Avertissement : Ce récit est une fiction qui raconte comment un jeune homme maigrichon prend le contrôle de personnes afin de les asservir sexuellement. Si vous n’aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire.
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La revanche sur sa salope de sœur.
« Je ne peux pas croire qu’ils m’aient viré » Pensa Bruno. Bien sûr, son prototype n’avait pas fonctionné comme prévu mais ce n’était pas de sa faute. Il était si proche du but.
Rageur, avec l’idée bien ancrée de se venger des humiliations subies, il passa les prochains mois sur un nouveau projet. Sa principale motivation fut de se venger de la présidente de l’entreprise, une salope nommée Sarah LODDE qui était personnellement responsable d’avoir mis fin au financement de son projet.
Elle était très belle. La rumeur racontait qu’elle avait couché pour arriver à la tête de l’entreprise. Mais elle avait ri de lui et l’avait blâmé de son échec après des recherches ayant duré trois ans.
A 25 ans, après avoir été rejeté toute sa vie, par de belles femmes mais laides à l’intérieur, il passa chaque seconde de son temps sur son nouveau médicament de contrôle mental. A l’origine, celui-ci aurait dû être utilisé pour des interrogatoires afin que les personnes disent la vérité. Mais aujourd’hui, Bruno avait d’autres buts à l’esprit.
Au cours des essais, son produit semblait fonctionner pendant un court laps de temps avant que la personne cobaye ne commence à se déshabiller et demande à être agressé sexuellement.
Bruno était ami avec les concierges de l’entreprise qui eux aussi étaient ignorés par tous les cadres. Cela lui permit d’avoir un accès illimité à tous les produits chimiques et les équipements de l’entreprise. Il put continuer à modifier son médicament avec un seul but en tête : la vengeance.
Six mois après son licenciement, la drogue fut prête. Elle avait été modifiée pour changer la fibre morale d’une personne. En réalité, elle modifiait la prise de décision de l’individu avec une manipulation psychologique :
• La personne ne pouvait pas mentir.
• Le corps de la personne obéissait aux ordres même si l’esprit conscient s’opposait à cette obéissance.
• La libido sexuelle de la personne augmentait considérablement. (Il avait tenu à mettre en œuvre ce point afin de se venger de cette chienne de Sarah ainsi que d’autres qui l’avaient mal traité au cours des années passées).
• La personne se sentait enfermée dans des vêtements et elle voulait être nue.
• L’impact du médicament était permanent sur la personne infectée (la drogue d’origine n’avait d’effet que pendant une heure. Toutefois, il n’était pas encore certain. L’effet pourrait durer quelques heures, jours, semaines ou indéfiniment).
Aujourd’hui, Bruno, ayant tout perdu, se retrouvait à vivre dans la maison de sa mère et de sa sœur Catherine. Celle-ci n’avait pas manqué de le traiter de « looser » pathétique.
Alors qu’à sa naissance, Bruno avait obtenu l’intelligence, sa sœur elle avait obtenu la beauté. A 20 ans, elle était étudiante et faisait partie d’un groupe de danse féminin et se sentait supérieure à lui.
Bruno décida qu’il devait tester sa drogue avant d’approcher Sarah son ancienne patronne. Sa salope de sœur était le cobaye évident.
Cette nuit-là (presque le matin puisqu’il était sept heures, mais après avoir travaillé si longtemps, Bruno était désorienté) pendant que sa sœur dormait, il entra dans sa chambre et pulvérisa le produit sur son visage.
En la regardant dormir, il la trouva vraiment belle. Un pincement de culpabilité le frappa quand il réalisa les conséquences de son acte sur sa propre famille. Mais il était trop tard.
Sa mère, infirmière à l’hôpital, était déjà au travail. Il avait donc quelques heures pour tester sa drogue et, si ses théories étaient justes, reconditionner sa sœur.
Une minute après l’avoir aspergé, Catherine toussa, renifla l’odeur, s’assit dans le lit et hurla quand elle vit son frère la regarder fixement :
– Qu’est-ce que tu fais Bruno ?
– Bonjour sœurette. Dit-il en souriant et regardant ses gros seins sous la nuisette violette.
