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Tatie Solange 4

Tatie Solange 4



Réveil dans les Landes :

Le jour se levait à peine sur les dunes des Landes quand le coq de la basse-cour lança sa série de cocoricos, la crête hérissée. Habituée à ce type de réveil matinal, Solange ouvrit un œil, émergeant doucement des brumes du sommeil. Au second « cocorico », complètement réveillé, elle s’éjecta du lit aux draps froissés. Entièrement nue, du fait des nuits chaudes de la saison, elle s’étira longuement afin de retrouver un peu de souplesse dans son corps encore engourdi. Dans le mouvement qu’elle fit pour cambrer ses reins, sa croupe ronde et musclée saillit d’une manière excessive, véritable « Vénus callipyge ». Comme elle passait ses doigts dans sa chevelure pour la démêler, ses seins fermes et pointus se dressèrent tels deux obus pointés sur une cible.
Se sentant enfin complètement réveillée, Solange songea à ses invités arrivés la veille. Aussi accrochant un kimono qui se trouvait sur un cintre elle en recouvrit son corps nu et ainsi vêtue, elle s’empressa de gagner la cuisine afin de préparer les petits déjeuners pour son petit monde.
Solange n’avait pas été la seule à être réveillée par le chant du coq. Nicole avait également été tirée du sommeil par les cocoricos retentissants du gallinacé. S’étirant langoureusement, elle se colla contre son mari.
— Tu es réveillée, questionna doucement Guillaume ?
— Oui… Quel silence, à côté de notre appartement à Lyon…
— Oui, à part le coq, plaisanta Guillaume…
— Huumm, on est bien, roucoula Nicole en se lovant plus étroitement contre son partenaire pour la vie.
Or, comme elle encerclait celui-ci de sa jambe, sa cuisse se heurta à une excroissance qu’elle identifia immédiatement.
— Oh ! minauda-t-elle… On dirait que l’air de la région te réussit !
Et comme pour se prouver de la véracité de ce que sa cuisse pressait, Nicole glissa une main sous les draps à la recherche de cette excroissance matinale. Lorsque ses doigts, une fois qu’ils se furent infiltrés sous le pantalon de pyjama, frôlèrent la verge raidie, non seulement elle n’en fut pas étonnée, mais elle en ressentit un immense plaisir. Le début de leurs vacances se présentait sous les meilleures conjectures.
— Qu’est-ce que tu cherches là ? Tenta de plaisanter Guillaume, dont l’attouchement dont sa verge était l’objet avait eu pour résultat de renforcer son érection.
— J’aime quand tu es raide comme ça le matin, susurra Nicole en pressant tendrement la bite tendue…
Sous le désir qu’elle sentait monter en elle, Nicole entreprit de masturber doucement la longue colonne de chair dont elle sentait la fermeté entre ses doigts refermés. Sachant les caresses qui ravissaient son homme, elle continua à branler lentement la queue dilatée, faisant plus particulièrement coulisser ses doigts sur le bout du pénis libéré de son prépuce.
Ravi par l’initiative prise par sa femme, Guillaume se détendit complètement, s’offrant avec délice à la sensuelle masturbation. Au fil des ans, Nicole avait, non seulement appris à lui procurer ce merveilleux plaisir, mais elle s’était ingéniée à le peaufiner, le rendre encore plus voluptueux et elle était passé experte dans l’art de la masturbation. La lente caresse en un agréable va-et-vient le long de son membre tendu, ne tarda pas à lui procurer un insidieux plaisir, lui contractant le bas-ventre. Dans un réflexe sensuel, il lança son pubis, au bas duquel se dressait sa verge palpitante, au-devant de la main expérimentée.
Connaissant les moindres réactions sexuelles que pouvait manifester son mari lors de leurs jeux amoureux, Nicole interpréta les soubresauts de ce dernier comme autant de preuves de plaisir. Heureuse de l’effet que produisait sa caresse, elle accéléra légèrement le va-et-vient de sa main le long de la queue d’une dureté incroyable. Chaque frottement de ses doigts refermés en anneaux contre la couronne du gland arrachait un tressaillement à son compagnon.
