C’est ma toute toute première histoire. J’espère que ça vous plaira.
(Histoire également publiée sur xStory)
Dimanche. Comme tous les dimanches, et ce pour tout le monde, un soupçon de déprime vient rythmer la fin de mon après-midi. C’est la fin du week-end, et demain je devrais rasseoir mes fesses derrière mon desk, au sein d’un service de télémarketing. Emploi qui ne me rémunère pas suffisamment bien, pour que je puisse occuper mes fins de dimanches. C’est pourquoi on en est là, à contempler un appartement bien trop vide, et bien trop petit ; dont la seule fenêtre peine à éclairer le salon/cuisine/salle à manger/salle de spectacle/masturbodrome/cinéma/chambre à coucher de 11m², qu’est le mien. Faut dire qu’à l’extérieur une pluie battante empêche toute lumière de circuler. Je croyais qu’en quittant la fac, il y a quelques mois, j’allais évoluer et passer au stade supérieur… mais non. Toujours ici, toujours dans cette vie qui manque de fantaisie.
Afin de rompre un peu ce coup de blues qui hante mon esprit, je me décide à m’asseoir derrière mon bureau, et allume mon pc. On va pas se mentir, ça me rappelle un peu le boulot…sauf qu’ici j’ai la braguette ouverte, et le sexe prêt à quitter le caleçon. Ce qui, de mémoire, ne m’est pas encore arrivé au taf. Pas encore.
Bien évidemment, si j’ai le sexe prêt à dégainer, c’est que pour combler ce vide, je décide de créer…du vide. Dans mes testicules, pour être plus précis. Une bonne masturbation, un peu classique, mais qui fait toujours du bien. J’erre sur la page d’un site porno, sans trop de convictions, ni trop d’idées de ce qui me fait envie. Dans ces moments-là, je refais toujours dans ma tête une liste de mes actrices préférées.
« Lexi Belle ? Déjà fait ce matin… »
« Bree Olson ? Fait et refait à midi… »
« Yhivi ? Mmmh…bien tentant mais déjà fait en début d’après-midi ».
Décidément, je me masturbe beaucoup trop. On dit de notre jeunesse qu’elle en a « rien à branler ». Moi je dirai qu’au contraire, elle ne fait que ça ! Reprenons.
« Angell Summers ? Trop souvent… »
« Nekane ? … »
Oh, Nekane. Cette petite brune espagnole est un fantasme si récent, et pourtant déjà si présent dans mon esprit. Qu’est-ce qu’elle peut me faire bander. Du même âge que moi, elle est bien plus petite. Je crois qu’elle m’arriverait à peine à hauteur du cou. Mais fort heureusement, elle n’a pas tout de petit. Un joli 90D, d’après l’analyse précise qu’ont pu effectuer mes yeux, un peu trop habitué à observer les décolletés. Et puis, des fesses…aucun mot ne me vient en tête pour les définir. Faut dire que le sang ne se dirige plus là-haut mais plutôt vers mon entrejambe, qui semble s’être éveillé en évoquant le nom de Nekane. C’est décidé, ce sera elle !
Je lance une de mes vidéos préférées la mettant en scène. Plusieurs gaillards se mettent face à elle, pendant qu’elle exhibe ses jolies formes devant eux. Celui qui ne bande pas gagne le droit de la baiser. J’ai perdu avant même que la vidéo ne démarre. A l’extérieur, du tonnerre se met à gronder mais cela ne m’empêchera pas de me branler. Bien excité, je m’affale sur mon fauteuil de bureau, et sort mon sexe qui ne cesse de durcir. Rien de bien extravagant, juste dans la moyenne, mais il m’a toujours convenu. Il commence à tressauter face à la danse lascive de la belle. Je commence à me caresser lentement en regardant ses seins pâles massifs, les malaxant dans mon imagination ; y posant mes lèvres, et jouant avec ma langue. Cela m’excite d’autant plus. Trois des mecs de la vidéo viennent d’être éliminés, elle att**** le dernier par la bite, et l’emmène avec elle pour entamer une superbe fellation… Sauf que soudain, un éclair bien trop proche fait sauter les plombs. L’appartement tremble sous la v******e du tonnerre, mais surtout, une décharge électrique semblant surgir de l’ordinateur me parcours le corps très brièvement. Rien de très douloureux, mais pas vraiment agréable.
Me voilà désormais tétanisé, nu, dans le noir quasi complet, et le sexe toujours tendu. Peut-être même plus depuis la visite de cet arc électrique. Il me faut quelques secondes pour reprendre mes esprits. Je n’ai jamais réellement eu peur du noir, même si je ne m’y suis jamais senti particulièrement à l’aise. Je m’empare de mon téléphone, essayant de m’éclairer avec le flash de l’appareil photo, et décide d’aller vers le boîtier électrique, pour potentiellement réactiver le courant. Malgré la taille de la pièce, je ressens des frissons comme si je n’étais pas seul dans le noir. Je ne sais pas si c’est cette peur qui m’habite, et qui par ailleurs ramollit…ma bite, mais une sensation de chaleur commence à se faire ressentir. Devant les fusibles, j’essaie un peu tout, sans trop y croire. Et j’ai bien raison, de ne pas y croire, car tout finit par se solder par un échec. Seulement, voilà. Derrière moi, un bruit. Je ne suis pas seul.
Je me retourne lentement. Et discerne une silhouette sombre de l’autre côté de la pièce, à quelques pas de mon lit. Une silhouette féminine. Effrayé, mais curieux, j’ose faire quelques pas devant cette apparition. La lumière émise par mon téléphone portable commence à laisser apparaître un visage blanc, dont les lèvres sont couvertes d’un rouge à lèvre vif,..
« Ne…Ne…Nekane ? »
« Holà ! »
Surpris, je laisse tomber le téléphone au sol. La lumière du flash, désormais au sol, dessine les courbes de mon invitée surprise. La pâleur de sa peau. La chair de ses cuisses. Son vagin intégralement épilé. La rondeur parfaite de ses seins. Me voilà nu, face à un de mes plus grands fantasmes, intégralement nue, elle aussi. Forcément, mon entrejambe se réveille de plus belle, et mon sexe se met à pointer vers elle.
« Ohla… »
« Si, holà ! »
« Non, mais…je voulais dire dans le sens. Ohlala, qu’est ce que c’est ce bordel… »
Elle me dévisage. Elle ne comprend pas un mot de ce que je viens de dire. Gêné, je lui souris. Elle me regarde et dit :
« ¿ Hablas español ?
« Euh…non. »
« Follame »
« C’est à dire ? »
Je savais que j’aurai dû bien plus écouter lorsque j’étais au collège. Je la regarde, gêné. Et algré mon regard qui a bien trop tendance à descendre vers son opulente poitrine, elle continue à me sourire.
« Conozco una lengua que entenderas »
« Euh…si vous le dîtes »
A peine elle finit sa phrase, qu’elle vient m’att****r le sexe de sa main droite.
« Ohla… »
« Si…holà » me dit-elle en souriant.
Ses doigts sont si doux, et chauds. Elle se rapproche de moi, tout en serrant un peu plus la main. Mon sexe durcit dans son geste. Son visage se rapproche du mien. Je ressens le souffle chaud de sa respiration. Tout ceci est bien réel. Sa poitrine se colle contre moi, et s’écrase contre la mienne alors qu’elle m’embrasse fougueusement. Nos lèvres se caressent, nos salives s’entremêlent. Un simple coup de sa langue sur la mienne, développe d’autant plus mon érection.
« J’ai envie de te baiser »
Elle me sourit, le regard brillant, comme si, elle avait compris ce que je lui avait dit. Elle me tire plus fort vers elle, et nous fait tomber sur le lit. Le sexe dur contre sa jambe, je continue à l’embrasser. Ma main droite remonte le long de son corps, et se mets à lui caresser le sein droit. Il est moelleux comme il aurait pu l’être dans le plus humide de mes rêves, et si chaud. Je commence à croire que c’est moi qui aie chaud, tant tout ce que je touche me semble bouillant.
Elle prend ma main, et la descend jusqu’à son vagin. D’un regard, elle me fait comprendre que je peux y glisser un doigt. Ou même plusieurs. Je m’exécute, et la voit sourire sous mes caresses. Je porte mon doigt trempé de mouille, jusqu’à mes lèvres, et tous deux, nous nous mettons à le lécher. Nos langues se touchent parfois. J’imagine la sienne glisser le long de mon sexe bien trop excité. Elle se recule, et me fait signe de m’allonger sur le dos. Décidément, elle lit dans mes pensées.
Elle s’empare de mon sexe d’une main sûre. Et commence à le caresser. De l’autre, elle tâte mes testicules, les malaxe, les masse. Je me sens si bien. Elle entame un va et vient le long de mon membre. D’abord doux, puis elle accélère. Elle joue avec moi, en écoutant ma respiration pour me faire durer le plus longtemps possible. Alors qu’elle continue de jouer avec ses mains, elle se penche lentement vers ma bite, et l’engouffre dans sa confortable bouche. Si je pouvais jouir à cet instant, je le ferai mais j’ai bien trop envie de voir la suite. Elle me couvre de sa salive si douce et chaude, tandis que je tends une main pour jouer avec ses seins. Je suis en train de me faire sucer par Nekane. Celle qui a tant rythmé mes masturbations a mon sexe dans sa bouche ; et il n’en sort que pour qu’elle puisse donner des coups de langue sur mon gland. C’est divin. C’est même mieux que divin, c’est diabolique. Sensation d’enfer renforcée par cette chaleur si intense qui ne veut plus me quitter.
Ralentissant le rythme de ses mains, elle se tourne vers moi.
« Follame »
« Je…je comprends pas ce que vous me dîtes mais…si ça veut dire « baise-moi » je suis partant… »
Ni une, ni deux, elle s’empale sur mon sexe couvert de marques de rouge à lèvres. Jamais je n’ai connu telle sensation. Elle est si douce, si humide. Ma bite semble avoir trouvé sa raison d’exister, son habitat naturel, l’utilisation pour laquelle elle a été créée. Je commence à donner quelques coups de reins tandis qu’elle joue avec son bassin. Voir ses gros seins rebondir sous chacun de mes coups fait durcir mon sexe en elle. Jamais il n’a été aussi gorgé de sang. Et ce n’est pas avec ses gémissements qu’il est prêt de se calmer. J’accélère le mouvement et m’agrippe à ses fesses. J’en profite pour lui glisser par moment, une ou deux fessées, ce qui semble lui plaire excessivement. Elle se cambre, et s’agrippe à ses seins, et entame des à-coups plus violents. Sa mouille commence à couler le long de mon sexe. Nos corps sont trempés de sueur, mais aucune perte d’énergie et de désir se fait sentir.
Changement de position. Une petite levrette des familles. Enfin, je peux voir ses fesses de plus près. Si bombées, si écarlates à cause de mes mains. Alors que mon membre continue les va-et-vient, mes couilles s’ajoutent à la partie, en venant s’écraser contre sa chatte dégoulinante, au même rythme où son merveilleux cul en fait de même contre mon bas-ventre. La température continue de grimper.
« J’ai chaud… »
« Qu’est-ce que vous dites ? Je crois qu’il parle espagnol »
Je m’arrête surpris, et me retire.
« Tu…tu parles français ? »
Pas de réponse. J’ai probablement dû imaginer ça. Elle se tourne vers moi, essayant de comprendre la situation. Je lui fait signe que j’ai chaud, et lui dit dans un espagnol approximatif.
« Que Calor »
« Ah si, si. Claro. »
Elle att**** à nouveau mon sexe, et le glisse dans sa chatte détrempée. Je recommence mes mouvements, oubliant peu à peu l’incident. J’imagine ses seins pendouillants aller et venir. Cela m’excite de plus belle,et me pousse à accélérer le mouvement. Elle gémit de plus en plus fort, et d’une voix de plus en plus cassée.
« Señor ! »
Je m’agrippe dans la chair de ses fesses. Je sens que ça lui fait mal, mais qu’en même temps elle aime ça. Je suis en train de baiser Nekane. À cette idée, mes couilles se resserrent, et je sens que je suis prêt à jouir. J’augmente le rythme, et imagine mon sperme coulant de sa chatte. Je veux la remplir de mon foutre. Ses gémissements s’intensifient. J’imagine son maquillage couler avec les larmes de plaisir et la sueur.
« Señor ? »
Sa voix semble plus grave. Cela me perturbe une fraction de seconde, mais je continue à battre mes testicules contre son clitoris. Je laisse couler un filet de bave entre ses fesses, afin de lubrifier mon chibre. Je ferme les yeux, et continue de plus en plus fort. Je veux jouir. Je veux jouir en elle. Je…je..Je vais jouir…
« ¿ Hablas español, señor ?
Je jouis…
Ma respiration est coupée, et je peine à la retrouver. L’air me semble irrespirable, et la chaleur de mon corps ne redescend pas… J’ouvre les yeux, et me trouve nez à nez, avec mon propre reflet dans la visière d’un casque. Je me vois allongé sur le sol, complètement nu, les cheveux hirsutes, des traces de brûlure sur le visage, mais le sexe encore droit, du sperme sur le torse…le tout au milieu de mon appartement en flamme.
L’homme au casque lève sa visière, me regarde droit dans les yeux, et essaie de me parler.
« Hablas español ?
« Si, si… »
Tout semble s’être déroulé en une seconde, mais je me réveille lentement dans une chambre d’hôpital. Personne dans ma chambre, mais à côté de moi quelques affaires semblent indiquer que mes proches ont été prévenu, et qu’ils sont certainement partis faire un tour, ou harceler un médecin pour avoir un peu plus d’informations. Au milieu de ces affaires, un journal où est entouré un article.
« Insolite. Les intempéries de la veille ont été le lieu d’une scène originale, et qu’on peut désormais considérer comme amusante puis qu’aucune victime n’est à déplorer. Un jeune homme d’une vingtaine d’années , probablement d’origine espagnole, a été sauvé dans son appartement en feu par une équipe de sapeurs pompiers. Il aurait été foudroyé alors qu’il était en pleine séance d’onanisme. »
Du coin de l’oeil, je vois qu’une infirmière entre dans la pièce. Je n’y prête pas plus d’attention et continue ma lecture.
« Il a été retrouvé nu, le corps très légèrement brûlé, continuant son acte malgré l’intervention des secours. Il semblait coincé dans une forme de transe, tant que sa jouissance ne fut pas atteinte. Les collègues du pompier qui sauva le jeune homme clament qu’il a dû lui donner un coup de main afin de sortir de sa transe. Gêné, il n’a pas souhaité confirmer son geste. Nous vous laissons en tirer votre propre conclusion. »
Je repose le journal, après un soupir de honte. Mon regard se porte vers l’infirmière…qui…à ma grande surprise est en train de déshabiller, tout en se déhanchant lentement. Un soutien-gorge en lingerie noire, soutenant une lourde poitrine apparaît. Je lève les yeux et commence à la dévisager…
« Ne…Ne…Nekane ? »
« Holà ! »
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