Ce week end, mon mari et moi sommes allés faire du sport.
Quelques kilomètres de VTT nous ont fait le plus grand bien.
Enfin, mon mari a souffert.
Il l’avait bien mérité après tout : sa performance sexuel de la veille m’a déçue, très décue. Sa langue était délicate et vigoureuse à souhait et j’ai joui plusieurs fois de ses léchages assidus dictés par mes instructions.
Par contre, une fois libérée de son habituel étui de chasteté, sa petite bite a tressauté comme un guignol à ressort enfermé dans sa boite. Flétrie d’abord puis vigoureuse. Il s’est branlé, après mon autorisation, comme un damné sur le catalogue de vente par correspondance Damart, à la page indiquée : gaine de maintien.
Dans les 3 minutes imparties, il n’a pas réussi à cracher la moindre goutte !
Pire ! Son gland devenait mou au bout de 2 minutes.
Il faut dire que depuis quelques mois sa petite bite manque d’exercice (17 mois et 17 jours exactement) ! Une fois par mois, 3 minutes. J’ai peut être exagéré son sevrage…
Enfin ma décision est irrévocable.
Je le regardais donc avachie sur notre lit conjugal, le clitoris encore tout rutilant, ma chatte nettoyée de sa ciprine. Il avait pris sa position désormais habituelle pour sa traite mensuelle : accroupi en face de moi, je m’étais tourné sur le côté pour le libérer de son petit étui et avais sorti le catalogue tout amidonné de sperme de ma table de chevet. Si une éjaculation se produisait, il devait aussitôt nettoyer les pages de sa langue, pour éviter d’abimer ses albums.
Je repense parfois au jour où je l’avais surpris à sa palucher comme un adolescent sur un site porno d’internet, des filles chaudes comme la braise en latex sucer des queues violacées.
C’est certain, Il avait eu du mal à se faire aux catalogues de septuagénaires souriantes présentées en pantalon tergal, en robe à fleurs !!!
Les débuts avaient été très amusants, il n’arrivait pas à jouir alors que je lui laissais à l’époque un bon ¼ d’heure.
Il fallait le voir s’astiquer et essayer de se concentrer sur les photos de femmes plus que mûres en robe en stretch à rayures ou en pantalon à pince spécial ventre plat !!
Puis avec le sevrage, c’est venu vite.
Comme le chien de Pavlov, il avait associé ce moment de branlette devant ces catalogues à son moment de jouissance.
J’ai diminué le temps des séances régulièrement. Il jouissait de plus en plus fort, des quantités importantes de sperme giclaient partout sur les pages. Evidemment : la traite ne se faisait qu’une fois par mois, après s’être occupé de me faire jouir (obligation) tous les 2 ou 3 jours.
Avec le temps son catalogue est devenu le temple de l’excitation. Il faut le voir maintenant admirer les soutiens gorges minimiseurs bonnet G avec bretelles élargies et agrafage renforcé, les maxi culottes grand maintien en nylon. Les dessous de robe n’ont plus de secret pour lui…
Aujourd’hui la page que j’avais choisie, déjà bien tachée,présentait des belles femmes âgées aux corps généreux ‘sculptés’ par toute une panoplie de gaines à plastron ou de combinés avec armatures et baleines. Il était très excité quand j’ai retourné le sablier taré sur 3 minutes (oui le même temps que pour faire cuire un œuf à la coque) et puis patatra sa bite toute gonflée, dégoulinante d’excitation frottant les pages glacées s’était ratatinée.
Peut être est ce du à la punition du mois dernier ? Il avait fait un faux pli sur un de mes chemisiers en le repassant, j’étais furax et après l’avoir cravaché comme il se doit, je l’avais du coup exempté de branlette.
Le plus dur (si j’ose dire) c’est de remettre son étui, des que j’annonce que la partie est finie. Il veut toujours essayer encore et encore.
Vous savez ce que c’est les hommes, toujours à se surestimer !
Mais il doit respecter la règle pour ne pas se voir être sevré de 30 jours supplémentaires.
30 jours sans jouir. Ca lui sape le moral.
A lui, pas à moi.
Je sais que plus grand sera son besoin d’a****l en rut, plus grande seront sa soumission et son attention.
Quand je dis que je suis déçue, c’est plutôt que je suis surprise, qu’après être sevré 2 mois, ce porc devient impuissant ! Ca n’était pas prévu.
Je vais vous faire une confidence.
Mon but ultime de mon expérience inavoué est d’arriver à ce qu’il explose en mois d’une minute chrono. Ou mieux : que le fait d’ouvrir la cage au petit oiseau, ou de lui mettre le fameux catalogue sous les yeux, mon petit mari est une mini éjaculation non contrôlée. Sans jouissance. Honteuse. Comme un petit enfant qui fait pipi dans son slip.
Un éjaculateur précoce.
Plus besoin d’ouvrir sa cage. Une simple caresse d’une de mes culottes sur son visage suffirait à provoquer des mini contractions de sa bite raccarnie. Quelques gouttes de sperme dégoulineraient de son étui pour couler sur ses cuisses ou tâcher son slip puis son pantalon ou une de mes culottes qu’il porte quelquefois.
Je suis cruelle penseront certains hommes. Non ! Son plaisir doit désormais résider dans le fait de ME donner du plaisir comme je l’entends.
Mais je ne vous ai pas raconté notre sortie vélo. Et là je n’ai pas été déçue.
Mais j’attends vos commentaires savoir si les tribulations de ce qui fut mon homme intéresse quelqu’un….et qui sait cela peut donner des idées aux femmes !
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