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UN ENTRETIEN DE DEBAUCHE.

UN ENTRETIEN DE DEBAUCHE.



En passant par une autoroute en construction.

Année 2014. Je devais me rendre au cours d’un entretien mais je savais que des hommes du chantier public y travailler pour goudronner une autoroute projetée alors qu’il y avait un grand terrain situé non loin d’une forêt et, et c’était la meilleure opportunité d’avoir la plus belle expérience avec des hommes, cet été, qui étaient eux-aussi en chaleur.

En effet, la distance entre ma ville et l’autre n’étant pas loin, j’ai trouvé le moyen de passer par cette route même si elle était occupée par des personnes y travaillant pour satisfaire certains qui voulaient profiter de la situation et de l’occasion.

Ces quatre hommes, physiquement étaient, dévêtus mais ils n’avaient que le short et les baskets. Ma foi, leur hygiène était convenable car des manuels ont aussi un charme pour trouver les personnes leur étant destinées.

Le premier, un mature était de corpulence assez robuste : âgé forcément de plus de cinquante ans, agent de maîtrise probablement, yeux bleus, cheveux châtains, torse fortement velu uniquement du ventre via nombril, avec des jambes poilues.

Le second, âgé de 43 ans, musclé, yeux bleus, cheveux noirs, torse fortement velu allant du cou jusqu’au bas du nombril et poilu aux jambes.

Le troisième, âgé de 41 ans, de corpulence normale, cheveux châtains, plus ou moins poilu au torse et même aux jambes car peut-être de cheveux blonds, mais avec une barbe un peu mal rasée mais propre.

Le dernier, un bear, costaud, crâne dégarni, torse poilu et jambes musclées âgé de 39 ans.

Les détails physiquement décrits sont certes de ma part un peu aléatoires mais ces hommes tournaient autour de mon âge.

Je ne savais où se trouvait l’Administration car elle était récemment construite non loin de cette autoroute et me rapprochant des hommes fortement occupés avec les machines, je leur pose la question :

– Messieurs, savez-vous où se trouve l’Administration qui traite de la qualité de l’eau?

L’homme qui était le chef me répond :

– Attendez, ce n’est pas loin mais seulement, il y a un chemin à faire. C’est juste en traversant le bois, vous voyez ce sentier et là ce sera facile.

Mais, monsieur, lui dis-je, je préfère être plus vigilant car ce sentier me rend suspicieux.

L’agent de maîtrise me réplique :

– Attendez, deux de mes collègues vont vous accompagner.

– C’est très gentil de votre part et leur travail alors?

L’agent de maîtrise :

– C’est sans problème, car eux-aussi ils connaissent l’Administration et nous travaillons avec eux, ils ne diront rien mais c’est pourquoi au juste?

– Un entretien d’embauche, je lui réponds.

– Ainsi, les deux derniers m’accompagnent, et me disent de m’accorder un instant car ce n’était pas pour la cigarette mais pour vider le liquide de leur réservoir et, logiquement, c’est crucial. Leurs mots avancés :

– monsieur, cela ne vous fais pas perdre de temps?

Le plus excitant était de voir les deux non seulement sortir leur pénis entouré de poils et par ailleurs ceux indiqués par leur buste, et je leur dis :

– Ne vous-en faites pas, je dispose de quelques minutes et moi-aussi, je dois….

A mon tour, je sortais et montrais sans me gêner mon joujou et je commençais à les exciter.

– monsieur, elle est plus grosse que la nôtre.

– Vous voulez que je baisse mon pantalon et une partie de plaisir, rien qu’à vous entendre, ça vous dirais?

– Ah, monsieur, c’est ce que nous attendons, vous êtes comme nous mais la vôtre est sublime.

Je fais le nécessaire pour m’allonger sur l’herbe un peu plus propre et les deux avaient retirés leur short, alors que moi, seuls restaient, le maillot à moitié remonté car les poils de mon bide les excitaient.

Ils me disent :

– D’abord, une suce pour chacun, monsieur et après, on vous passe dessus pour apprécier le plaisir car c’est la première fois que l’on voit une personne tolérante.

– Toujours tolérant, leur dis-je.

Ils prennent ma bistouquette et se mettent à la sucer et à passer leur coup de langue, leur barbe se faisant sentir aussi.

La suce durait pour un quart d’heure.

Puis, il ne faut pas oublier qu’il n’ y a pas que la suce qui compte.

Ils me disent qu’ils ont chaud et que la queue bandante n’en peut plus et qu’ils souhaitait s’allonger pour se frotter fortement contre moi, combler leur fantasmes et jouir de plaisir.

Le fait de me défoncer, chacun leur tour prenait plus de dix minutes si bien que je sentais quelque chose, bref un liquide gluant après un gémissement, dosé fortement.

Les deux jeunes hommes n’avaient rien à craindre puisque le retard sera falsifié et motivé par de la boue qui avait sali mes chaussures que je devais nettoyer, et dire que c’était accidentel.

En conclusion : il fallait postuler dans les métiers pour les chantiers de la « voie » publique, non pas pour le salaire mais l’avantage, l’amour avec les hommes au boulot.

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