Histoires érotiques Histoires porno

Une libanaise à Bruxelles

Une libanaise à Bruxelles



J’étais en stage d’été comme commis au bar dans un hôtel bruxellois d’assez bon standing, situé juste à côté de la Galerie Louise, siège des boutiques griffées.

J’avais trouvé ce job de vacances vraiment in extremis, juste après mes examens de première candi.

Cet appoint financier m’était utile, sinon indispensable pour me permettre un voyage en septembre avant la rentrée universitaire.

J’avais 20 ans et encore plein d’illusions sinon d’espérance quant aux choses de la vie. Pas mieux ni moins bien que d’autres gars de mon âge, j’étais bien dans ma peau et heureux de vivre.

Seule ombre au tableau, ma copine était partie pour un mois en Provence, avec ses parents. N’étant ni sorteur ni dragueur, je passais mon temps libre à baguenauder en ville et à profiter du beau temps.

Je venais de quitter mon service de l’après midi et je me suis rendu vers l’horodateur de manière à allonger le temps de stationnement de ma voiture, pour me permettre de me promener encore ou de boire un verre à une terrasse.

Devant moi, se trouvait une dame qui visiblement avait des difficultés avec la machine. Celle-ci refusait toutes pièces et cartes de crédit. Nous avons conclu à une défectuosité et avons cherché un autre horodateur. Il était situé de l’autre côté de l’avenue. Nous y sommes allés chacun de notre côté avec un simple échange d’un sourire de politesse.

Là, pendant la manœuvre du monnayeur, j’ai l’attention (ou l’odorat) attirée par un parfum lourd et capiteux. C’est alors que j’ai regardé plus attentivement cette personne qui, comme moi, venait payer son écot de stationnement.

Petite cinquantaine, cheveux noirs en chignon classique, à vue de nez 1m65, jeans blanc avec large ceinture, chemisier foncé avec très discret décolleté, pieds nus aux ongles manucurés dans des sandales à talon, bronzée, une opulence confortable, sans trop, le type méditerranéen, Espagne, Italie, Liban ???

Beaucoup d’or au cou, aux oreilles et aux doigts… son parfum concordait bien avec son type de femme… une BSBG pas de chez nous !

J’étais tellement absorbé par l’examen de cette dame que je n’ai pas remarqué qu’elle avait terminé son opération de prise de ticket. Elle a toussoté et m’a dit en souriant :

— C’est à vous…

J’étais rouge de confusion !!

Mon opération a été rapide et je la suivais à deux mètres pour aller mettre nos tickets au pare brise de nos voitures respectives.

Je pouvais l’observer alors sans risque… De dos elle respirait une certaine lascivité provenant certainement de son déhanchement un peu accentué. Son jean n’était pas collant aux fesses et laissait une certaine liberté aux mouvements de celles-ci. Je devinais un postérieur de bonne dimension et les mouvements perçus lors de la marche me laissaient présumer plutôt une certaine mollesse qu’une dureté juvénile… Tout à mon examen un peu libidineux, j’ai manqué de m’étaler en butant sur la bordure du trottoir !! Arrivé près de nos voitures, assez voisines, j’ai souri franchement en la regardant… sourire rendu cinq sur cinq !!

C’est alors que cette idée assez farfelue m’est venue… Pourquoi ne pas tenter quelque chose avec cette belle BSBG au parfum affriolant ?

Je me suis approché d’elle et me suis dit que c’était quitte ou double. Très gentleman, je lui ai dit :

— Puis-je vous offrir un café ?

J’ai vu dans ses yeux d’abord de l’incrédulité puis du doute et puis un certain pétillement d’amusement. Elle me répondit :

— Pourquoi pas ? Mais rapidement car j’ai peu de temps.

C’était donc un oui, mais un oui pour le café sans plus… On verra bien.

Où aller ? Vite fait bien fait je me dis que le bar de l’hôtel où je travaillais me conviendrait bien. Luxe non ostentatoire, style cosy et service de grande maison plus de l’air conditionné bien utile par cette canicule.
En plus, quelques pas seulement nous en séparaient et, sait-on jamais… il y avait des chambres.

Elle ne tiqua pas en constatant que c’était dans un hôtel que je l’amenais !!
Mes collègues, très délicats, firent mine de ne pas me reconnaître….

Nous nous sommes assis côte à côte dans un vaste canapé de cuir, avec devant nous une table basse où très vite le personnel déposa nos cafés et une grande assiette de mignardises. Nous étions dans une espèce de box un peu retiré du bar lui-même et la lumière basse prédisposait à créer une ambiance propice aux confidences… et autres !

Ma compagne me dit :

— Mais enfin, jeune homme, qu’est ce qui vous a pris d’inviter ainsi une dame de mon âge ?

Ma réponse fusa :

— Mais enfin, madame, qu’est ce qui vous a pris d’accepter mon invitation ?

Eclat de rire mutuel !

Délicatement, j’ai pris la main de ma compagne et sans trop appuyer j’y ai déposé un rapide baiser en disant :

— J’ai été très attiré par votre parfum si adapté à votre personnalité et par votre élégance.

J’ai vu que cette phrase lui plaisait.

Après mon petit baise main, elle avait reposé sa main sur sa cuisse. Je me suis mis à jouer avec ses doigts, j’en caressais les phalanges comme en une douce caresse.
Autant mieux se connaître… je me suis mis à lui raconter une partie de ma vie, âge, étude, solitude momentanée etc.

De son côté elle en fit de même. C’est ainsi que j’appris qu’elle s’appelait Amincia, originaire du Liban comme je l’avais supposé, elle habitait Paris où son mari s’occupait « d’affaires » sans autres précisions et était avec lui à Bruxelles pour une semaine. Elle avait loué une voiture d’où l’explication de la plaque belge. Elle ne me dévoila pas son âge… et cela ne se demande pas !

Sa position dans le canapé me permettait de mieux deviner son corps. Son chemisier était moins sage en position assise que debout et l’on voyait le sillon de deux seins qui semblaient bien se tenir… au-dessus de sa large ceinture se manifestaient un ou quelques bourrelets qui attestaient bien du caractère un peu rebondi de son corps.

Il faut dire qu’en quelques minutes elle avait fait un sort à l’assiette de mignardises et commençait à agresser la seconde, promptement apportée par le service.

Moi j’étais simplement en chemise à manches courtes et pantalon sport. J’étais musclé sans l’être trop et me tenue ne prêtait pas à confusion, quoique Amincira s’était mise à jouer avec les poils qui recouvraient abondamment mes avants bras…. Allez savoir pourquoi, ce contact anodin entretenait cependant un début d’érection encore assez peu visible à mon entrejambe.

Je ne savais comment aborder la suite des évènements car maintenant, dans cette douce atmosphère du bar, avec nos petits attouchements et la proximité de nos corps, j’avais une envie folle de mettre Amincira nue sur ce canapé et de la prendre avec la fougue de mes vingt ans … Impossible évidemment.

Ma compagne s’était mise à regarder l’heure… je devais reprendre la maîtrise des évènements.

Autant brusquer ! Je lui dit :

— Connaissez-vous cet hôtel ? Chacune des chambres est le fait d’un designer différent et le confort est poussé à l’extrême, jacuzzi, peignoirs, tapis épais, lit king size, écran plat…

Elle m’a interrompu en disant avec humour :

— Arrêtez, n’en jetez plus. Vous allez me donner envie de visiter mais je n’en ai pas le temps… mon mari m’attend et puis ce ne serait pas sérieux…

Il fallait maintenant avancer mes pions. Ma main reposait sur sa cuisse et je l’ai fait remonter presque jusqu’à l’aine par de petites caresses et pressions et, m’enhardissant, je lui ai fait un long bisou derrière l’oreille.

Elle me dit :

— Allons, ce n’est pas sérieux tout cela… j’ai l’âge d’être votre mère.

Ma main avait quitté sa cuisse et maintenant, d’un doigt, je parcourais tout le long de sa colonne vertébrale plus comme une caresse qu’une exploration. Nous étions maintenant tout proches, cuisse contre cuisse et je sentais le poids de sa poitrine contre mon torse. Comme elle tournait la tête vers moi, j’ai approché mes lèvres des siennes et ai tenté un baiser. Elle ne l’a pas refusé mais elle conservait sa bouche close. Une main toujours dans son dos à la caresser, mon autre s’est aventurée sans précipitation vers sa poitrine et j’ai pu ainsi palper son sein. Nous n’en étions encore qu’aux jeux amoureux et je ne voulais pas aller trop vite, ni trop loin.

Ma bouche a de nouveau rejoint la sienne et cette fois, elle a permis une petite intrusion de ma langue…

Nous devions conclure ou cesser car maintenant la protubérance dans mon pantalon ne pouvait être ignorée d’Amincira, d’autant plus que du dos de la main et comme par inadvertance elle en avait déjà éprouvé la dureté.

En murmure, dans l’oreille, je lui dit : « Reste ».

Ce n’est qu’alors que sa bouche s’ouvrit et que, enfin, elle a permit le mélange de nos langues. C’était un baiser tout de préliminaires…

Il faut dire que je n’avais aucune expérience des femmes matures et que sauf une amie de ma tante qui avait voulu faire mon éducation sexuelle lors de mes 18 ans, mes conquêtes, peu nombreuses, avaient mon âge et peu de savoir faire

Amincira se sépara de moi et prit son portable dans son sac. Elle parlait à voix basse à son interlocuteur, son mari probablement et j’entendis des bribes de mots et de phrases :

— Défilé, collection privée, exceptionnel, merci mon chéri.

La communication terminée elle se tourna vers moi et dit simplement :

— Je ne sais ce qui me prend… mais j’en envie de toi.
Mon aventure d’été avec cette jolie Libanaise bcbg ayant plus que le double de mon âge rentrait dans une phase de concrétisation…

D’un signe discret, j’ai attiré l’attention du maître d’hôtel (mon chef en l’occurrence puisque c’était là que j’avais mon job d’été) et, comme je levais les yeux au ciel, il a tout de suite compris. En m’apportant l’addition pour les cafés, il y avait glissé discrètement la carte magnétique d’ouverture d’une chambre.

Je pris la main d’Amincira et lui dit « Viens ».

J’étais assez inquiet car mon manque total d’expérience de ce genre d’aventure me préoccupait. Devais-je me montrer audacieux, entreprenant ou bien laisser l’initiative à ma compagne ? J’ai décidé de voir venir…

Dans l’ascenseur, Almencira me regardait avec amusement. Elle s’attendait peut-être à ce que, vu la fougue de mon âge, je me précipite sur elle à grands renforts de langue et de pelotage, sans attendre d’être dans la chambre.

Son élégance naturelle, sa prestance, son âge m’intimidaient.

À l’étage, c’est elle qui me prit gentiment la main jusqu’à la chambre.

Une fois à l’intérieur, je me demandais que faire. Devais-je directement me déshabiller, devais-je déshabiller ma partenaire ?

Finalement, Almincira fit le tour de la chambre, enleva le couvre-lit et examina la salle de bains, le tout avec un sourire amusé. J’étais bloqué sur place comme un gros balourd !

Elle s’approcha de moi et, après un petit bisou sur les lèvres, me dit :

— Alors, mon grand… On est timide ? Décontracte-toi…

Plus facile à dire qu’à faire, d’autant plus que ma compagne était partie dans la salle de bains, et qu’au bruit je me suis rendu compte qu’elle faisait un gros pipi bien sonore ! Ma stupéfaction ! Cette belle femme bcbg qui urinait sans retenue à quelques pas de moi, porte ouverte…

Profitant de son absence et croyant bien faire, j’ai rapidement enlevé mes vêtements tout en conservant mon slip par un reste de pudeur…

Lorsque Amincira est revenue de la salle de bains elle était toujours aussi impeccable et le même sourire un peu narquois aux lèvres, comme pour se moquer de ma gaucherie. Me voyant en caleçon, elle s’est mise à rire franchement en disant :

— Eh bien, toi, tu vas vite en besogne…

Elle s’est ensuite approchée et s’est collée à moi. Ce contact et son parfum entêtant ont eu raison de ma réserve et je me suis mis à bander solidement.

Mais, subitement, je me suis demandé si j’allais être à la hauteur, car je me souvenais avoir lu quelque part que les Libanais étaient assez bien montés sur le plan sexe.
Ma quinzaine de centimètres allait-elle lui suffire ?

Ma compagne me mordillait le lobe de l’oreille tout en ondulant son pubis contre mon entrejambe. J’étais presque gêné d’être en érection !

Cela ne dura pas et, d’un geste rapide, elle abaissa mon caleçon, libérant ainsi ma verge du tissu qui la comprimait… Elle se détacha un peu de moi et dit en regardant mon sexe :

— Oh ! Que c’est mignon, ça… et tout neuf, dirait-on…

De la main elle commença à me palper doucement tout au long de la hampe, remontant vers le gland bien décapuchonné. C’était subtil comme caresse et j’ai dû me retenir pour ne pas immédiatement lui lancer toute ma semence…

Toujours amusée, elle me dit :

— Alors… quand vas-tu me déshabiller ?

Gros problème pour moi… C’était la première fois qu’une femme me demandait cela. Mes copines, elles, se déculottaient elles-mêmes, tandis que l’amie de ma tante m’avait rejoint, déjà nue, sous la douche.

Allons-y !!!

J’avais quasiment oublié mes appréhensions, et je me rendais compte que je désirais cette femme et que j’avais vraiment envie de l’avoir nue sous moi.

Sa bouche m’attirait, et cette fois-ci elle n’a évidemment pas refusé mon baiser. Femme d’expérience, elle me laissait fouiller sa bouche de ma langue, se contentant de petits mouvements de la sienne pour me titiller.

On était loin des grosses baveuses de mes copines.

Elle me laissait tourner et retourner, arrêtant quelquefois le mouvement pour me sucer et aspirer avec délectation mon bout de langue.

D’une main maladroite, je m’étais mis à défaire les boutons de son chemisier ; constatant mes difficultés, Almincira me dit :

— Attends, laisse-moi faire car je ne voudrais pas rentrer chez moi avec un chemisier chiffonné.

Elle a rapidement retiré son chemisier et l’a posé avec précaution sur le dossier d’un siège. Elle était maintenant en soutien-gorge noir en dentelle, avec une petite armature.
Là j’étais plus habile et, profitant d’un nouveau long baiser profond, j’ai détaché l’agrafe du soutien et libéré ses seins.

Ma compagne avait la peau douce, mate et ambrée des méditerranéennes, très agréable au toucher.

Sa poitrine libérée de son soutien descendait quelque peu sous le poids des ans, mais cela restait vraiment sensationnel pour le débutant que j’étais. Tout en restant soudé à sa bouche, je me suis mis à caresser ses seins, m’attardant aux tétons foncés, très volumineux au milieu d’une aréole largement dimensionnée.

Almencira ronronnait à mon oreille comme une chatte, apparemment satisfaite de mes caresses…

J’ai vite fait un sort à sa large ceinture et ouvert son jean’s blanc qui est tombé à ses pieds. Elle l’a enjambé et est revenue se coller à moi.

Je voulais la voir nue et l’ai écartée de moi à bout de bras… Elle n’avait plus qu’un slip noir assorti à son soutien-gorge.

Elle a fait descendre complètement mon caleçon encore bloqué à mes hanches tandis que je faisais descendre son slip….

Et là… quelle surprise ! Son bas-ventre était recouvert d’une toison noire épaisse et abondante remontant en une fine torsade presque jusqu’à son nombril. Sous mes doigts, c’était doux, soyeux et… humide.

Constatant ma surprise, ma compagne me dit :

— Oui, je ne suis pas une « miss trois poils » comme les petites Européennes… Chez moi il y a moyen de s’y perdre !!

Nous étions maintenant nus tous deux à nous examiner et à promener nos mains l’un sur l’autre en découvrant les secrets de nos corps.

Almencira se laissa tomber à genoux devant moi et entreprit de me manger le sexe avec dextérité et une extrême sensibilité. Ses mains palpaient, soupesaient, tripotaient mes testicules qui n’avaient jamais été à pareille fête, alors que sa bouche et sa langue semblaient vivre leur propre vie autour et tout le long de ma verge… À pleine bouche elle me suçait le gland, titillait le méat de la pointe de sa langue, revenait le long de la hampe… C’était une grande professionnelle, me disais-je.

Quelquefois elle me serrait le bas de la hampe comme pour m’avertir de ne pas éjaculer… Mutine, sa langue agaçait d’autres fois le prépuce.

Mon corps s’était arqué sous le plaisir et je caressais sa tête au même rythme que ses succions… Fabuleux…

Elle cessa son doux manège et, se relevant, elle se mit à quatre pattes sur le lit, me demandant de la lécher. Ainsi en levrette sur le lit, elle m’offrait toute la nudité de son sexe… Enfin a peu près, car son intense toison remontait toute sa raie fessière et se retrouvait encore quasi jusqu’au bas du dos.

J’avais peu d’expérience de ce genre de caresse, d’autant plus qu’elle avait les fesses délicieusement plantureuses, une raie fessière bien largement ouverte, et que l’on devinait l’entrée de son sexe béant dans les poils…

L’odeur épicée qui s’en dégageait m’attirait et je me suis mis à laper toute cette zone avec avidité… Ma langue passait sur tout sans s’attarder sur rien. Ma compagne avait glissé une de ses mains entre ses cuisses et s’agitait frénétiquement sur ce qui devait être son clitoris… J’aurais dû m’en occuper !

Elle ondulait du bassin…. J’avais les mains sur ses fesses et je les massais, les agitais, les faisais bouger pour ainsi agiter aussi son sexe… Ma langue avait trouvé sans difficulté son petit orifice arrière et, pour la première fois dans ma vie, j’ai vu palpiter la corolle comme un appel à caresses. Le bout de ma langue s’y est introduit après en avoir testé l’élasticité…

Dans cette position, les seins de ma partenaire pendaient sous elle et se balançaient. Je parvenais à les saisir à pleines mains et à les malaxer sans retenue.

Cela a déchaîné ma partenaire dont le popotin roulait sous ma langue….

Je n’en pouvais plus et j’avais peur d’éjaculer soudainement et de maculer ses fesses…

J’ai placé ma verge à la porte de son vagin et, encore timide (!), j’ai dit :

— Je peux ?

Que pensez-vous qu’elle m’ait répondu ?

— Vas-y, mon grand fou tout neuf…

Je n’attendais que cela, et d’un coup je me suis enfoncé au plus profond de son sexe. C’était large, chaud, humide et comme nanti de muscles en mouvement.

Me sentant en elle, Almencira semblait avoir perdu toute mesure et elle clamait et hurlait son plaisir, s’agitant de la croupe pour encore mieux me sentir…

Je la maintenais solidement aux hanches et j’essayais de labourer du mieux que je pouvais cette croupe somptueuse…..

D’un habile mouvement, tout en me maintenant en elle, ma compagne m’avait renversé sur le dos et s’était mise à me chevaucher… Grandiose… Son chignon s’était détaché, ses colliers et bracelets scintillaient, ses seins ballottaient en tous sens, son ventre un peu grassouillet se crispait et, au milieu de sa toison, mon sexe était bien figé en elle…

Habituellement, je jouis assez vite, mais ici je parvenais à me retenir, comprenant bien qu’Almencira n’était pas une novice et que, si elle avait accepté de venir dans la chambre avec moi, ce n’était pas pour terminer comme avec un éjaculateur précoce…

De sa bouche sortaient des sons sans signification… Elle feulait comme un a****l et je sentais bien qu’elle jouissait plusieurs fois car à chaque fois son corps se crispait et elle libérait un immense soupir…

Moi, je n’y tenais plus… Et par prudence j’ai dit :

— Attention… ça vient.

Tout à fait idiot mais c’est comme cela…

— Oui… oui… vas-y, répondit-elle…

La chevauchée est devenue tumultueuse, pleine de halètements, de mouvements amplifiés des corps… Et j’ai alors laissé aller toute ma semence dans ce ventre offert. C’est à longs jets que je l’ai inondée… À la voir se rouler sur moi et me mordre l’épaule j’ai senti que, ensemble, nous étions arrivés au plaisir. Un triomphe pour moi… J’étais fier…

Nous reposions, repus, nos corps encore mélangés, lorsque ma partenaire sursauta en regardant sa montre et déclara :

— Que je suis en retard… Il faut que je file…

Nue, échevelée, toison au vent, Almencira se précipita dans la salle de bains et se doucha rapidement, m’interdisant de me laver avec elle.
Toujours nue devant moi, elle s’assit sur la cuvette, ouvrit largement ses cuisses et me dit :

— Viens, mon bijou… Caresse-moi pendant que je fais pipi… J’adore cela…

Grosse nouvelle surprise pour moi, mais j’avoue que ce n’était pas du tout désagréable, d’autant plus que ma partenaire jouait avec ma queue pendant ce temps-là…

Ce jet chaud et ambré coulant sur ma main pendant que je caressais son bouton d’amour… Je n’avais jamais osé le rêver.

Tout se passa ensuite très vite… Remaquillage, habillage, bisou léger d’adieu et une phrase rapide…

— Merci, mon petit… Tu as été très bien… Donne-moi ton numéro de portable… Si j’ai encore quelques heures de libres…

Et la voilà partie…

Ai-je rêvé ? Je ne le crois pas, à voir l’état des draps du lit !!!

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire