Lendemain matin, le réveil est un peu difficile, je n’ai pas beaucoup dormi, trop occupé à penser à ce qu’il s’était passé la veille. Je me tourne dans le lit après avoir regardé l’heure sur mon téléphone : 11h30. Sarah n’était pas à mes côtés, je commençai donc à m’inquiéter. Je fus très vite rassuré par le bruit de l’eau qui coule sous la douche.
Après de longues minutes, ma Sarah sortit de la salle de bain. Un vrai top model : pieds nues, vernis rouge aux mains et aux pieds, robe légère blanche, les cheveux lâchés, une pointe de maquillage sur les yeux. En la regardant comme cela, j’en oubliais presque que la veille, elle m’avait trompé avec un quasi-inconnu.
Elle fit comme si de rien n’était et vint m’embrasser avec un grand sourire. Je l’aimais plus que tout, mais je bouillonnais intérieurement. Jean avait la ferme intention de profiter de ma moitié encore pour le reste du séjour et je ne sais pas si j’étais prêt pour cela. Certes, les événements de la veille m’avaient fortement excité, mais étais-je prêt à laisser Sarah aux mains de cet homme ? Je n’avais pas la réponse. Une autre question se posait : avait-elle l’intention de céder encore à ses avances ou regrettait-elle sa nuit de débauche et de soumission ? L’alcool était-il le seul responsable ? J’aurais pu le savoir très vite en essayant de découvrir si ma Miss avait mis une culotte ou non ce jour. Mais impossible de vérifier sans éveiller ses soupçons…Et si je tentais une approche ? Comme à son habitude, elle me repoussa:
— Chérie, ce n’est pas le moment, il est déjà midi ! La ville ne va pas se visiter toute seule ! File à la douche, mon cœur, dépêche-toi ! Et elle m’embrassa de façon très appuyée, en tout cas plus que d’habitude. A quoi pensait-elle ?
Après une douche réparatrice passée à réfléchir, je décidai de ne rien faire et de voir où la suite nous mènerait.
12h30, départ de la ferme, aucun signe ni de Sylvie ni de Jean. En descendant de notre chambre, j’ai senti Sarah à cran, sûrement dû à la peur de croiser son amant d’un soir.
La journée fut ma foi plutôt bonne et reposante. Un bon restaurant, des visites, des balades bras dessus, bras dessous. Sarah adorait les voyages et moi j’adorais la voir heureuse. Bizarrement, elle n’était pas distante avec moi. Mais je n’allais pas m’en plaindre. Je la regardais amoureusement flâner dans les boutiques, essayer des vêtements (faire chauffer la carte bleue…). Et hop ! Une robe par-ci, des chaussures par-là, des bottes, un sac et même de la lingerie ! Pourtant pas dans ses habitudes. Je vivais cette journée pleinement, mais il restait dans un coin de ma tête que cette magnifique et timide jeune femme qui s’éclatait aujourd’hui s’était fait copieusement baiser la veille…Chaque moment où j’y repensais, une érection était prête à bondir.
18h30, les balades nous ont épuisés et nous décidons de rentrer en taxi. Dernière tentative de vérifier si Sarah porte une culotte à bord du véhicule qui nous ramène à la ferme. Je pose ma main sur sa cuisse nue au-dessus du genou. J’ai le droit à un regard assassin, elle est très pudique…(mais elle se permet d’avaler le foutre d’un quasi-inconnu en mon absence vous me direz…).
Arrivés à la ferme 19h. Il fait encore très chaud. Jean est dehors et nous accueille avec un grand sourire, je sentis Sarah très embarrassée :
— Alors les amoureux; sympa cette journée ?
— Oui, Jean; Bordeaux est vraiment une magnifique ville, lui rétorquai-je.
— Et vous, Sarah, qu’en pensez-vous ? Vous regrettez votre destination ? lui demanda-t-il avec un grand sourire.