— Hum, tu aimes ? Questionna Nicole, sachant pertinemment à quoi s’en tenir.

Mais à sentir contre sa paume la douce fermeté de la bite de son mari, ne fit qu’accentuer chez elle, le désir qui couvait au creux de son sexe depuis son réveil. Aussi, désirant observer les effets de sa masturbation, elle s’empressa de repousser le drap le plus loin possible. Puis ce fut au tour du pantalon du pyjama qui lui cachait l’objet de sa convoitise, de rejoindre le drap au pied du lit. Son plan mis à exécution, Nicole demeura immobile à contempler le membre viril offert à sa convoitise. Même si elle avait l’habitude de voir son mari dans le plus simple appareil, et cela depuis de longues années, elle éprouvait toujours autant d’émoi à contempler le sexe en érection de ce dernier. Au fil des années, elle était devenue esclave de cette verge extraordinaire qui l’avait si souvent fait côtoyer les sommets du royaume céleste du plaisir.
— Et maintenant ? plaisanta Guillaume, devant l’immobilité de son épouse.
Rappelée à la réalité, Nicole s’empressa de se débarrasser de sa chemise de nuit, et, entièrement nue à son tour, elle s’assit commodément entre les cuisses écartées de son mari. Afin d’accentuer le désir de ce dernier, elle ouvrit le compas de ses jambes au maximum pour qu’il puisse contempler sa chatte luisante de désir. S’étant assurée avec satisfaction que le spectacle qu’elle offrait attirait le regard de son partenaire, Nicole entreprit alors de reprendre sa masturbation. De nouveau, elle agita sa main droite, dans un va-et-vient de bas en haut, le long de la verge toujours aussi raide.
Sous la reprise de cette caresse dont Nicole avait fait sa spécialité, Guillaume s’abandonna au bien-être que lui procurait la main experte de son épouse. Le désir qui avait pris naissance au creux de son bas-ventre dès les premiers attouchements de sa compagne, lentement progressa le long de son sexe érigé. Le regard braqué sur la chatte blonde que Nicole lui offrait généreusement, il se concentra sur ce délice qui l’envahissait.
— Branle-toi aussi, demanda-t-il dans un murmure.
Tout en étant concentrée sur la masturbation de la queue dressée, Nicole glissa son autre main entre ses cuisses où du bout du majeur elle s’astiqua le clitoris. Cependant, l’idée première de Nicole était de procurer le maximum de plaisir à son homme. Tout en massant savamment son bouton d’amour, elle n’en continua pas moins de bouchonner voluptueusement la queue qui se dressait orgueilleusement au creux de sa main.
— Ça t’excite de me voir m’astiquer le bouton, mon salaud ! lança-t-elle à son mari qui fixait son entrejambe.
— J’adore te voir te caresser…
Jugeant son mari à point, Nicole décida d’accentuer encore son excitation. Pour cela, elle opta pour une caresse dont raffolait Guillaume, et qui généralement le menait rapidement au seuil de la jouissance. Sans cesser sa sensuelle masturbation de la main droite, elle abandonna la masturbation de son clitoris pour porter sa main gauche à sa bouche afin de l’enduire de sa salive. Avec beaucoup de douceur, elle posa alors la paume de sa main badigeonnée de salive sur le dôme ampoulé de la bite, qu’elle frotta en une lente friction. Un brusque sursaut du bas-ventre de son partenaire la renseigna sur l’efficacité de sa caresse.
La sensuelle caresse sur la partie rendue hypersensible de sa verge tendue à l’extrême, amena, comme à chaque fois, Guillaume aux portes du plaisir. Sous l’euphorie qui le gagnait, il s’abandonna, dans un gémissement, aux mains expertes de son épouse. La sensation à la base de sa verge était si agréable, qu’il renonça à lutter contre la montée de l’orgasme qu’il sentait proche.
