Histoires de sexe en groupe Premières histoires de sexe

Suzie 2

Suzie  2



Miss endormie

Montréal, 1985

12 h d’autobus c’est chiant, mais moins quand on a une copine vraiment cool qui ne dit jamais non, une sacrée vicieuse, tout aussi voyeuse que moi et toujours prête à écarter les cuisses. Et c’était le cas de Suzie, ma petite Gaspésienne. Une femme plus âgée que moi, dans la quarantaine avec de belles rondeurs, très facile a étendre tellement elle aimait sentir une bite en elle. Plutôt jolie quand elle prenait la peine de se maquiller un peu et d’enfiler une jolie robe. Une femme douce, intelligente, très terre à terre, ordinaire, que la plupart des hommes remarquaient seulement pour sa fabuleuse poitrine, comme moi, dès que je l’avais vue au travail a ma première journée. De gros seins ballon bien hauts et très fermes pour son âge avec de tout petits mamelons en plein centre. Le genre de poitrine qu’on ne se lasse pas d’admirer, d’embrasser et de caresser. Pour le reste, ont aimaient les mêmes choses elle et moi; le calme, la lecture, la nature, les bazars, le vélo et le sexe, évidemment.

***

Depuis notre départ de Montréal à 8 h du matin il pleut à torrents, le ciel est boucher et il fait sombre dans le gros autobus voyageur. C’est d’un ennuie mortel que de regarder défilé le paysage le front appuyer contre la fenêtre frappée par la pluie. Je ne peux m’empêcher de bâiller à répétition alors je tourne la tête vers Suzie. Elle dort déjà, la tête sur mon épaule, et elle dort très dure cette fille la, même qu’elle arrive a s’endormir n’importe ou, une vraie chatte. Ses cheveux bruns, très épais, tressés à la française me chatouillent la joue. Je souris en regardant son ventre un peu rond qui se soulève régulièrement sous ses seins ballon. Chaque fois que je reluque sa poitrine, je ressens de petits frissons au bas ventre tellement elle m’excite.

Depuis que l’on s’était rencontré 3 ans plutôt, on vivait ensemble, une vie tranquille et l’été, comme on n’avait pas de voiture, on voyageait en vélo pour aller camper ou visiter des lieux historiques aux alentours de Montréal. Mais aujourd’hui, on se rendait en Gaspésie à 14 h d’autobus visiter sa mère. Je n’en pouvais plus de la grande ville et elle non plus, on n’avait besoin d’air. La mer lui manquait et moi c’était la forêt, les grands espaces, les lacs et les rivières.

Il y a peu de passagers dans le bus ce matin, une dizaine de personnes tout au plus, entassées vers l’avant, comme pour surveillé le pauvre conducteur qui lui surveille la route détremper derrière son pare-brise battu par de gros essuie-glace qui se balance de gauche à droite. On est donc seul a l’arrière et je l’observe a présent, baissant les yeux vers ses courtes jambes croisées, me sentant un peut excité juste a l’admiré pendant son sommeil. Ses mains reposent sur une jupette écossaise et elle porte des collants noirs opaques qui moulent à la perfection ses cuisses bien rondes et ses beaux mollets de cycliste. Aux pieds elle a de grosses bottes de randonnée, car comme moi elle aime la marche en forêt. Puis je lève les yeux vers son chandail vert à col roulé qui enserre parfaitement sa grosse poitrine laissant même deviner son soutien-gorge. Chacun de ses seins est presque aussi gros que sa tête, une pure merveille, comme si le créateur avait coupé un ballon de basket en deux pour lui coller sur le torse. J’ai toujours été un obséder des grosses poitrines, alors, Suzie était la femme de mes rêves. Pas seulement pour ça, bien sûr, mais c’était un gros plus disons.