— Non, pas du tout, la ville a beaucoup de charme, et le temps y est magnifique, même si un peu étouffant.
— Et encore, vous n’avez pas tout vu ! Il faudrait que je vous fasse visiter les vignes. Ça vous dit ?
— Maintenant ? lui demandai-je. Ce sera sans moi, je suis un peu migraineux, je vais aller me faire une petite sieste avant manger. (Tu m’étonnes, je n’ai quasiment pas dormi de la nuit…)
— Ah ! C’est dommage, vous ratez quelque chose mon bon Léo.
— Moi je veux bien, dit Sarah timidement. Elle m’embrassa tendrement. Repose-toi bien mon cœur, je ne serai pas longue.
Et voilà que cela recommence, elle va suivre ce mec. Je n’en reviens pas. Peut-être veut-elle juste visiter les alentours…J’y crois moyen…
— Allez, c’est parti, à tout à l’heure, Léo, Sylvie va sûrement nous rejoindre, me dit-il encore une fois pour peut-être essayer de me rassurer…
Et ils partirent tous les deux en marchant dans les vignes. Sarah avait retiré ses chaussures, pas très pratique sur un tel terrain. Je les regardais s’éloigner, mort de jalousie, mais aussi, et il faut bien l’avouer, excité comme une puce. Je décidai de les laisser prendre de l’avance et de les suivre après avoir fait semblant de me diriger vers la maison.
Je les retrouvai à un bon kilomètre de la ferme toujours se baladant entre les vignes. Après encore 10 bonnes minutes de balade, ils arrivèrent à une ancienne remise (je suppose), une grande bâtisse un peu délabrée. Jean semblait rigoler et Sarah également. Ils entrèrent et disparurent à l’intérieur. Je me précipitai vers le bâtiment discrètement et trouvai un point d’observation, là, encore parfait : une fenêtre à moitié brisée qui donnait sur l’intérieur.
Jean expliquait à ma douce à quoi servait cet endroit. Sarah était au milieu de la pièce, et observait avec attention les lieux. Après quelques explications, Jean s’assit dans un coin sur ce qui semblait être un vieux mâle. Le sol était couvert de paille et pas mal de bric-à-brac un peu partout. C’est alors que les choses prirent une autre tournure :
— Bon, ma belle, tu as fait ce que je t’ai demandé ?
Sarah changea instantanément de couleur.
— Jean…Vous n’allez pas recommencer, ce qu’il s’est passé hier soir était une erreur. J’aime Léo…L’alcool m’a fait faire n’importe quoi.
— Qui te parle d’amour ici ? Je te parle de sexe ma belle.
— Non, Jean, n’insistez pas.
— Donc si je me lève et que je soulève ta jolie robe, je ne vais pas découvrir que comme je te l’ai ordonné, tu n’as pas de culotte ?
— Jean…
— Ecoute-moi bien ma petite, je te parie que dans moins de trois minutes, tu seras en train de me lécher la bite, comme tu l’as fait hier soir.
Sarah, sans réaction, ne savait plus où se mettre. Je le voyais à son visage, je la connaissais par cœur. Jean envoya le coup de grâce :
— Donc tu vas gentiment retirer ta robe, maintenant.
Sarah, après quelques instants d’hésitation qui me parurent de longues heures, s’exécuta.
Bis repetita ! La revoilà juste en soutien-gorge devant cet homme.
— Donc tu m’as obéi. C’est que tu avais bien l’intention de te refaire prendre par ma queue, on est d’accord ?
— Oui… (j’avoue m’être dit dans ma tête : « putain, la salope », à ce moment précis)
— C’est très bien. Tu as enfin compris qui commandait.
Jean se leva et se dirigea vers Sarah. Il s’agenouilla devant elle et empoigna ses magnifiques fesses et commença à lui embrasser et lui lécher les cuisses.
