J’ai fait sur ce tournage, la rencontre de Joséphine, une jeune femme de 22 ans (j’ai également cet age), 1m65, 50kg, des cheveux fins, blonds et des yeux marrons magnifique. Dès le début, on s’entend super bien, le feeling passe. On parle de tous, de son copain avec qui elle est depuis 3 ans, de ma copine avec qui je suis depuis 6 mois… Là où ça devient intéressant, c’est que pour la partie en Province, l’équipe dormait à l’hôtel pendant une semaine… Vu qu’elle était la seule fille dans l’équipe Régie et qu’on s’entendait vraiment bien. Nous avons fait chambre commune…
Deux lits une place séparés l’un – l’autre… Mine de rien, je commençais à imaginer des choses car je ne restais pas insensible aux charmes de ma collègue car pour entrer plus en détail, elle avait un corps magnifique… une poitrine ni trop grosse, ni trop petite mais surtout de magnifique jambes et des petites fesses superbes. Mais bien sur, j’avais enfoui ça en moi… Enfin presque.
Le premier soir, après une journée de tournage épuisante. J’étais allongé dans mon lit lorsqu’elle sortit de la salle de bain, une simple nuisette arrivant mi cuisses… Heureusement que les draps cachait le début de mon érection, j’imaginais mes mains remontant le long de ses cuisses, se glissant sous la fin tissu… Ainsi je bascula dans le sommeil.
Au milieu de la nuit, j’émergea doucement. Peu à peu, je pris conscience que Joséphine s’agitait dans son lit, que sa respiration était rapide. Mes yeux mirent quelques secondes avant de s’habituer à l’obscurité. Je la voyais se mordre les lèvres et retenir de petits gémissements.
Je crois rêver ! Elle se caresse à coté de moi !
Les draps m’empêchent de voir son corps mais nul doute qu’elle se caresse au vue des mouvements en dessous. De mon coté, je sens clairement mon sexe durcir, l’envie de me branler me submerge mais je me contiens de peur qu’elle remarque que je suis réveillé. Puis comme par miracle, elle se tourne sur le flanc, me tournant le dos mais entraînant les draps que je maudissais et ainsi me dévoilant son dos.
Ses petites fesses sont bien rondes, et semblent si fermes… Je pousse un gémissement et l’envie est trop forte, mes mains se glissent sous mon boxer. Je distingue dans la pénombre, le mouvements de ses doigts entre ses cuisses. Ses gémissements se font de plus en plus fort, j’entends également le bruit de ses doigts caressant son sexe humide.
Je ne loupe pas une miette de ce spectacle magnifique, je me branle maintenant à pleine main au même rythme qu’elle.
Elle change à nouveau de position, abandonnant totalement les draps, la tête contre le matelas, sur les genoux, magnifiquement cambrée… A la vue de ce cul magnifique, ainsi offert, je laisse un léger soupir…
« Et merde » – me dis je intérieurement.
Une de ses mains descend le long de son corps, apparament elle n’a rien entendu, je la vois disparaitre entre ses cuisses. Puis à nouveau le bruit merveilleux de sa masturbation, de ses gemissements. Je vois son corps onduler, je bande de plus en plus, ma respiration est rapide. Je me dégage de mes draps, si elle tourne la tete elle verra ma verge tendue.
Je la dévore des yeux, les grimaces sur son visage que je percois, son corps, sa poitrine, son petit cul. Elle est magnifique.
Après quelques secondes d’émerveilleument à propos de son corps, nos regards se croisent… Je me stoppe, je crains sa réaction. Je vois son regard se diriger sur mon sexe que je tiens en main. Elle se mord les lèvres puis sourit.
Et reprend sa masturbation, je fais de meme… Elle devore mon sexe des yeux, se l’imaginant surement la penetrer en elle, ses mouvements sont brutaux… Soudain, elle se crispe, soulevant sa croupe, enfoncant ses doigts en elle.
La petite coquine a atteint l’orgasme, que je ne tarde pas non plus à atteindre.
Le silence revient peu à peu, elle s’écroule sur son lit, se retourne et remet les draps pour cacher son corps.
Je m’endors en me disant :
Et dire qu’il reste encore quatre nuits…
La sonnerie de mon téléphone retentit, je sors de mes reves doucement, la tête encore embrumé. Je me souviens peu à peu de ce qu’il s’est passé la veille, ses gemissements, son corps jouissant sans retenu, nos orgasmes simultanés. Tous me revient… Je me tourne vers elle, qui émerge elle aussi. Ses yeux croisent mon regard, elle rougit et se lève d’un coup, tirant sur sa nuisette comme pour cacher ses fesses, pourtant offert à mes yeux cette nuit.