Là, ils se balancent en tandem au gré des bosses sur la route, je trouve ça trop beau a voir, même que je salive juste a l’idée de tendre la main pour lui caresser, ici, dans le bus. Pourquoi pas? Vu qu’on est seul à l’arrière. Ses seins fabuleux m’obsèdent depuis le premier jour et elle le sait bien. Je sens ma bite qui me chatouille a cette idée, j’en ai même de petites chaleurs, car je repense à la pipe qu’elle m’avait faite au réveil dans notre lit après m’avoir branlé justement avec ses gros seins. Elle était allée jusqu’au bout et avait tout avalé comme une pro pour ensuite me regarder tout sourire avant de filer sous la douche. Rarement une fille ne m’avait autant excité que Suzy et rien ne m’excite plus depuis toujours que de sortir ma bite dans un endroit public, alors…

Mine de rien et très doucement pour ne pas la réveiller, je soulève un peu les fesses et remonte ma mini-jupe noire puis baisse mon collant orange jusqu’à dévoiler mon slip de coton blanc. Je repose les fesses sur la banquette et le tire simplement de côté pour découvrir ma bite molle sans prépuce et mes grosses couilles glabres et me branle tout doucement avec le pouce et l’index en la reluquant. Je frissonne déjà juste a faire ça ici, dans le bus, juste sous son nez, au risque surtout de me faire surprendre par un passager se levant soudainement pour filer a la minuscule toilette juste derrière nous. Mais c’est tout l’intérêt de la chose, non, le risque? Mais ce passager serait très surpris de voir une belle grande fille comme moi avec une bite.

Depuis quelques années, je vis en femme. Je suis un travesti, grand et mince aux longs cheveux fins teints en roux qui allume les hommes. Je suis bi, mais je préfère les femmes. J’ai toujours été très efféminé et mal dans ma peau, plus fille que garçon dont j’avais même les courbes, alors, le fait de décider de vivre en femme, encourager par Suzie avait été une vraie délivrance. Avant je me contentais de me travestir à la maison trop timide pour sortir ainsi, mais plus maintenant. Maintenant j’étais heureuse, jolie, bandante, avec des jambes d’enfer. Jamais de talon haut ni de maquillage extravaguant. Impossible de deviner que j’étais un garçon a moins d’aller voir sous ma jupe, même sans poitrine. Je portais tout de même des soutiens-gorges pour donner le change, mais surtout pour le plaisir de le faire. Suzie adorait sortir avec moi, que j’ai l’air d’une belle grande fille mais avec une bite l’excitait terriblement, car elle était un peut bi elle aussi, donc, j’avais tout ce qu’il fallait pour la rendre heureuse. Elle tournait les têtes pour sa poitrine, moi pour mon visage à la Chrissie Hynde, la chanteuse des Pretenders et mon corps de mannequin don j’étais si fier. On s’affichait publiquement comme un couple de lesbiennes et à l’époque, dans les années 80 ce n’était pas si bien vu que maintenant, mais on s’en foutait royalement. On avait aussi des aventures à droite ou à gauche ou ensemble le plus souvent, bref, nous étions heureuses toutes les deux et drôlement vicieuses.

***

Ça me fait aussitôt salivé de sentir mon membre gonfler sous mes doigts fins et délicats aux ongles longs et peints en orange pour s’harmoniser avec mes collants et ma camisole. C’est l’avantage de porter des jupes très courtes, on a accès à son sexe plus facilement. C’est vraiment flippant de se balader en mini-jupe l’été, on sent le moindre courant d’air vous chatouiller les couilles et les fesses, même chose avec des collants l’hiver. Comme les sièges avec appuie-tête sont hauts, le chauffeur ne peut rien voir non plus. Je bande donc rapidement en fixant toujours la grosse poitrine de Suzie qui se balance et sursaute parfois. Je regarde aussi sa bouche fermée aux lèvres rondes sans rouge qui m’avait si bien sucé ce matin au réveil. Je frisonne juste d’y repensé, juste de l’imaginer m’en faire une ici.

Elle dort sereinement, je me demande à quoi elle rêve.

