Deux semaines plus tard, je recompose le numéro de téléphone de l’homme chez qui je me suis rendu pour une « détente complète ».
« Bonjour. »
« Tu me reconnais? »
« Oui, j’ai ton nom et ton numéro de téléphone sur mon afficheur! »
« Tu es disponible? »
« Dans combien de temps peux-tu être chez moi? »
« Dans une heure? »
« Je t’attend dans deux heures. »
« O K!. »
« Je t’attend! »
« Tu te souviens de ce que tu m’as proposé la dernière fois? »
« Tu es certain que ce soit ça que tu veuilles? »
« Oui, j’en suis certain!»
« Ce que je t’ai fait subir la dernière fois n’est rien à coté de ce que tu vas devoir subir cette fois ci. Tu penses pouvoir supporter les mauvais traitements que nous allons te faire subir? »
« Tu ne seras pas seul? »
« Non, je t’ai dit la dernière fois que je serais avec un ami. »
« J’accepte à l’avance de me soumettre aux mauvais traitements que vous allez me faire subir. »
« Je vais donc te faire passer dans une partie de ma maison que je réserve aux hommes comme toi pour ce genre d’activités. »
« C’est au sous-sol? »
« Non, c’est une pièce qui j’ai fait construire dans le garage par un entrepreneur que je connais intimement.
L’accès à cette pièce, je l’appelle mon donjon, se fait par un escalier qui relie le sous-sol à cette pièce.
Elle est insonoriser.
Il n’y a aucune fenêtre: les murs, le plafond et même la porte au haut de l’escalier qui donne accès au donjon sont insonorisés.
Aucun bruit, de quelque sorte que ce soit, ne peut être entendu de l’extérieur de cette pièce.
De plus, nous sommes toujours deux à s’occuper du client qui franchit le seuil de mon donjon.
C’est un ami, de race noire, qui prend la direction des activités de la rencontre.
Moi, je lui sert d’assistant.
Tu es toujours d’accord avec ce que je viens de te dire? »
« Je suis toujours d’accord! »
« Un Fleet, tu connais ça? »
« Oui, je connais ça: je m’en donne assez régulièrement. »
« Avant de te présenter ici, tu devras t’en être donné un et avoir pris une douche. »
« Je prend toujours une douche avant de me rendre à ce genre de rendez-vous. Y-a-t-il d’autres choses auxquelles je doive me soumettre? »
« Tu devras porter un caleçon et des bas foncés. »
« Pourquoi un caleçon et des bas foncés? »
« Pour que de possible traces de sang ne paraissent pas trop. »
« Est-ce à dire que vous allez me torturer au point de me faire saigner? »
« C’est possible. »
« Si je porte un caleçon gris très foncé et des bas noirs: est-ce que ça fera? »
« Ce sera parfait! »
« Je serai chez vous dans deux heures. »
À l’heure convenu, je me présente à mon rendez-vous.
L’homme qui m’ouvre est toujours dissimulé derrière la porte.
« Entre! »
Je pénètre dans la maison.
L’homme referme la porte et la verrouille.
Je suis impressionné par sa nouvelle apparence: il est torse nu et il ne porte comme vêtements qu’un pantalon, de bas et des souliers noirs.
« C’est réellement spécial comme réception? »
« Retire tes souliers et laisses les sur le palier. »
Je retire mes souliers et je les dépose contre le mur sur le palier.
« Maintenant, descends au sous-sol. »
Je descend au sous-sol.
L’homme me suit.
Arrivé au bas de l’escalier, j’entre dans la pièce qui lui sert de salle de massage.
L’homme s’approche de moi par derrière: il colle son bassin contre mes fesses et il plaque ses deux mains sur la braguette de mon pantalon.
« Je vérifie l’état de la marchandise. »
« Cette marchandise t’appartient: fais-en ce que tu veux! »
« Tu bande, mon cochon
« Comment voudrais-tu que je ne bande pas avec les attouchements que tu me fais? »
Par-dessus mon pantalon, l’homme me pince le bout du gland.
« Veux -tu déballer la marchandise? »
« Non, c’est toi qui va la déballer. »
L’homme me pince le bout du gland une seconde fois puis il retire ses mains de sur la braguette de mon pantalon et s’assied sur la table de massage.
« Tourne-toi vers moi. »
Je m’exécute.
« En commençant par ta chemise, tu vas retirer lentement tous tes vêtements à l’exception de ton caleçon et de tes bas. »
Je retire ma chemise et je la dépose sur le table de massage à coté de l’homme, puis je détache ma ceinture, je déboutonne le bouton du haut de mon pantalon, je baisse le fermoir éclair de la braguette et je le laisse mon pantalon choir par terre.
La grosse bosse que dissimule mon caleçon laisse présager de l’état de mon pénis et de mon état en général.
Je me penche, je ramasse mon pantalon, je me relève et je le dépose également sur la table de massage.
« Baisse le devant de ton caleçon. »
Je m’exécute: mon pénis en pleine érection pointe vers l’homme.
« Il est toujours aussi beau: j’ai hâte de voir ce que mon ami va faire avec. »
« Je vous l’offre: il est à vous. »
« Colle ton pénis contre ton ventre et remonte ton caleçon de sorte que seul le gland de ton pénis soit visible hors de ton caleçon. »
Je fais ce que l’homme me demande.
L’homme me tend un morceau de linge noir.
« C’est une cagoule: tu vas la passer sur ta tête. »
Je jette un coup d’œil sur la cagoule: il y a deux orifices pour les yeux, un trou pour le nez et une ouverture pour la bouche.
« Pourquoi, une cagoule? »
« Parce que tout ce qui va se passer dans le donjon va être enregistré sur bande vidéo.
Avec cette cagoule, tu ne pourras pas être reconnu. »
J’enfile la cagoule sur ma tête.
« Maintenant, suis-moi. »
Je suis l’homme: nous nous dirigeons vers la sortie de la pièce qui lui sert de salle de massage. Aussitôt sorti, il tire sur une tenture qui fait face au bas de l’escalier et qui dissimule une porte.
Il ouvre la porte.
Cette porte donne accès à un escalier qui conduit à une autre porte.
« Monte. »
Je monte l’escalier et je m’arrête sur un palier.
« Je vais ouvrir la porte: c’est la porte de mon donjon. Ne soit pas surpris du haut niveau l’éclairage, c’est pour que l’enregistrement sur bande vidéo soit de bonne qualité. »
L’homme ouvre la porte: effectivement le niveau d’éclairage est très élevé.
L’homme me laisse quelques secondes pour que mes yeux s’adaptent à ce niveau d’éclairage.
« Avance! »
Je fais quelques pas.
Je vois qu’un autre homme, de race noire, se trouve dans la pièce.
Il se dirige vers nous.
Il a le crâne rasé.
Lui aussi a le torse nu et est vêtu d’un pantalon, de bas et de souliers noirs
Il a un anneau de métal passé à travers chacun de ses mamelons.
Je remarque qu’il tient dans ses mains une paire de menottes ainsi qu’une petite chaine au bout de laquelle est accroché une longue et fine pince alligator.
Il tend les menottes à son acolyte: ce dernier les prends.
« Place tes mains derrière ton dos. »
J’obéis sans offrir la moindre résistance.
L’homme fixe les menottes à mes poignets.
L’homme de race noire s’agenouille devant moi.
« Tu ne m’as pas menti: cet homme est circoncis et il a le gland du pénis comme je les aime. »
De deux doigts d’une main, il baisse le devant de mon caleçon de sorte que ce dernier se retrouve derrière mon scrotum.
Il soupèse mes testicules
« Ils sont d’une bonne grosseur et son membre est dur et bien veiné. »
« Je te l’avais dit que je te fournirais un produit de qualité. »
Avec le pouce et l’index de sa main gauche, l’homme noir serre légèrement le bout de mon gland: les lèvres du méat s’écartent.
L’homme noir approche sa tête de mon pénis et il passe le bout de sa langue entre les lèvres écartées du méat.
Je prend une profonde respiration:
« C’est bonnnnn! »
« Maintenant, ça va faire mal! »
Je devine que c’est l’urètre et le gland de mon pénis qui vont en être la cible: je ne peux m’empêcher de réprimer un frisson
Tout en tenant ouvertes les lèvres du méat, il prend la pince alligator: il en ouvre les longues mâchoires effilées et dentelées.
Il glisse l’une des mâchoires le plus profondément possible dans l’ouverture du méat et il laisse les deux mâchoires de la pince se refermer.
Les dents acerbes des mâchoires pénètrent dans les chairs internes de méat ainsi que dans la peau tendre de mon gland qui est gorgé de sang.
Je ne peux m’empêcher de laisser échapper:
« Aaaaaaaaaa! »
La douleur est si vive et si soudaine que mes jambes flageolent: ils ont peine à me soutenir.
L’homme blanc qui se trouve derrière moi, passe ses bras entre les miens: il me prend par la taille et il joint ses mains sur mon ventre.
Il appuie la braguette de son pantalon contre mes mains me faisant ainsi toucher à son pénis qui est en pleine érection.
Au bout d’un moment, la douleur s’estompe légèrement.
L’homme blanc qui me soutient s’assure que mes jambes puissent me soutenir:
« Est-ce que la douleur est trop vive pour que tu puisses te tenir debout sans aide? »
« Non, ça va aller! »
L’homme blanc plaque fermement son bassin contre mes mains.
Je touche toujours à son pénis par dessus la braguette de son pantalon: je le serre du mieux que je peux.
L’homme semble apprécié mon geste: il se recule très légèrement.
Je tiens toujours fermement son pénis: il se plaque une seconde fois contre moi et il s’y maintient pensant quelques secondes.
Il me souffle à l’oreille:
« Tu es réellement vicieux! »
« Ce n’est pas ce type d’homme vicieux que tu recherches? »
« Comme nous allons bien s’occuper de toi! »
Il retire ses bras d’autour de ma taille et il s’écarte de moi.
L’homme noir se relève: il prend le bout de la chaîne opposé à la pince alligator:
« Suis-moi! »
Je n’ai d’autre choix que de le suivre, si je ne veux pas que les dents acerbes de la pince déchirent les chairs internes de l’urètre et externes du gland de mon pénis.
Il m’entraîne jusqu’à un endroit dans la pièce où il y a deux empreintes de pieds par terre.
« Pose tes pieds sur les marques. »
J’obtempère.
L’homme noir laisse choir le bout de la chaîne: je ressent une autre douleur intense au méat et au gland.
« Ça me fait très mal! »
« Endure ton mal, ce n’est que le début des souffrances qui te sont réservées. »
« La pince alligator me fait terriblement souffrir: je vous en prie, enlevez la moi? »
« Je vais te l’enlever plus tard, mais auparavant… »
L’homme noir presse sur les deux mâchoires de la pince alligator: les pointes acérées pénètrent encore plus profondément dans mes chairs.
« Aaaiiiiiieeeeeeeeeee! »
Mes jambes ne me supportent plus, mon corps vacille: je chois par terre à genoux.
Je penche la tête et je jette un coup d’œil à mon pénis: un mince filet de sang sort du méat.
Le filet de sang coule lentement le long de la hampe de mon pénis, il glisse sur la peau de mon scrotum et est finalement épongé par le bord de mon caleçon.
La souffrance qui est mienne depuis que la pince alligator mord mes chairs m’a empêché de porter quelque attention que ce soit à ce qui m’entoure.
Les deux hommes m’aident à me remettre sur pieds.
Une fois debout, je constate qu’il y a une table à proximité de moi sur laquelle sont disposés une panoplie d’objets qui vont surement servir à torturer mes parties génitales: l’homme noir prend une large sangle de cuir.
Il la fait passer entre mon bras et mon coté gauche, puis sur mes pectoraux, puis entre mon bras et mon coté droit pour finalement l’attacher très serrée dans mon dos au niveau de mes omoplates.
Il fait ensuite descendre du plafond un câble terminé par une attache à ressort.
Ce câble est situé à environ 5 pieds en avant de moi.
Il tire le câble et fixe l’attache à ressort à un crochet situé au milieu de la partie avant de la sangle de cuir.
Il fait de même avec un second câble qui est situé à environ 5 pieds derrière moi et qui est lui aussi terminé par une attache à ressort.
Il tire sur ce second câble et fixe son attache à un crochet au milieu de la partie arrière de la sangle de cuir.
Ayant toujours les poignets attachés dans le dos par des menottes, je ne peux absolument pas faire quoique ce soit pour résister à ce que l’on se propose de me faire subir.
Les deux hommes tirent ensuite sur les câbles jusqu’à ce que mes talons se soulèvent du plancher.
Les deux câbles sont alors attachés à des anneaux fixées au plancher.
Ils fixent ensuite deux nouveaux câbles à chacune de mes chevilles et les tirent jusqu’à ce que mes jambes soient écartées au point que je doivent me tenir sur la pointe de mes pieds.
Ces câbles sont eux aussi attachés aux mêmes anneaux fixées au plancher.
Pendant tout ce temps, le filet de sang continue à couler contre le hampe de mon pénis et souille de plus en plus mon caleçon.
Je suis à la merci de ces deux hommes.
Je commence à penser que je n’aurais pas dû revenir à cet endroit mais il est déjà beaucoup trop tard pour changer quoique ce soit à ma décision.
Je suis attaché par devant et par derrière, je suis sur la pointe des pieds, les jambes largement écartées, les poignets menottés dans le dos, une pince alligator qui me fait toujours horriblement souffrir et tous mes organes génitaux à la merci de deux hommes pervers.
L’homme blanc s’avance vers moi et me dit:
« Je vais te soulager un peu: je vais t’enlever la pince alligator.»
D’une main, il entoure mon pénis.
« Serre les dents, ça va te faire mal! »
Avec les doigts de son autre main, il desserre les mâchoires de la pince.
Les dents des mâchoires sortent lentement de mes chairs, me causant une douleur excessivement vive.
Je serre les dents pour ne pas hurler de douleur.
Le filet de sang coule toujours du méat de mon urètre tandis qu’un second filet de sang s’échappe d’une des marques laissées sur mon gland par les dents de la mâchoire externe de la pince alligator.
La douleur s’estompe très tranquillement.
L’homme blanc prend un tampon de ouate sur la table et l’imbibe d’alcool.
« Ça va brûler, mais c’est pour éviter l’infection! »
Je crispe les muscles de mes jambes et je prend une profonde respiration.
Il passe ce tampon de ouate sur toute la longueur et tout autour de mon pénis puis il l’applique sur la plaie de mon gland avant de l’insérer entre les lèvres du méat.
Je prend de rapides respirations et je resserre les dents pour contrer une sensation de brûlure causé par le contact de l’alcool sur les plaies vives.
Ma respiration demeure très saccadée.
« Ça me fait tellement mal: je vous en prie, laissez-moi récupérer un peu avant de continuer à me torturer. »
« Nous allons te permettre de te reposer et de récupérer un peu. Ensuite, nous allons passer aux choses sérieuses. »
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