Je m’appelle Hugo, j’ai de 23 ans et je vis seul avec mon père transsexuel, depuis que ma mère est partie suite à sa transformation.
Quand mon père a le dos tourné, J’ai pour habitude de fouiller dans sa lingerie pour mettre une de ses culottes et un soutien gorge, puis je vais dans la salle de bain où je prends une de ses culottes sales que je lèche et avec laquelle je me masturbe jusqu’à jouir dedans. Parfois quand j’ai de la chance, je trouve dans la poubelle un préservatif dans lequel mon père s’est soulagé. Bien que froid, je me fais toujours une joie de le vider et d’en avaler la moindre goute en suçant bien le plastique.
Un soir, mon père est rentré plus tôt et m’a surpris en lingerie, le sexe raide, enveloppé d’une de ses culottes.
– Je peux t’expliquer papa !
– J’avais remarqué que mes culottes étaient parfois trempées, mais te voir ainsi, c’est… encore plus excitant que je ne l’avais imaginé. Tu aimes porter ma lingerie et jouir dedans ?
– Oui, j’aime beaucoup, répondis-je en baissant la tête. Je ne recommencerai plus.
– Ce serait dommage, ça te va bien. Lèves toi et tourne sur toi même pour me montrer un peu.
Timidement je m’obéis, je porte une culotte rose satinée avec de la dentelle, avec un soutien gorge assorti.
– Tu es belle ! Ca te dirait que je te prête une robe et que je te maquille ?
Je me surpris à hocher de la tête. En un rien de temps ma mère m’habilla et me maquilla. Pendant qu’elle s’affaire à s’occuper de moi, je repère une bosse gonfler à travers le haut de sa courte jupe.
– Tu me fais de l’effet, et je vois que je ne te laisse pas indifférente, commença ma mère. Ta culotte est trempée, regardes, on dirait que tu mouilles comme une femme.
Maman prend ma main et la met sur sa poitrine, une généreuse paire de seins qui remplissent à merveille les bonnets C de son soutien gorge. En dégrafant son soutien gorge, elle dirige mon visage vers un de ses tétons que je tête avec insistance.
– Tu aimes ça sucer les seins de maman ?
Oui, hochais-je de la tête.
– Mais tu auras beau insister, ils ne pourront pas te donner du lait, tu aimerais en avoir ?
Lorsqu’elle se leva, son pénis s’échappa de son string, confirmant ainsi mes doutes.
D’une main elle soulève sa jupe et dévoile sa queue fièrement dressée, et un string rouge. Mes yeux son rivés dessus, et sans m’en rendre je me mets à lécher ma lèvre inférieure.
– Tu veux le biberon de maman ?
Je n’en reviens pas, un de mes rêve se réalise. Je saisie la queue de maman et la mets en bouche. Elle est chaude, et douce, je sens les pulsions qui font palpiter sa queue d’excitation. Je suis excité comme jamais et je m’attèle à la tâche, lorsque je sens son pénis frémir, signe précurseur que la jouissance est proche.
– Tiens mon bébé, bois bien tout ton lait, lâcha papa tout en me caressant les cheveux. Ta façon de sucer me rappelle ta mère.
Sa semence est chaude, c’est tellement meilleur quand c’est chaud ! Je reçois deux rafales contre ma joue intérieure qui descendent sur ma langue, puis trois autres jets directement sur la langue. J’avale le précieux liquide tout en regardant le sourire sur les lèvres de ma mère.
– Je vois que tu as tellement aimé ton lait que tu en as souillé ta culotte. Tu as joui sans que je ne te touche.
Je passe une main sous ma jupe et sens à travers ma culotte mon foutre encore chaud.
– Ce soir tu dors avec moi, et pour éviter que tu ne taches le lit tu mettra une des serviettes hygiénique qui reste dans le placard.
J’ouvre le placard et tombe sur un paquet de serviettes hygiéniques spécial nuit. Je suis surpris par l’épaisseur et le confort que m’apporte cette serviette, et voilà que je me remets à bander.
Ma mère revint de la salle de bain et me voit ainsi.
– Tu es une petite fille bien perverse on dirait.
Elle m’allongea sur le lit, releva mes jambes, et écarta ma culotte pour libérer l’accès à mon petit trou.
– Tu veux jouer avant d’aller au dodo ?