Tous mes sens sont exacerbés par cette petite séance de bite à l’air dans un autobus. Plus de bâillement, ça m’a complètement réveillé. Le fait aussi que je sois habillé en femme m’excite beaucoup plus, comme toujours. Je sens mon pouls qui s’accélère, mes petits mamelons qui gonflent sous mon soutien-gorge et deviennent plus sensibles, ils pointent de plus en plus. Je me sens tellement bien à voir ma main aller et venir de mon gland a mes couilles sur mon membre d’une bonne taille, presque 8 pouces. Une belle queue bien droite et sans prépuce avec un gros gland en forme de cloche. Mes nombreuses bagues en argent l’agacent au passage me faisant plisser les yeux et soupirer. J’amène ma main devant ma bouche pour y laisser tomber de la salive que j’étale ensuite sur ma hampe veinée pour la rendre bien glissante. Je répète l’opération à deux reprise en soupirant encore de plaisir tellement mon gland est devenu sensible.

De la main gauche, je presse doucement mes grosses couilles sans poil en me léchant les lèvres, goûtant mon rouge. Je me sens de plus en plus exciter, fébrile, heureuse de faire ça devant Suzie endormie. J’en ai des bouffées de chaleur aux joues en me branlant très doucement. Mon membre est si dur maintenant et mon gland si gonfler que je ressens encore une forte envie de la réveillé pour qu’elle me fasse une autre pipe, ici, là, maintenant. Je sais très bien qu’elle ne refuserait pas, elle ne me refuse jamais rien, même que ça l’excite au max. Dès qu’elle voit une bitte cette fille-là, elle mouille et plisse les yeux, de petits yeux brun-vert en amande. Mais j’hésite, je me sens trop bien comme ça, juste à me branler doucement et j’aime trop l’observer quand elle dort. Elle semble si sereine ma belle endormie.

Sa respiration est toujours régulière, ses yeux ne bougent même pas sous ses paupières.

Le temps passe lentement. Je me sens si bien, bite en main bercer par le ronronnement du moteur de l’autobus et le battement de la pluie sur le toit avec la tête de Suzie appuyer contre la mienne. Je sens son odeur parfumée, un mélange de shampoing et de crème pour le visage. Mais l’envie de toucher sa grosse poitrine qui m’obsède me fait saliver de plus en plus et je ne peux plus y résister. Je lui enviais tellement ses seins. J’aurais bien aimé en avoir, mais des implants pour moi, c’était hors de question, trop onéreux. Comme elle est sur ma gauche et moi près de la fenêtre, je dois changer de main sur ma bite pour pouvoir caresser sa poitrine sans cesser de me masturber. J’essuie ma main mouillée de salive sur la banquette, crache dans ma main gauche et effectue le changement tout doucement, toujours pour ne pas la réveiller et tends la droite pour la poser délicatement sur son sein gauche comme si j’étais un démineur et que j’avais une peur bleue que son sein explose. Cette pensé me fait sourire tout en sentant mon cœur accélérer et ma bite devenir encore plus dure, plus sensible a palper son sein, là, dans ce bus pendant qu’elle dort. Même que je frissonne et c’est très agréable, enivrant même, au point où je plisse les yeux et me lèche encore les lèvres. Ça me donne la chair de poule de tripoter ma copine endormie en me masturbant, un peut comme si c’était une étrangère, assise la, contre moi et qui risquait de s’éveiller à tout moment pour crier au viol faisant sursauter tous les voyageurs.

Mais aucune réaction de ma belle endormie tandis que je presse un peut plus son sein la paume chatouillée par le tissu de son chandail, ça me fait sourire encore. Je le palpe tout doucement de haut en bas, de gauche à droite tellement il est gros, c’est comme caresser un ballon et c’est tellement plus excitant de faire ça ici que je dois déglutir tellement je salive. Nerveuse, je reste à l’affût du moindre mouvement vers l’avant au cas ou un passager aurait une petite envie. Je devrais alors faire vite pour rabaisser ma jupe et cacher mon collant baissé, mon slip et surtout mon sexe luisant de salive en pleine érection. Je presse son sein avec précaution au niveau du mamelon, puis tout autour, toujours un peu nerveuse a l’idée que ça la réveille même si je sais très bien que ça la ferait juste sourire. Je suis même étonné qu’elle ne le fasse pas déjà.

