A chaque fois que Noémie, la copine de maman, vient à la maison je m’arrange pour être là, j’aime sa façon de marcher, de parler, de sourire, et surtout sa façon de s’assoir… maman gênée, car elle voit que j’essaie de mater ses cuisses, et spécialement entre… un peu coincée sexuellement , je m’en suis rendu compte plus tard , fait des signes désespérés a Noémie afin d’attirer son attention sans pouvoir dire clairement – ‘resserre tes genoux mon fils mate entre tes cuisses’ !
Quel trésor dissimule-t-elle au sommet de cette fourche secrète ? à dix-sept ans on se pose beaucoup de questions, j’ai bien ent****rçu la foufoune de Lili ma copine mais jamais je n’ai osé lui demander si je pouvais regarder de près cette fente mystérieuse entourée de duvet soyeux, est-ce la même chez une femme de trente-deux ans ? et cette poitrine généreuse que le soutient gorge pousse vers le haut, rien à voir avec les nichons menus de mon amie ! frotter mes joues et mon nez sur ces mamelons, respirer a plein poumons son parfum naturelle de femme, ça y est, je bande …
Bref, je suis amoureux de Noémie ! je pense qu’elle n’est pas dupe, mes mimiques et mes regards langoureux parlent pour moi, elle s’en amuse sans toutefois de moquer, la barrière des âges me parait insurmontable, quel stratagème pourrais-je inventer pour la séduire ? j’y réfléchis souvent le soir entre mes draps, je décalotte ma queue raide imaginant que c’est la main fine de Noémie qui va me masturber pour avaler ma semence généreuse
Et puis un samedi matin le téléphone sonne à la maison …
– Noémie ? que t’arrive-t-il ? ton chaton ? hé non Bernard n’est pas là …Léo ? tu crois qu’il peut monter à un arbre ? appelle plutôt les pompiers…
– Qu’y a-t-il maman ?
– C’est Noémie, son chat est dans un arbre depuis hier soir et il ne peut pas redescendre, elle ne sait a qui demander
– Mais je peux parfaitement monter à un arbre voyons !
– Tu crois ?? attend Noémie …tu es sûr chéri ? tu ne vas pas te casser le cou ?
– Je suis monté dans de grands arbres plus souvent que tu ne le crois maman !
– Mon fils est fou !
– Dit lui que j’arrive dans cinq minutes
– Mais attend voyons … Noémie ? Léo est déjà parti, il va arriver, quelle jeunesse inconsciente … oui je sais, il est très serviable, tiens moi au courant, a plus ma grande !
Sur mon scooter à fond les manettes mon cœur va exploser, il faut absolument que je sauve son chaton ! …. Merci Léo chéri que puis-je faire pour te remercier ? – montre-moi ton chaton ? – mais Léo tu viens juste de le récupérer ?- je parle de celui qui est là entre tes cuisses ! – grand fou, suit moi dans la chambre ….je rêve mais je donnerai cher pour que ça se passe ainsi… ou presque !
– Aah Léo merci d’être venu je suis morte d’inquiétude, le pauvre a****l miaule depuis ce matin
– Je suis là Noémie, ça va aller, montre-moi l’arbre ?
– Là, au fond du jardin
– Tu as un petit sac de toile ou autre ?
– Pour quoi faire ?
– Je le mettrais dedans ensuite entre mes dents pour redescendre
– Tu es vachement astucieux dit donc ! fait attention surtout, s’il t’arrivait quelque chose ta mère me fusillerait !
– T’inquiète… c’est parti !
Ce maudit chat s’est aventuré sur une petite branche qui ne supporterait pas mon poids … je suis à moins d’un mètre, je tends le bras…
– Minou- minou ….…vient sale chat ! avance un peu tu ne crains rien … oouuuui avance encore ! je vais baiser ta maitresse si tu obéis ! CA Y EST Noémie ! je l’ai !
– Bravo Léo ! fait très attention en descendant
– Voilà ton chaton, il a le poil très soyeux dit donc
– J’en prends très soin
– Tu le lave tous les jours ?
– Tu sais bien qu’un chat n’aime pas l’eau voyons !
– Ah ? ton p’tit chat ne sent pas mauvais ??
– Mais ? … de quoi parles-tu ? … non ? ne me dit pas que … petit gredin si ta mère savait ça ?
– Elle n’est pas là
– Tu es plus blagueur que je ne l’imaginais, tu sauras que mon chat … intime, est très bien entretenu, je le lave et l’épile tous les jours celui là
– C’est vrai ?
– Tu ne me crois pas ? … aaaaahhhh je te vois venir, tu aimerais bien que je te le montre ?
