J’ai reçu l’autre jour un courrier d’un notaire. Intriguée, j’ouvre l’enveloppe pour découvrir ce mot :
« Je souhaiterais vous rencontrer pour une affaire qui vous concerne. Signé Maître Dutrou. »
C’est pas possible me dis-je avec un nom pareil, c’est une bêtise ? Je cherche à savoir de quoi il retourne et contacte l’expéditeur.
« Bonjour Maître Dutrou ? »
« Oui, à qui ai-je l’honneur ? »
« Bonjour Maître, J’ai reçu un courrier de votre part. Je suis Michèle, O,,, »
« Ha oui ! Bonjour Madame. Je ne peux rien vous dire par téléphone. Je souhaite que nous prenions rendez-vous très rapidement car les choses doivent se faire de manière, je dirais discrète. N’ayez pas peur, vous ne regretterez rien. »
« Heu et cette après-midi ? »
« Parfait Madame à cette après-midi. »
Je me pose des tonnes de questions et suis angoissée mais très curieuse et impatiente de savoir de quoi il retourne.
C’est les jambes en coton que j’ouvre la porte de l’officine. Une jolie secrétaire m’accueille avec un grand sourire en me disant :
« Madame Michèle ? Je vous fait entrer, Maître Dutrou vous attend avec impatience ! »
J’entre dans le bureau. Aussitôt, je suis séduite par ce notaire. Je croyais voir un vieux bonhomme bedonnant et me voilà face à un élégant quadra. Il m’invite à m’asseoir et aussitôt parle de l’affaire me concernant.
« Voilà de quoi il retourne Madame. Nous avons mis plus de deux ans pour vous retrouver. Vous êtes la seule héritière de Madame Latronche, une grand tante qui est décédée en vous léguant tout ses biens, dont une maison au bord du lac d’Annecy. Il est précisé que je doit vous y emmener le jour de notre rendez-vous. »
Je reste sur le cul. Je ne sais quoi dire. Puis je lui dis d’une voix perturbée :
« Mais je ne peux pas me libérer comme çà ! »
« Je suis désolé mais le terme du testament est impératif Madame. Si vous refusez de me suivre, les bien iront à l’état. Alors ? » Me dit-il sur un ton sec et autoritaire.
Je réfléchis deux secondes et me lance :
« Bon bon, je vous suis ! »
Je suis subjugué par la voiture. C’est une magnifique Ferrari.
Je monte, ou plutôt descend dans cette voiture et ma robe remonte très haut sur mes cuisses. Le notaire, en me regardant le jambes, affiche un sourire qui en dit long. Je rougis. Il monte et nous voilà parti.
Au bout de trois heures de route, nous arrivons devant une grande demeure cossue, flanquée de dépendances.
Le notaire m’aide à sortir de la voiture. Elle est si basse que ma robe courte et décolleté laisse voir mes charmes et il ne se prive pas de me mater le cochon.
Il me fait visiter la maison. Arrivé dans un salon, le notaire m’invite à ouvrir un étrange coffret qui trône sur une table. Je découvre des photos de ma grand tante dans des positions érotiques et dans des ambiance SM.
Je suis choquée et le notaire m’observe sans rien dire d’un air amusé. Je continue à complser malgré tout ces clichés quand je tombe sur l’un où le notaire apparaît avec ma grand tante nue et livrée, totalement offerte devant lui très dominateur. Surprise, je lâche les photos et le regarde presque apeurée. Il me dit alors :
« Ca va Madame ? Quelque chose vous choquerait-il ? »
Mon regard passe du notaire à la photo. Je suis incrédule et ne sais quel comportement adopter. D’une voix calme il me dit :
« Je vous en pris continuez de regarder ces photos ! »
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C’est tremblante que je continue de compulser ces tirages. Les images que je découvre sont d’un érotisme torride et je sens déjà des fourmillement familiers dans le bas de mon ventre et mon coquillage qui commence à s’humidifier. Je découvre cette femme dans des positions de soumission où elle est promenée en laisse comme une chienne.
Une autre où elle est attachée nue et offerte au regard vicies du notaire.