Soudain, un bruit de pas dans le couloir des chambres alerta Nicole qui aussitôt cessa sa masturbation :
— Ta sœur est déjà debout, murmura-t-elle… On devrait peut-être se lever ?
— On a encore quelques minutes, protesta Guillaume, dont le désir réclamait une conclusion… Et puis tu ne peux me laisser comme ça…
Fixant la queue brandie au gland fantastique et plein de morgue, Nicole rejoignit les opinions de son mari en état d’excitation. Il aurait été dommage de se priver d’une telle érection. Le temps que Solange prépare les petits déjeuners leur laissait le temps de faire l’amour.
— En effet, tu ne peux te présenter à ta sœur avec un pyjama déformé par une telle bosse… D’ailleurs, comment se fait-il qu’elle ne se soit jamais mariée ?… Tu crois qu’elle a un amant ?… Oh après tout on s’en fout, déclara subitement Nicole en avançant de quelques centimètres sur les genoux, afin de placer sa chatte palpitante au-dessus du gland congestionné de son mari.
S’agrippant des deux mains au torse de son partenaire pour la vie, s’imaginant le plaisir qu’elle allait ressentir, elle se laissa lentement retomber sur le pal de chair, s’empalant posément. Le volumineux bourgeon de chair s’enfonçant en elle, écartant les chairs palpitantes de sa chatte en émoi, lui procura une sensuelle béatitude. Lorsque la verge dure et si douce en même temps fut entièrement enfoncée à l’intérieur de son sexe en ébullition, Nicole s’immobilisa, afin d’apprécier la grosseur de l’objet fiché dans son vagin :
— Humm, c’est bon, murmura-t-elle… J’aime sentir ta grosse queue dans ma chatte… Je vais me régaler…
Cependant pour Guillaume, la soudaine chaleur qui avait soudainement enrobé son membre lui tira un gémissement de bonheur. Incapable de demeurer impassible sous ce brasier qui enflammait sa verge, il se cambra frénétiquement, projetant violemment sa queue au plus profond du vagin torride de son épouse.
Sous le choc auquel elle ne s’attendait pas, Nicole se sentit projetée en avant et se retrouva allongée sur le torse de son fougueux compagnon. Profondément pénétrée, ressentant avec un immense bonheur le gland mafflu lui dilater le vagin, elle gémit doucement :
— Salaud…Tu m’as défoncé !… Je sens ton gros bout au fond du ventre… Tu me remplis toute la chatte…
Du fait de sa nouvelle position, Nicole n’eut plus qu’à onduler des hanches pour faire coulisser les lèvres juteuses de sa vulve écartelées, le long de la puissante verge qui l’empalait :
— Oh oui, c’est bon, parvint-elle à articuler dans un souffle… Je suis bien… Et toi ?
Langoureusement étendu, immobile, Guillaume laissait sa femme œuvrer à sa guise, attentionné au plaisir qui lentement prenait possession de ses organes génitaux. Le moelleux massage des lèvres sexuelles le long de son membre viril tendu, lui procurait une euphorie grandissante. Un chaud liquide s’échappait de la chatte pénétrée et venait lui engluer la base de la queue et les couilles, lui échauffant les sens.
Alors que son mari demeurait statique, Nicole, le corps couvert de sueur érotique à se démener sur le pal de chair enfoui au plus profond de son sexe, ne tarda pas à sentir une houle voluptueuse prendre naissance au tréfonds de ses organes. Dans un gémissement langoureux, elle quémanda :
— Caresse-moi les fesses…
Si ses seins allumaient le désir dans son corps lors des préliminaires sexuels, ses fesses, lorsque l’excitation était à son apogée, devenaient une zone érogène particulièrement réceptive. C’était là un des attouchements qui avait la spécificité de lui procurer, quand elle se trouvait dans cette position, un maximum de félicité. Le massage des rondeurs de sa croupe, dans ces moments bien spéciaux, accélérait chez elle la montée du plaisir.