– Sors d’ici gros pervers. Ordonna-t-elle arrogante.
– Je remplace le réveil. Dit-il un peu inquiet.
– Que veux-tu dire ? Demanda-t-elle en le fixant d’un air peu éveillé.
– Je veux dire qu’il est temps que je te remette à ta place. Répondit-il avec impatience
– Vas te faire foutre, chômeur.
– Et toi tu es une belle salope.
Bruno recula légèrement et ajouta :
– Et je trouve que c’est à la fois physique et psychologique.
– Ohhhh mon frère si intelligent sait utiliser de grands mots.
Désireux de tester son invention, le sexe de Bruno commença à se raidir dans son pantalon. Il ordonna :
– Montre-moi tes seins sœurette !
Elle se moqua :
– Tu rêves. Je savais que tu étais puceau mais en plus tu es pathétique.
Son frère sourit car il savait qu’elle cracherait son venin comme le ferait son ancienne patronne quand il la droguerait. Mais pendant qu’elle parlait, elle leva inconsciemment sa nuisette. Regardant les gros seins fermes il dit :
– Ils sont aussi magnifiques que je le pensais.
Catherine baissa les yeux et hoqueta en se rendant compte qu’elle avait enlevé sa nuisette. Perplexe elle demanda :
– Que se passe-t-il ?
– Malaxe tes gros nichons. Ordonna-t-il en jouissant du regard confus sur son visage.
– Sors de ma chambre !
Alors qu’elle prononçait ces mots de colère, ses mains obéirent à son frère et prirent ses seins.
– D’accord. Répondit Bruno.
Il comprit que le produit, fruit de ses longues années de travaux de recherche, fonctionnait exactement comme prévu. Il alla directement à la cuisine, attrapa un concombre et revint sans prévenir sa sœur. Les mains de celle-ci continuaient à lui malaxer les seins sans qu’elle puisse les stopper. En colère et contrariée de ne pouvoir faire arrêter ses mains elle demanda :
– Que m’as-tu fait ?
En haussant les épaules il répondit :
– J’ai juste modifié ton petit cerveau et ce fut facile.
– Je vais te tuer ! Le menaça-t-elle, le visage rouge de colère.
– Je ne crois pas. Tu vas juste te baiser avec ce concombre.
Il jeta le légume à côté d’elle sur le lit.
– Je ne le ferai pas. Affirma-t-elle tout en saisissant le concombre.
– Mais avant, pourquoi tu ne sucerais pas un petit peu ton nouvel ami.
Bruno sortit son téléphone pour la filmer.
– Qu’est-ce qui ne va pas avec…..
Elle commença sa question mais fut bientôt étouffé par le légume. Elle le suça lentement, les yeux exorbités et en colère.
Il la filma amusé. Puis après quelques minutes il dit :
– J’ai l’impression que tu as beaucoup d’expérience.
Elle le fusilla avec ses yeux. Mais il ordonna :
– Maintenant, baise toi avec ton nouveau jouet.
Sortant le concombre de sa bouche, Catherine continua à insulter son frère :
– Mon pauvre Bruno, tu me fais pitié. Tu ne peux pas avoir de copine alors tu te venges sur ta sœur.
– Tu as raison c’est de la vengeance mais pas pour la raison que tu penses.
– Pourquoi alors ? Demanda-t-elle en baissant distraitement sa culotte.
– Tu as été toujours été une vraie salope avec moi alors je vais maintenant t’apprendre le vrai sens de ce mot.
– Une salope ? interrogea-t-elle tout en glissant le concombre dans sa chatte.
– Bien sûr que tu es une salope. Vois comment obéir à ton frère t’excite.
– Vas baiser ! Dit-elle en pistonnant sa chatte avec le concombre, désespérée de sentir du plaisir.
– Bientôt. Répondit-il.
– Tu vas me baiser ?
Sans pouvoir se retenir, elle gémit, désolée de ne pouvoir se contrôler et mortifiée de se voir soumise à son intello maigrichon de frère.
– Quand tu me le demanderas. Répondit Bruno heureux de voir que sa drogue fonctionnait si bien.
– Quand l’enfer gèlera ! cria-t-elle ne comprenant toujours pas sa situation.
Amusé de voir qu’elle n’avait pas encore pris la mesure de son contrôle sur son esprit il rit :
– Tu es vraiment une idiote. Je ne comprends pas que nous soyons frère et sœur.
Tout en continuant les va-et-vient dans sa chatte avec le concombre, elle rétorqua avec un air de défi :
– Je me pose cette question depuis longtemps.
– Tu es si adorable et si salope avec ton air arrogant.
– Je te ferai payer, bâtard !
– Vas plus vite et enfonce ton jouet plus profond. Demanda-t-il.
Elle le maudit :
– Enfoiré…
– Es-tu excitée ? Questionna-t-il tout en connaissant la réponse.
Offusquée et sa respiration devenant plus lourde elle admit :
– Oui bon sang.
– Es-tu excité de te branler devant ton frère ?
– Oui maudit. Comment m’as-tu fait ça ?
– Simple chimie. Les cours que tu n’as pas suivis.
– Sale puceau ! l’injuria-t-elle tout en remuant rapidement le concombre dans sa chatte.
– C’est toujours mieux qu’une chienne qui se branle avec des légumes.
– C’est toi qui m’oblige.
– Sur la vidéo, tu le fais toute seule. Dit-il avant de demander :
– Est-ce que tu aimes te pénétrer avec un concombre ?
– Oui. Admit-elle.
– Est-il plus gros que la bite de ton petit ami musclé Michel ?
– Oui. Admit-elle encore avant d’ajouter : Quand il saura ce que tu m’as fait, il va te massacrer.
– Bah, je vais surement en faire un suceur de bites.
Tout en disant ces mots, Bruno haussa les épaules. Et il trouva son idée très attrayante. Transformer un de ses tourmenteurs en soumis ne serait que justice.
– Il ne le fera jamais. Dit sa sœur.
– Comme toi qui ne s’enfonce pas un concombre dans le sexe….
– Merde… Dit-elle faiblement tandis qu’un orgasme commençait à se développer.
Bruno ajouta un autre ordre :
– Chaque coup de concombre au fond de ta chatte augmente ton plaisir.
– Oh ouiiiii. Gémit-elle, pas loin de l’orgasme.
– Mais tu ne peux pas jouir tant que je ne t’y autorise pas.
Sadique, il voulait que sa sœur le supplie. La respiration de celle-ci devint erratique sachant qu’elle ne pourrait briser cette règle donnée à son esprit.
Sachant qu’elle ne pouvait plus mentir, Bruno demanda :
– Qu’est-ce qui te donne le plus de plaisir : le concombre ou la bite de ton petit ami ?
– Oh mon Dieu. Gémit-elle, son regard devenant désespéré.
– Lequel salope ?
– Le concombre bon sang !
Elle cria la réponse, pompant furieusement le légume dans sa chatte, frustrée de ne pouvoir jouir.
– Veux-tu jouir ?
– Ouuuuiiiiiiiiiii. Gémit-elle.
– Supplie salope de sœur. Ordonna-t-il heureux du pouvoir qu’il avait sur elle.
– Je ne suis pas une salope. Protesta-t-elle.
– Dit la fille qui se baise avec un concombre. Répondit-il.
Sa sœur supplia, la sueur coulant sur son visage :
– Laisse-moi jouiiiirrr.
– Et ?
– S’il te plait, je veux jouir. Dit-elle faiblement.
– Tu peux faire mieux que ça.
Elle le maudit violemment. Mais après une brève pause, elle le supplia tout en continuant de pilonner sa chatte avec le concombre :
– S’il te plait grand frère, laisse ta salope de sœur jouir.
– A trois alors.
– S’il te plait, dépêcheeeee… Gémit-elle, sa respiration étant si irrégulière qu’elle pouvait s’évanouir.
– Un, deux, trois. Compta-t-il rapidement.
– OOOOUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIII……
Elle cria assez fort pour réveiller le quartier et elle s’effondra en arrière.
Son sexe dur comme du roc, Bruno mit son téléphone de côté, ravi que son produit fonctionne comme il l’avait prévu. Il enleva rapidement son jean et son caleçon pendant que sa sœur continuait à trembler de son orgasme. Puis, sa bite à quelques centimètres du visage de sa sœur, il demanda :
– Aimes-tu sucer des bites ?
Catherine ouvrit les yeux et fixa le sexe énorme de son frère qui était presque deux fois plus important en longueur et en circonférence que celui de son petit ami.
– Oh mon Dieu Bruno !
– Oh mon Dieu quoi ? Demanda-t-il tout en sachant déjà que toute fille ayant vu sa bite était choquée par la taille… surtout pour un intello puceau.
– Enlève ça ! Dit-elle.
Pourtant, elle ne se détourna pas. Bruno répéta sa question :
– Aimes-tu sucer des bites ?
– Oui j’adore. Répondit-elle honnêtement bien qu’elle n’ait jamais eu un engin si gros dans sa bouche.
– Veux-tu sucer le mien ?
– Oh oui…
Elle répondit rapidement puis se couvrit la bouche consciente que les mots qui étaient sortis de sa bouche n’étaient pas les mêmes auxquels elle avait pensé.
– Pourquoi je ne peux pas dire ce que je pense ?
– La drogue te fait dire la vérité. Répondit-il en haussant des épaules.
– Oh merde !!! je n’aime pas ça !!!!
– Est-ce que tu avales ? demanda Bruno, continuant le questionnement de sa sœur.
– Parfois, mais je préfère avoir une bite en moi.
Puis elle maudit son frère de ne pouvoir mentir. Celui-ci continua, amusé quand il la regardait être déconcertée par ses réponses et incapable de quitter son sexe du regard.
– Et sur le visage ?
– Beurk. Répondit-elle.
– Et que l’on éjacule sur tes gros seins ?
– Michel aime bien.
Bruno caressa sa bite et demanda :
– Ma petite sœur, que veux-tu en ce moment ?
– Avoir ce gros membre en moi !
Puis elle le regarda effrayée et ajouta :
– Merde, je ne peux vraiment pas mentir.
– Non, maintenant tu dis ce que tu veux vraiment.
– Pour toujours ? demanda-t-elle préoccupée par l’avenir.
– Ah je ne sais pas. Répondit-il même s’il savait.
– Je ne peux donc plus mentir à personne. Demanda-t-elle pétrifiée.
– Et oui, tu devras toujours être gentille avec les gens.
– Arghhhhhh. Soupira-t-elle.
– Tu es mon esclave maintenant.
– Mais tu veux vraiment baiser ta sœur ?
Elle posa la question tout en lui jetant un regard de dédain. Il lui répondit par une question :
– Tu ne veux pas que je te baise ?
– Oui, non, la question est déroutante. Balbutia-t-elle, complétement dépassée.
– Désolé pour la négation, je vais simplifier. Veux-tu baiser ton grand frère ?
– Mon Dieu oui.
Elle admit ce que sa chatte voulait même si son cerveau pensait que c’était dégoutant.
– Ma bite est-elle plus grosse que celle de tes copains ?
– Elle est énorme. Acquiesça-t-elle.
– Alors vas-y, caresse le, je sais que tu en as envie.
Hypnotisée par la taille et la circonférence du membre, elle le saisit tout en disant :
– Il est si gros… et si dur.
– Il est tout pour toi ma petite sœur… salope.
Catherine prit la bite dans sa bouche. Elle remua sa langue autour du gros gland.
Bruno la regarda, fasciné de voir comment sa drogue avait affaibli les inhibitions de sa sœur. Il s’émerveilla de la voir sucer son sexe. Sa bouche était incroyable, produisant de la salive et lui donnant une incroyable sensation.
Elle sortit le membre de sa bouche pour demander :
– Est-ce que ça plait à mon frère ?
– Très bien.
Il lui répondit, content de constater qu’elle l’avait demandé par elle-même. Il ajouta :
– Et toi ?
– Elle est tellement grosse. Répéta-t-elle en le reprenant dans sa bouche.
Bruno sourit en la regardant ne pas pouvoir résister. Après une autre minute, il demanda :
– Est-ce que ma sœur veut se faire baiser ?
Elle ouvrit grand les yeux et sortit la bite de son frère de sa bouche pour dire, sans lâcher le membre :
– Ce serait de l’i****te.
Bruno rit :
– Pourtant tu as eu ma bite dans ta bouche.
– Une fellation n’est pas vraiment baiser. Me rétorqua-t-elle.
Il savait qu’elle avait sucé beaucoup de garçons mais ne s’était faite baisée que par deux. En riant il dit :
– C’est ridicule. Et la sodomie c’est baiser ?
– Tu es grossier. Protesta-t-elle
Il savait aussi qu’elle avait toujours refusé la sodomie. Il sourit.
Alors, en le voyant sourire et connaissant le pouvoir qu’il avait sur elle, elle supplia :
– S’il te plait, ne me donne pas envie d’être enculée.
Bruno haussa les épaules :
– Tant que tu es une bonne petite sœur esclave, je ne t’ajouterai pas cette envie.
La chatte de Catherine était complétement humide et demandait que l’on s’occupe d’elle. Alors, elle pensa qu’il ne bluffait pas et se mit à quatre pattes, s’offrant à son frère :
– Alors, qu’attends-tu mon grand frère ? Fais de ton fantasme une réalité.
– Tu la veux dans ton cul ? Taquina-t-il.
– Non mon frère. Remplit la chatte de ta sœur avec ton énorme bite
– Je ne sais pas… Continua-t-il à la taquiner tout en se plaçant derrière elle, amusé de la voir offrir son sexe sans qu’il l’ordonne.
– Baise ta salope de sœur.
Elle le supplia, priant qu’il prenne sa chatte plutôt qu’il la sodomise.
Tout en glissant son sexe en elle, il sourit et dit :
– Si tu insistes.
– AAAAAHHHHH. Cria-t-elle tandis que le membre la remplissait complétement contrairement à ce qu’elle avait déjà connu.
Se maintenant au fond d’elle et connaissant déjà la réponse Bruno demanda :
– Tu aimes.
– Mon Dieu oui.
Elle l’admit, voulant plus. Alors, sans s’en rendre compte, elle commença à faire coulisser son bassin sur la bite.
Son frère, regardant sa sœur devenir une vraie salope lui déclara :
– Merde. Tu es vraiment une salope impatiente.
– Tu es tellement gros.
Elle gémit tout en rebondissant sur la queue, comprenant le plaisir d’être baisée. Elle suçait pour rendre son petit ami heureux. Elle baisait pour rendre son petit ami heureux et être bien. Mais là, elle était heureuse et connaissait un plaisir qu’elle n’avait jamais eu.
– Qui préfères tu baiser ? Ton petit ami ou ton grand frère ? Demanda-t-il, content de la voir apprécier.
– Toi mon frère.
– Et tu seras mon sac à foutre personnel maintenant ? exigea-t-il plus qu’il ne demandât.
– Ouuuiiiiiiiiiii. Gémit-elle, sa respiration déjà erratique.
– Et tu me traiteras avec respect et parleras de moi en bien à tes copines ?
– Ouiiiiiii, toutes mes amies aimeraient cette grosse bite. Répondit-elle inconsciemment.
– J’adorerais baiser Béatrice.
Béatrice était la meilleure amie de sa sœur.
– Ok. Dit-elle près de l’orgasme.
Il continua à regarder sa sœur rebondir sur sa queue, savourant le pouvoir qu’il avait sur elle à cause de la drogue et de sa grosse verge. Il s’amusait aussi du fait qu’elle ne pouvait jouir sans qu’il lui permette.
Réalisant cela, Catherine le supplia :
– S’il te plait, laisse-moi jouir….
– Mais je croyais que l’i****te n’était pas bien. Se moqua-t-il.
– Laisse-moi jouiiiiiir. Implora-t-elle.
– Vas-y salope. Ordonna-t-il en la regardant exploser aussitôt.
– OUIIIIIIII ! AAAAAHHHHHHHH.
Elle hurla dès que le barrage mental s’effondra. L’orgasme le plus intense de sa jeune vie sexuelle éclata en elle.
Bruno se pencha en avant, continuant à la limer jusqu’à son envie d’éjaculer. Quand il comprit qu’il allait jouir lui aussi il se leva et ordonna à sa sœur :
– Mets-toi à genoux salope.
Catherine se redressa rapidement puis se laissa tomber à genoux devant lui. Il enfonça son sexe dans la bouche grande ouverte.
