Maintenant que je n’étais plus vierge j’avais envie d’entreprendre de nouvelles choses sexuelles, avec une fille par exemple et j’en avais bien une en tête. Justine est une amie de longue date, enfin on se connait depuis le collège, elle a enflammé bon nombre de mes fantasmes. Un jour elle m’a demandé de l’embrassée alors que nous avions 14 ans je crois, mon cœur battait la chamade et ma culotte était trempée, c’est elle qui m’a expliquait comment se pratiqué un 69.
Justine est magnifique, tout ce que je ne serais jamais je crois, belle blonde au yeux de biche noisette, une jolie bouche en cœur et un corps parfait. Je rêvais de toucher sa croupe, de caresser ses seins fermes… j’en rie car j’ai l’impression de parler comme un homme.
Au fur et à mesure du temps, nous avons grandit et un peu perdue de vue, elle est partie faire ses études et moi je suis restée dans ma ville. Au lycée un jour alors que je ne m’y attendais pas du tout elle me demanda de déjeuner avec elle dans le bureau de son père en ville, comme il n’étais pas là nous l’aurions pour nous toute seules, je n’ai pas réfléchis j’ai accepté directement. Le bureau de son père n’étais vraiment pas loin du lycée, je n’avais pas faim j’avais le ventre un peu nouée car j’allais me retrouver face à cette sublime créature qui me rendais vraiment toute chose. Le désir lesbien.
-Installe toi je vais chercher des verres.
Il partit dans une petite salle alors que je m’installé sur le bureau de son père. Dans ma tête c’était le feu, j’aurais tout donné pour qu’on couche ensemble, comme deux lesbienne en chaleur car je savais que Justine n’étais pas la plus prude des filles. Alors qu’elle revenait avec ses verres remplis de sirop de pêche, elle en reversa la moitié sur le sol en riant, elle était vraiment maladroite. J’allais prendre de l’essuie tout dans une autre pièce et sécher le sol quand elle me versa le reste du liquide dans le dos. Ca ne m’avais pas du tout fait rire:
-Putain Justine non!!
-Oups ! Avait elle dit simplement en pinçant ses lèvres
je me releva le dos mouillé et les seins qui pointait, je crois qu’elle l’avait remarquée car elle me dit aussitôt
-Toi aussi quand t’a les frissons tu pointes?
-Hein? J’abaissa le regard sur mes seins pour regarder les deux bout bander par dessus mon t-shirt
-Tu pointes ! redit elle en riant
-Oui quand je frissonne… Dis je en baissant la tête.
On était restée là, comme deux connes à se regarder sans savoir quoi faire. J’avais les frissons encore car mon t-shirt collait contre ma colonne vertébral elle s’approcha doucement de moi et colla ses lèvres contre les miennes. J’avais l’impression que mes tétons allaient devenir dure comme de la pierre tellement son baiser me procura une vague, non que dis-je, un tsunami de frissons.
-Qu’est ce que tu fais?
-Tu t’es jamais dis que tu voulais testée avec une fille?
-Si mais…
-Quoi? T’es trop timide ?
-Un peu oui.
« POURQUOI?? » criais-je dans mon fort intérieur, pourquoi cette timidité m’handicapé autant? Elle posa une main sur mon sein droit et le pressa doucement. J’aimais sentir cette pression, mes lèvres ont du enflées comme à chaque fois que j’ai de la fièvre car elle me dit.
-Tu as l’air d’aimer ça…
-Oui… j’aime…
-Alors fait pareil.
Je posa ma main droite sur son sein et fit comme elle, il était plus petits que les mien mais plus fermes je trouve. Elle ferma les yeux et rejeta sa tête en arrière, un appel au suçon je crois, ce que je m’empressa de faire. Coller mes lèvres et aspirer sa peau jusqu’à ce qu’un petit hématome apparaisse, elle lâchait des petits râles de plaisir, ca m’excitait tellement.
-Viens on s’allonge ! S’exclama t-elle
C’était de la moquette, toute douce. Elle se déshabilla et me dit de faire la même, je m’exécuta aussitôt. Je sentit la douceur de la moquette sous mes fesses, je me souviens que cela m’a fait rire et nous avions rigoler en frottant nos fesses contre celle ci.
Après notre interlude de rire elle se mit à califourchon sur moi et m’embrassa avec la langue, ça m’a tellement excitée que je lui ai pressée si fort les fesses qu’elle en a gémis.
-Tu connais la position des ciseaux?
Je fis « non » avec la tête
-Je vais te montrer.
J’étais tellement étonnée quelle connaisse toutes ces positions. Elle m’ouvrit les cuisses et colla son con contre le mien en m’ouvrant les lèvres. C’est alors que j’ai commençait à sentir son clito se frotter au mien.
-Oh putain que c’est bon!! Dis je en soupirant
-T’aime ça ?
-Oui et toi?
-Hummm oui… Tu es la première fille avec qui je couche. Me dit elle en ondulant ses hanches sensuellement.
Puis elle accelera la cadence et nos deux chattes mouillées frottées l’une contre l’autre et nous gémissions comme deux salope en rûte, elle me pressai les seins et je lui pressai les fesses. Elle se cambrais comme les vraies actrices porno et j’adorais la voir transpirée autant.
-Han putain je vais jouir !! Criait elle en se pinçant les tétons
-Non attend !
-Quoi? Demanda t-elle essoufflée
-J’ai envie de te lécher. Lui dis je les joues rouges
Elle ouvrit des yeux ronds comme des balles et ne se fit pas prier pour se mettre sur le dos et ouvrir ses cuisses ainsi que sa vulve. Timidement je m’approchais d’elle, j’avais peur de goûter à ce nouveau fruit dont le jus dégoulinais puis je me suis dis que j’avais la même chose entre mes cuisses et que si les hommes aimait ça c’est que ca ne devait pas être mauvais.
-Vas y ! Dit elle timidement pour la première fois.
Je la regardai dans les yeux et lentement mal assurée approcha la pointe de ma langue sur sa chatte. Je la léchais doucement de toute ma langue, prise d’une frénésie enivrante je lui bouffais carrément la chatte. Je me suis surprise à aimé ça autant que de sucer (mon beau père). Elle gémissait comme une chienne et j’aimais tellement ça, entendre ma copine prendre du plaisir. Elle me remplissait la bouche de sa mouille mais malgré ça je n’osais pas l’avaler. J’avais le menton, le nez et la bouche luisante de cyprine.
-JE VAIS JOUIIIR!! Cria t-elle !
-Hummmmm !
Elle se crispa et se cambra comme une salope en gémissant de tout son être. Je souriait en lui léchant le clito et tournant mes doigts dans sa chatte.
-Oh putain ahah oh putain faut que je te fasse pareil ! Dit elle en riant de plaisir.
Je ne me fit pas prié et immédiatement elle me lécha la chatte, je sentait la douceur de cette langue si chaude contre mon clito. Han putain que c’était bon. Je ne tardais pas à jouir comme elle, prise de spasmes je jouis dans sa bouche.
Cote à cote nous nous tenions la même, essoufflée peut être un peu troublée nous restions sans aucuns bruits jusqu’à ce que Justine se colle contre moi en riant.
-Tu vois, y avait pas de quoi être timide Anissa.
-C’est vrai.
Elle m’embrassa encore à pleine bouche en me caressant la poitrine.
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