Sur une où elle se fait fouetter et qu’une grimace de douleur apparaît sur son visage, il est écrit :
« Je m’offre au délices de la soumission et du BDSM et je jouis dans la douleur pour mon plaisir et celui de l’homme qui est avec toi dans cette pièce. »
Je n’ose même plus regarder le notaire. Je suis d’autant plus troublée que la ressemblance avec elle est flagrante. On croirait que c’est moi sur ces photos. Mais ce n’est rien pourtant comparé aux clichés suivants. On la voit aux prises avec une multitude d’homme dans un gangbang effréné ou elle suce en se faisant sodomiser.
Une autre ou elle est prise en double pénétration.
Les photos sont d’une pornographie extrême surtout quand je tombe sur une où elle se fait sodomiser par deux grosses queues en même temps tout en en suçant une autre.
A ce moment, j’ai envie de prendre mes jambes à mon cou. Je jette ces photos à terre et fait demi tour mais un ordre sec claque comme un coup de fouet.
« Stop Michèle ! Tu reste ici et tu regarde le deuxiéme album ! C’est un ordre ! »
Je me retourne, regarde le notaire très étonnée par le ton et docile j’ouvre fébrilement le deuxiéme album en me demandant ce que je vais découvrir et ce qui trotte dans la tête de cet homme qui m’observe et quelque part qui par son charisme me domine. Le premier cliché la montre vêtue d’un magnifique corset de cuir comprimant et galbant sa taille tout en laissant son sexe et ses seins à nu.
Les autres sont du même acabit. On la voit en train de se faire doigter et sodomiser par le notaire et je me dis inconsciemment qu’il est bien monté.
Je ne fais même plus attention au notaire qui est dans la pièce. La puissance de ces clichés me laisse rêveuse, tout autant que notre ressemblance. Je me demande à un moment si j’oserais faire de telles photos . Puis, je tombe sur une lettre qui dit :
« Je suis une femme libérée qui aime le sexe sous toutes ses formes. J’ai vécu avec plusieurs hommes. Certains était soumis, d’autre dominateur et j’aimais aussi faire l’amour avec des femmes. C’est avec le notaire qui est normalement devant toi dans le salon que les choses ont évolué. Si tu veux hérité de mes biens et de cette maison, tu devras lui obéir comme tu as pu le voir sur ces photos. »
Je laisse tomber le courrier et regarde hébétée le notaire qui ne me laisse pas le temps de réfléchir et me lance, d’un ton autoritaire :
« Alors Michèle ! Tu m’obéis corps et âme ? Ou je ne veux plus te voir et tu perds tout ! »
Je reste figée. Je suis dans un cauchemar ? Tout se bouscule dans ma tête.Les mots du notaire, les photos porno. Je sursaute quand la voix cinglante de cet homme retentit à nouveau :
« Michèle ! Tu te décide de suite ! J’ai d’autre chatte à foueter ! Alors tu pars ou tu reste ! »
J’essaye de bredouiller une réponse et sur un ton autoritaire et agacé, il m’ordonne :
« A poil salope ! »
Comme une automate, Je me déshabile devant cet inconnu. Je me retrouve en string et soutif devant lui.
Il ne dit rien rendant le moment encore plus pesant et tourne autour de moi en détaillant mon anatomie. Puis il brise le silence.
« Michèle t’es aussi bien foutue que ta grand tante. En léve le reste. Je te veux entièrement nue. »
Le charisme de cet homme est envoûtant. Il est vrai que j’avais été séduite au premier abord et d’avoir vu toutes ces photos, avec cette femme qui me ressemblait tant m’avait mis dans un état d’excitation avancé. Sur ces pensées coquines, je me met à ôter les fines lingerie qui reste de la barrière de ma pudeur.
Il tourne encore silencieusement autour de moi et apprécie mes courbes généreuses.
« Bien bien bien ! Dis moi que tu es prête à te donner corps et âme à ton Maître ? »
Là, je ne sais ce qui me prend et le regardant dans les yeux, je lui dis :
« Cette maison est à moi ! Et oui s’il le faut pour faire plaisir à la mémoire de ma grand tante, OUI ! Je suis prête à me donner corps et âme à votre volonté Maître ! »
Il se colle alors à moi et toujours en marquant des moments de silences angoissant, il se met à me malaxer les seins et à me fouiller la chatte.Je ne peux m’empêcher d’onduler sous les caresses et de miauler comme une chatte en chaleur. Il se met nu et tout en continuant ses pelotages il me dit :
« Mais tu mouille comme une chienne salope ! Je pense que tu es loin d’imaginer tout ce qui t’attends… »
Je bredouille quelque chose d’incompréhensible quand il m’ordonne :
« A genoux et suce ! »
Sans chercher à réfléchir je me mets à ses pieds, une part de moi comprenant que je n’ai pas le choix devant un homme aussi dominateur. Je prends sa belle queue en bouche et commence à le sucer.