Elle saisit des habits dans son placard et va rapidement dans la salle de bain, sans même un mot. J’ai comme l’impression qu’elle a honte de ce qu’il sait passé hier soir…
Elle finit par sortir de la douche après de très très très longues minutes, elle est déjà toute habillée moi qui esperait la voir nue, c’est raté. Je file aussi sous la douche car un peu en retard déjà pour commencer la journée de travail.
Rien ne se passa, elle m’évitait meme totalement, jusqu’au milieu de l’après-midi, où elle vint me voir à un moment où j’étais seul
– « Faut que je te dise, à propos de hier soir… J’étais pas moi-même, je sais pas ce qui m’a pris de commencer et de continuer et faire ca devant toi, en plus. Tu dois me prendre pour une folle, je suis vraiment désolé. »
Je sentais la situation tournait à mon avantage…
« – Désolé de quoi ?! C’est naturel d’avoir des pulsions, et des envies comme ca. Et puis, tu as bien vu que ca ne m’a pas gené… Bien au contraire. »
« – Oui, j’ai bien vu que ca te plaisait, ses joues rougissent encore plus et son petit sourire illumine son visage, mais disons que j’ai honte. »
– » Honte de quoi ? »
– « J’ai perdu tout controle en te voyant ! Le fait de savoir que tu m’observais, ca m’a… pfiou. Rien que d’y penser… »
A ce moment, je me suis approché d’elle. Rapprochant mon corps du sien, elle ne bougea pas. Nos lèvres se frollèrent. Je sentais sa respiration s’accèlerait, ainsi que mon coeur battre rapidement.
Quelqu’un monta les marches, nous alertant que nous n’étions plus seuls… Dommage
La suite de l’après-midi et le repas du soir fut rempli de petits sourires, de petits échanges de regards… Vivement ce soir.
23 heures, je referme la porte de notre chambre. Elle tire le rideau puis se retourne vers moi.
Le silence, aucun n’ose bouger, elle allume la lampe de chevet, j’éteins la lumiere. Chacun rejoint son lit, assis sur le bord, face à face sans dire un mot.
Je commence par enlever mon tee-shirt, elle fait de meme. Je fixe sa poitrine enfermait dans son sous-tif noir en dentelle.
Je me lève et enlève mon jean. Elle baisse les yeux et vois déjà la bosse dans mon boxer, elle me regarde et sourit. A son tour de retirer son jean, elle bascule sur le dos, et le fait glisser le long de ses jambes en les relevant… M’offrant la vision de ses fesses et de ses cuisses serrés, apercevant son sexe moulait dans son string assorti. Elle est magnifique…
Je ne réfléchis plus, il n’y a plus de pudeur entre nous. Elle peut deviner mon sexe à travers le tissu, autant l’enlever totalement. Je me retrouve nu devant elle, mon sexe dressait vers son visage. Elle l’observe…
– « Plutôt bien membré dis moi… »
– « 18 cm en effet »
– « Hmmmm, bien plus que Mickael » (son copain depuis 3 ans)
Elle se lève et sans hésitation, dégraphe son haut, libérant ses deux seins bien fermes.
– Tu es plutôt bien proportionné, lui dis-je en commençant à me caresser la verge tandis que ses mains caressaient ses obus.
– Moui, un 90B… Je les aimerais plus gros.
Je bande totalement, la voir à un mètre de moi se caressant les seins, je veux lui sauter dessus, l’embrasser, lui lecher ses tetons… Mais une petite part de moi, me ****lle que je suis en couple mais si je ne touche pas, ce n’est pas vraiment trompé, n’est-ce pas ?
Ses mains glissent le long de ses hanches… Passent sous la ficelle de son string… puis elle se penche en avant, le faisant descendre… Ses secondes me parurent être des heures… Elle se relève en se cambrant, mes yeux fixent son bas-ventre. Je pousse un large gemissement quand je vois qu’elle est entierement épilée, comme je l’aime.
Ses joues deviennent roses et sa respiration plus bruyante.
– Ca t’excite à ce point d ‘etre nue devant moi ?
Elle s’allonge sur le dos, sur son lit, la tete relevé à me fixer dans les yeux. Elle écarte ses cuisses, ses lèvres sont rosés par le désir et l’excitation, je peux meme voir sa cyprine tellement elle mouille. Ma main commence à caresser son sexe, le serrant à pleine main. Une de ses mains se dirigent vers le sien.
– C’est la premiere fois que je me touche devant quelqu’un, meme mon copain ne l’a jamais vu. Il ne sait meme pas que j’aime me caresser.
Ses doigts écartent ses lèvres, et commence à caresser son petit bouton que je percois… Elle pousse un gémissement à son tour et fixe ma queue bien dure.
