Cette année, j’ai décidé de partir seule en vacances. Sans petit copain (je n’ai jamais eu de relation stable et, de toute façon, je n’ai jamais fait l’amour qu’en groupe) mais surtout sans amie disponible, j’ai réservé une chambre dans un hôtel à côté d’Agde. Mon choix s’est porté sur un hôtel proche des plages naturistes, avec piscine, réputé pour accueillir une clientèle ni trop âgée ni trop familiale. Le coin abonde de clubs libertins et de discothèques érotiques : tout est prévu pour que mon activité sexuelle moyenne augmente considérablement.
Arrivée sur place, je découvre une chambre confortable, spacieuse, avec des lits jumeaux. Les murs clairs et les tentures aux teints pastels en font un espace aéré et reposant. J’ouvre les tentures et sors sur le balcon. Comme je l’ai demandé, la chambre donne sur la piscine et la petite pinède qui sépare l’hôtel de la plage. Je me rends dans la salle de bain pour y installer mon nécessaire de toilette. Le sol et les murs sont couverts d’un carrelage clair, légèrement orangé, et la vaste cabine de douche m’inspire directement le sentiment que je m’y rendrai souvent pour que mon corps y soit bien soigné. J’enlève le short taille basse et la blouse légère que j’ai mis pour faire le voyage et y entre. J’ouvre le robinet et l’eau tiède ruisselle sur ma peau mate, dégoulinant de mes seins et longeant l’intérieur de mes cuisses pour mon plus grand bonheur.
Certes, mon corps n’est pas parfait, mais il a beaucoup pour plaire. Je suis de taille moyenne, ni mince ni forte. Un ventre presque plat, des fesses rebondies, une poitrine très généreuse et un peu lourde (ce qui, contrairement à ce qu’on peut penser, plaît énormément aux hommes), des cuisses et des épaules charnues, un pubis légèrement rebondi et agrémenté d’un petit grain de beauté, particularité toujours bien visible grâce à l’épilation intégrale de mon sexe. Juste au-dessus de mes fesses, un tatouage représentant un aigle aux ailes déployées. Pas de bourrelets inutiles ni de plis inélégants, pas de cellulite. Mes longs cheveux bruns, laissés libres la plupart du temps, sont lisses et soyeux.
Je me caresse langoureusement les seins avec la mousse, passe délicatement sur mes lèvres intimes et ne résiste pas à la tentation d’enfoncer mon index et mon majeur dans mon anus déjà dilaté. Quelques va-et-vient et je commence à pousser de légers gémissements. Le plaisir s’intensifie jusqu’à ressentir des secousses qui me font lancer un cri.
Après ce court moment de détente, je choisis dans ma garde-robe une tenue qui me permette de ne pas passer l’après-midi seule. Dans ma valise, il n’y a que des tenues sexy : pas de sous-vêtements (je déteste emprisonner mes beaux nichons et mon sexe glabre), mais des mini-jupes, des shorts taille très basse tellement courts et moulants qu’ils montrent la moitié de mes fesses et la forme de ma vulve, quelques robes très courtes et très légères, et des tops aux diverses qualités : très décolletés, très moulants ou quasiment transparents. Tous ces tops laissent évidemment au moins mon nombril à l’air libre. Bien que j’aie prévu de fréquenter principalement les plages nudistes, j’ai quand même emporté des bikinis pour profiter de la piscine de l’hôtel. Parmi ma collection, j’ai privilégié les plus décents, ou plutôt les moins indécents : ceux dont le string couvre le pubis mais pas plus, et dont le soutien-gorge couvre entièrement mes larges mamelons. J’ai laissé à la maison ceux qui cachent à peine mes lèvres et ceux dont la transparence montre mon sexe et la totalité de mes seins. Je sais ainsi que je respecte les règles de l’hôtel mais que je peux exciter le plus sage des maris. Cette garde-robe légère m’a aussi permis de n’emporter qu’une petite valise pour faire le voyage.
J’enfile une mini-jupe moulante fuschia qui ne couvre que mes fesses à l’arrière et dont l’avant ne monte pas plus haut que la limite d’une toison que je n’ai plus depuis le jour où j’ai décidé de m’offrir une épilation définitive. Je mets un top blanc très décolleté et tellement court qu’il laisse à l’air une grande partie de mon ventre. Je sais que si je lève les bras, la partie inférieure de mes seins et mes mamelons seront aussi à l’air. Je ceins une fine chaîne d’argent autour de ma taille, sur ma mini-jupe. Prête à me faire draguer, je descends à la terrasse de la piscine et m’installe à une table. La serveuse, une jeune métisse, vient prendre ma commande. Sous son uniforme sobre, je devine un corps svelte et une poitrine haute ; son visage est fin et harmonieux, et ses cheveux lissés et attachés la font ressembler à une des Pussycat Dolls. Quelle beauté ! Je lui commande un Cuba libre sur glace et me mets à regarder les gens, à la recherche de jeunes personnes avec lesquelles je pourrais certainement sympathiser…
J’ai à peine le temps de faire un tour d’horizon que trois beaux blacks passent devant moi. Je sens mon sexe s’humidifier et mes mamelons imposants se raidir. Je décroise les jambes et les écarte quelque peu, ma courte mini-jupe laissant ainsi un aperçu alléchant du haut de mes cuisses. Ce geste n’échappe pas à un des trois mâles d’ébène. Je lui fais un clin d’œil et m’effleure le sein gauche de la main. Je suis sans sous-vêtements et mes tétons durcis se voient sans peine à travers la légère blouse que je porte. Il fait un geste pour attirer le regard de ses copains, qui comprennent directement qu’il y a là de quoi passer un sacré bon moment. Ils s’assoient à ma table et me déshabillent du regard.