– Ce serait une immense récompense pour mon acte héroïque !
– Vantard, en même temps je tiens à scoubidou comme à la prunelle de mes yeux … suit moi Léo, je vais mettre le chaton dans sa panière … voilà … maintenant tu ne bouges pas d’un millimètre compris ?
– Compris …
Là, sous mes yeux ahuris Noémie relève lentement le bas de sa robe …mis cuisses, je connais déjà … voilà le renflement du string … et ça monte encore, ça monte aussi dans mon slip … la femme hésite, elle devient rouge pivoine et stoppe soudain sa progression et relâche le vêtement
– Non Léo ce n’est pas possible … tu es trop jeune … et ta mère ? tu penses a ta mère ?
– Merde pour ma mère ! et celui-là dans ma culotte il est trop jeune ? regarde comme il est tendu …
– Je vois … jure moi que tu ne le répéteras a personne ?
– Juré craché, que je meure si je trahis ce secret !
– Alors voilà… je recommence, coince ma robe et… baisse ma petite culotte … Ooooohhh excuse-moi elle est tachée …
– Tu as fait pipi ?
– Non, c’est toi qui m’excite, tu vois j’ai les poils mouillés
– C’est ce qu’il y a sous les poils qui m’intéresse
– Noémie ? NOÉMIE ? tu es là ? tu as récupéré ton chat ?
– Zut, mon voisin, désolée Léo tu dois partir vite
– Tu sais que je viens de décharger dans mon slip ?
– Navrée ce n’est pas ma faute
– Si justement ! nous nous reverrons ?
– Je ne sais pas … surement chez toi demain …
La queue baignant dans mon jus je rentre à la maison terriblement déçu, maman m’accueille avec soulagement
– Déjà ? ça c’est bien passé ? tu as sauvé le chat ?
– Je ne suis pas un Mikey !
– Tu as taché ton pantalon ? tu me le donneras à laver ?
– Oui-oui plus tard, lâche moi la grappe !
– Non mais dit donc ? soit respectueux avec ta mère
– désolé … je suis sur les nerfs
Le lendemain maman m’appelle …
– Léo ? c’est Noémie au téléphone
– Elle a encore égaré sont chat ?
– J’crois pas, elle veut te parler, il parait que son chat te cherche partout dans la maison, elle dit qu’il a besoin de tes caresses
– Allo ? Noémie ?
– Excuse-moi pour hier la venue du voisin n’était pas préméditée, je peux te parler en privé ?
– Tu peux nous laisser maman ? c’est personnel
– Ma copine n’as pas de secrets pour moi
– Casse-toi j’te dis … tu peux parler Noémie, je suis seul…
– J’ai une dette envers toi et je tiens à m’en acquitter, viens de suite, entre sans frapper je te réserve une surprise
– J’arrive ! …. Maman ? je fonce chez Noémie, elle est alitée avec une forte fièvre, je dois lui ramener son pain et des croquettes pour son chat
– Alitée ? le pain ? des croquettes pour son chat ? je n’y comprends rien … qu’est-ce qu’elle me fait celle-ci ??
A nouveau mon cœur bat à deux cent à l’heure, je me gare en catastrophe et pénètre dans la maison silencieuse
– Noémie ?
– Je suis dans ma chambre …
– Je peux venir ?
– Je t’attends …
Et là c’est le nirvana, je suis au paradis… la femme appuyée sur un coude est alanguie sur le lit en nuisette transparente, je distingue le string qu’elle portait la veille, ses seins sont libres, je n’avais jamais vu d’auréoles aussi brunes et larges avec des tétons aussi longs …
– Approche Léo… tu devrais quitter ton pantalon sinon tu vas encore le souiller
– J’ai honte de me montrer en érection devant toi …
– Tu es un homme ou non ?
En deux secondes je suis demi-nu, ma queue désormais rigide passe entre les pans de ma chemise, Noémie parait surprise en découvrant ma verge
– Je retire ce que j’ai dit, tu es vraiment un homme ! assied toi sur le bord du lit sans essayer de me toucher d’accord ?
– D’accord
– Je vais me mettre à genoux afin de retirer ma minuscule culotte, j’ai fait exprès de remettre celle d’hier pour reprendre là où je me suis arrêtée
– Elle doit sentir bon …
– Vérifie par toi-même …
– Y’a une partie sèche au fond mais une nouvelle auréole se forme par-dessus … c’est encore à cause de moi ?
– Disons plutôt que c’est ‘grâce’ à toi !, hume donc son parfum
– Mmmmmmuuuuuuuuuuuuuummmmmmmmmmm ça c’est de la femme !
– Ta petit copine ne rejette pas d’effluves ?
– Je n’ai jamais eu la permission de vérifier …
– Ma toison s’humidifie aussi
– C’est vrai ?
– Normalement j’ai rempli mon ‘contrat’ tu as vu mon petit chat je devrais te renvoyer, mais je suis une gentille fille, approche … tu es en âge d’apprendre certaines choses, ma petite chatte a envie de caresses, passe le dos de ta main sur mes poils, sent comme ils sont soyeux …
– Ils sont doux, bouclés et humide …ça sent bizarre
– Tu veux passer ta langue sur ma fente ?
– C’est bon à avaler ?
– Je dirais même succulent, normalement un bon amant se jette sur une vulve aussi excitée, comme ta verge est dressée vers le plafond
– Elle me fait mal tellement elle est raide
– Je vais te proposer quelque chose, tu me lèche je te suce ?
– Je ne voudrais pas décharger dans ta bouche …
– Une bonne maitresse demande toujours à recevoir la semence de son amant dans sa gorge
– Ah bon ?
– Allonge toi sur le côté je vais me positionner à l’envers, prend ton temps, apprivoise ma chatoune tu vas en redemander
La tête entre les cuisses relevées j’avance prudemment ma langue vers ce cratère à demi ouvert où suinte un liquide épais et translucide, son entrejambe sent agréablement bon la propreté, heureusement car mon nez n’est pas loin du petit trou qui sert à tout autre chose … au moment où ma verge est avalée par sa bouche brulante Noémie pousse sur mon crâne cette fois je suis en plein dedans et je ne le regrette pas , c’est vachement succulent , après deux minutes Noémie guide ma tête afin que ma bouche se trouve sur la petite excroissance a demi protégée par un capuchon de peau , un coup de langue maladroit la fait sursauter et crier, je devine que cet endroit est très sensible alors je m’applique du mieux que je peux a passer et repasser délicatement sur ce bourgeon délicat , tellement occupé à lui procurer du bien que j’en oublie de décharger ! c’est au moment où la femme resserre ses cuisses sur ma tête que j’envoie toute la sauce que contiennent mes testicules, je suis moi-même gratifié d’un jet brulant sur le visage, je viens de faire jouir ma première femme ! je me redresse fier de moi, encore sonnée Noémie m’attire a elle pour un baiser voluptueux mêlant de la langue nos parfums intimes respectifs
– Je suis agréablement étonnée de ton savoir-faire Léo, je vais faire de toi un homme, viens sur moi, embrasse mes seins je m’occupe de tout … pousse avec tes reins lorsque je te le dirais …
Les genoux repliés la copine de maman expose sans honte ses charmes les plus secrets à ma vue de gamin inexpérimenté mais dont la bite n’a pas faiblit d’un pouce, sans m’appesantir sur elle je tète les bouts de nichons comme un nouveau-né affamé, sa main experte guide ma quéquette entre ses cuisses accueillantes, mon gland hyper sensible entre en contact avec ses lèvres graissées de lubrifiant naturel
– Vas-y mon cœur baise moi …
Plutôt de me précipiter je décide de la pénétrer millimètres par millimètres afin de savourer l’effet douillet du conduit qui cède sous ma poussée, une fois nos toisons mêlées je reste immobile, c’est elle qui contracte ses muscles pour apprécier la rondeur de mon membre, heureusement que j’ai joui récemment dans sa bouche sinon je ne résisterais pas à un tel massage
– Soit un homme, montre-moi ce dont tu es capable
En appuis sur les mains je commence à la pilonner alternant les coups de reins, lents, saccadés, voire violents, la femelle en chaleur réagit en soulevant son bassin m’indiquant le bon régime, elle me fait comprendre que ça ne sert à rien de m’enfoncer au plus profond de ses entrailles mais de frotter mon gland à l’entrée de son vagin désormais éclaté, sa respiration trahit un orgasme imminent, prêt à exploser moi-même je me concentre pour l’amener au sommet afin d’unir notre jouissance
Cramponné à ses épaules je résiste au tsunami qui la secoue, des jets fusent de part et d’autre de nos corps en sueur, vaincu je pèse sur elle comme un a****l mort, incapable de contrôler ma respiration je glisse a côté de ma maitresse complètement assommée
– Tu m’as tuée salaud …
– Tu m’as vidé salope …
Incapable d’apprécier le temps qui s’est écoulé c’est sa bouche sur mon membre qui m’a éveillé …
– Léo ? bande je te prie, tu vas me sodomiser …
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