– Oui maman.
Sur ces mots je sentis le contact de son gland dur et humide se poser sur ma rondelle. D’une main elle récupère le sperme étalé dans ma culotte et sur la serviette, et l’étale à l’entrée de mon anus.
– Tu es parfaite comme ça ! Ma petite princesse est prête.
Sans trop de peine, le gland pénétre mon orifice.
– Voilà, c’est bien, laisses toi aller, maman s’occupe de tout.
Au début il y a des vas et viens lents, puis au fur et à mesure que je me détends, le rythme s’accélère. Pendant plusieurs minutes mon père me ramone dans son lit, les jambes relevées et vêtu de sa lingerie. Le rythme de bassin de mon père change, et il éjacule en moi en lâchant un soupir d’apaisement.
– Ca t’a plus ? me demanda-t-il alors qu’il était encore en moi.
– Beaucoup oui, mieux que dans mes fantasmes.
– Bien, très bien.
Mon père se retire et approche de ma tête son sexe débandant et gluant. Sans qu’il ne dise quoi que ce soit je mets à nettoyer sa queue, et une fois encore, je me mis à éjaculer sans qu’on ne me touche.
– Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi, tu en mets partout ! Ce n’est pas grave mon bébé, je trouverai une solution demain. En attendant il est l’heure d’aller au lit, mais avant tu vas mettre ceci.
D’une main il me tend un plug proche de la taille de son pénis.
– Enfile le, comme ça tu ne perdras pas mon précieux ju, et ça glissera bien demain matin quand maman sera réveillée et prête à jouer avec toi.
Malgré la gêne et l’excitation, je parvins à m’endormir pour être réveillé par le sexe de mon père poussant l’entrée de ma bouche.
– Il est 7h, c’est l’heure de ton biberon.
Comme par réflexe j’ouvre la bouche et me mets à le sucer. En à peine trois minutes la récompense arrive et je reçois en bouche tout le plaisir de mon père qui se vide en moi.
– Maintenant que je t’ai nourri, il est l’heure de s’amuser.
Mon père approche sa main du plug, et commence doucement à le bouger pour me le retirer. Quand il y parvient je sens un liquide couler entre mes fesses. Je ne peux pas voir, mais le spectacle que ça donne réjouit mon père qui a de nouveau une érection, et il recommence à me labourer dans la même position qu’hier. Quand il se vide en moi, il reprend le plug et le remet en place.
– Tu vas aller en cours avec ça sous tes vêtements. N’oublie pas de mettre une serviette hygiénique au cas où tu as un accident dans la journée.
J’étais excité toute la journée et je finis par jouir dans ma culotte, mais la serviette ne suffit pas et quelques goutes perlent à travers mon jean. Je rentre aussitôt et décide de passer le reste de la journée à attendre le retour de maman.
Lors qu’elle arrive je lui explique mon accident, et elle sourit en sortant d’un sac de course un paquet de couches aux motifs de princesses.
– Dorénavant tu porteras des couches quand tu es à la maison, et des serviettes épaisses quand tu seras dehors. Je t’ai aussi pris ce biberon, tu récolteras dedans ton lait de princesse avant de partir pour éviter les accidents. Regardes, je l’ai déjà un peu rempli au travail en pensant à toi ma fille.
Dans le biberon il y a au moins une dizaine d’éjaculation, et je me demande si mon père n’a vraiment récolté que son sperme ou s’il a reçu de l’aide, et l’idée me plait encore plus.
Notre petite routine s’installa : le soir je rentre, j’enlève la culotte de ma mère, parfois je lèche le serviette à l’intérieur pour nettoyer un peu, puis je mets un couche, maman vient me donner le biberon qu’on a rempli ensemble, puis quand j’ai tout fini pour le dessert elle me donne son lait à elle bien chaud, direct à la source. Ensuite elle m’enlève la couche, le plug, me pénètre et me bouge comme si je suis une poupée. Elle jouit en moi, remets le plug puis la couche, et on recommence le matin. Dans la journée je sens une quantité de sperme bouger dans mon bas ventre, ce qui parfois me fait éjaculer rien que d’y penser.
Maman m’appelle maintenant Lola à la maison, et je suis aux anges. Je ne pensais pas que les choses pouvaient être mieux, lorsque ma mère proposa d’inviter des amis à elle.
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