Sa respiration est rapide, elle se mord les lèvres pendant que son majeur titille son clito dans tous les sens. Je suis littéralement émerveillé par le spectacle qu’il m’est offert. J’en oublie que je suis debout, à me branler devant une fille qui se touche.
Elle ouvre au maximum ses cuisses, l’entrée de son vagin s’ouvre provoquant chez moi, une intense envie de la pénétrer ! Je sens l’éjaculation monter alors je calme mes mouvements, alors que elle c’est tout le contraire ! Elle se caresse dans de grands mouvements, moins discrets qu’hier mais surement plus efficace, ses doigts glissent et s’enfoncent avec facilité en elle. Elle pousse un petit cri. Elle est tellement belle entrain de se faire plaisir.
Je l’imagine gémir et grimacer si c’était ma queue qui la penetrait.
Elle se stoppe, se retourne, son visage a changé d’expression. Ses joues sont rouges, ses yeux dilatés, sa bouche ouverte et son regard rempli de désir sexuelle à assouvir. Elle se met à quatres pattes, les fesses évidemment tournés vers moi. C’est encore à l’heure d’aujourd’hui, la vue la plus sensuelle que j’ai pu avoir.
Un dos cambré, avec les deux petites bosses en bas du dos, juste au dessus de fesses fermes et parfaitement rondes. Ses doigts viennent s’enfoncer sans attendre. Je les vois disparaitre en elle.
Elle se penetre de plus en plus vite, gemissant de plus en plus fort. Elle semble ne pas vouloir se calmer et determinée à jouir.
Je ne peux rester là, sans rien faire. Sans m’en rendre compte, je suis loin de mon lit, je me suis avancé et je suis à quelques centimètres d’elle. Mes mains se placent sur ses fesses, que j’écarte délicatement…
Elle s’arrete d’onduler, et se cambre au maximum, faisant lentement sortir ses doigts. Mon sexe est entre ses cuisses, sur le dos de sa main qui la penetre. Je peux sentir chaque mouvement de ses doigts. Ils sont lents mais surement bien placé car je la sens commencer à trembler, son orgasme arrive.
Mes mains sont plantés dans sa peau, caressant ce cul parfait. Elle retire sa main et pendant une fraction de seconde, nos sexes entrirent en contact… Je pus sentir l’humidité et la chaleur de ses lèvres, et elle la dureté de ma verge sur sur clito…
Elle s’assit sur le bord du lit, moi debout… A cet instant, je réalisa à quel point la vie était bien faite : En étant debout, et elle assise sur le bord du lit, ma queue arrivait pile à hauteur de sa poitrine… A ce moment, j’aurais voulu qu’elle me branle, qu’elle me suce le gland mais elle ne fit rien…
Une de ses mains caressa ses mains tandis que l’autre retourna dans la chaleur de son bassin. Je compris qu’on resterait à se faire plaisir chacun de son coté, ma main reprit ses mouvements sur ma verge… Elle se penetrait brutalement, la bouche ouverte, nos regards plantés l’un dans l’autre.
-S’il te plait, éjacules sur mes seins !
Je fut très surpris par sa demande mais pas besoin de repeter. Je me mis à me branler sans retenu.
Mon corps se met à trembler, mes bourses se contractent et j’éjacule abondemment sans me poser la moindre question. Ses seins se couvrent de sperme et à ce moment prècis, je la vois se mordre la lèvre et trembler à son tour, son visage se crispe. J’admire !
Après quelques instant, elle ouvre les yeux, regarde son corps, couvert de son sperme, elle sourit grandement malgré son essouflement… Mon sexe encore dur et à quelques centimètres de son visage. Elle le regarde, me regarde, le regarde.
Elle pose ses lèvres sur mon gland, je recois une decharge le long de mon échine. Comme si elle l’embrassait et me regarde avec défi avant de me dire :
– Dors bien, à demain.
Elle s’éloigne, s’allongeant sur son lit. Je ne cherche pas à discuter et rejoins le mien, m’écroulant dessus. Je la regarde, nue sur son lit, elle se caresse les seins puis leche un de ses doigts timidement. Je lui souris et m’endors rapidement.
Plus que trois nuits…
Je passe les détails de la journée, où je ne pensais qu’à une chose, à nouveau me retrouver seul à seul dans la chambre. Je ne pouvais décoller les yeux de sa poitrine, qui était bien serrée et bien visible sous son pull. Mais bon, avec le stress et le rythme de la journée, je n’y pensais plus vraiment.
Jusqu’au repas où elle quitta sa table rapidement, je la rejoingnis quelques minutes après…
Lorsque j’entra dans la chambre, celle ci était dans le noir mais la porte de la salle de bain sur ma droite était grande ouverte. Les vetements sur le sol et le bruit de la douche me dirent que Josephine était bel et bien nue sous la douche. J’entra silencieusement, elle était dos à moi, parcourant son corps de ses mains. L’eau coulait sur son corps de déesse. Je ne sais pas si elle m’avait entendu rentrer mais elle se mit à se caresser tendrement, faisait glisser ses doigts, se cambrant pour mieux les enfoncer.