Je sens très bien son soutien-gorge préférer sous le chandail, celui qu’elle a enfilé ce matin en sortant de la douche, un blanc en dentelle, un peu usé, sans soutien. Elle n’en a pas besoin tellement sa poitrine est ferme. Elle ne bronche toujours pas, mais son mamelon commence à apparaître, soulevant le tissu, quelle belle vision? Je le frotte légèrement avec le pouce pour qu’il gonfle plus. Ma bite palpite dans ma main gauche, mon scrotum durcit et mes genoux se frappent doucement. Je retiens déjà quelque gémissement de plaisir tellement c’est excitant. Je déglutis à nouveau me masturbant toujours très lentement, ma main heurtant toujours mes couilles puis mon gland qui rougit rapidement et laisse même échapper une goutte de liquide séminal transparent.

Je passe à l’autre sein que je presse à son tour, mes doigts s’y enfoncent à peine tellement sa poitrine est ferme. Là aussi son mamelon s’éveille et gonfle. Ils pointent tous les deux à présent. Je la caresse comme ça quelque minutes passant de l’un a l’autre toujours très doucement me sentant de plus en plus troubler de faire ça ici. Je soulève les seins lourds justes un peut ou les presse l’un contre l’autre et ça ne la réveille toujours pas, à moins qu’elle fasse semblant, difficile a dire et ça, c’est vraiment super excitant comme sensation. Je sens les moindres battements de mon cœur, je respire plus lentement par la bouche, j’entends mieux tous les sons qui se propagent dans le bus; quelqu’un qui tousse, un autre qui change de position, le ronronnement régulier du puissant moteur diesel, le battement des essuie-glace chassant la pluie du pare-brise, etc. Je suis si exciter que je cesses de me branler un moment même si je meurs d’envie d’éjaculer me contentant d’enserrer ma hampe très fort a la base en soupirant. J’en ai des papillons dans le ventre, je me sens si bien. D’autres gouttes de liquide séminal épais comme du blanc d’œuf sortent de mon gland. Je lâche sa poitrine un instant pour les cueillir avec mon pouce, sors la langue et lèche. Le goût salé est délicieux, enivrant, puis je repose ma main sur sa poitrine et recommence à me masturber.

Je dois vraiment me retenir pour ne pas jouir trop vite et en finir trop tôt, même de la main gauche, celle avec laquelle on se masturbe rarement, nous, les droitiers. Celle qui nous donne un peu l’impression que c’est quelqu’un d’autre qui nous branle. Je veux étirer cette petite séance le plus possible tellement c’est le fun et même aller un peu plus loin surtout en sentant mon scrotum durcit, formant une belle boule bien ronde, heurter la banquette régulièrement. Je regarde alors son collant noir, opaque, qui moule à la perfection ses jolies jambes croisées, ses cuisses musclées par le vélo surtout. Je lâche donc a nouveau sa poitrine pour poser doucement ma main sur son genou en fixant son visage toujours si détendue et la glisse lentement jusque sous la jupe sentant ma paume chatouiller cette fois par le tissu très doux du collant, pressant un peut sa cuisse chaude et ferme. Encourager par le fait quelle ne réagit toujours pas je soulève alors la jupe complètement et la rabat lentement sur ses mains pour découvrir le haut de ses cuisses croisées. Le collant laisse deviné son slip que je sais rouge. Cette vue m’allume complètement cette fois. Je jette un coup d’œil au-dessus des sièges pour être certaine de ne pas être surprit. Personne ne se lève, tout le monde semble assoupi, en train de lire ou de regarder défiler le paysage.

