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un soucis financier (11)

un soucis financier (11)



L’idée, c’était d’attendre un petit peu. Le temps tourne souvent à mon avantage, dans des histoires de ce type.
Amalia était rentrée chez elle avec le chèque promis. Elle n’avait pas dit un mot. Et elle ne m’avait pas recontacté. Toutefois, je savais que ce chèque ne la tiendrai pas à l’abri du besoin pendant bien longtemps.
Et c’est Jacques qui me rappela, une semaine plus tard. Il voulait revoir la fameuse étudiante, repasser une soirée comme la dernière fois.
– Franchement Jacques, je comprends que vous ayez envi, mais ce ne sera plus possible.
– Mais enfin pourquoi ? Elle m’a tellement excité avec ses seins. Je reve de repasser un moment avec elle.
– Ce ne sera plus possible. Je peux vous passer la video où vous etes tous les deux par contre.
– La video ?
– Oui, j’ai trouvé interressant de filmer ça.
– Mais pourquoi ? et je n’ai pas vu de camera !
– Elle était discrete, et tu étais bien trop occupé à regarder Amalia. Je me suis dit que ça pourrait être interressant et me servir. Par exemple pour la montrer à ta femme.
– A Sandrine ?? Mais tu es fou pourquoi tu dis ça ?? il ne faut jamais qu’elle sache !!
– Ah dommage ça me demange pourtant de montrer ça à ma belle-mère… surtout quand TU fais toutes ces allusions concernant ta fille, ses seins, que tu te branles en pensant à elle, tout en baisant une étudiante.
– Tu joues à quoi là ? Je vais raccrocher…
– Je ne te le conseille pas, sinon je lui envoie directement un email avec la vidéo. Je peux mettre la balancer sur sa page facebook depuis un compte anonyme, comme ça, ce sera ta femme et tous vos contacts qui seront au courant.
– …
– Après je peux me montrer sympa et conciliant, et garder tout ça pour moi. Mais il faut que tu me donnes ta femme.
Sandrine était une bourgeoise, qui n’avait jamais travaillé, toujours vécu à la maison à s’occuper de l’entretien, et de l’éducation de ses filles. Elle ne faisait pas grand chose de ses journées à présent, mis à part continuer l’entretien de la maison et repasser le linge (une obsession chez elle), et organiser certains après-midi des réunions avec ses voisines pour venir boire le thé.
– Je comprends pas bien, fit Jacques.
– Alors je vais t’expliquer. Je vais m’inviter chez toi demain soir. On va diner, passer la soirée ensemble, et ensuite, je veux baiser Sandrine.
– Elle ne voudra jamais. Déjà qu’avec moi il ne se passe presque plus grand chose. C’est impossible ce que tu me demandes.
– Dans les deux cas, je comprends bien que ce sera compliqué pour toi, mais quelque part, tu t’es mis dans la merde tout seul. C’est soi la vidéo que je diffuse de partout, soi ta femme. Je sais que les deux cas ne sont pas evidents, à toi de choisir, selon toi, le moins pire. Et je suis sympa, je te laisse jusqu’à demain soir pour la convaincre.
– Je ne pourrai jamais… elle ne voudra jamais…
– A demain, je viendrai vers 19h. Et franchement, vaut mieux que je ne vienne pas pour rien.

Et je passa une journée tranquille à la maison, vraiment satisfait de mon stratageme. Le soir, je me couchais de bonne heure, serein, et m’endormit facilement. Le lendemain matin, alors que je prenais mon petit déjeuner, je recu un appel de Solange, ma femme. Elle me raconta qu’elle trouvait que son père n’allait pas bien, et elle avait entendu plusieurs disputes entre ses parents, qu’elle avait vu sa mère pleurer mais que cette dernière n’avait rien voulu lui dire.
J’appelais Jacques dans l’après-midi, qui ne répondit pas sur son portable. Je lui laissais un message lui disant que s’il ne me rappelait pas dans les cinq minutes, je publiais la vidéo. Il me rappela aussitôt, me dit que sa connerie avait ruiné sa vie, que sa femme était dans une colère monstre, qu’elle ne voulait pas que je vienne. Avec la pression qu’il avait, il avait réussi finalement à la convaincre de préparer le diner, mais pour tout le reste, elle s’était muré dans le silence.
Je me présentais donc à 19h précise devant la porte du domicile de mes beaux parents, vétu de façon assez élégante, comme à chaque fois que je venais chez eux. Le soleil n’était pas encore couché, mais la luminosité était magnifique, légèrement orangée. Mon beau-père m’ouvrit, avec son épouse deux pas derrière lui. Eux aussi étaient bien vétus, Jacques portait la veste, et Sandrine avait mis une robe noire, avec quelques paillettes sur le haut.
