus, je vomissais leur pisse, mais la plus grande partie restait dans mon ventre, qui gonflait à vue d’oeil, on aurait dit que j’étais enceinte!

Une autre fois, il m’encula en levrette après avoir bu plusieurs bières et ne jouit pas. Il se contentait de rester dedans, puis il se soulagea dans mon cul. Fermement installé, il me fit basculer tête contre le matelas pour que mon ventre descende et que sa pisse descende dans mes intestins en me massant le ventre pour que ça rentre loin. Il m’a pissé dedans pendant de longues minutes et mon abdomen gonflait atrocement sous la pression de sa pisse qui envahissait tout mon colon, ça ressortait parfois par mon anus tellement c’était sous pression là dedans! je me sentais tiède à l’intérieur de mon ventre jusqu’au niveau de mon coeur, j’avais l’impression que ça allait ressortir par ma bouche!

Et à chaque fois, je jouissais comme une malade, comme une tarée du sexe, à chaque fois qu’il me souillait avec sa pisse, ça me faisait jouir et ça n’en finissait jamais. Jamais je n’ai été déçue et ça continue encore aujourd’hui, c’est l’une des seules choses qui me procure autant d’orgasmes et je ne m’en lasse jamais. Grace à lui j’ai découvert ce qui reste l’un de mes plus grands plaisirs de salope. Oui je l’avoue, moi Clémence Thermet, j’aime la pisse et je le dis !

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