« C’est bien salope ! Tu suce bien. On va pouvoir faire quelque chose de toi. Nous allons pouvoir commencer ton dressage… »
J’enléve la queue de ma bouche et, en le regardant d’air air choqué et intérogatif, je lui demande :
« Dressage ?? Mais, que, que voulez-vous dire par dressage ? »
Il rigole en me repoussant la tête sur son dard :
« Tu es si idiote que ça ? Continue de sucer, je t’explique. Tu m’appelle Maître. Tu me vouvoie. Tu me dois une obéissance et un respect total sous peine de punition. »
Il s’intéromp un instant et se met à grogner et à m’éjaculer dans la bouche. Je tente de me retirer mais il me maintient fermement la tête sur sa bite en m’ordonnant :
« Avale putain ! »
Je déglutis tant bien que mal et il me rejette par terre.
« Pas mal pour une début petite chienne ! »
Ensuite il prend un collier et une laisse fait pour les chiens et m’attache le collier autour du cou en me disant :
« Je vais te faire visiter les dépendances. Tu va voir c’est très instructif sur ta participation dans ces installations. Je vais aussi voir comment tu te comportes en petite chienne. Car il va falloir t’y habituer de marcher à quatre pattes ! »
Je me sens humiliée, rabaissée. Il tire sur la laisse pour me faire comprendre que je dois avancer. Il me fait faire le tour des dépendances en me faisant marcher dans des flaques de boue comme une chienne qu’on promène en laisse. Dans une des dépendances, que je reconnais suite aux photos, je découvre tout une installation Sado-Maso. Il y a des chaines, des croix des fouets..etc….
« Alors petite chienne, tu aimes la promenade ? »
« Non pas du tout , je veux partir ! »
« Quoi ? C’est trop tard maintenant que tu as décidé d’être une esclave pour garder ton domaine. Ok puisque tu n’as pas compris, je vais te faire tester ces instruments. Tu va avoir le droit à ta première punition. »
Je me dis, mais il est taré ce type. Mais comme une conne, je reste. Il m’attache à une poutre et je le vois s’emparer d’un fouet.
« Voilà ! Tu vas comprendre que l’on ne désobéit pas avec moi. Tu vas compter jusqu’à 20, gare à toi si tu te trompes. A chaque fois tu me remercieras pour la punition. Tu vas devenir une bonne chienne ! »
Il commence à faire claquer le fouet sur mes fesses et je crie :
« Un, merci Maître ! Deux, merci Maître ! »
Puis il varie les plaisir en continuant par mes cuisse, mon ventre et ma chatte.
« Cinq merci Maître ! …….Huit merci Maître !…. Onze merci Maître !!!!!»
Je me tortille et me met à hurler quand le fout atteint mes seins. Il semble apprécier de me voir me tortiler sous les coups en le remerciant :
« Quatooooorze merci Maîîîître !!! ….Viiiiingt meeeerciiii Maaaaître ! »
Je reçois les 20 coups de fouet dans la douleur. Curieusement ma cyprine coule le long de mes cuisses. Une fois la punition finie, le Maître sort sa grosses verge bien dure et me dit :
« Maintenant tu vas être une bonne salope qui va s’offrir à son Maître. Je suis sûr que tu vas aimer ça. »
Il se place d’abord devant moi sa grosse queue à la main et me lance :
« Aller suce mon manche comme une grosse salope que tu es ! T’aime te faire fourrer la bouche avec de gros chibres putain ! »
Anéantie et excitée, je m’entends lui répondre :
« Oui Maître j’adore sucer votre queue. »
« Tu vas devoir t’y faire car tu aura tout mes copains à sucer. Ca fera partie de ton quotidien ! »
Pour m’humilier davantage, Il fait des mouvements de vas et viens dans ma bouche en me disant :
« Suce le bien car tu sais où il va aller après… ta salive va servir de lubrifiant ! »
Je ne peux que subir tellement ma bouche est prise par ce gros engin qui me baise. Je m’applique à saliver le plus possible devinant qu’il va certainement me sodomiser. Moi qui n’aime pas la sodomie, je suis un peu paniquée en pensant à la suite. Il libère ma bouche. Écarte mes fesses et place son gland sur ma rosette en commençant à forcer l’entrée tout en me demandant :
« T’aime ça ma salope ? »
« Non vous me faite mal ! J’aime pas être prise comme ça ! »
« Pardon ?! De toute façon tu vas aimer et tu en redemanderas ma chienne ! »
Tout en me pénétrant, il se met à me fouiller la chatte pour constater que je mouille abondamment.
« Tu dégouline de mouille et t’oses dire que tu n’aime pas ? J’ai plutôt l’impression que t’adore ça ! Ta chatte te trahit J’vais te défoncer le cul grosse chienne ! »
Il commence à s’activer en moi en pratiquant de long vas et viens qui me semble durer une éternité, puis finit par dire :
« C’est un bon début. Tu dégouline de mouille putain ! T’y as pris du plasir grosse salope ! »
Honteuse et gênés, je lui réponds d’une petite voix :
« Oui Maître. C’était bon ce que vous m’avez fai. Merci Maître. »
« Dis le haut et fort sale chienne!! »
« J’ai adoré que vous me défonciez le cul Maître ! »
« Parfait on attaquera plus fort la prochaine fois ma bonne salope, maintenant viens à quatre patte à mes mes pieds et fais la belle comme une chienne ! »
Je le rejoins à quatre pattes et à ses pieds me met en position.
« Aller salope ! Enfile toi sur ce gode et fait la belle ! »
Trop excité malgré cette situation dégradante, je jouie rapidement.
« Voilà qui est bien, tu as joui comme une bonne petite chienne ! Maintenant viens me sucer pour me faire rebander ! »
Toujours en me déplaçant à 4 pattes , je me met entre ses cuisses et prend sa queue molle dans la bouche pour tenter de la faire redurcir.
« Tu as intérêt à me refaire bander salope ! Sinon tu sera fouettée ! »
Je fait de mon mieux pour ne pas recevoir à nouveau le fouet.
Je réussis à le faire bander et comme il ne il ne veux pas jouir tout de suite, il me repousse violemment me faisant roule par terre.
« Masturbe-toi ! Je veux te voir jouir en moin de cinq minute ! »
« Oui Maître merci ! »
Je me caresse du mieux que je peux pour jouir le plus vite possible devant les yeux de ce vicieux. Je devine que si je n’arrive pas à jouir, j’aurais le droit au fouet. Et pas question de feindre car je risquerais de le mettre en colère.
Pendant que je me masturbe, il se branle devant moi. Je réussi dans ma honte à jouir à temps. En même temps que j’ai mon orgasme, il m’éjacule sur le visage et les seins.
« Je suis plutôt content de toi pour une première soirée ma chienne. Je pense que je vais pouvoir faire de toi une bonne pute. T’as aimé ? Qu’en as-tu pensé ? »
« J’ai été très surprise d’aimer être humiliée par vous Maître. Mais me faire fouetter est trop douloureux Maître. »
« Bien il faudra t’y faire. Et je te prêterais à mes amis ou à mes clients. Tu deviendra un garage à bite. Le domaine est pour toi désormais acquis. Maintenant, je te pose une question importante et il n’y aura pas de retour arrière possible ensuite. Est-ce que tu veux rester à mon service ? »
Je ne m’attendais pas à cela. J’hésite un instant et lui réponds :
« Oui Maître ; je le veux. »
« D’accord très bien, tu me fais très plaisir ma chienne. Mais tu vas devoir tout accepter sans rechigner sous peine de punition ! Je présentais en toi des possibilité et cet instinct de soumission. Maintenant je vais te raccompagner chez toi. Je te recontacterai pour continuer ton dressage. Tu as encore beaucoup à apprendre. »
« Merci Maître. »
De moi même, pour montrer ma soumission je lui embrasse les pieds.
Il me retire le collier et la laisse. Je rassemble mes affaires et me rhabille rapidement. Je suis encore toute tremblante de ce qui vient de m’arriver. Je me dit que ce notaire au demeurant très classique est finalement un fiéfé vicieux dominateur. Le pire c’est que j’ai adoré ça.
Je suis loin d’imaginer ou cette histoire me mènerait. Je pense et crains avec bonheur ce que me réserverait prochainement le Maître.
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