Je sens ma queue durcir rien qu’à la vue de son corps que je désire plus que tous !
-Tu es réellement en manque, dis moi ! Lui dis-je pour lui signaler ma présence, elle sursaute et se retourne.
-Ho merde, tu es là ! Je pensais pas que tu remonterais aussi vite.
Ses longs cheveux blonds, lui couvraient partiellements les seins. sa main encore enfoncée en elle. Après quelques secondes où elle comprit à mon regard que je souhaitais aller encore plus loin, elle éteignit la douche, pris une serviette et l’enroula sous ses bras pour cacher toutes les zones érotiques.
-Oui, je l’avoue ! Je suis en manque et alors ?! Je la sentais énervé de devoir l’admettre. Je restais silencieux pendant qu’elle se dirigeait vers la piece principale avec nos lits, vers son armoire. Face à mon silence, elle continua à parler.
-Micka me fait plus d’effet, donc j’ai découvert la masturbation pour me combler, ca n’avait pas l’air de te gener non ?
-Au contraire, j’aime beaucoup.
Elle me regarde et rougit. Elle fait tomber la serviette à ces pieds et saisit sa petite nuisette qu’elle enfile.
-Le probleme, c’est que ca m’excite de te montrer mon corps, de me doigter, et… Elle hésite et rougit de plus en plus, et… de faire ma salope devant toi.
Je me rapproche d’elle, lentement. Dans ma tete, je me dis : lance toi !
– Et si je te demande de te caresser pour moi ! La ! Maintenant !
Elle se figea, me regardant droit dans les yeux, approcher d’elle. Mes mains se posent sur ses hanches, je la tire contre moi. Elle doit sentir mon sexe gonflé par l’excitation de voir le coté salope de Joséphine éclater au grand jour.
– Montre moi la petite salope qui dort en toi.
Elle retira sa nuisette et se recula de moi, s’allongeant sur le lit. Les jambes revelées et écartées, mes yeux fixaient son minou entierement lisse. Elle écarta ses lèvres, son trou était déjà humide de plaisir, elle se glissa deux doigts profondemment, de son autre main elle caressait son petit clitoris. Je ne loupais pas une miette de ce spectacle. Une fille magnifique, qui s’abandonnait sur le chemin du plaisir sans aucune retenu.
-Je veux voir ta queue ! Elle prononca ses mots avec une tel envie que je m’executa immédiatement, retirant meme tous mes habits. Je me colla au bord du lit et commenca à me branler aussi rapidement qu’elle s’enfoncait ses doigts. Ces yeux ne decrochaient pas de mon sexe bien épais.
Après quelques minutes à se branler chacun, je ne voulais pas en rester là, mon désir était trop grand alors je me lança.
-Suces moi, Joséphine ! Je veux que tu…
Je n’eu pas le temps de finir ma phrase qu’elle s’était déjà relevé et qu’elle saisit mon sexe dans sa main. Elle leva les yeux pour me regarder, sortit sa langue et la posa sur mon gland. Elle fit tourner sa langue autour, la fit descendre le long de ma verge, puis remonter. Je ne revenais pas qu’elle me sucait après que je le lui ai ordonné. Ma copine n’étant pas fan, cela me paraissait tellement simple avec Joséphine et elle faisait cela tellement bien. Sucotant mon gland, le lappant avec sa langue, tout en me branlant avec sa main.
Je remarqua que de sa main libre, elle ne lachait pas son clito, le caressant de plus en plus vite. Mes mains se placèrent autour de sa tete, elle se laissait totalement faire. Je me mis à onduler mon bassin, enfoncant mon sexe dans sa bouche. C’était divin.
Elle semblait prendre aussi énormement de plaisir, sa respiration très saccadé et son corps qui onduler en disait long…
Je me sentis rapidement venir… Jamais je n’avais joui dans la bouche d’une fille, je ne sais pas pourquoi mais voyant Joséphine me sucant de plus en plus vite, je me decida de lui remplir la bouche de mon sperme.
Je commencais à me contracter de partout, mon respiration bruyante et mes mains se resseraient dans ses cheveux. Ses doigts caressaient son clito avec ferveur, elle joui quelques secondes avant moi, tout son corps trembla et se crispa, la voir jouir fut la summum de ma resistance face à mon orgasme.
Ma verge se contracta et à ce moment elle enfonca entierement ma queue au plus profond de sa gorge à ma grande surprise.
J’éjacula en force, de puissants jets, lui remplissant la bouche mais elle avalait tous sans broncher en me regarda.
