Chapitre VII – Le chenil
Une nouvelle soubrette de latex était en faction près de la porte fenêtre. Sa tenue annonçait qu’elle avait le status de French Maid confirmée, ce qui impliquait moins de risque de chutes.
Elle ouvrit la porte-fenêtre et précéda Maîtresse Xaviera à l’extérieur, avec un très large parapluie de golf noir pour la protéger du crachin, où Géraldine se glissa également.
» – La petite Géraldine a peur de la pluie ?! ”
Gronda Maîtresse Xaviera, en s’arrêtant au bas du perron, En jetant un regard courroucé à la soumise souillée , de par son attitude.
» – Mmmpphh…Pa’don, Mai’resse !Mmmpphh… ”
Geignit doucement la soumise, en secouant négativement la tête, en reculant aussitôt en dehors de la protection du parapluie.
» – Bien !!! Alors tache que cette laisse reste BIEN tendue jusqu’au chenil , comme une bonne petite Chienne ! ”
Ordonna Maîtresse Xaviera, en reprenant son chemin, satisfaite à l’écoute des couinements de la petite Chienne, qui lui confirma la tension extrême de la laisse.
Sur tout le trajet menant au chenil et aux écuries, la soumise » French Maid ” abrita Maîtresse Xaviera en marchant à ses cotés, tout en étant elle-même sous les gouttes qui ruisselait sur sa tenue de latex, tandis que Géraldine trottinait derrière, en surveillant la bonne tension de sa laisse qui tirailla ses pinces japonaises, qui continuaient d’exciter ses sens.
Le fin crachin froid qui s’abattait sur elle, n’était pas suffisamment pour nettoyer son visage dégoulinant du sperme encore frais de Sofia, mais assez pour qu’elle arrive au chenil et aux écuries, complètement frigorifiée.
La » French Maid ” se plaça à l’abri de la pluie, près de la porte battante, pour attendre Maîtresse Xaviera, qui entra dans le chenil, où régnait une agitation toute particulière.
Cinq cages sur sept renfermaient des chiennes nues et chauves, qui couinaient le mécontentement de leur emprisonnement.
Leurs bras et leurs jambes avaient été pliés sur eux-mêmes et sanglés avec du gros scotch noir extrêmement résistant pour formées des pattes. Elles étaient toutes muselées avec un large ring-gag, où leur langue percée d’un anneau était sortie et reliée à leur anneau nasal.
Leurs tétons annelés étaient qu’en à eux reliés à l’anneau prince Albert de leurs petits clitos inutiles, étirés dans un tube de chasteté au diamètre ridicule et de cinq centimètres de long environ, que bloquait un double-amphalang, en le transperçant de part en part, empêchant ainsi toutes pertes du tube ou autres facéties des chiennes.
Enfin de larges plugs en formes de queue noires et recourbées encombraient leur anus dilaté quotidiennement par les soins attentif du Maître du chenil, qui préparait justement une nouvelle chienne pour un client, qui venait la chercher le lendemain.
Son dressage étant arrivé à terme.
La chienne était positionnée sur une table, d’où elle pouvait tomber, si elle bougeait trop.
Elle portait une catsuit de latex blanche à taches noires, comme une chienne Dalmatienne. Cela accentuait encore plus le fait, qu’elle possédait des » pattes ” composées de ses bras et de ses jambes repliées à l’extrême et solidement sanglés à l’intérieur de la catsuit, qui forcerai ainsi la Chienne à marcher à quatre pattes sur ses coudes et ses genoux.
La catsuit était pourvue d’ouvertures pour les tétons annelés de la chienne soumise, qui étaient reliés par une chaînette, ainsi que pour son anus et son clito emprisonné dans le même système que les autres chiennes.
» – Bonjour Laurent ! Je vous présente Géraldine, la nouvelle élève soumise de l’école. ”
Dit Maîtresse Xaviera, en attirant une Géraldine, sale et gelée, par une une sèche traction sur la laisse.
» Géraldine ? Ne serait-ce pas la chienne de Maîtresse Sandra ? ”
Demanda le Maître-Chien, tout en ajustant à la Dalmatienne une cagoule de latex blanche, munies d’oreilles tombantes, et qui avait deux fixations pour des sangles au niveau des joues.
Le maquillage de ses yeux étaient foncé, et avec de très longs faux cils qui faisaient ressortir les grands yeux verts de la chienne soumise.
» – Tout à fait, Laurent ! Je vois que votre ami Marc
vous a tenu au courant des copulations de ces chiens ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, avec un large sourire moqueur envers la pauvre Géraldine, dont les yeux, qui fixaient la tenue de la chienne dalmatienne s’embuaient de larmes de honte, en se remémorant cet même position et l’épisode humiliant de son début d’apprentissage à la soumission.
» – Je suis sur que mes chiennes en auraient été très heureuses aussi !Elles aiment quand je les laisse copuler entre elles ”
Répondit le dresseur en continuant d’équiper la Dalmatienne .
» – Rien ne l’empêchera de faire un petit stage dans votre chenil, si sa Maîtresse
veut parfaire son éducation canine presque complètement acquise !
