Ce n’était pas la première fois que j’appellerai pour prendre des renseignements pour des annonces de services d’escort. Mais celle-ci m’avait tapé dans l’œil, l’annonce n’était pas très bien écrite mais les 2 photos présentées montraient de longs cheveux ondulés, un dos magnifiquement cambré et des fesses rondes et fermes. On pouvait aussi apercevoir le haut des bas résilles… tout un programme.
Je ne laisse plus avoir par les photos à cause d’une mauvaise expérience. J’appelle quand même, la voix qui me répond est charmante et agréable et l’accent me fait comprendre qu’elle n’est pas d’ici. Sympathique et souriante, la jeune femme m’indique ces conditions. Le rendez-vous est pris pour 45minutes plus tard.
Je me prépare, et après avoir un peu cherché, je me retrouve devant un immeuble, plutôt ancien mais bien entretenu. Un dernier appel me permet d’avoir le code d’entrée et la bonne porte. Me voilà prêt ! Je tape, j’entends au loin la même charmante voix qui dit « J’arrive ». La porte s’ouvre sur une magnifique métisse, la peau couleur cuivre, belle, mince mais avec de très belles formes et un magnifique sourire. Elle est en talon, bas-résille, string, soutien-gorge. Un collier et deux boucles d’oreille ornent son visage. Cette demoiselle s’est entretenir son corps et se mettre en valeur. Elle me fait entrer, me demande de m’assoir et commence à baisser les stores. L’appartement est épuré, une table-basse avec une télé allumée, un canapé blanc et un matelas assez épais pour la suite de la séance. On discute quelques instants des souhaits et des interdits, toujours de manière courtoise et agréable, et je lui offre son cadeau.
Elle me demande de me mettre à l’aise. J’enlève d’abord mon tee-shirt. Elle se rapproche de moi, je sens son souffle dans mon cou, ses lèvres et sa langue m’effleurent. Elle me frôle et caresse chaque partie de mon corps dans une danse lascive, sensuelle, érotique… Au bout de quelques instants (secondes, minutes…j’ai perdu la notion de temps), elle passe derrière moi et détache les boutons de mon pantalon. Sa main glisse dans mon slip et caresse délicatement mes bourses. Juste le temps d’apprécier cette délicate caresse, et je la retrouve à genoux devant moi en train de baisse complètement mon pantalon. J’avoue que j’aurai préféré qu’elle prenne un peu plus de temps sur cette partie, mais peut-être y reviendra-t-on. Fini les préliminaires, mon sexe est dans sa bouche et elle sait y faire ! Dans une frénésie inconcevable, elle alterne gorge profonde, petits mouvements de langue sur mon gland, masturbation à pleine main… jusqu’à même gober mes testicules. Je m’oublie complètement et si je ne l’avais pas arrêtée un peu sèchement d’une main ferme, je me laissais couler entre ses doigts.
Elle remonte et susurre au creux de mon oreille : « tu aimes que je suce ta queue, mon cochon. Maintenant, baise-moi ». Elle va chercher une capote sur la table basse, s’allonge sur le dos sur le matelas et relève ses jambes. Avec sa main, elle prend un peu de salive et tartine ses lèvres du bas. Après avoir correctement installé la protection, je m’allonge sur elle et commence à faire entrer mon pénis dans son con. Il a du mal à entrer, elle ne mouille pas beaucoup. Quelques tentatives plus tard, ça y est, je suis bien installé. Elle s’offre magnifiquement, avec hargne, même violemment parfois. Ces plaintes, pas toujours véridiques malgré tout, résonnent dans le salon. Ma queue est raide en elle, elle glisse bien maintenant. Je profite de ma main droite qui est libre pour aller caresser son corps, ses cheveux que j’att**** parfois avec force, ses seins bien fermes, ses hanches, et du bout des doigts, je tâte le terrain arrière et boueux. Elle retient ma main avant qu’elle n’aille plus loin et m’annonce que je dois être plus généreux… Malheureusement, je n’avais pas prévu le coup et n’était pas venu pour ça de toute façon. On change de position, je l’installe en levrette… à défaut de pouvoir y entrer, je vais le mater ce cul… et quel cul ! je l’att**** parfaitement. Avec une main, j’appuie légèrement sur son dos pour lui demander de se cambrer un peu plus. Elle s’exécute. Je me lâche complètement et abandonne toutes mes bonnes manières, ma délicatesse, ma courtoisie, ma galanterie… JE LA BAISE ! Avec force et passion, j’oblige son cul à s’empaler sur ma queue dans un claquement qui remplit toute la pièce. J’atteins alors le nirvana, le plaisir absolu, je n’ai plus aucune limite et je l’entends râler. On est comme deux animaux qui forniquent, des bêtes à la recherche du pur plaisir bestial. Je sens que je ne vais plus tenir très longtemps, mon sperme remonte de mes testicules… Je veux me retirer avant pour prolonger le plaisir, mais elle ne l’entend pas ainsi. Le rapport de force est complètement inversé ! ce n’est plus moi qui la tient et l’oblige à s’empaler, c’est elle qui recule et avance pour me terminer.
Non, pas tout de suite, je veux une fin digne de ce nom et pas juste jouir dans une capote dans sa chatte. Je trouve la force de me relever, en sueur, épuisé. Je titube et j’utilise toute mes forces pour contracter mon pénis et éviter que mon sperme m’échappe. Alors que je la pensais épuisée comme moi, je la vois, avec une vitesse surprenante, se relever et se remettre à genoux devant moi. Elle enlève rapidement la capote, et me suce à nouveau… pas très longtemps, elle m’a eu, elle m’a vaincu, terrassé. Ma bite est à peine entrée deux fois dans sa bouche qu’elle s’est mise à sursauter. Dans un réflexe, elle l’a enlevé de sa bouche, l’a attrapée avec sa main droite et l’a branlée… J’ai joui dans une plainte interminable sur sa poitrine qu’elle a relevé avec son autre bras. Pendant 10 secondes, je n’étais plus dans mon corps, mes sens se sont éteints me permettant d’apprécier parfaitement cet instant magistral.
Après avoir retrouvé mes esprits, je me suis excusé, car mon sperme avait atteint son visage et elle éteint en train de chercher des lingettes pour se nettoyer. Elle était toujours souriante, et ne m’en voulait pas. Elle se nettoie complètement et me nettoie aussi par la même occasion. Elle m’indique qu’il me reste encore un peu de temps et que si je le souhaitais, on pouvait recommencer. Je voulais juste m’allonger à côté d’elle. Elle accepte et on s’allonge. Après avoir soufflé quelques instants, elle recommence à me caresser le pénis et les testicules. Je luis dis alors délicatement qu’elle m’avait complètement épuisé et que je ne pourrais pas remettre ça. J’apprécie juste le moment présent, je souffle, elle est tout à côté de moi. Elle me laisse prendre une douche, pendant qu’elle range le salon. Elle me demande si tout est ok pour moi…oh que oui ! Je m’en vais, libéré, détendu, serein, léger… mais aussi épuisé et vidé. Je me dis que je reviendrais, et la prochaine fois avec un supplément.
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