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Soumise toujours

Soumise toujours



Je m’appelle Elizabeth, j’ai 37 ans et 2 enfants. Je veux vous raconter le début de mon histoire avec Libéra, mon mari.

Il y a 17 ans, en octobre, je redoublais ma première année de fac. J’étais fermement décidée à travailler mais j’ai revu Libéra. Grand (1,90 m), longiligne, africain, il était au masculin la reproduction de Grace Jones, la célèbre mannequin de l’époque.
Moi, petite (1,58 m), peut-être un peu ronde (des seins imposants, une taille fine mais des hanches larges), brune , très blanche de peau, j’étais son opposée.
Nous avions été copains l’année précédente, parmi toute une bande.
Mes bonnes résolutions disparurent rapidement, je désirais cette homme comme jamais, et pourtant j’en avais connu au point d’avoir une réputation …

Libéra était bosseur, il rageait d’avoir raté son année précédente, lui dont la famille en Afrique était fier mais dont son père avait réduit les moyens de vie du fait de cet échec.

Je me rapprochais de lui pour le travail en groupe, mais ce que j’appréciais le plus, c’était d’être avec lui le soir, dans les bars que nous fréquentions tous.
Cela se voyait, et tous nos amis riaient de tous mes efforts pour l’attirer alors que lui ne réagissait pas !

Puis, à la soirée du Réveillon, après que j’ai tout fait pour le séduire, m’habillant à la limite de la décence, robe courte sans sous-vêtement et m’exposant outrageusement à son regard, il m’a dit, « viens ». Nous sommes partis chez lui, j’étais troublée dans la voiture. En arrivant, à peine le seuil franchi, il a fait glisser les bretelles de ma robe et je me suis retrouvée nue. Il m’a embrassée fougueusement, je mouillais comme une folle. Il m’a prise dans ses bras et transportée sur le lit. Allongée, j’ai bientôt senti son souffle sur mon sexe, puis sa langue sur mes lèvres. J’étais devenue fontaine. Ses doigts sont venus remplacer sa langue. Un doigt, puis deux, puis trois m’ont pénétrée ; sa langue sur mon clitoris me faisait oublier où j’étais. J’ai crié.

C’est nu qu’il s’est retrouvé sur moi, il m’a pénétré immédiatement: J’avais fantasmé sur la grosseur et sur la longueur de son sexe mais j’avais l’impression là que tous mes fantasmes étaient dépassés. J’ai encore joui. Et encore. Il me limait alternativement doucement et rapidement, j’ai eu le sentiment de ne plus toucher terre tant c’était fort. Il m’a retournée sur le ventre à un moment, m’a fait remonter les genoux et s’est placé derrière moi. Son sexe m’a transpercé en me pénétrant dans cette position mais très vite il est ressorti pour revenir sur mon anus. Ma seule pratique de la sodomie était alors solitaire, avec de petits vibromasseurs, j’eus peur un instant mais cambrai les reins. Libéra s’introduisit avec peine, venant chercher ma mouille pour lubrifier son vit, mais bientôt, je sentis ses couilles : il était entré totalement. Il reprit alors ses va-et-vient, j’hurlais quand ses doigts venaient caresser mon bouton. Après un n-ième orgasme provoqué par sa jouissance, je m’écroulais, lui sur moi.

Le lendemain matin, je me réveillai dans ses bras. Il dormait. Je me mis à lui caresser le torse, aucun poil ne venait chatouiller ma main. Comme il commençait à remuer, je descendis sur son ventre et je trouvai son gland à hauteur du nombril : jusqu’alors, je n’avais pas touché ni vu son sexe, je frissonnais devant la grosseur et la longueur de ce que j’avais maintenant en main. En caressant les couilles, je fus surprise de ne trouver encore aucun poil mais Libéra se réveillait. J’arrêtai ma caresse.

Ouvrant un oeil, il me sourit, m’embrassa sur le front et bondit hors du lit pour partir en direction de la salle de bain. Dix minutes après, je le vis réapparaître en peignoir, j’étais encore couchée, il s’approcha et tira sur le drap. Ma nudité exposée ainsi me parut honteuse.

– Tu sais Elizabeth, j’ai aimé la façon dont tu t’es donnée hier soir, mais maintenant je veux tout. Mets-toi à quatre pattes.

Je ne discutais pas et me mettais dans la position demandée, je tremblais de honte et d’excitation. Il s’agenouilla derrière moi, je sentais les pans de son peignoir, Son sexe vint toucher mes lèvres qui s’écartaient mais il remonta plus haut, vers mon anus. J’entendis le lubrifiant couler, le froid sur mon petit trou me fit frissonner mais la pénétration qui suivit, comme la veille, m’affola et me fit perdre la tête. En même temps qu’il me limait, il me dit qu’il faudrait faire disparaître très rapidement les poils de ma chatte, il était habitué aux femmes africaines épilées et souhaitait garder la sensation. J’acceptai sans réserve tant je jouissais à ce moment-là.

Je passais le reste de la journée nue dans son appartement et deux autres fois il me sodomisa, se réservant ma chatte quand elle serait sans poil.

Le lendemain, j’allais chez l’esthéticienne et elle ne put terminer tant j’avais mal. Le soir, il se refusa à moi et je dus rentrer chez mes parents dormir.

Une semaine après, il était midi quand j’arrivais à la fac. Enfin mon sexe était totalement imberbe et j’avais hâte de le montrer à Libéra. Je me jetai sur lui à la sortie de l’amphi et lui expliquai à l’oreille qu’il pourrait toucher si nous nous isolions dans les toilettes. « OK, dit-il, va dans les toilettes pour homme, choisis une cabine, et mets-toi nue ».
Je m’exécutais et cinq minutes après il m’appelait. J’ouvris la porte, il entra et me demanda de monter debout sur la cuvette. Il se baissa.
– Tiens-toi aux parois.
Et il se passa ma jambe gauche sur son épaule. Je sentais son souffle sur mon pubis. « Oui, c’est bien », dit-il, puis il me lécha le clitoris et les lèvres qui n’attendaient que çà.
Il me fit redescendre, me retourna, me demanda de me baisser, j’entendis sa braguette s’ouvrir, il sortit son vit et me pénétra d’un seul coup. Je criais de bonheur. Il me lima longtemps, j’avais l’impression de n’avoir jamais été pénétrée comme cela.
Quand il éjacula, je le suivis dans la jouissance. Il me demanda alors de lui nettoyer le sexe avec ma langue, j’avais espéré déjà le faire mais il ne m’en avait jamais laissé l’occasion. Je le fis avec avidité, léchant le gland et chatouillant le méat, puis avalant le long sexe tout en caressant les couilles.
– Désormais, tu laisses tomber tes jeans, tu seras toujours disponible en jupe ou en robe, sans culotte.
Je ne pouvais répondre mais je redoublai d’action pour lui signifier que j’étais d’accord sur tout.

J’emménageai bientôt chez Libéra, nos journées de fac étaient excitantes à chaque instant et le retour à la maison était une fête. Je savais que j’aurais droit au plaisir maximum. Nous faisions l’amour plusieurs fois par jour, chez nous le matin et la nuit, à la fac dans les toilettes, dans les bars et les boîtes que nous fréquentions.

Libéra avait cependant gardé un jardin secret, celui du jeu, et quand le mardi j’allais dîner chez mes parents, lui allait faire sa partie de poker.
Un soir, il m’annonça que sa prochaine partie aurait lieu chez lui, qu’il souhaitait que je sois là. Je pris çà pour une nouvelle étape dans notre relation, j’allais connaître ses copains de « débauche », ils me connaîtraient aussi.

Je me souviendrais longtemps de ce mardi.

Vers 20h00, ses trois amis arrivèrent et je me rendis compte qu’ils étaient bien plus âgés que Libéra : deux avaient la quarantaine, le dernier était plus proche de la cinquantaine. Tous noirs, Georges était le plus petit, 1m70, tout en muscles ; Jérôme, 1m80, était plutôt bedonnant, mais exprimait la joie de vivre, un sourire permanent aux lèvres ; celui qui m’impressionna fut Désiré, tant par sa carrure (1m85, 80kg), que par sa prestance, renforcée par ses tempes grisonnantes.

Ils commencèrent de suite, pendant que je leur apportais de quoi grignoter. Je sentais que ma présence les dérangeait et j’essayais de me faire toute petite.
Je compris bientôt que les jetons qu’ils lançaient sur le tapis de jeu représentaient de grosses sommes et que Libéra devait déjà beaucoup d’argent.

Vers 23h00, ils firent les comptes et Libéra m’appela.

– Elisabeth, j’ai perdu beaucoup ce soir, beaucoup plus que de raison : j’ai besoin de temps pour rembourser et Désiré accepte de ne pas faire courir d’intérêts si tu t’engages à travailler pour lui dans son club.

Je comprenais mal leurs relations tant j’étais convaincue qu’il s’agissait de copains et j’essayais de discuter.

– Tu ne m’as pas compris, ce n’est pas négociable, je me suis engagé.
– Tu ne peux pas décider pour moi, je n’ai jamais travaillé dans un club et je n’ai jamais ambitionné d’être serveuse !
– Tu ne seras pas serveuse, intervint alors Désiré, mais entraîneuse.
– Il n’en est pas question, lui dis-je en me tournant vers lui.

A ce moment là, Libéra, qui était décomposé sur sa chaise, se leva et me gifla.

– Tu feras ce que je te dirai.

On aurait dit un « mac » menaçant la fille qui travaille pour lui. J’ai ravalé mes larmes, impuissante. Je l’aimais et n’avais pas envie de le perdre.

– Déshabille-toi, dit Désiré d’une voix égale.
– Pardon ?
– Tu as bien entendu.
– Mais…
– Fais ce que je dis.

Je regardais Libéra qui s’était rassis, il me fixa sévèrement. J’ai alors obéi, j’ai ôté mon gilet, fais glisser les bretelles de ma petite robe. Je frissonnais après avoir eu une bouffée de chaleur qui m’avait rendue moite.
Mes seins se balançaient, durs, gonflés. Mes bouts étaient devenus très longs.
Les quatre hommes autour de la table me fixaient.

– Approche-toi, dit Désiré.

Je fis les deux pas qui me séparaient de lui, je restais les bras ballants, il avança sa main et la posa sur ma cuisse puis la remonta jusqu’à toucher mon sexe. Il a trouvé mon clitoris, je me suis ouverte, j’ai senti mon jus couler. Il m’a pincé le bouton entre le pouce et l’index. J’ai crié de douleur et de bonheur je crois.

 Je t’attends vendredi à 19h00. Ne sois pas en retard.

Je compris que la séance était terminée et je m’enfuis dans la chambre.
Je les entendis tous partir et Libéra vint me retrouver. J’étais allongée, nue, il perçut que je faisais semblant de dormir. Il fut très câlin, sans un mot nous fîmes l’amour.

Les trois jours qui passèrent furent comme ceux qui avaient précédé, pleins de notre relation torride. Mais le vendredi après les cours, Libéra et moi retournèrent à l’appartement directement, comme conscients que la soirée nécessitait une préparation particulière.

 Tu sais, Elizabeth, je sais ce que tu vas faire pour moi ce soir. Je t’aime et tu me donnes là une grande preuve d’amour !

Je commençai à pleurer.

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