Jacques me fit la bise (chose rare), et Sandrine en fit de même avec son sourire habituel. Il faisait bon dans la maison, ils avaient allumé un feu de cheminé, et il dégageait une bonne odeur depuis la cuisine. Une jolie table ronde avait été dressée au salon. Je me rendis compte que je n’avais pas acheté de fleurs, chose que je faisais habituellement, cette fois ci je venais les mains vides. Ma foi…
– Installez vous dans les canapés, fit Sandrine, je vais chercher les aperitifs et amuse bouche.
Elle s’éloigna vers la cuisine et je regardais Jacques avec étonnement :
– Elle est au courant non ? elle sait pourquoi je viens ?
– Oui… mais là je pense qu’elle est dans le déni. Elle ne m’a pas parlé de l’après midi…
Sandrine revint un plateau sur lequel se trouvaient trois coupes de champagne et quelques canapés au saumon. Elle posa tout sur la table basse, nous servit, et s’installa dans un fauteuil.
– Tiens, j’ai eu Amalia au telephone cet apres midi, elle m’a dit que tu l’avais un peu aidé financièrement. Et qu’elle avait encore eu un entretien d’embauche grace à toi. C’est vraiment généreux de ta part. Par contre, j’aimerai que l’on parle de Solange, ta femme, vous en êtes où tous les deux ?
Je bus une petite gorgée de champagne, bien frais, et répondit :
– Je veux bien répondre à ta question, mais j’aimerai que tu me montres ta culotte avant.
Une ambiance de plomb tomba sur le salon. Jacques regardait par terre, Sandrine était figée et me regardait sans bouger.
– Jacques… murmura t-elle, toujours en me regardant.
– Montre lui, s’il te plait, répondit-il en bagayant quelque peu.
– Vous pouvez m’expliquer ?! Pourquoi ?!…
Personne ne répondit. Je bus une nouvelle gorgée de champagne. Bien frais, délicieux, qui pétillait dans ma gorge. Je posais mon verre, et fit signe à Jacques que j’allais m’en aller, en haussant les épaules. Il regarda sa femme et lui demanda :
– Cherie, montre lui, s’il te plait.
Jacques se leva, s’approcha de sa femme, et lui retroussa la robe jusqu’au ventre, mettant à jour une culotte couleur saumon, satinée, dont tout le pourtour était composé de dentelles blanches et saumon.
– C’est dommage de cacher ça, en effet, lui dis-je en commentaire.
Sandrine était très mal et ça se voyait. Ses mains trahissaient sa gene, et et son visage et son regard indiquaient indirectement « voilà, tu vois tout, tu es content ? »
– Lache moi ! dit-elle furieusement à son mari.
Jacques s’éloigna, et répéta :
– Je veux juste qu’il te voit cherie, reste comme ça s’il te plait.
Je mattais la culotte de Sandrine avec insistance, puis la regarda en reprenant ma coupe.
– Avec Solange, c’est compliqué. C’est elle qui est partie, mais j’espère qu’elle va revenir. On est mariés quand même. Et puis j’aime vraiment votre fille.
Je pris une petit inspiration et continua :
– C’est excitant, je devine la forme de ta fente à travers la culotte.
Comme j’avais fini mon verre et que personne ne parlait ni ne bougeait, je pris la bouteille et me servit une nouvelle coupe.
– Et tu l’ecarterais pas un peu pour me faire plaisir ?
Sandrine me regardait faisant mine de ne pas comprendre.
– Tu écartes un peu ta culotte sur le coté, pour que tu me montres ta chatte.
– Ca je ne veux pas, répondit-elle.
Je fis un peu sourire en coin, et très calmement, je bus une nouvelle gorgée de ce champagne.
– Jacques, c’est quand la dernière fois que tu as fait l’amour à ta femme ?
– Il y a quatre semaines, répondit-il du tac au tac.
– Ohhhhh mais je ne veux pas qu’on parle de ça, fit Sandrine en rabaissant sa robe d’un geste de la main, et croisant les jambes. Pourquoi tu réponds toi ?, lança t-elle d’ailleurs à son mari.
– Et pourquoi il y a si longtemps ? Tu n’as pas l’air impuissant…
Jacques me regarait avec crainte, il avait peur que je ne revele la situation de la semaine passée, ainsi que tous ses propos envers sa fille. Il choisissait la voie la moins pire, sacrifier sa femme plutot que sacrifier son honneur.