C’en était trop pour ma petite amie qui pose ses mains sur le crâne de son amant et balança sa tête en arrière, s’abandonnant totalement à ses caresses.
— Tu as repensé à notre partie de jambe en l’air d’hier soir ?
— Oui…
— Tu as mouillé ?
— Oui…Mon Dieu, Jean…je me suis caressée sous la douche ce matin.
— Hum, j’adore, je t’ai à peine touchée et embrassée, et je vois déjà ton jus d’amour qui dégouline sur tes cuisses, regarde.
Jean en récupéra avec son doigt et le fit goûter à Sarah qui, comme une chatte en chaleur, suça ce doigt couvert de mouille.
— Le temps de ce séjour, je vais faire de toi mon jouet. Tu n’as encore rien vu.
— Ce que vous voulez… (Comme la veille, je ne reconnaissais plus ma chérie qui se transformait en machine sexuelle avec cet homme.)
Jean plongea son visage entre les cuisses et les fesses de sa proie et dévora sa petite chatte ainsi que sa raie.
— Oh mon Dieu, Jean, ouiiiiiii, comme ça…Oh oui, bouffez-moi le cul…
Pendant de longues minutes, l’armoire à glace dévora les trous de cette belle plante. Sarah eut un orgasme très violent lorsqu’il décida de lui enfoncer 2 doigts dans sa fente dégoulinante et 2 autres doigts dans son trou du cul. Sarah trembla de tout son corps.
— Maintenant, suce-moi.
— OUI, JE VEUX VOTRE QUEUE.
— Putain, je ne pensais pas que tu serais aussi chienne.
A peine la phrase finie, ma dulcinée était à genoux et bouffait cette énorme bite des couilles jusqu’au gland. Elle cracha même dessus en regardant Jean droit dans les yeux :
— J’vais bouffer votre bite, Jean, vous aviez raison, j’y ai pensé toute la journée.
— Ah oui ! Comme ça, j’vais te baiser ta bouche de suceuse, grosse pute.
— Insultez-moi…je suis à vous…
Elle lapait cette queue avec une hargne incroyable, je sentais Jean au bord de l’explosion.
— Stop. Arrête-toi ! Je vais te baiser maintenant.
Moi, j’avais sorti ma bite, pas un engin comparable à celui de l’amant de ma femme, mais une belle bite quand même. Je me caressai doucement devant cette scène, effaré, mais totalement subjugué. Mon bas-ventre bouillonnait.
Il s’assit sur le coffre, souleva Sarah comme une brindille, positionna les jambes de cette superbe salope sur ses épaules. Acrobatiquement, il la fit s’empaler sur son gros membre luisant de bave et lui fit faire des aller-retour lents, mais très puissants.
— OH PUTAIN VOUS ME DEFONCEZ SALOPARD !
— AHHHHHHHHH AHHHHHHHHHHHHH TU AIMES CA MA BELLE ??!!
— OUIII CONTINUE.. EZZZZ… HANNNNN…
Jean transpirait à grosses gouttes, et après quelques minutes de cette position acrobatique, jeta Sarah sur un drap posé au sol (il avait tout prévu, ce salaud). Elle se retrouva à 4 pattes, dos à lui.
— Donne-moi ta bite, ne t’arrête pas ! J’t’en supplie.
— Ne t’inquiète pas ma belle. Il s’agenouilla derrière elle et lui rebouffa le cul quelques secondes. Je vais te sodomiser comme tu le mérites.
— Ouiiii, dépêche-toi ! (C’était la première fois qu’elle le tutoyait.)
Jean présenta son membre devant l’anus trempé de Sarah et y entra avec beaucoup de facilité. Je vis le visage de Sarah se remplir de plaisir, elle gémissait à chaque coup de boutoir.
Elle se faisait enculer, insulter et elle aimait cela.
Elle tourna la tête pour regarder son baiseur qui, dans un geste spontané, lui cracha au visage.