Je déglutis d’excitation en repoussant une mèche de cheveux derrière mon oreille. En la regardant à nouveau je me demande si elle s’éveillerait si je décroisais ses cuisses tout doucement pour caresser sa vulve. Je souris à cette idée, mais décide de faire autrement surtout qu’elle semble toujours dormir comme un bébé. Même que j’en suis certaine.

Rassurer, je glisse alors la main tout doucement entre ses cuisses serrer avec autant de précautions qu’un pic poquet qui se préparent a vous voler votre portefeuille. Mon cœur palpite tout à coup beaucoup plus vite. Je cesse de me branler pour mieux me concentrer en sentant les palpitations de mon cœur se répercuter dans ma bite. Je dois forcer un peut pour que ma main s’y enfonce et la pousse lentement vers le haut jusqu’à sentir la bosse de sa vulve contre mes doigts sentant même sa fente chaude au travers du collant et de son slip. Cette fois, je suis certaine qu’elle va ouvrir les yeux, décroiser les jambes et sourire; mais non. Elle respire toujours calmement, ses paupières restent closes, sauf que ses joues rosissent quelque peu. Je sens très bien ma main coincée entre ses cuisses, mon pouce contre son sexe. Ma bite palpite beaucoup plus, plus dure que jamais dans ma main. Je recommence à me masturber, c’est si bon.

Est-ce qu’elle est réveillée et joue le jeu, car ça l’excite?

Aucune idée, mais je ravale ma salive en apercevant ses mamelons gonflés beaucoup plus. Tien don! Je me demande encore si elle fait semblant de dormir ou si mes attouchements ont provoqué chez elle un rêve érotique. Cette fois, mes couilles rentrent par en dedans. C’est si agréable, si bandant de la tripoter comme ça. Mais je veux savoir si elle est éveillée. Alors, je lui dis tout bas à l’oreille :

— Je sais que tu es réveillé.

Rien, toujours aucune réaction.

— Vicieuse, t’aimes ça que je te tripote ici, avoue?

Rien, et ça m’excite d’autant plus, tellement qu’un long frisson me parcoure la colonne et que j’en ai encore plus de papillons dans le bas ventre. Surtout que je la sens devenir humide au travers de son collant et de son slip. Je me contente de plier et de déplier mon pouce contre son sexe très lentement.

— Tes mamelons pointent Suzie, ils sont bien visibles. Si un gars va aux toilettes il va flipper en te voyant comme ça, jupe relever surtout et moi la bite a l’air et en train de me masturber une main coincer entre tes cuisses.

Toujours rien, ses yeux ne bougent toujours pas sous ses paupières closes. Sa respiration reste régulière, elle ne déglutit même pas. Je suis certain qu’elle dort encore, enfin presque, même si ses joues sont plus rouges que tout à l’heure.

