l’incandescente Josie

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J’ai loué deux chambres contiguës dans un hôtel, une chambre chacune pour plus de discrétion. Nous ne nous sommes jamais vu. Je lui ai donné l’adresse de l’hôtel, le numéro de nos chambres et quelques consignes par mail.
A 22 heures précises, elle doit entrer dans ma chambre qui est totalement plongée dans le noir, se déshabiller complétement et venir me rejoindre dans le lit.
Je suis là, nue à l’attendre, déjà toute humide par l’excitation que provoque l’idée du premier contact avec sa peau. Elle s’allonge à mes côtés, je la sens toute tremblante, toute timide. Nous restons là un petit moment sans nous toucher.
Mes yeux se sont peu à peu habitués à l’absence de lumière, mais je ne vois que l’ombre de ses seins animée par sa respiration. Je m’approche, mon sein gauche vient effleurer son bras. Que ce premier contact est doux ! Je me mets sur le côté et viens maintenant me coller contre elle. Du bout de l’index en partant du dessous de son menton et en descendant doucement, je découvre ses formes, jusqu’au grain de sa peau. D’abord un de ses seins et particulièrement son petit téton, puis son ventre. Je glisse doucement sur le côté le long de sa hanche, puis du dessus de sa jambe jusqu’ à son genou. Doucement son corps se dessine dans mon esprit.
Ma main se pose maintenant sur l’intérieur de sa cuisse juste au-dessus du genou, je pousse sa jambe vers l’extérieur. Ma main toute entière remonte doucement le long de sa jambe puis du pli de sa fesse et le long de l’aine, sans toucher ton sexe. Je continue ma caresse sur son ventre puis sous ses seins. Je me mets sur les genoux et vient embrasser du bout des lèvres ses tétons tour à tour, plusieurs fois. Je m’approche de son visage jusqu’à sentir son souffle, et dépose un baiser sur sa bouche entre ouverte. Je recommence et à chaque baiser ma main descend sur son ventre en direction de son entre jambe, mais tout doucement, pour faire durer le plaisir.
Lorsque mon majeur atteint le haut de sa fente, sa respiration se coupe un moment. Là j’attends quelques instants, puis je laisse glisser le bout de mon doigt tout le long de sa fente, délicatement.
Ensuite je remonte en appuyant légèrement, la mon doigt glisse entre ses lèvres humides et s’arrête sur son clito. Mon doigt en fait le tour, plusieurs fois, mon autre main posée sur son ventre pour sentir sa respiration et les réactions de son corps.
Jusque-là nous n’avons échangé aucuns mots !
Je lui demande de se retourner, de se mettre sur le ventre. Je me place à califourchon ma chatte colée à une de ses cuisses, puis je reprends mes caresses sur ses épaules, son dos, le creux de ses reins et sur ses fesses rondes, moelleuses. Elle écarte alors son autre jambe en la pliant et en la remontant. Je comprends ce qu’elle souhaite, alors je pose mon majeur sur le haut de la raie de ses fesses de l’autre main je les écarte, et mon doigt glisse vers le bas jusqu’ à sentir l’humidité de l’entrée de son vagin. Je recueille un peu de cette liqueur puis remonte vers la petite étoile que forment les plis de son petit trou. Je m’attarde un moment à caresser son anus du bout du doigt. Elle aime cela, je peux l’entendre à ses gémissements discrets mais audibles.
Je lui dis alors. « Viens ! Fais ! Comme moi, je veux que nous jouissions ensemble une première fois »
et je me redresse posée sur mes genoux écartés au maximum. Elle se met face à moi dans la même position. Nous sommes genoux contre genoux, face à face ! Là je passe mes mains derrière elle, la serre contre moi et l’embrasse à pleine langue, longuement ! Puis je m’écarte et dis pour la deuxième fois.
« Fais comme moi « tout en glissant deux doigts dans son minou grand ouvert. Lorsque les siens me pénètrent eux aussi ! Je ne peux retenir un gémissement. La sentir pour la première fois en moi est tellement bon. Que je ne bouge plus. C’est si bon ! Là c’est elle qui va commencer à bouger à nous donner le rythme, ses doigts viennent caresser mon clito, puis reviennent en moi. Je la suis, et la caresse de la même façon. Le rythme devient de plus en plus rapide, les caresses sur nos clitos de plus en plus appuyées. Je ne sais quel minou, du sien ou du mien, fait le plus de » flop » » flop » ! Mais tous deux chantent cette mélodie humide à l’unisson.
Cette douce musique amplifie mon plaisir, je le sens monter. Et lorsque je sens son vagin se resserrer sur mes doigts, je m’abandonne totalement et jouis sans retenue !
Lorsque je reprends mes esprits ! Nous sommes front contre front toutes deux tremblantes de plaisir, nos doigts encore en nous. Lorsque je me retire, elle pousse un petit gémissement. Je maintiens sa main pour qu’elle reste en moi, puis la laisse retirer ses doigts dégoulinants de ma cyprine.
Ce sera notre premier orgasme.