C’est une petite chienne en chaleur ?! ”
Dit Maîtresse Xaviera, en gonflant le plug à la limite de l’éclatement, tout en caressant du bout de sa cravache les petits tétons et les couilles martyrisées par les pinces.
» – MMMMMMMPPHHH! Mmmpphh… ”
Gémit doucement une Géraldine, encore sous l’emprise du cocktail, en secouant timidement la tête dans un mouvement hésitant entre acquiescement et négation, tout en se tortillant lascivement tant la sensation de son anus dilaté et les tiraillements des pinces, l’excitait au plus au point.
Laurent s’approcha d’elle et l’empoigna au collier, passant son autre main gantée à l’intérieur de son entrejambe, se mettant à pousser sur le plug gonflable. Malgré sa petite taille, il avait une force incroyable et la souleva presque du sol, forçant Géraldine à se tenir sur la pointe de ses pieds entravés.
» – MMMMMMMPPHHH !!! IIIIIIHHHH !!MMMMPPHHH !!! ”
Couina Géraldine, surprise par la force de l’homme, ayant peur de tomber, tandis que son esprit était embrumé du plaisir ressenti.
Elle se tortilla sous la main gantée de cuir qui poussait sur son plug.
» – Elle m’a l’air très existé en effet ! Je m’occuperai de te dresser un jour, petite chienne ! ”
Sourit le Maître-Chien, sans lâcher sa prise à l’entrejambe.
La main du collier vint caresser un clito encagé, qui déjà se réveillait sous l’excitation du cocktail. La puissance de sa main se resserrant sur les couilles congestionnées de Géraldine.
» – MMMMMMMPPHHH !!!AAARRRGHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”
Hurla Géraldine de douleur, cette fois, sous l’étau de la main qui lui donnait l’impression de broyer ses testicules violacées.
» – Mais ce sera pour plus tard, petite salope de chienne, j’ai beaucoup de chose à faire pour ce soir ! ”
Dit Laurent, en relâchant son étreinte, permettant enfin à Géraldine de reposer ses pieds à plat sur le froid sol carrelé.
» – Cela ne vous dérange pas Laurent, si nous restons le temps que vous finissiez
la mise en beauté de cette jolie dalmatienne ? ”
Demanda Maîtresse Xaviera, tout en sachant que Laurent ne pouvait lui refuser, tandis qu’elle reprenait possession de la laisse de Géraldine.
» – Pas le moins du monde, Madame la Directrice ! ”
Répondit le dresseur, en prenant un museau de chien, qui possédait un large gag-ball à l’intérieur.
Il força sur la mâchoire de la Chienne, l’obligeant à l’avaler, fixant ensuite le museau de la cagoule à l’aide des sangles prévues, bloquant ainsi toutes possibilités de retrait.
Puis après lui avoir placé un cockring de métal très étroit autour des petites couilles pendantes de la Chienne, il plaça un capteur dessus, ainsi que sur la bague de chasteté .
Un plug de métal de chasteté se terminant par une queue de chienne blanche, vint finir la décoration de la chienne.
» – MMMMMMMPPHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”
Couina la chienne, quand le Maître du chenil inséra le plug, en le faisant éclore telle une fleur dans son anus, avant de le cadenasser et de le munir d’un capteur.
» – Arrête de couiner, sale chienne ! Ton Maître ne viendra te chercher que demain.
Ne soit pas si impatiente ! ”
Dit Laurent, en lui mettant la touche finale, qui était un large collier à pointes de cuir noir, qui portait le terminal de tous les capteurs. Laurent déposa la chienne sur le sol.
» – Puis-je faire le test, Laurent ? ”
Demanda Maîtresse Xaviera, avec un sourire pervers.
» – MMMMMMMPPHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”
Pleurnicha la chienne, un regard implorant en secouant négativement la tête, accompagné d’un mouvement comique de ses oreilles.
» – Si vous y tenez, Madame la Directrice ! ”
Répondit le Maître-Chien, en lui tendant la télécommande de contrôle canin, qu’elle actionna immédiatement .
» – MMMMMMMPPHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”
Hurla la chienne, ses gémissements étouffés par le gag-ball museau tandis que son corps était pris de tremblements sous les impulsions électrique, qui la parcouraient
» – Ohhh !!! Je trouve ce dispositif bien plus puissant que celui de ma petite Kitty ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, en rendant la télécommande à Laurent, avec un petit clin d’œil.
» – En effet, Madame la Directrice ! Ces petites Chiennes sont plus réticentes que votre délicieuse chatte. Je l’ai un « peu » modifié .
Avance jusqu’aux cages et fais la belle !”
Ordonna Laurent, en y associant une nouvelle décharge plus intense.
» – MMMMMMMPPHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”
Couina la Chienne dalmatienne, qui commençant de trottiner sur ses « pattes » pour se diriger vers les cages.
Géraldine regarda avec compassion la pauvre chienne tortiller son postérieur, en couinant sous les impulsions, qui elle le savait ne s’arrêterait qu’une fois arrivée à sa destination.
