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Grand-père

Grand-père



L’idée m’a effleuré que je pourrais être jugé. Que j’avais fait quelque chose de mal. Enfin que ma loyauté tout au moins pouvait être mise en doute. La victime principale était mon frère. Mon grand frère. Il est à préciser tout de suite que je ne l’ai jamais aimé. Je lui voue quasiment une jalousie pathologique. Bref mes scrupules et mes remords seraient ici débiles et insincères. Loin de regretter je me réjouis au contraire de lui avoir joué un si mauvais tour. Ainsi suis-je fier de cet exploit. Il m’a pour ainsi dire libéré et ouvert une nouvelle ère dans mon existence.

J’avais alors seize ans. Mon frérot dix ans de plus. A l’époque il collectionnait les nanas nous infligeant tous les mois une nouvelle maîtresse et conquête. Il les ramassait dans le ruisseau pour reprendre les termes de ma mère laquelle goûtait peu ses brus. Il est vrai que mon frère avait une prédilection pour les garces. Lydia cependant l’emportait sur toutes les autres. Je me souviens tout à fait la première fois où cette brune sorcière nous fut présentée. Outre qu’elle arborait fièrement sa quarantaine, elle incarnait parfaitement le genre vulgaire qui écume volontiers un trottoir.

Quasi en toute saison elle portait des bas noirs, des escarpins et une jupe courte. Je ne pense pas avoir jamais vu son visage départi de maquillage. Son regard quand il s’agissait d’un mâle de quelqu’âge qu’il fut, semblait vous jauger et vous déshabiller. Vous sembliez un amant potentiel ou aurais-je dire un client. Il y avait certes le risque que tout cela fut de notre part un vilain préjugé et que cette créature en réalité se comportât bien. Hélas nous eûmes vent bientôt que nos appréhensions n’étaient vaines. Quelques mâles de la famille commencèrent à rouler dans la fange.

Ce fut d’abord les plus âgés. Je mets à part la vantardise nécessaire du mâle. Chez celui-ci il y a propension à multiplier ses conquêtes et à proclamer partout ses bonnes fortunes. Cependant au cas particulier il suffisait d’observer pour voir qu’entre les comparses on avait couché et établi la connivence des pervers. Ce fut d’abord mon oncle, coureur patenté. Dès le premier jour il vit l’opportunité de circonvenir la garce. Il s’en était ouvert et vanté à Mario, un pote de mon âge avec qui il tapait la balle de tennis. Il avait un matin emmené la coquine à la gare.

Allant au plus pressé il avait doctement posé sa main sur la cuisse de la dame, celle-ci loin de s’en offusquer avait pris la chose en plaisanterie. Bref au bout de la troisième rue après qu’il eût stoppé le véhicule, ils s’embrassaient. Elle le branlait déjà et acceptait de le sucer. Elle ne vit nulle inconvénient à ce qu’il prit aussitôt son plaisir. Mini-jupe oblige, le fil du string fut hâtivement écarté et la bite introduite. Il put lâcher la purée. Tout cela fut nettoyé tant bien que mal. Du sperme menaçant de couler sur le bas. Enfin il avait obtenu la chose assez facilement.

Mon frère grand jaloux, faisait à sa miss de pathétiques scènes au su de tous. Elle le rembarrait effrontément. Il en était accro ne pouvant se résoudre à licencier la gueuse et la menteuse. Il était la risée de tous. Notre mère n’avait de cesse de le convaincre de se reprendre. De faire montre d’un autre courage. Il regardait les mâles de la maison et du voisinage comme des potentiels rivaux. Plus d’une fois furent évité la rixe et le coup de poing. La garce avait débauché beaucoup de monde. Je ne fus pas peu étonné cependant que mon grand-père lui-même y mit sa marque.

Je le sus d’autant que je fus dans la confidence et quelque part témoin de la chose. En effet je vins un soir à me répandre sur ma belle sœur qui partout semait le désordre et la zizanie. Le papy m’expliqua que c’était l’archétype de la femme facile. N’importe quel gars pouvait en disposer. Je lui fis remarquer par malice qu’avec ses soixante-cinq balais, il serait sûrement éconduit. Il me dit que j’étais un sot et un puceau. Que je méconnaissais ce genre de garce. Bref nous chauffant l’un l’autre cela lui parut comme un défi. Nous en vînmes à parier. Il ne se proposait pas moins de la sauter.

Le papy était un vicieux. Il insista pour que je me cache en un coin pour vérifier son exploit. Il allait la recevoir dans son salon. Il m’assurait à tout le moins que j’assisterais au début. Bien que je fus passablement excité, je protestai en un premier temps. J’incitais mon grand-père à devoir y renoncer. J’étais prêt en effet à le croire sur parole. Puis voyant sa résolution je trouvais inconvenant le rôle de voyeur. Bref nous disputâmes longtemps. Je cédais à la fin de guerre lasse. La scène se passa un soir. Papy m’avait ménagé une place confortable au creux de l’armoire.

Je voyais suffisamment de ce salon. Notamment le canapé où la miss allait s’asseoir et de dos le fauteuil où le grand-père ferait de même. Moi-même étais-je assis sur un tabouret pour ne pas souffrir de fourmis dans les jambes. Le son de la télé était fort afin de couvrir éventuellement les bruits que je générerais. L’embêtant est que je ne pus saisir le principal de la conversation. Les gestes du moins étaient éloquents. Ceux de madame du moins car l’oncle je le répète était caché par son fauteuil. L’un, l’autre s’envoyait allègrement du Whisky. Cela préludait au pire.

Elle était plus maquillée que nature. Elle semblait ridicule telle une poupée tragique. Elle se perdait en mimiques n’ayant d’autres objets que de subjuguer le mâle en face d’elle. J’eus l’impression ce jour-là qui lui importait peu de savoir la qualité de son vis-à-vis. Seul comptait qu’il fut du sexe opposé avec une bite entre les cuisses bien en état de fonctionner. Mon papy avait vu juste. Le mot de pute n’était assez fort pour la qualifier. A présent elle avait renoncé à balancer l’escarpin au bout du pied. Elle avait retiré celui-ci. Elle s’était indécemment couchée mi-nue sur le canapé.

Elle riait à gorge déployée. L’alcool manifestement la ravageait. D’une main fébrile elle avait accentué l’échancrure du chemisier. Elle signalait de cette façon la naissance d’un sein dont elle n’était pas peu fière. Mini-jupe ostensiblement relevée elle ne cachait rien tant de la naissance d’un bas que de la couleur parme de la culotte. Celle-ci était transparente en sa base. On pouvait y deviner du poil pubien. Papy devait autant que moi bander. Je pariais qu’il devait lui asséner des propos infamants et vicieux. Ceci semblait la rendre folle.

Soudain, elle s’installa de côté relevant la jupe pour exhiber son cul et y introduire à fond ses doigts. Ensuite l’œil pétillant et insolent, elle plaça ceux-ci dans sa bouche sur la bord d’une langue comme pour les savourer. Je n’avais jamais vu pareille geste obscène. Tel le serpent dans sa danse, elle signifiait au grand-père qu’elle était prête et offerte. Manifestement il dut lui faire un signe car en un instant, elle fut sur lui se coulant à ses pieds. Je mis du temps à deviner qu’elle était en train de le sucer. Cela dura un temps interminable.

Enfin ils se levèrent. Elle chancelait un peu. L’alcool l’avait semble-t-il entamé. Le grand-père en mâle dominateur l’embrassait lui pelotant d’une main puissante, la fesse. Chose abandonnée, il allait l’entraîner dans la chambre pour parfaire son ouvrage. Il tourna un instant la tête vers moi. J’y vis le sourire d’un César triomphant. Le lion allait se repaître de sa gazelle dans son antre. La porte peu après se referma sur tous deux. J’attendis un instant avant que de sortir. J’en avais assez vu. Empli de mille émotions je décidais à m’enfuir loin tel un voleur.

Le grand-père m’assura qu’il l’avait sauté comme l’eût fait un vigoureux jeune homme. Il ajouta malicieux que j’aurais du voir cela pour mon apprentissage. C’est à ce moment qu’il me fit entrer dans la tête que moi aussi je pourrais en profiter. Je lui rétorquais mon jeune âge. Il me fit observer qu’un de mes cousins d’âge comparable en avait profité ce que je savais. Bref autant cette pute couchait avec un vieux, elle pourrait autant le faire avec un jouvenceau. Je n’avais point d’excuse. Je devais y aller et à mon scrupule de trahir mon grand frère, il balaya cela d’un revers de la main.

Longtemps trouvais-je grotesque la proposition. Le grand-père revenait à la charge et à chaque fois je faisais mon têtu. Puis vint le coup de pouce du destin. Cela vint de ce fameux cousin qui l’avait culbuté. Je le détestais particulièrement. Il n’avait de cesse de m’écraser sous ses mépris. Le papy avec machiavélisme était allé lui conter que je mettais en doute son exploit avec la garce. Aussi me tomba-t-il un matin sur le paletot. Il entra dans mille et un détails. Il l’avait sauté deux fois. Souvent dans les toilettes lui prodiguait-elle des pipes. Il s’offrait à me le montrer.

Là aussi j’éludais. Je dis furieux que je le croyais et qu’il me foute la paix. Il me donna peu après rendez-vous à la brasserie du centre commercial. Je me morfondais depuis d’un quart d’heure lorsque le portable vibra. Cet imbécile me demandait de le rejoindre sur le parking arrière. Me guidant par téléphone, il me dit si je voyais une Audi noire au milieu. En effet je vis celle-ci sous un lampadaire. A pareille heure du soir l’obscurité se déployait. Je vis qu’il y avait du monde dans le véhicule. Goguenarde une voix cria : »Mate je saute la salope ! »

En effet me glissant entre les véhicules je pus m’approcher assuré de n’être vu. De toute façon on semblait dedans s’envoyer en l’air. Je voyais en effet les pieds de manifestement une femme. L’Audi avait des soubresauts comiques. On forniquait à tout-va. Lors le couple changea peu après de position. Il adoptait la levrette. Cette fois point de doute, je reconnus tant le visage de la pute que celle du cousin. Il la défonçait par-derrière. L’air hagard, elle prenait visiblement son pied. Cela finit en pipe car le cousin yeux mi-clos avait sa bouche ouverte.

A ma grande honte pétrifié près d’un camion je me branlais dans l’obscurité durant l’opération. Soudain le téléphone vibra. C’était encore lui. Il me sommait de venir le rejoindre. La salope était d’accord à me sucer. Ne demandant mon reste je m’enfuis pris de panique. Je n’avais pas vu le coup venir que le coquin eût voulu m’associer à leurs jeux. Penaud j’en vins à éviter durant ces jours le chenapan. Il m’avait donné quelque part une leçon. Par contre j’oubliais que la garce savait et pouvait me convoquer. On fourbissait durant ce temps à mon encontre un piège.

En effet un midi je fus appelé d’urgence chez le grand-père. Il avait besoin de moi pour une course. Je ne songeais plus à ces circonstances scabreuses. Loin de me méfier j’arrivais guilleret chez lui. Concevez ma surprise de le voir dans le salon en compagnie de la salope. J’eus idée qu’ils avaient baisé avant mon arrivée. Elle était toujours autant maquillée. Sa robe me parut encore plus courte que d’habitude. Le grand-père m’ordonna d’être près d’elle sur le canapé. Ce dernier était saturé de son parfum. Elle me jeta un regard de serpent matinée d’un sourire cruel.

L’un, l’autre m’obligèrent à partager leur Whisky, alcool que je supporte peu. Ainsi fus-je au bout d’un temps ivre ne sachant plus trop le fil de la conversation. Elle s’était à présent collée contre moi. Elle me caressait. Je percevais que ma queue toute dure devait manifester une bosse caractéristique. Le grand-père riait se tapant sur les cuisses. Il se réjouissait de sa bonne blague. Un moment se levant, il vint vers moi disant d’un ton fort sentencieux. « Je suis las. Je vais me reposer. Sois gentille avec elle.» Puis il disparut dans sa chambre.

Il serait trop fort de dire que je fus ce jour violé. Cependant l’alcool m’avait achevé. Pieds et poings liés j’étais livrée à une goule. Peu après que le grand-père eût fermé sa porte, sa bouche dévora la mienne. Puis ce fut une très longue fellation. Ceci m’apaisa et en quelque sorte me ranima. Je devenais en effet un autre sous l’effort impérieux de ses lèvres. A partir de cet instant j’en vins à savourer et rechercher souvent cette sensation dont on m’avait dit tant de bien dont mon cousin. Oui quelle merveille que d’être sucé. Ma queue dans sa bouche parcourait le Paradis.

Le reste fut un peu confus. Ma main maintes fois s’enfonça dans sa culotte pour pétrir son sexe. Puis à un moment je fus à l’intérieur de ses cuisses à besogner dans une étrange nage ou danse. Je la limais vraisemblablement. Elle gémissait. Feignait-elle ou étais-je déjà devenu un émérite baiseur ? Quoiqu’il en soit je fus soudain libéré de mon foutre. Je me répandais. J’étais converti. Elle m’avait adoubé. J’étais un homme égale aux autres. Sottement je lui confiais que j’étais heureux et amoureux. Elle me moqua. Elle me promit que nous recommencerions.

Ainsi fut-il convenu souvent de se donner rendez-vous chez le grand-père. J’étais irrité de savoir que celui-ci peut-être se le tapait avant mon arrivée. N’empêche grand seigneur il nous laissait loisir d’user de sa chambre et de son lit. Durant trois heures j’achevais mon éducation. En moins de six mois je devins tout à fait un amant remarquable ce dont elle m’assura. J’étais moins empoté. Même mon cousin ne m’en imposait plus. Je regardais maintenant les autres filles et femmes avec un air de bravache. Aussi aujourd’hui j’évoque cette femme et cet épisode avec un peu de nostalgie.

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