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UNE BONNE FESSEE EN QUELQUE SECONDES

UNE BONNE FESSEE EN QUELQUE SECONDES



Il y a environ un an j’habitais encore sur Dunkerque pour faire le trajet tous les jours jusqu’à Lille en train pour le boulot.
J’ai pu faire connaissance de Hom Hom. Pour les personnes qui ont pu me suivre sur l’application « PATH Ios » ils ont pu le connaître également.

Très souvent le soir pour revenir sur Dunkerque on s’est retrouvé dans le même wagon et nous avons pu échanger via l’application « PATH Android ». Il a commencé à m’expliquer ce qu’il aimait tout comme j’ai pu le faire aussi. Il était très excité à l’idée que je me soumette à lui sans pour autant qu’il y ait du sexe entre nous.

Je pense qu’il devait être marié ou avec un mec. Peu importe pour moi. La plupart du temps, je ne demande aucun renseignement sur les personnes qui veulent m’utiliser. L’âge, le physique tout cela n’est que secondaire pour moi.

Je me souviens d’un soir, nous étions de nouveau dans le même wagon. Lui comme moi nous étions accompagnés de nos collègues. Nous avons donc commencé par discuter via l’application. Il était particulièrement énervé. Il avait le besoin de se défouler sur une personne. Je l’avais très bien compris lors de nos échanges. Il était si méprisant, insultant envers moi. Ce qui, je dois l’avouer m’excitait grave. J’avais beaucoup de mal à me concentrer sur ce que mon collègue m’expliquait.

C’est alors que je reçois un message de sa part qui m’a fait encore plus bander.

Je cite :

A la descente du train, tu vas te diriger chez toi. Je vais te suivre. Tu vas laisser la porte en bas de chez toi ainsi que celle de ton appartement ouverte ! Je veux qu’une fois chez toi tu te mettes à poil à 4 pattes le cul bien offert. C’est un ordre !

Vous comprenez qu’en lisant ce message ma queue n’a cessé de grossir. Je la sentais se frotter contre mon pantalon. Tellement excité par ce texte que j’essayais de me contrôler pour ne pas jouir dans le pantalon. Oui, je suis précoce à certains moments. Surtout dans ce genre de situation où mon imagination n’a plus de limite.

J’imaginais que cette fois-ci, il allait enfin passer à l’acte pour me défoncer le cul comme l’a****l en rut que j’étais.

Nous voici enfin arrivé à la gare.

Après avoir discuté avec mon collègue en lui souhaitant une bonne soirée tout comme il a pu le faire de son côté. Je me dirige vers chez moi. Une chance, je n’habite qu’à quelque mètre de la gare. Je me retourne discrètement. Il me suit. L’adrénaline et l’excitation montent. Je m’imaginais énormément de scénarios dans ma tête. La peur m’envahit aussi.

Je suis devant chez moi. J’ouvre la porte du hall qui grince en la laissant entrouverte. Je monte les escaliers. En effet, je suis au 4 ème étage. Je n’ai pas eu le temps d’arriver en haut que j’entends la porte du hall s’ouvrir. J’accélère le pas pour arriver dans l’appartement me mettre nu et à 4 pattes comme une chienne bien offerte.

Me voici nu prêt à recevoir les assauts de ce mâle méprisant. Il ouvre la porte et la referme derrière lui. Je suis là devant lui la bite tendue !

Il fait le tour de moi telle une marchandise offerte. Un calme qui ne dure que quelques secondes mais pour moi ça me semblait des minutes interminables. Enfin un son de sa bouche pour me dire :

_ Penches-toi plus !!!!!

Pendant ce moment où je me positionne au mieux pour me donner au maximum. Il se défoule en m’insultant. Que je ne suis qu’un moins que rien. Que j’ai loupé ma vie. Que je ne suis qu’une merde. Le ton monte et moi je suis toujours là offert à ne plus oser bouger. Je veux quand même essayer de le regarder pour qu’il rétorque aussi vite :

_ Baisses-toi, je ne veux pas voir ta sale gueule !

Mon cœur s’accélère. Je ne comprends pas ce qu’il attend de moi.

Et là !!!!!!!!!!!! En une fraction de seconde, je sens une CLAQUE puis une deuxième. Lors de cette deuxième claque, j’ai eu le malheur de bouger. De suite il m’ordonne de me remettre en place et de ne plus bouger.

C’est alors que les prochains coups ont été encore plus fort. Jusqu’au moment où il n’avait plus de temps à me consacrer. Il avait un bus à prendre.

Il m’ordonna :

_ Écarte les jambes. Tu me dégoûtes

Laissant apparaître ma queue et mes couilles. C’est alors que ce n’est pas un coup de main mais bel et bien un coup de pied que j’ai ressenti. J’étais là accroupi sur moi-même à souffrir.

J’avais bien raison, il avait bien besoin de se défouler.

Un peu plus tard dans la soirée, il me demanda d’envoyer une photo de mon cul pour contempler ce qu’il m’avait fait subir.

Ce soir-là il termina par :

_ tu verras demain ce qui t’attend ça ne fait que commencer.

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