» – C’est ce qui vous attends toutes à la fin de votre session, mes petites chiennes en chaleur !Vous aboierez ou vous couinerez comme comme vous devez le FAIRE!”
Dit le dresseur à leur intention, en caressant la dalmatienne qui venait d’arriver à destination face aux cages, se mettant à faire la belle en couinant cette fois doucement, en faisant bouger la petite queue de son plug, en tortillant son postérieur et papillonnants ses longs faux cils, où le Maître-chien plongeait son regard glacial, en lui envoyant une violente impulsion en saisissant l’anneau de son collier.
» – MMMMMMMPPHHH !!! ‘AAOOUUUU !!! MMMMPPHHH !!! ”
Aboya cette fois la Chienne dalmatienne, qui avait compris le massage du Maître du Chenil, ses yeux se remplissant de larmes, en se débattant en vain, pour essayer d’échapper à la solide main qui la retenait, tandis que l’intensité des gémissements et l’agitation des chiennes dans les cages, s’accentuaient dans leurs regards apeurées.
» – FERMER LA !!! Et toi, retourne vite prêt de Maîtresse Xaviera”
Ordonna Laurent, en empoignant une lance à incendie, après avoir arrêter la télécommande, laissant la Chienne dalmatienne s’éloigner le plus vite qu’elle le pouvait.
Le Maître-chien se mit à arroser avec vigueur les cages, où se trouvaient les chiennes nues impuissantes, où leurs bouches grandes ouvertes par le ring-gag se mirent à avaler l’eau glacée qui les arrosaient. Elles essayaient de se maintenir debout sur leurs pattes, en se calant contre une paroi de leurs cages pour résister à la forte pression de la lance.
Après ce glacial traitement, les chiennes se turent, prostrées et gelées dans leurs cages respectives.
Le calme revenu, le Maître-Chien prit trois grosses broîtes de pâtée pour chien, et en remplit sept écuelles, qu’il déposa dans les cages, en retirant les ring-gag des chiennes, qui se mirent à manger sans rechigner ce que le dresseur leur donnait.
Après quelques jours sans manger, elles avaient rapidement pris conscience que c’était cela ou rien.
» – La semaine prochaine, vous aurez une nouvelle chienne à éduquer, Laurent !
Mais pour la revente uniquement. Il faudra bien me l’ouvrir, qu’elle vaille son prix ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, en tirant Géraldine vers la partie étable.
Ayant aperçu fouets et cravaches, Géraldine toujours frigorifiée, suivit Maîtresse Xaviera en gardant une certaine distance,en se souvenant de la séance subie de la cour.
Les deux pouliches de la cour étaient maintenant nues. Leurs corps dépourvus de leurs catsuit de latex portaient les stigmates de nombreux coups de fouets et de cravaches. Elles étaient à genoux dans de la paille en quantité, et portaient un harnais de larges sangles de cuir noir, muni d’une multitude de clochettes. Leurs pieds étaient maintenant chaussées de ballets boots, cadenassées l’une à l’autre, ce qui les empêchaient de se lever. Tandis que leurs mains se retrouvaient dans des boules de latex. Elles étaient raccordées au harnais. Leur cou était cerclé d’un large collier de maintien qui les empêchait de trop baissé leur tête nue arborant leur lourd anneau nasal, identique à ceux de leurs tétons.
» – Allez les filles ! A table ! ”
Dit Laurent, en leur mettant également une gamelle devant chacune d’elles.
Les pouliches se mirent a quatre pattes pour manger, découvrant à la vue de Géraldine, leur anus comblé par un large plug muni d’une queue de cheval, surplombé par ce qu’elle supposa être leur prénom tatoué sur le bas de leurs reins.
Mais une de leurs fesses était marqué de quelque chose de bien plus cruel. Un » X ” en lettres gothiques avait été creusé dans leur chair par un fer brûlant, tel du vulgaire bétail marquant leur appartenance à l’écurie de Maîtresse Xaviera.
» – Je vois que le marquage te fait frémir, petite Géraldine. ”
Dit Maîtresse Xaviera, en caressant des yeux, les courbes qu’elle trouvait agréablement délicieuses, de la soumise souillée, y faisant également glissé sa cravache
» – MMMMMMMPPHHH ! Mmmpphh… ”
Soupira Géraldine, en baissant les yeux, tout en s’imaginant ainsi marquée, ses petites fesses deja striées et gelées frémissant sous le passage de la cravache Caline.
» – Rassure toi ! Ce n’est réservé qu’à la gente chevaline, petite soumise !
Pour le moment, tu n’es qu’une chienne ! Cela dépendra de ce que ta Maîtresse
voudra faire de toi à la fin de ta formation ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, sur un ton ironique, en repensant à l’évaluation visuelle de Géraldine par Marina.
Elle prit congé de Laurent, ressortant dans la cour intérieure, accompagnée de la » French Maid ” qui n’eut pas à rouvrir le parapluie. La pluie s’étant arrêtée, pour laisser la place à un début de nuit , qui s’annonçait fraîche, Maîtresse Xaviera se dirigea vers le réfectoire.
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