— Salut les mecs, fais-je.
— Bonjour ma belle, répond l’un d’entre eux. Tu viens d’arriver ? C’est la première fois qu’on a le plaisir de te voir à cette terrasse.
— Je suis ici depuis une heure. Je me suis installée, j’ai pris une bonne douche et je suis descendue à la terrasse.
— On aurait aimé la prendre avec toi, cette douche. Je suis sûr que tu as un cul d’enfer…
Je suis un peu surprise par ce côté direct, mais finalement, c’est ce que je souhaite.
— Et des nichons magnifiques, ajoute un autre.
Il me caresse la cuisse. C’est le plus beau des trois, un véritable Apollon. C’est lui qui me décide à prendre les choses en main. Je me lève, touche son épaule avec ma belle poitrine et je leur dis :
— Suivez-moi discrètement, les gars. Je vais vous montrer ce que vous voulez voir. Faites seulement attention à ce que ça ne se remarque pas de trop.
Les trois garçons se lèvent, me laissent prendre un peu d’avance et me suivent. Je vois que l’un d’eux a déjà une énorme bosse dans le short…
À ce moment, je croise la serveuse qui arrive avec mon verre. Je paie et j’avale le cocktail d’un trait pour le lui rendre directement. Un peu surprise, elle reprend le verre vide, se demandant pourquoi j’ai agi de la sorte. Elle voit les trois mâles derrière moi et écarquille les yeux : elle me fait un sourire coquin, mais je peux aussi lire un peu de jalousie dans ses yeux. Elle me regarde partir avec les trois suiveurs. Côté discrétion, c’est loupé…
Je ne prends pas l’ascenseur afin de ne pas perdre mes trois mâles et, arrivée au deuxième étage, je me dirige vers ma chambre. Je sens que ma chatte humide dégouline déjà et, comme le couloir est vide, je décide de relever ma mini-jupe afin de montrer mon beau cul aux trois blacks qui me suivent à quatre ou cinq mètres.
Devant ma chambre, je me retourne vers eux, montrant ainsi ma chatte bien lisse, et compose le code pour ouvrir la porte. Les trois gars sont gonflés à bloc. Je peux deviner leur sexe en érection à travers leur short et l’un d’eux est déjà en train de se masturber, le sexe à l’air.
Nous entrons dans la chambre et, en guise d’accueil, j’embrasse langoureusement chacun des hommes, palpant leurs corps d’ébène et caressant leur membre. Immédiatement, Je sens mon corps envahi de mains viriles : mes fesses, mes cuisses et mes seins sont palpés et malaxés. J’ai toujours adoré cette sensation qui consiste à être le centre d’intérêt sexuel de plusieurs personnes qui n’ont d’yeux que pour moi.
— Montrez-moi vos grosses bites, leur dis-je en enlevant ma mini-jupe. Je vais m’en occuper comme elles le méritent.
— Tout de suite, ma belle, répond le plus grand. On compte bien prendre soin de ton beau corps nous aussi.
— Parfait. Je sens qu’on va passer un bon moment tous les quatre…
Ils enlèvent leur short. Je prends leur sexe dur comme du roc dans mes mains moites et commence à les branler. Ces trois gars-là ne sont pas là pour démentir la réputation des blacks : ils sont terriblement bien montés. L’un d’entre eux a une bite exceptionnellement longue, sans doute pas loin de 25 centimètres, et un autre a un gland et des couilles énormes. Le troisième a une bite de taille raisonnable, mais d’un diamètre largement au-dessus de la moyenne. Ils ont enlevé leur chemise et sont maintenant nus autour de mon corps en chaleur. Ils sont grands et musclés. Celui qui a la bite la plus longue m’effleure sans cesse avec son gland. Pendant que je branle les deux autres, il prend son gourdin en main et le fait passer entre mes cuisses, par derrière. Il commence un mouvement de va-et-vient pour se frotter contre mon anus et ma vulve en ébullition. En regardant mon sexe, je vois le beau gland apparaître et disparaître successivement et je commence à pousser des soupirs de plaisir.
J’adorerais me mettre à genoux pour les sucer, mais je mettrais alors fin au plaisir que me procure ce long membre qui se frotte entre mes cuisses pulpeuses. Les deux autres mecs comprennent ce que je veux et montent chacun sur une chaise. Je peux alors sucer, lécher et embrasser les deux beaux chibres, tellement gros que je n’arrive pas à les mettre tous les deux en même temps en bouche. Je les suce donc chacun à leur tour afin qu’ils aient le même plaisir. Je me sens chaude comme une chienne en chaleur, mon sexe est trempé et le plaisir de la baise envahit tout mon corps. Des frémissements de désir me parcourent de haut en bas. Je me penche légèrement, écarte les cuisses, prends la longue bite en main et la dirige vers mon vagin bien ouvert. Le gars me pénètre profondément et j’émets un long gémissement. Il me prend en levrette debout, sa longue bite lui permettant une souplesse extraordinaire dans cette position. Ses copains descendent de la chaise et enlèvent mon top. Ils peuvent maintenant admirer et prendre à pleines mains ma forte poitrine qui se balance au rythme des coups de bite que je reçois avec tant de plaisir. Je reprends les deux bites en main et les suce longuement. Les coups de bite s’accélèrent peu à peu dans mon vagin et je me sens jouir. Je laisse échapper un cri puissant quand les spasmes de l’orgasme agitent mon corps tout entier et au même moment, le gars se retire de ma vulve et éjacule abondamment sur mon dos : je sens même quelques gouttes de sperme sur la nuque. Le gars au gros gland se met derrière moi et enfonce un doigt dans mon anus. J’aime particulièrement qu’on s’occupe de cette partie intime de mon corps. Le type met un deuxième doigt : il estime alors que je suis prête à accueillir sa bite. Il enfonce lentement son sexe tendu jusqu’au moment où je sens ses couilles contre mon vagin. Il se met à me pilonner de manière assez virile, assez profondément. Tout à coup, il att**** mes cuisses par dessous et me soulève. Je ne touche plus le sol, mes fesses et mon dos maculés de sperme sont contre le ventre du black. Je suis maintenue en l’air par ce gourdin qui m’empale et par ces mains viriles. Il continue à me baiser avec force, pendant que le troisième gars se met contre moi et enfonce son large phallus dans mon vagin. Je rugis de plaisir. Même si j’ai déjà joui, je sais que cette double pénétration peut m’offrir un deuxième orgasme, surtout avec d’aussi belles bites. J’embrasse goulûment mon partenaire qui s’enfonce profondément en moi. Après quelques secondes, nous nous couchons sur le lit et les mecs changent de trou. Je suis couchée sur le dos, sur le black au sexe large. Je le sens s’enfoncer dans mon cul pendant que l’autre me pénètre. Le gros gland me fait rugir de plaisir. Je suis de nouveau au septième ciel et je me mets à crier tellement fort que je crains d’être entendue dans l’hôtel, mais c’est plus fort que moi. Un souffle chaud embrase ma nuque et j’entends un râle : le deuxième expulse sa semence dans mon anus. Le troisième amant sort de mon vagin, se branle quelques secondes et éjacule de manière spectaculaire : une douzaine de jets puissants de sperme épais sortent de son beau gourdin, arrosant mon ventre, mon visage, mes cheveux et même le lit et le mur. Les yeux fermés, le gars jouit pendant plus de dix secondes. Malgré ma longue expérience des hommes, je n’ai jamais vu autant de sperme sortir d’une seule bite. Un peu confus, il explique qu’il a toujours des éjaculations extraordinaires, ce qui est compréhensible au vu de ses énormes couilles : nous éclatons de rire. Je suis couverte de sperme et il en dégouline même de mon trou de cul sur mes cuisses charnues.
— Bien joué, les gars. Vous avez fait ça comme des pros. Revenez quand vous voulez, et si vous avez d’autres copains aussi bien montés que vous, amenez-les pour qu’ils me baisent !
— Tu es une vraie petite salope. On aime ça. La prochaine fois, on reviendra avec nos potes pour te faire jouir pendant plusieurs heures.
Les trois gars se rhabillent et m’embrassent. Je prends une bonne douche, enfile mon mini-bikini noir, mets mon pareo autour de ma taille et prends une serviette de plage pour aller à la piscine.
Au moment où j’arrive, mes trois amants se font servir une bière bien fraîche par la belle métisse. Je les vois échanger quelques mots et je la regarde, songeuse. J’aime presqu’autant les femmes que les hommes, parce qu’elles savent me donner énormément de plaisir. Il leur manque juste ce que j’admire tellement chez les hommes : la capacité d’expulser leur semence dans un liquide aux innombrables vertus. Nos regards se croisent. Elle s’approche de moi et me demande si je souhaite boire quelque chose. Je commande un Mojito qu’elle m’apporte avec la souche et je vois immédiatement qu’on a écrit quelque chose au dos de cette souche. Je le retourne et lis :
— Rendez-vous ce soir, 21 h 30, chambre 03. Il y aura tout ce qu’il faut pour s’amuser…
Que lui ont dit mes trois amants d’ébène ? Je fais un large sourire à la métisse, en signe d’approbation. Elle veut m’associer à ses ébats ? Tant mieux…
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