Je me relacha, mais elle continuais de me lecher, à me nettoyer la verge de tous mon sperme, l’avalant avec plaisir.
Je m’écroula sur son lit, elle vint se caller sur moi, posant sa tete dans le creux de mon épaule et me glissa doucement à l’oreille.
-Demain, prends moi comme une salope.
Cette nuit encore, je m’endormis avec le sourire mais cette fois avec son corps nue, bouillant, contre le mien.
Le réveil sonna à 5h30 du mat… Je peux vous assurer que même après les beaux reves que j’ai fait, c’est très difficile de se réveiller.
Je suis sur le dos et ouvre doucement les yeux, je sens un poids sur mon torse et mon ventre. Joséphine dort encore, à moitié sur moi, sa tête posée sur mon torse, écrasant ses seins contre mon ventre, son dos cambrée et une jambe emjambée les miennes. Pour ainsi dire, j’avais une vue parfaite sur son dos,la chute de ses reins et ses deux petites fesses.
Elle se réveilla à son tour
-Bonjour, me dit elle d’une voix douce que seule les femmes peuvent avoir dès le reveil.
-Bien dormi ?
-Toujours après avoir joui, Je ne m’attendais pas à quel soit d’humeur coquine de si bonne heure… J’espere pour moi que ce soir, je vais dormir à merveille. Elle se leva rapidement et fila sous la douche. Mine de rien, on était quand meme dans cet hotel pour bosser… à la base.
Et mine de rien, cette derniere petite phrase me resta en tete toute la matinée, me mettant un peu la pression. Et je cogitais un peu dans mon coin… En effet, malgré une expérience sexuelle plutot importante, ca allait etre la premiere fois qu’une fille me demande de la prendre comme une salope. Ca veut dire quoi exactement ? Je peux l’insulter ? La frapper, genre giffle, fessée ? Lui donner des ordres ? La défoncer comme bon me semble… Et merde, moi qui fait plutot dans la douceur (car ayant un sexe plutot gros, au début de ma vie sexuelle certaines m’avait fait part de leur douleur quand j’allais trop vite ou trop profond, d’où l’habitude après…).
Puis je me suis résonné, me rassurant en me disant que tout c’était passé naturellement avec ma petite blonde, donc la baiser sans retenue devrait etre naturelle, et puis j’avais réellement l’envie de la défoncer.
Pour résumé, j’avais : Ho ce soir, tu vas prendre ! ho-ho, Oui tu vas prendre ! Comme si je sortais de prison, après vingt ans de réclusion… Ho tu vas prendre ! pendant toute la journée, dans la tête.
Je vous passe la journée de taff plutot ennuyante en ce jeudi, ainsi que le repas.
On entra en même temps dans cette chambre, lieu de tous nos désirs. Sans prendre de seconde, elle retira son haut, enleva son sous-tif et retira son jean. A ma surprise, elle ne portait rien en dessus. Je désirais son corps plus que tous, il est magnifiquement proportionné, elle possède tous ce qu’une femme peut avoir de sexy et qui nous fais bander immédiatement.
Ses joues rougissent, comme si elle avait honte de s’être offerte comme ca, sans rien dire, sans rien faire. Elle me regarde droit dans les yeux et semble hésiter à dire.
– Voilà, je suis toute à toi.
J’aime et je savoure cette situation où elle est debout, au milieu de la pièce, toutes lumieres allumés, nue devant moi. Je décide de faire durer la conversation pour m’amuser et la faire mijoter.
– Avant, j’aimerais comprendre quelque chose. Tu as souvent envie d’être une salope ?
Elle rougit, son regard est fuyant… Elle serre ses bras comme pour se protêger mais cela serre surtout sa magnifique poitrine.
– Ca à toujours été un fantasme, mais avec Micka j’ai jamais osé. Mais là, je veux etre ta soumise, ta chose, que tu me prennes sans retenu, sans hésitation, que tu me défonces.
Elle s’avance vers moi et je me rends compte que de nous deux, c’est elle qui en a le plus envie. Difficile de le croire car la journée, rien ne peut laisser penser que la petite Joséphine souhaite se faire « défoncer comme une salope ». Je trouve mes marques dans la domination et continue de jouer avec elle.
– Si je comprend bien, tu veux que je te défonces brutalement avec ma queue.
Elle continue d’avancer lentement vers moi et se caressant les seins, je la sens bouillir à l’intérieur.
– Oui, s’il te plait.
Ce s’il te plait fut le signal pour foncer sur elle, elle n’eut pas le temps de réagir. Je la plaqua sur mon lit, allongé sur elle, ma bouche atterrit dans son cou. Je commenca par mordiller cette zone puis à descendre lentement. Ma langue tourna autour d’un de ses tetons, ils étaient déjà durs. Je continua lentement ma descente, mon souffle glissant sur ses courbes, en embrassant sa peau ou l’effleurant de ma langue. Elle écarta les cuisses lorsque j’arriva à son bas ventre, ma langue passa sur ses grandes lèvres.
Elles étaient parfaitement lisse, aucun poil, aucune repousse (encore aujourd’hui, je me demande si elle ne s’était pas épilée au laser, tellement c’était lisse et doux), un vrai bonheur à lecher, surtout qu’elles étaient brulantes. Je tourna autour, caressant du bout de ma langue, l’intérieur de ses cuisses.
– Putain, leches moi. J’en peux plus ! Me lacha t elle en relevant sa tete.
– C’est moi qui donne les ordres ici, petite insolente. Je lui mordis (doucement) la cuisse pour lui faire comprendre.
Mais j’avoue que je n’avais qu’une envie, c’était de glisser ma langue en elle. Je ne tarda pas à le faire, son minou était déjà bien ouvert et sa cyprine était abondante. Ma langue se positionna immédiatement sur son petit clitoris, elle se cambra et poussa un petit cri. Je me mis à le lui lecher, de bas en haut, de gauche à droite, quelques minutes ainsi avant de glisser dans son antre, deux doigts.
Ils s’enfoncerent sans aucun problème, tellement la belle écartait ses jambes et ruisselait de plaisir. Je pliais legerement mes doigts pour partir à la recherche de son point G mais surtout pour la faire hurler. Ma langue ne cessait de la lecher et mes doigts accèleraient encore et encore.
Joséphine appuyait sur ma tête en guise d’encouragement et après dix bonnes minutes de ce cunni fabuleux son corps tremblait en continu. Sa respiration était parcouru de petits cris de plaisir, à chaque coups de langue. Elle se cambra d’un coup, soulevant sa poitrine, la tête en arrière. Je sentais son sexe se contracter autour de mes doigts totalement enfoncés en elle.
Je me redressa, la laissant reprendre ses esprits, pour retirer tous mes vetements. Ma queue gonflée comme rarement elle n’a jamais été, lui a fait comprendre que ce n’était que le début.
-Qu’est-ce qu’elle est belle, dit elle en se ruant dessus pour la lecher mais à peine eu t elle le temps d’y gouter que je la repoussa sur le lit. Elle veut se faire défoncer, elle va se faire défoncer. Elle comprit très vite, et écarta au maximum ses jambes. Mon gland placait entre ses lèvres, glissait, se couvrant de mouille. Je m’amusais quelques instant à le frotter à son clito, puis…
Je recula mon bassin, fit glisser ma queue le long de sa fente et mon gland se mit seule dans son trou, je n’eu qu’un donner un grand coup de rein bien puissant, pour m’enfoncer entierement en elle. Joséphine bloqua sa respiration sous le choc. Je ressors lentement pour lui faire sentir chaque centimètres de mon sexe dressé pour elle. A nouveau je m’enfonce d’un seul coup puissant, restant au fond quelques secondes. Elle tremble à nouveau, je saisis donc ces jambes et me penche sur elle. Je peux même sentir tous son sexe frissonner sur le mien, l’angle de pénétration et parfait.
Mes mouvements se font de plus en plus fluides, toujours aussi profond. Elle pousse un cri à chaque coup de rein. Mon gland tappe bien au fond de sa petite chatte qui ne doit pas avoir l’habitude d’une queue assez épaisse.
Je me redresse mais appuie sur ses cuisses pour les écarter, je contemple ma verge couverte de sa mouille, parfois mon gland en sors presque avant de disparaitre au plus profond d’elle.
Ses seins sautillents en rythme, ses mains crispées sont aggripés aux bord du lit. Elle est sublime lorsqu’elle devient une salope.
je me repenche sur elle, mais avec ses jambes sur mes épaules… Elle pousse un cri, sentant ma queue lui défoncer l’intérieur mais je n’ai aucune pitié, cela m’excite énormement de savoir que je peux me lacher, sentir ma queue entrer en sortir rapidement de ce sexe qui ne cesse de mouiller, de se contracter. Nos yeux sont rivés dans ceux de l’autre, puis les siens se ferment. Son corps se contractent encore, et son sexe serre le mien comme pour mieux le sentir
Je lui glisse à l’oreille pendant qu’elle joui
-On dirait que tu aimes beaucoup ma queue, petite salope.
Elle sourit largement mais ne répond pas. Je me retire et la retourne, la mettant à quatres pattes. La plus belle levrette de ma vie, un cul parfait, un dos magnifique, je ne resiste pas longtemps et lui glisse mon sexe entre ses cuisses écartés. Mes mains empoignent ses poignées d’amour et là je commence à la défoncer sans retenue.
Son petit cul claque contre mon bas-ventre. Ma queue sort complétement, avant de la pénétrer au plus profond. Elle gémit sans arret, ce qui m’excite encore plus. Je ne réflechis plus et continue à la prendre de plus en plus brutalement.
Une grosse fessée part pour planter ma main dans ses fesses pour le lui écarter, ses bras lachent.
Elle se retrouve, le visage contre le matelas, le cul en l’air, et la chatte se faisant défoncer comme elle le désirait.
Je ne mis pas longtemps avant de venir, je lui donna un violent coup de rein et lui remplit le fond de sa petite chatte, elle eu son troisieme orgasme en même temps, augmentant le mien. L’entendre pousser ce cri aïgu sortir de sa gorge et la voir se cambrer, pendant que je sentais mon sperme coulait en elle…
Une fois, nos orgames terminés, elle ondula toute seule sur ma verge, comme pour obtenir les dernieres gouttes de ma sémence et la sentir encore et encore en elle.
Mais elle finit par s’écrouler sur le long, je m’allongea à ses cotés. Elle se rapprocha et me dis
-Demain…Je veux encore aller plus loin, pour notre derniere nuit.
-Je vais te défoncer comme une chienne, tu verras.
Il poussa un gémissement et frisonna… Putain, vivement demain !
Je vais vous passer les détails de la journée de tournage, car rien ne se passa d’extraordinaire, j’étais sur la route toute la sainte journée (pardon… c’était facile) et elle sur le plateau. Le lendemain, toute l’équipe remontait sur la capitale, donc dernier soir avec Joséphine avant de retourner à vos vies et à nos copain, copines respectives.
Je rentra donc tard à l’hotel, la plupart de l’équipe avait fini de manger et commencer à boire abondemment pour feter la fin de cette semaine. Je prie quelques coupes avant de me rendre compte que ma belle petite Joséphine, n’était pas présente.
Je m’inquiete et demande si quelqu’un l’aurait vu. Océane (une des filles de la chambre d’à coté) m’indique qu’elle est remontée dans sa chambre. Je ne savais pas encore pourquoi mais son air semblait bizarre comme si cela était un reproche que Joséphine était dans sa chambre et que je demandais où elle était.
Mais bon, je monta donc à l’étage pour la rejoindre. Dans l’ascenseur, je ne tenais pas en place. Je savais très bien que ce soir serait encore une nuit de débauche, de sexe et que ce soir sera sans pitié.
J’ouvris la porte, toutes lumières allumées, elle était déjà allongée sur son lit, entierement nue, a se doigter avec passion.
Sans même me regarder, elle me lance
-J’ai pensé à ta queue toute la journée, j’ai pas arreté de mouiller. Je suis vraiment une petite salope.
-Oui, une petite salope qui va se faire défoncer comme jamais.
Ses yeux brillent de plaisir, je ne sais pas depuis combien de temps elle se masturbe mais elle mouille abondemment. Elle se place en levrette, m’offrant une vision parfaite de son cul bien ferme. J’arrache littéralement mes vetements !
La vision de ses lèvres serrés entre ses fesses me fait bander comme un taureau. Je n’hésite pas et sans meme humidifier mon gland, je le lui glisse en elle.
Elle pousse un cri de surprise, t’excitation et peut-etre un peu de douleur, mon sexe s’enfonce dans le sien rapidement. Mes mains plantées dans ses poignets d’amours, pour bien la faire claquer contre mon corps. A chaque va et vient, je peux sentir mon gland taper bien au fond, la faisant pousser un petit cri.
Dans un grand coup sec, elle s’écroula ventre contre le matelas, ma queue toujours en elle. Je profita de cette situation pour changer de position. moi enjambant ses jambes, écartant au maximum ses fesses qu’elle cambrait.
J’aimais voir ma verge s’enfoncait en elle et resortir couverte de sa mouille, voir ses lèvres s’ouvrir à chaque coup de rein. Ecartant ses fesses de mes mains, j’avais également une vue directe sur son anus. Ce petit trou dont je n’avais jamais exploré et qui là me donnait envie, mais comment abordé le sujet… Ho et puis merde, c’est moi qui domine.
Je ralentis le rythme pour la laisser reprendre son souffle très saccadé, mes mains parcourèrent son dos, ses hanches, puis j’écarta ses fesses puis glisser une doigts entre, elle frémissait. J’ondulais lentement le bassin pour la penetrer avec douceur, mon majeur se concentra à caresser le contour de son anus et ne voyant pas de refus de sa part, je le lui enfonca.
Elle se cambra d’un coup et prit appuie sur ses bras et cuisses, poussant un cri. Son mouvement de bassin enfonca ma queue au plus profond d’elle, tandis que mon doigt restait à moitié enfoncé.
-Hoooooo… J’ai jamais rien fait par là, et je veux… Haaaaaaaaaaaaaan !
Je venais d’enfoncer la totalité de mon doigt dans son petit cul.
¨-Premierement, je fais tous ce que je veux ! Et de deux, tu as l’air d’aimer ca, salope !
Elle ne répondit pas et s’allongea en guise de soumission. Je fis ressortir mon doigt, puis rerentré et ainsi je commencais à lui doigter le petit trou pendant que ma queue lui comblait son minou. Je sentais sur ma verge, mon doigt faire des va et vient. Je sentais le corps de Joséphine vibrait de plus en plus. Ses gémissements, se transforment peu à peu en cri de plaisir.
Je reprends mes va et vient, lui penetrant ses deux trous. Je la sens venir, à force je commence à savoir comment elle fonctionne. J’appuie bien au fond lors de mes pénétrations, variant le rythme. Mon doigt dans son anus multiplia l’intensité de ses frissons.
Tous son corps se raidit et son sexe se contractait si fort sur ma verge, elle se retira et se mit carrement sur le coté tellement l’orgasme fut puissant.
Toute recroquevillée sur elle meme, je la laissa profiter de sa jouissance. Et puis, je savourais ce spectacle magnifique, d’une femme en plein orgasme.
Une fois retombée de son nuage, je m’allongea sur le dos et lui fit signe de venir. Au lieu de me chevaucher normalement, elle tourna sa tete vers mes pieds, m’offrant encore une fois, une vision parfaite de son intimité.
Je lui donna une fessée pour lui exprimer mon plaisir, elle semblait apprécier car très vite, elle saisit mon sexe et s’asseya dessus. Ma chatte s’écarta en grand, je la sentais aspirer ma queue avec envie, mon gland tapait bien au fond. Elle criait de plus en plus fort, s’empalant toute seule. J’adorais ne rien faire et la voir se défoncer toute seule sur mon sexe, montrant à quel point elle aime la bite.
Puis d’un coup, elle glissa sa main sous son ventre et saisit ma verge, la sortant de sa chatte. Elle la fit glisser entre ses fesses… J’ai compris son désir fou ! Je lui écarta les fesses pour l’aider un peu. Son anus résista quelques secondes avant t’envelloper mon gland, sans pousser un seul gémissement, elle descendit le long de ma verge, remontant quelques fois pour mieux descendre. Mes 18 centimètres finirent par entierement rentré, je n’en revenais pas que je la sodomisais entierement et que ce fut elle qui le fit.
-Putain… Je vais encore jouir. Me dit elle, et se fut vrai. Sans rien voir venir, son corps entier trembla. Son anus se contracta à mort sur ma verge gonflée. Je cru moi aussi partir mais je su me retenir. Elle s’affala, dos à moi, sur moi. Ma queue toujours enfoncé au maximum dans son petit cul très serré, à peine son orgasme fini qu’elle appuyait sur ses jambes pour faire des mouvements de va et vient.
La sensation est différente que dans un vagin, différente mais tout aussi agréable. je profite de mes mains libres pour lui pétrir les seins, elle hurle son plaisir et se lache complétement. Une de mes mains descend le long de son ventre, une de ses mains caresse vigoureusement son clito, mes doigts se melent au sien.
Mon gland ramone son petit cul pour une premiere fois plutot brutale mais c’est elle qui gère. Ces quelques minutes, je lui vocifère un tas d’insulte qui semble lui plaire.
Empales toi, sale chienne. Semblait etre sa favorite.
Je l’avertis de mon orgasme en lui disant
Je vais te remplir le cul, petite pute.
Mais elle prefera retirer ma queue et l’enfoncer d’une traite au fond de sa chatte. Passer de son anus à son vagin me fit éjaculer avec une puissance incroyable et elle aussi connu son troisieme orgasme, sentant que je me vidais en elle. elle sortit à nouveau ma queue et je finis mon éjaculation à l’extérieur de sa chatte, dessus à vrai dire.
Elle penche la tete en arrière et me dit
-Merci de me souiller ainsi.
Elle m’embrassa la joue et s’affala sur le lit, moi toujours sur le dos en train de reprendre mes esprits.
-Tu aimes vraiment ca, être une salope en fait
-En effet, je me découvre ce coté… Mais je n’ai envie qu’avec toi
-Tu veux qu’on continue ?
-C’est mal, mais je veux tellement qu’un homme me connaisse en salope, et me prenne sans retenu. Mon mec en aura, je le sais.
-Je veux etre cet homme, qui défonce la salope que tu caches.
On s’endormit rapidement l’un et l’autre, sur cet petit échange de phrases qui annonce peut-etre d’autres aventures…
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