— Ma belle pute, ça fait longtemps que je n’avais pas baisé une beauté comme toi. Ma Sylvie est une grosse chienne aussi, mais là, bordel, ce que tu m’excites.
Aucune réaction de dégoût de Sarah, j’étais sur le cul, elle étala même la salive de ce connard sur sa bouche.
Sarah fut prise d’un autre orgasme, mais Jean ne comptait pas s’arrêter pour autant. Elle reprenait vite ses gémissements.
C’est à ce moment-là que je vis Jean, faire signe vers un coin de la pièce que je ne voyais pas.
Sarah ne s’en aperçut pas.
Putain le salaud, il y avait quelqu’un d’autre ! Un autre homme apparut, un peu moins bâti que Jean, mais tout aussi impressionnant. Il s’approcha du couple et Sarah eut un sursaut en s’en apercevant, mais elle ne put bouger, trop occupée à se faire enculer.
— Sarah, je te présente Sébastien, un de mes meilleurs potes !
— Jean, non !!! Qu’est c’que !
Jean sortit sa queue du cul de sa conquête et la remit dans sa petite chatte totalement étirée par ce membre, ce qui eut pour effet de faire gémir Sarah.
— HANNNNNNNNNNNN PUTAIN… !! MON DIEU.
Jean se remit à la bourrer.
— Sebastien et moi, on va te baiser, t’enculer. C’est bien clair ?
— Putain mon salaud, tu m’avais pas menti, elle est sacrément bonne ta petite cliente.
— Et encore, tu l’as enfilée !
Sarah jouissait de plus belle. Sebastien avait sorti sa queue, elle aussi, démesurée, du genre de celle qu’on voit dans les pornos. Il s’agenouilla devant Sarah qui, sans se faire prier, goba cette grosse queue.
— Tu vois; même pas besoin de lui demander de te sucer.
— Ahhhh, putain, pi elle sait y faire.
— Baise-lui la bouche, et remplis-le; vas-y !
Sebastien retira sa bite de la bouche de Sarah, l’a prise par les cheveux, l’embrassa passionnément, puis lui dit :
— Tu veux que je baise ta bouche, ma chérie, pendant que mon pote te baise ?
— Ouiiiiiiii, hannnnnnn, hannnnnnn, donnez-moi vos queues !
— Tu vas boire mon sperme ?
— Ouiiii.
— Dis-le !
— je veux votre jus ! Je veux le bouffer !
— Ca te plaît de te faire sauter par des inconnus ?
— OUIIIII AHHHHHHHHHHHHHHHHANNNNNNNNANNNNNNNNNNNN.
Sébastien engloutit de nouveau son sexe dans la bouche de la petite salope qui se présentait à lui et entama de profonds va-et-vient. Il se retirait de temps en temps pour que Sarah respire tout en lui crachant au visage à plusieurs reprises. Sarah était méconnaissable, son maquillage avait coulé, son visage était couvert de salive.
Moi ? Dans mon coin, depuis de longues minutes à observer cette orgie, je me branlais, encore et encore. Je me délectais de cette situation. J’étais fou de jalousie, mais également fou d’excitation. Je voulais que Sarah prenne son pied et se fasse baiser encore et encore. J’étais servi.
Au bout de quelques minutes, Sébastien hurla, et je vis Sarah déglutir à plusieurs reprises; il devait lui avoir giclé une bonne quantité de foutre dans la gorge.
C’est également à ce moment précis où Jean déchargea son plaisir dans la vulve de sa maîtresse qui jouit également pour la Nième fois.
— Putain, elle nous a bien vidés, la salope. Il est quelle heure ?
— 20h30.
— Ca fait tard, mais je repartirais bien pour un tour, pas toi Seb ? T’en penses quoi, petite salope ?
— Léo va s’inquiéter, je ne pense pas que…
— Il dort ton coco.
