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Le bac…

Le bac…



… 18 ans. La fin de mon adolescence, un corps avide de vrais plaisirs… Et le bac dans quelques mois qu’il me faut réussir. Mon frère l’avait eu il y deux ans « et je me devais de faire aussi bien que lui, si ce n’est mieux… en obtenant « LA » mention qu’il n’avait pas eu » (NDRL mes parents). De plus si je voulais mon autonomie, chose qui me tient à cœur, elle me serait acquise en quittant la maison pour des études universitaires. Une  bonne raison pour ne pas me rater. Mais voilà ! je commençais a bien stresser. Le dernier bac blanc m’avait  démontré qu’il fallait que je travaille pendant mes révisions car j’avais de grosses insuffisances dans une matière importante : les maths !. Plus la date approchait, plus ça me tracassait. Seule j’avais bien peur de ne pas y arriver.
 
J’en parlais souvent à ma meilleure amie, Anaïs. Nous avons eu le même parcours depuis la troisième. Partagés beaucoup de choses, complices, confidentes.  C’est elle qui ma fait découvrir les sites de Q sur internet. Pour là aussi des moments coquins, où nous finissions main dans notre culotte jusqu’à l’orgasme, sans qu’il n’y ait  jamais eu la moindre ambiguïté  entre nous.
 
Mais voilà ! Anaïs ne peut m’être d’aucun secours ! elle n’est pas meilleure que moi sur le plan scolaire, surtout en maths ! loin s’en faut ! et même un peu (beaucoup) « je m’en foutiste ». Au point que ses parents l’on mise « dans les mains » d’une parente ancienne prof à la retraite pour la faire bosser en vue du bac. Il n’en allait pas de même pour moi, pas de « tuteur » en vue, et un soir, alors que l’on rentrait du lycée et « qu’une énieme fois » je luis faisais part  de mes craintes elle me donna le conseil qui allait changer (et pas que sur le plan scolaire) beaucoup de choses :  » Julie, j’ai cru remarquer que « la nouvelle » t’a à la bonne ! Tu sais qu’elle est forte en maths !, pourquoi tu lui demande pas si elle peut t’aider ? ». Ce que je fis donc le lendemain…  et à ma grande satisfaction elle accepta, j’étais peut-être sauvée !.

« La nouvelle », comme dit Anaïs ,  est arrivée  en février au lycée, suite à une mutation professionnelle de ses parents. Cette « nouvelle » s’appelle Laure, une première de la classe, très forte en maths. Catholique, musicienne, (elle joue du piano).  Fille unique avec un joli minois aux yeux bleus et des cheveux blonds. Un corps longiligne, une taille et des fesses « de grande » mais avec encore des seins « de gamine », tout juste de petits pointus avec de gros tétons.
 
Nous avons commencé nos révisions tantôt chez l’une, tantôt chez l’autre.  Toujours dans nos chambres, pour ne pas être dérangée, où perturbée par les activités et bruits de la maison.
Pris rapidement nos marques. Une amitié et une complicité se sont vite installées entre-nous, et mon choix s’est avéré excellent puisque grâce à Laure je me suis mise a progresser en maths.

Et puis un jour, notre travail terminé, je la  raccompagne sur le pas de la porte. Au moment  de se dire au revoir, sa bouche se pose sur la mienne, à la place de la bise traditionnelle nos lèvres se rencontrèrent, suffisamment pour malgré ma bouche fermée, provoquer chez moi émoi et frissons. Une fois seule je ne  pensais qu’à ce baiser furtif… ma nuit en fut même  agitée. Au réveil je n’avais qu’une envie :  que Laure m’embrasse « pour de vrai » un vrai baiser ! bien mouillé, avec une langue cochonne et polissonne…

En ce début juin, les premières chaleurs sont propices aux tenues légères ; qui laisse voir le nombril et deviner sans trop se forcer d’autres choses « au grand dam de mes parents » qui ne voulaient pas me voir sortir comme ça,  mais moi, au contraire, je voulais comme ça ! pour plaire à Laure et avoir le moins de tissu possible entre son corps et le mien … si jamais… !
 
Short en jeans taille basse et débardeur (sans soutif)  le tout moulant mes formes, et mon entrejambe pour, recevoir Laure  dans ma chambre en l’absence de mes parents ce jour-là !
 
Nous avons ouvert quelques livres, travaillés sur quelques fiches, fais quelques exercices.  Mais il était net que notre attention à toutes deux était autre part ! l’esprit studieux nétait pas là ! il vagabondait ailleurs !. Nos mains s’effleuraient pour tourner les pages, nos jambes se touchaient, nous nous mangions des yeux. Et ce que je souhaitais est arrivé !. D’un même élan nous sommes tombées dans les bras l’une de l’autre… collée l’une contre l’autre. Laure, comme l’autre jour, pose avec douceur ses lèvres sur les miennes. Cette fois-ci je réponds à l’invitation et laisse mes lèvres s’ouvrir. ma bouche aller à la rencontre de la sienne. Les yeux fermés je m’enivre de son odeur et goûte à ce premier baiser sensuel, au goût délicieux. C’est la première fois que je m’offre à une fille !. Encouragée, elle me couvre de baisers, partout, le visage, le cou, les oreilles… revient sur ma bouche, dedans, et sa langue invite la mienne à découvrir des jeux plus doux, encore plus sensuels

Puis ses lèvres se referment sur ma langue pour me la sucer longuement, divin !, charnel !. Suivent de petits attouchements, pour que nos peaux fassent connaissance. Nos mains pelotent nos seins, font connaissance de nos tétons qui pointent sous nos hauts. Des mains qui deviennent plus coquines en caressant, par-dessus nos shorts nos entrejambes, se glissent dans nos culottes et empaument nos sexes mouilles, nous laissant haletantes. Puis insatisfaites… Car dérangée par l’arrivée inopinée de mes parents. Nous n’avons pas osé  plus !
Laure partie je m’enferme dans ma chambre. Des baisers j’en avais eus, donnés quelques-uns. Mais exaltés comme ceux-là c’était la première fois ! et en plus avec une fille !. Une révélation pour moi !
Je me couche sur le lit pour me repasser le film cette fin d’après-midi : ses lèvres sur les miennes, son goût, son odeur, tout me revient. Je suis excitée comme il me semble ne l’avoir jamais été. Pour corser la chose, l’arrivée impromptu de mes parents nous a laissé frustrés. Je retirai mon débardeur, mes tétons sont encore tout durs du désir de Laure ; puis j’enlève short et culotte pour être nue sur mon lit… mais !? « Elle est trempe ! et pas qu’un peu !!. une serpillière !. Du coup je regarde l’entrejambe du short et constate qu’il n’y a pas que ma culotte qui à subi l’inondation !. Moi, Julie, j’avais mouillé en embrassant une fille !!  Je peux pas rester comme ça, je suis trop excitée !. Il faut que je me soulage !, il faut que je jouisse !. Tout en regardant ma culotte à terre je repense immédiatement à Laure, sa main dedans, Je passe ma main sur ma chatte, ouvre mes lèvres intimes et masturbe mon clitoris du plat des doigts. Mes gémissements sont à la hauteur de mon excitation. Je m’agite frénétiquement sur mon bouton, et de l’autre main je triture mes seins, tire sur mes tétons, sans douceur, je veux jouir, jouir ! vite !. Et la jouissance est venue !!… brutale, violente… me laissant pantelante ma main droite aussi trempée que  ma culotte ! secouée par un dernier spasme je me laisse aller dans un petit somme réparateur.

La rencontre suivante c’était  dans la chambre de Laure. Elle m’attendait la coquine !… et pour autre chose que travailler !. En fait elle était dans le même état d’esprit… et  surtout d’excitation que moi. Je suis sure qu’hier soir elle a fait subir à sa chatte les mêmes outrages que moi  à la mienne.  Dès mon entrée elle ferma à clef, derrière nous.
 
Sans perdre une minute, haletantes, nous nous enlaçons. Nos bouches s’enflamment sans retenue, nos gémissements étouffés par nos baisers se mélangent avec notre salive. L’on se déshabille frénétiquement , nos corps se frottent, nos mains caressent, à en perdre le souffle.
 
Elle m’allonge (plus tôt me pousse à la renverse) sur son lit et sans me laisser le temps de réagir, sans que j’oppose une résistance quelconque, m’attache poignets et pieds (après avoir pris soin de bien m’écarter les jambes) aux barreaux du lit avec des foulards, de sorte que je suis parfaitement immobilisée, à sa merci ! Puis elle me bande les yeux avec un loup de nuit.
 
Pendant qu’elle me ligotait, j’avais sentie la chaleur envahir mon ventre, mes nymphes s’étaient ouvertes, libérant ma cyprine que je devinais perler au bord de mes lèvres intimes.
 
Lentement Laure empaume mes seins, joue avec eux, puis sa bouche prend le relais et mordiller des  pointes déjà dures et érigées, tandis qu’une main est descendue sur ma chatte et branle mon clito.  Et moi, pauvre Julie, dominée par mon amante je ne pouvais que gémir, me tortiller, me cambrer. Je n’avais jamais connu de telles sensations. Me sentir captive, à sa merci, décuplait mon plaisir… j’étais tétanisée par l’orage qui grondait en moi…

Abandonnant mes seins, ses lèvres prirent le relais de ses doigts sur mon minou, j’ai cru défaillir !. Quand sa langue pénétra mon antre en feu, je défaillis vraiment ! quand ses lèvres sucèrent puis aspirèrent mon clitoris, ce fut la fin ! la catastrophe ! le déluge ! un séisme ! l’orgasme ! d’une telle intensité, effrayant ! rien à voir avec le plaisir que je m’offrait, seule, discrètement dans ma chambre.
 
 Je suis restée brisée, pantelante, comblée !!…
 
Je pensait le jeu terminé, qu’elle allait me détacher, hé bien non !. Laure est venue à califourchon sur mon ventre, m’enlève le bandeau. Puis frotte sa chatte recouverte d’un petit duvet blond sur mon visage. Fourbit son clito sur mon nez, maculant bouche et menton de sa cyprine. Puis son sexe coller à mes lèvres m’ordonne de la faire jouir avec ma langue. Je ne me le fis pas dire deux fois !. Je voulais rendre à Laure tout le plaisir qu’elle m’avait donnée.

Je crois y être parvenue, si je me fie à ses gémissements et aux râles qu’elle poussa au moment de son orgasme; pendant que je buvais avidement son plaisir à la source.

Elle était en train de me détacher quand sa mère nous appela pour le goûter tout en essayant d’ouvrir la porte. Fort heureusement fermée à clef. Sans demander l’explication de cette fermeture nous dit à travers le battant « qu’elle nous attendait dans la cuisine pour reprendre des forces ». Sa maman ne croyait pas si bien dire !.

Mais sur le moment, la peur d’être surprise par sa mère, attachée dans une position sans équivoque ma fait brusquement jouir sans être touchée !. L’orgasme fut une nouvelle fois si fort  et si mouillé que Laure s’inquiéta pour son lit  « Putain ! mes draps et mon matelas ! ma mère va croire que j’ai pissée au lit cochonne ! ».
 
Ensuite c’est allé très vite.  Nous nous sommes rhabillées rapidement et descendre à ce fichu goûter, visage encore marqué par le plaisir que l’on venait de se donner … et expliquer à sa mère, qui avait un drôle de regard à notre encontre, que chaleur et travail nous avaient mis dans cet état !…

Mais le bac approchait à grands pas. quelques jours avant la première épreuve nous avons cessé « nos  révisions  » afin d’avoir l’esprit libre pour l’épreuve suprême. Au final reçue toutes les deux. Pour moi l’honneur était sauf, même sans mention mes parents étaient contents et je pouvais songer à mon autonomie pour la rentrée universitaire. Une autonomie qui me verra perdre rapidement ma virginité… Mais ceci est une autre histoire !

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