Connaissant parfaitement son épouse et ses réactions sexuelles, Guillaume s’empressa de refermer ses paumes sur les globes jumeaux fermes et pourtant si moelleux. Tout en suivant les ondulations cadencées de la croupe épanouie, il entreprit de les masser avec beaucoup de douceur.
— Humm… Oui, j’aime, murmura langoureusement Nicole, sans cesser d’agiter son derrière, accélérant même l’amplitude du mouvement de va-et-vient.
La verge naviguant dans un brasier humide, Guillaume ne tarda pas à ressentit la montée du plaisir depuis ses couilles et son bas-ventre. A mesure que ses sens s’embrasaient, il devint plus ardent dans ses caresses. Abandonnant le massage sensuel dont il gratifiait les fesses, il les malaxa plus vigoureusement. Tel le boulanger pétrissant sa pâte, il en fit de même des masses élastiques du derrière rebondi. Il les pressa de ses doigts, les pinçant fermement. Dans un geste plein de lubricité, il écarta largement les deux masses de chair, pour la plus grande joie de Nicole qui l’encouragea d’une voix rauque :
— Oouuii… Caresse mon petit trou… Frictionne-le…
Comme la demande de son épouse rejoignait son désir, Guillaume glissa son majeur dans la longue raie séparant les deux globes charnus. Il y trouva immédiatement l’orifice qui s’y cachait : l’ouverture anale, qu’il tenta aussitôt de forcer. Trempé par les abondantes secrétions vaginales qui avaient inondées la raie des fesses, le petit trou, habituellement assez resserré, n’offrit aucune résistance sous la poussée de sa première phalange.
Sous cette tentative d’introduction, Nicole cessa immédiatement de s’agiter, s’immobilisant momentanément, attendant avec émoi la suite de l’intromission :
— Oui !… Plus loin, quémanda-t-elle d’une voix presque suppliante.
Accédant au désir de sa sensuelle épouse, Guillaume poussa entièrement son majeur dans le puits anal :
— Comme ça, interrogea-t-il ?… Tu le sens ?… Tu l’as entièrement dans le cul…
— Huumm oouuii… Murmura Nicole ravie, en reprenant son déhanchement… J’adore…
De nouveau, la chevauchée sexuelle se poursuivit avec même plus d’intensité. Doublement ramonée, et par la queue qui lui fouillait le vagin et par le doigt qui lui explorait l’anus, Nicole ne tarda pas à atteindre la jouissance. Plongeant son visage dans le cou de son mari, elle haleta :
— C’est trop bon… Hhooo… Chériiii… Oouii je viens…
Comprenant que sa sensuelle épouse parvenait enfin aux portes de la jouissance, Guillaume accéléra les frottements de son majeur à l’intérieur du rectum, sachant combien cette dernière appréciait ce genre de caresse à cet instant précis.
Sous ce frottement anal qui déclenchait en elle une myriade de sensations voluptueuses, Nicole s’abandonna alors aux vagues de la volupté qui la submergeaient et éradiquaient toute volonté chez elle. Soudain, une lame plus puissante que les précédentes la fit se cabrer. Reins arqués, buste projeté en avant, seins dardés, véritable figure de proue du vaisseau de la déesse « Venus », Nicole se sentit libérée de la pesanteur. Tout son être s’affranchit de son enveloppe charnelle pour flotter, tel un organisme astral, au-dessus de son corps encore embroché sur le pal de son mari.
Connaissant les effets sonores, que les orgasmes de son épouse déclenchaient, Guillaume s’empressa de l’attirer à lui pour étouffer la plainte amoureuse qu’elle s’apprêtait à laisser échapper. La saisissant par la nuque, il s’empressa de la bâillonner de ses lèvres. La maintenant pressée contre lui, il enfonça sa langue dans la bouche ouverte prête à rugir de plaisir. Il n’était pas question que Solange entende les cris de plaisir de sa belle-sœur.
Une soudaine ondée brûlante lui recouvrant le pubis et les couilles informa Guillaume de l’orgasme dévastateur de sa volcanique épouse. Dès le premier jour où ils avaient fait l’amour, il avait été surpris par l’abondance de cyprine que sa jeune femme libérait lors de sa jouissance.
Si Nicole s’était immobilisée, la jouissance l’ayant tétanisé, son vagin par contre continuait de répondre aux stimulations érotiques qui le sillonnaient encore. Guillaume sentit son gland comprimé subitement par les chairs intimes du col de l’utérus, lui procurant un excès de plaisir. Puis les chairs se relâchèrent aussi subitement, libérant le bourgeon de chair. Mais la libération de la tête de sa verge ne dura pas longtemps, les muscles intimes du sexe féminin se contractèrent une nouvelle fois. Le plaisir que ressentit Guillaume à cette nouvelle compression fut d’une telle intensité qu’il ne put retenir sa jouissance. Dans un grognement que ne purent étouffer les lèvres de Nicole accolées aux siennes, il remplit le vagin encore palpitant de son sperme. De longs jets aspergèrent les parois du sexe féminin, faisant aussitôt réagir Nicole :
— Salaud, réussit-elle à gémir… Tu m’as rempli la chatte…
La main à plat contre sa vulve dégoulinante des sécrétions de leurs jouissances mêlées, elle se précipita dans la salle d’eau pour une toilette intime indispensable.
*
* *
Lorsque Nicole et Guillaume se pénétrèrent dans la cuisine. Solange vêtue de son kimono de soie les accueillit avec force démonstrations de joie. Sur la table, des bols entourés de tartines les attendaient.
— Asseyez-vous je vous sers !
Installés autour de la table de cuisine, Guillaume et Nicole firent honneur aux tartines beurrées, tout en répondant aux différentes questions de Solange. Elle et son jumeau s’en vinrent très vite à se rappeler leurs souvenirs de jeunesse pour le plus grand amusement de Nicole.
— Tu te souviens de Mme Herbert, demanda soudain Solange à son frère.
— Oui en effet… C’était notre maîtresse de Français, renseigna-t-il à l’attention de son épouse.
— Il était son chouchou, renchérit Solange. Elle était aux petits soins pour lui.
— Que devient-elle, questionna Guillaume ?
— Au décès de son mari, elle a demandé sa mutation à Bordeaux où habite sa fille. Mais aujourd’hui, comme elle est à la retraite, elle est venue passer quelques mois dans sa maison qu’elle avait gardée. Si tu en as l’occasion, tu devrais passer la voir.
— Je n’y manquerais pas, acquiesça Guillaume.
— Bon, je vous laisse finir de déjeuner.
— Où vas-tu, questionna Nicole ?
— Je vais porter le déjeuner à Jérémy.
— Non, mais, ça ne va pas, s’exclama Guillaume !
— C’est vrai renchéri Nicole, il va se lever et venir manger ici !
— Il n’en est pas question, protesta Solange… Laissez-moi m’occuper de mon neveu… Pour ce que je le vois, je veux pouvoir le chouchouter…
Et sans attendre une quelconque réponse, Solange quitta la cuisine, le plateau du petit déjeuner de son neveu à la main.
Arrivée devant la porte de la chambre de Jérémy, Solange cogna doucement, afin de prévenir l’adolescent de son entrée. N’obtenant pas de réponse, elle pénétra sans bruit dans la pièce assombrie. Posant le plateau sur la table de nuit, elle alla d’abord ouvrir les volets, laissant entrer le soleil dans la chambre. Alors elle s’en retourna vers le dormeur qu’elle embrassa tendrement sur le front.
La soudaine clarté qui envahit la chambre tira Jérémy de son demi-sommeil. Ouvrant les yeux, il découvrit un ange penché sur lui, dans lequel il reconnut immédiatement sa chère Tatie :
— Tatie ?
— Bonjour, mon chéri… Je t’ai apporté ton déjeuner… Contre l’avis de tes parents… Mais ne t’en fais pas, prends ton temps…
Comme Jérémy installait confortablement le plateau sur lequel étaient posés un bol rempli et des tartines de confiture, Solange s’assit sur le bord du lit, heureuse de passer un moment avec ce neveu qu’elle ne voyait qu’une fois par an.
Alors que l’adolescent, les cheveux en batailles, déjeunait, Solange constata, émue, combien il ressemblait à son père au même âge. Des souvenirs lui revinrent en mémoire. Très proche, du fait de leurs liens, Guillaume et elle avaient eu une relation fusionnelle extrêmement forte, dépassant les rapports fraternels. Ils avaient partagé leurs premiers émois sexuels, connus ensemble leurs premières jouissances. Attendrie, Solange revit son adolescence en compagnie de son jumeau… Mais plongée dans ses pensées intimes, elle ne remarqua pas que lors de son installation sur le lit, son kimono avait largement glissé le long de ses jambes. Mais ce détail ne passa pas inaperçu pour Jérémy.
Alors qu’il détournait son regard vers sa Tatie, l’adolescent découvrit une cuisse fuselée et bronzée généreusement offerte. Ses jeunes sens, toujours prêts à s’enflammer, s’affolèrent si subitement, qu’il en cessa de mastiquer sa tartine. La vision qu’il avait pouvait remonter si haut le long de la jambe, qu’il eut l’impression d’apercevoir une tache plus sombre à la limite de sa vue. Aussitôt une pensée lui traversa l’esprit : sa Tatie ne devait pas porter de sous-vêtement sous son kimono… A cette évocation, il sentit sa virilité s’éveiller subitement.
Emergeant de ses souvenirs de jeunesse, Solange demeura surprise par l’air étrange avec lequel Jérémy la regardait avant de détourner brusquement son regard. Malgré la rapidité avec laquelle il avait baissé la tête sur son bol, Solange avait eu le temps de capter la direction de son attention. Dirigeant ses yeux sur l’endroit qui avait l’air d’attirer la curiosité de l’adolescent, elle découvrit avec stupéfaction la nudité de sa cuisse. Aussi rapidement qu’elle replaça son vêtement, elle se demanda si Jérémy avait pu apercevoir les bouclettes rousses de son sexe nu. Car comme l’avait bien imaginé l’adolescent, elle était entièrement nue sous son kimono. Aucune culotte ne protégeait son pubis et son abondante toison rousse.
Mais, après avoir arrangé sa tenue, après qu’elle ait repris une tenue correcte, Solange éprouva une étrange confusion. Le regard de l’adolescent sur ses cuisses nues et peut-être même un peu plus loin en direction de son sexe lui procurait, après coup, un plaisir insoupçonné. Que cet adolescent soit son neveu ne changeait en rien ce sentiment ; au contraire, la ressemblance de Jérémy avec son père y était peut-être pour quelque chose.
Honteuse de ressentir un tel émoi sexuel envers son neveu, Solange se leva brusquement du lit sur lequel elle était assise, et après un rapide baiser sur le front de Jérémy, elle quitta la chambre comme une coupable.
Une fois sa tante partie, Jérémy, continua de déjeuner. Trempant ses tartines de la main droite, de la gauche enfouie à l’intérieur de son pantalon de pyjama, il astiquait doucement sa bite gonflée. Finissant de déjeuner tout en se branlant consciencieusement, il pensa à sa mamie Louise qui aurait pu l’apaiser, comme elle savait si bien le faire, alors que présentement il était obligé d’avoir recours à sa main.

A suivre…

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