— Et je te signale que j’ai pas eu droit à ton magnifique petit cul, ma belle, dit Seb…
— Bande de salauds…
Seb, qui se branlait encore allégrement, prit la place de Jean derrière Sarah et présenta son gourdin à l’entrée du cul de cette dernière.
— Alors, tu en veux encore ma belle ?
— Oui, dit-elle timidement…
— J’ai pas entendu !!!
— OUI ! Enculez-moi !
— Et bah, voilà !
Accompagnant le geste à la parole, Seb s’inséra, et les gémissements de Sarah reprirent de plus belle. Quant à Jean, il rebandait également. Putain, quelle endurance, ces salopards ! pensai-je.
Je ne compris pas tout de suite ce qui fit notre hôte. Il se mit à 4 pattes devant une Sarah totalement excitée et gémissante et présenta son trou du cul au niveau de sa bouche.
— Bouffe-moi le cul, salope !
J’étais certains que Sarah s’y refuserait. Impossible qu’elle accepte. Pourtant, sans rechigner, je vis la langue de Sarah se coller au trou du cul de cet homme.
Je giclai pour la 4e fois au moins contre le mur, dans un orgasme sensationnel. Mais ce n’est pas pour autant que je débandai. Le temps de reprendre mes esprits, rien n’avait bougé.
Sarah lapait le cul de cet homme quasiment deux fois plus âgé qu’elle, qui se branlait sans retenue en grognant. Sarah lui gobait également les couilles.
— Hannn putain, t’avais déjà bouffé un cul ma douce ?
— No…nnn, hannn, slurpppp, bande de connards !
— Putain, il te reste quelques jours ici, tu vas me servir de vide-couilles.
— Oui putai…nnn… c’est trop bon.
Jean plaqua le visage de Sarah sur son cul une dernière fois puis se leva.
— Séb, on la prend debout ?
— Oh putain, avec plaisir !
Ils soulevèrent Sarah, Seb dans son dos, Jean face à elle. Ce dernier s’enfonça en elle, dans sa vulve, en lui roulant des patins de derrière les fagots et puis ce fut au tour de Sébastien de prendre possession de son anus; cela y est, ma chérie subissait sa première double pénétration…Ils entamèrent à la faire monter et descendre sur leurs 2 énormes queues.
Elle hurlait de plaisir, et eux continuaient de grogner et de l’insulter. Elle était sublime, le visage déformé par la luxure encore et toujours. Moi, j’étais là, en train de me demander ce que je foutais à les observer au lieu d’intervenir ! Mais c’était trop bon.
— Hannnn oui baisez moi !!!! HANNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN, j’en peux plus, vous me defoncezzzzzzz !
— Putain Jean, t’as eu une bonne… idée de la brancher cette… nana.
— Tu…m’étonnes ! Tiens, prends ça !
Les 3 amants dégoulinaient de sueur; et après encore quelques minutes de ce traitement, finissaient par jouir en même temps. Sarah était remplie et quasiment inconsciente du fait de cet orgasme, le visage couvert de foutre et de salive, mais elle était sublime.
Je jouis encore une dernière fois devant ces images et je décidai de regagner ma chambre discrètement. Près de 30 minutes plus tard, Sarah me rejoignit au lit et s’endormit sans manger. Cela faisait près de 2h qu’elle se faisait baiser. Je décidai de la laisser dormir.
Qu’est-ce qu’ils nous arrivaient ? Qu’est-ce qui lui est passé par la tête ?
Et moi qui laisse faire et qui prends mon pied devant ma compagne et son/ses amants…
Exténué de la journée et surtout de la soirée, je ne mis pas longtemps à m’endormir. Pourtant, mon cerveau était en ébullition. Le séjour dure encore 4 jours…Dois-je crever l’abcès ? Dois-je profiter de cette expérience ?
Je sais que Sarah m’aime et que c’est purement sexuel, mais quand même mon pauvre Léo, dans quoi tu t’es embarqué ? Sarah devait se dire exactement la même chose.
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