Cette fois je n’en peux plus tellement je suis excité, alors je sors ma main lentement d’entre ses cuisses pour me masturber à nouveau de la main droite après l’avoir enduit de salive. Je le fais avec plus de vigueur en pressant mes couilles de la gauche tout en fixant sa grosse poitrine avec ses mamelons qui ramollissent peut a peut. Je ne peux plus me retenir, je dois jouir, il le faut. Tant pis si quelqu’un se lève juste au mauvais moment. Je me demande même si le fic black de ma main heurtant mes couilles s’entend de l’avant du bus, mais je m’en fou, il faut que j’éjacule, mais pas sur moi. Au dernier moment je devrai me pencher en avant en pointant ma bite vers le siège devant moi. J’accélère encore le mouvement si près de jouir que je me crispe, serre les fesses, entrouvre la bouche en serrant les dents et gémit faiblement en cherchant mon air. Mes genoux se frappent et mes orteils se retroussent dans mes runnings blanc et noir. Je retiens de justesse un cri en sentant mon sperme grimper dans ma hampe pour s’y accumulé. Je le sens passé sous mes doigts par le conduit sous ma verge. Les yeux tout petits je vois du sperme s’écouler de mon gland, mais sans jaillir, pas encore. Je me pompe à mort si près de l’orgasme que j’en tremble. Sur le point d’exploser, j’ai soudainement une idée saugrenue. Juste au moment de jouir, je croise les jambes puis me penche vers elle, ma bite se retrouvant au-dessus de ses cuisses, mon gland qui dégoûte pointant vers son entrejambe. Sentant mon cœur battre à toute allure je vois mon premier jet, le plus puissant jaillir pour tomber sur le dessous de sa jupe relevé et son collant. Je regarde ça toute électrique, raidit, le souffle coupé, tétaniser par la puissance de l’orgasme ma main arrêter sous mon gland. Je décharge abondamment, de longs jets de sperme épais, qui s’étale sur son bas ventre et le haut de ses cuisses comme si j’essayais de peindre un Polloc avec mon sperme blanc sur le collant noir. Je sais que c’est un peu idiot de faire ça, mais sur le coup, ça me paraît des plus excitant et ça l’est. Au paroxysme de l’orgasme, j’échappe de petit gémissement tandis que mon sperme cesse de jaillir, déjà, pour s’écouler lentement de mon gland sur sa cuisse. Les joues en feux, l’esprit embrouillé, je ressens un tel soulagement que je me vide les poumons dans ses cheveux si doux pour aspirer ensuite une grande goulée d’air en pressant ma queue si sensible. L’orgasme puissant déjà évanoui me laisse transi, essoufflé, même tremblante. Je jette un œil par-dessus les sièges, personne n’as bougé. J’essuie tout doucement mon gland sur sa cuisse et reprends mon souffle en me sentant si bien. Je me détends et mon cœur ralentit en admirant mon chef-d’œuvre. Le sperme est si épais qu’il va prendre du temps à sécher. Puis, tout sourire, la bite toujours raide et palpitante, je rabaisse sa jupe. Rien n’est visible et elle semble toujours dormir, même que ses mamelons on disparue. Je secoue ma queue rester très sensible et la replace sous mon slip en grimaçant tant bien que mal puis remonte mon collant et rabaisse ma mini-jupe. J’ai un peu de sperme sur les doigts, je le lèche aussitôt. Je souffle très fort, les lèvres en cul de poule, me sentant comme délivrer. Je me demande si elle va sentir son collant mouillé à son réveil, ce qui m’arrache encore un petit sourire.

***

Une heure plus tard, elle se réveille soudainement et cligne des yeux en se redressant. Elle s’étire comme une chatte propulsant sa grosse poitrine vers l’avant et bâille.

Un bon livre dans les mains, le Windigo, de Graham Masterton, mes lunettes sur le bout du nez, je la surveille du coin de l’œil mine de rien.

— Ouf, fait-elle en se frottant le ventre, j’ai envie.

Elle se lève et file à la toilette et j’attends, curieuse de voir sa réaction. Quand elle revient, elle me fixe les yeux tout ronds en se laissant tomber sur son siège.

— Quoi? fis-je amuser, déposant mon livre sur mes cuisses avant de lui faire mon plus beau sourire.
— T’as… t’as joui sur moi, vicieuse. Pendant que je dormais en plus?
— Hum hum!
— T’as levé ma jupe et tu…

Là, elle fit le geste de branler une bite en s’assurant que personne ne la voit, trop sexy.

— Et oui, en te tripotant les seins et le sexe en plus et t’as même pas bronché.

Gros sourire timide de ma belle, puis elle rajoute :

— Attend que tu t’endormes, vicieuse. Et elle chuchote; ton sperme aurait pu me couler sur les cuisses quand je me suis levé. J’en avais partout sur mon collant. T’as pas honte?
— Hummm… non!
— Hummm, mon œil.
— Si tu veux me rendre l’appareil ma belle, il te manque quelque chose entre les cuisses.

J’eus droit à une jolie grimace aussitôt suivie d’un magnifique sourire.

— Peut-être que tu vas te réveiller la bite a l’air et moi assise un peut plus loin.
— Oups!

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire