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Les joies du mercredi

Les joies du mercredi



Léa et Natasha sont deux lycéennes de dix-huit ans qui se retrouvent chaque mercredi après-midi, chez l’une ou chez l’autre, soi-disant pour travailler ensemble – c’est ce qu’elles ont dit à leurs parents – mais en réalité pour s’aimer coquinement, seules à la maison, car sont deux lesbiennes qui s’aiment tendrement.

Dès qu’elles ont posé, ou plutôt jeté, leurs cartables dans l’entrée, elles se déshabillent mutuellement à la hâte, car elles ont très envie l’une de l’autre et brûlent de s’aimer avec leurs mains et leurs langues agiles. Les seuls atours que Natasha conserve sont ses lunettes, afin de bien voir le corps de déesse de sa douce amie qui n’en porte pas. Toute la semaine, elles se sont contentées de s’échanger discrètement des petits papiers polissons, en craignant d’être découvertes par les enseignements, sinon gare aux coups de canne sur les fesses nues dans le bureau de la proviseure ! Car on ne plaisante pas avec la discipline dans le très select lycée de Sainte-Benoite de la Croix Sévère, où les plus rebelles sont soumises aux terribles règles de l’internat.

Léa a découvert le placard secret de sa mère, où sont cachés derrière les missels et les crucifix toute une collection de godemichés et de vibromasseurs de toutes tailles et forme. Les corsages et les culottes traînent aux coins du salon. Il faudra veiller à ne rien oublier de ramasser avant le retour des parents.

En attendant, les deux amoureuses s’en donnent à cœur joie pour s’offrir des orgasmes vibratoires l’une devant l’autre. Souvent, elles se masturbent ensemble, l’une devant l’autre et sans se toucher, avant d’en passer aux embrassades et aux mignons cunnilingus tout remplis de passion saphique. Elles ont tout l’après-midi devant elles, alors que la pluie glaciale fouette les carreaux, à se pâmer nues dans la maison bien chauffée. Aujourd’hui, elles se sont installées sur le grand canapé, chacune adossée à un accoudoir, face à face, les cuisses largement écartées afin de s’exhiber l’une à l’autre les petites chattes poilues, rousse pour Léa et blonde pour Natasha. Ces adorables petits buissons sont tout humides d’excitation, car les deux filles utilisent de puissants Hitachi qui se branchent sur le secteur, et les amènent rapidement vers de fabuleux orgasmes qu’elles peuvent crier de toutes les forces de leurs jolis poumons, car les voisins sont également partis au travail. Il leur faut seulement veiller à ce que la mouille n’aille pas tâcher définitivement le cuir du canapé, et protégeant celui-ci avec des serviettes de bain.

Cette après-midi-là, les deux filles ont leurs règles, ce qui ne les empêche nullement de s’offrir de magnifiques jouissances au cours desquelles le flux menstruel s’écoule autant sur les boules vibrantes que sur les petits doigts qui écartent les pétales des fleurs sexuelles épanouies. L’une proclame : regarde, je jouis ! et l’autre attends-moi, je te rejoins ! Les épidermes transpirent allègrement pendant qu’elles gémissent à petits cris de souris, avant de basculer leur tête en arrière lorsque le frisson du plaisir suprême vient les saisir simultanément. Léa porte un pied de Natasha jusqu’à sa bouche afin de se délecter du goût de la sueur de sa compagne, orteil après orteil, en chatouillant un peu, ce qui stimule Natasha pour décoller encore vers le septième ciel. Puis elle se sert du peton pour se masser langoureusement la vulve humectée de liqueurs féminines. Le gros orteil se faufile dans la fente ouverte la semaine d’avant au moyen d’un gode-ceinture. La belle Natasha, elle, possède encore son pucelage, mais plus pour longtemps. Les ventres encore douloureux de menstrues l’heure d’avant sont devenus des prés d’envol pour des milliers de papillons ensoleillés de joie charnelle.

Ensuite, elles varient les voluptés à l’aide de longs godemichés qu’elles s’introduisent bien lubrifiés, dans le vagin pour Léa, dans l’anus pour Natasha. L’outil en forme de dauphin bleu qu’utilise Léa ressort copieusement ensanglanté, ce que Natasha trouve magnifique, car elle vole l’engin à son amante afin de le sucer à la manière d’une vampirique fellation.

Comme l’heure avance, il est temps de passer aux étreintes et aux doux jeux de la langue s’agitant sur les zones intimes. Léa commence par glisser sa tête entre les cuisses offertes de Natasha afin de se reposer sur le buisson doré, délicieux pour sa gourmandise : elle est affamée de ce mets si délicat ! Le souffle chaud de sa respiration annonce un moment intense pour sa compagne. Le clitoris stimulé sort de son fourreau entre index et majeur, pour envoyer des ondes de bien-être dans ce corps juvénile, lorsque le muscle buccal imprégné de salive commence à le lutiner, dans de jolis bruits de succion humide. Les mains se tiennent deux à deux, elles s’agrippent pour s’accompagner vers le paradis lesbien.

Chers lecteurs, je vous laisse imaginer la suite de cette histoire que j’ai voulue, ce soir, toute simple et toute câline. Si parmi vous se trouvent des femmes qui préfèrent les femmes, qu’elles n’hésitent surtout pas à me laisser un commentaire.

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