– A partir de maintenant tu adores le sperme.
Instantanément, elle eut besoin de son foutre. Elle avala avidement toute sa bite.
– Dis-moi ce que tu veux petite sœur esclave ?
Elle sortit le membre de sa bouche et dit :
– Je veux ton sperme à l’intérieur de ma bouche.
– Demande-le !
Elle le supplia tout en se rendant compte de son humiliation à réclamer.
– S’il te plait grand frère, remplis ma bouche avec ton sperme.
– Ouvre grand !
Elle obéit et quelques secondes plus tard il éjacula dans sa gorge, même si le premier jet frappa son nez.
Dès que le jus de son frère tomba dans sa bouche, elle eut un sentiment de satisfaction, sa faim étant assouvie. Elle se pencha en avant et prit la bite dans sa bouche afin de récupérer chaque goutte de foutre.
– Bonne salope. Dit Bruno en profitant du nettoyage de sa queue.
Ensuite, rangeant son membre, il ajouta :
– Tu ne le diras à personne.
– A qui le dirais-je ? Questionna-t-elle.
Une partie d’elle était dégoutée de se voir transformer en salope par son frère mais une autre partie avait envie de recommencer.
– Et puis tu m’amèneras Béatrice aussi.
Reprenant ses esprits, elle lui répondit avec inquiétude :
– Mais elle ne va jamais s’intéresser à toi.
– Je peux lui faire faire tout ce que je souhaite. Dit-il en haussant des épaules.
– S’il te plait, n’utilise pas ta drogue sur elle.
Elle le supplia, ne voulant pas voir tomber sa meilleure amie dans une soumission sexuelle de son intello maigrichon de frère.
Bruno dit fermement :
– Ecoute salope. C’est moi qui décide ici. Toi tu obéis.
– Mais…
– Vas sucer la poignée de la porte. Ordonna-t-il.
En soupirant elle se dirigea vers la porte et dit :
– Merde Bruno, j’essayai juste de….
Elle commença à lécher le bouton de la porte. Bruno continua à lui expliquer :
– Soit une salope obéissante et je ne t’humilierai pas. Mais si tu me désobéis, je te ferais enculer par tous les nazes de l’école. Est-ce clair ?
– Oui.
Elle accepta, les larmes commençant à couler sur son visage réalisant la puissance du pouvoir qu’il avait.
– Bon, tu peux laisser cette poignée de porte tranquille.
Elle en fut reconnaissante. Bruno se dirigea vers la porte, la bite de nouveau raide, et demanda :
– Envie d’un peu plus de sperme ?
Elle hocha la tête alors que des larmes coulaient encore sur sa figure :
– Oui.
– Je pense que je peux t’en donner encore une dose avant l’école.
Catherine se pencha en avant et reprit la grosse queue dans sa bouche en se demandant si elle ne sortirait jamais de cette situation difficile.
Bruno pensa qu’il testerait son produit sur d’autres personnes avant d’aller voir Sarah son ancienne patronne.
Sa sœur le suça pendant plus de vingt minutes, au point d’avoir la mâchoire endolorie, avant que Bruno dépose une autre grosse charge de son sperme au fond de sa gorge. Puis il se retira et dit :
– Je t’attends ici ce soir avec Béatrice après les cours. Est-ce clair ?
– Oui. Répliqua-t-elle à contrecœur, se torturant le cerveau pour se sortir de ce guêpier.
– Et si tu ne l’amène pas, je te sodomise. Menaça-t-il avec l’idée de toute façon, de le faire un de ces jours
– D’accord, d’accord, je l’amènerai. Dit-elle toujours à genoux
– Très bien petite sœur salope. Dit-il en lui tapotant la tête.
Elle voulait s’enfuir, mais elle restait assise là, humiliée, en colère et légèrement excitée.
Bruno la laissa seule, formulant déjà un plan pour faire une vidéo de deux filles soumises.
Son licenciement par cette chienne de Sarah était peut-être la meilleure chose qu’il lui soit arrivé dans sa vie.
A suivre….
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Traduit avec l’aimable autorisation de l’auteur « Silkstockingslover »
N’hésitez pas à commenter.
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