– Elle n’est que rarement partante, je lui propose mais comme c’est souvent non, je renonce un peu, et j’arrete de demander.
– Et quand vous baisez, c’est bon ?
Sandrine regardait son mari et se décomposait au fur et à mesure de ses paroles.
– elle ecarte juste les jambes… et ça dure jamais bien longtemps. Et… Et je dois sortir d’elle, elle n’aime pas recevoir…
– Bon ça suffit maintenant ! fit Sandrine en se levant, et en me pointant du doigt la sortie de la maison.
Je me levais, tranquillement, tandis que Sandrine bouillait interieurement, et jetait des regards froids à son mari. Je fis quelques pas hors du salon, mais au lieu d’aller vers la porte de sortie, je me dirigeais dans le couloir amenant à leur chambre. J’allumais la lumière, et commençait à ouvrir tranquillement les placards et les tiroirs des commodes. Je découvris vite le tiroir contenant la lingerie de mon hôte, bien rangée, les culottes pliées d’un coté, et les soutien-gorges de l’autre.
Je selectionnais rapidement deux culottes, pour leurs transparences et leurs dentelles, l’une noire et l’autre rouge. Je les posais à plat sur le meuble devant moi, déboutonna mon pantalon, sortit mon sexe, et prit la culotte noire pour me frotter le sexe dedans.
Jacques arriva, suivit de Sandrine, qui sursauta et devint completement hysterique :
– Qu’est ce que tu attends ? Appelle la police !
– Oh non… On va manger. Tu vas nous servir le diner que tu nous as préparé. Mais avant, tu vas me montrer ta chatte.
Je plongeais ma main dans le tiroir, et pris une poignée de culottes, que je plaquais contre ma queue pour me branler.
Jacques referma la porte derrière sa femme.
– Jacques ?? répeta t-elle à son mari.
– Fais ce qu’il te demande.
– Enlève ta robe sale pute. Tu vas nous servir à table en lingerie. Et je veux voir ta chatte avant d’aller m’assoir .
– C’est… c’est un viol… fit-elle.
– Franchement, tu trouves vraiment que ça en a l’air ? Je te le demande gentiement, et ton mari est d’accord.
– Et mon avis à moi !! rétorqua t-elle.
– Vous vous êtes mariés à l’église j’imagine ?
– Oui, fit Jacques.
– Et bien voilà, tu as juré obéissance à ton mari pendant tes voeux. Alors enlève cette putain de robe, comme il te l’a demandé, sinon je vais me montrer moins sympa. Et toi Jacques tu sera grave dans la merde !
– Hein ?? Quoi ?? Mon Dieu Jacques tu as fait quelque chose ??
– Je… je ne peux pas te dire cherie. Mais s’il te plait. Fais ce qu’il te demande. Je t’en supplie.
Sandrine fit quelques pas vers le milieu de la pièce, s’immobilisa. Elle regarda son mari. Puis elle glissa la fermeture éclair sur le coté de sa robe, la retira doucement, et la posa sur le lit. En plus de sa culotte couleur saumon, elle portait un soutien-gorge violet qui lui galbait la poitrine.
Je regardais sans rien dire. Puis je me tournais vers mon beau-père et lui dit :
– Jacques, j’aimerai que tu me montres la chatte de ta femme.
Ce dernier s’avança doucement de son épouse, qui le fusillait du regard, et doucement, en tremblant un peu, il écarta sa culotte sur le coté, mettant à jour une toison brune bien bouclée. Je m’approchais et me penchais un peu, pour voir sa fente aux lèvres légèrement charnues, et un capuchon du clitoris un peu proéminant.
Des larmes perlèrent des yeux de Sandrine.
– Qu’est ce qui se passe ? Tout va bien, tu as enfin fait ce que je t’ai demandé. Ca doit te faire bizarre parce que pas beaucoup d’hommes ont vu ta vulve, mais ça y est, j’en fait parti. Si on allait manger maintenant ? tout ça m’a donné faim !
Et je jetais en vrac les culottes de Sandrine sur le lit, en reboutonnant mon pantalon.
De retour dans le salon, je m’installais à table, avec Jacques, tandis que Sandrine partit en petite tenue dans la cuisine.
– Et tu ne me ressers pas du champagne ?, dis-je à Jacques, qui se releva, alla chercher la bouteille sur la table basse où nous l’avions laissé, et revint me servir.
Sandrine revint avec un plat dans les mains, elle avait préparé du saumon enroulé autour de coquilles saint jacques.
– Je peux te servir ? me demanda t-elle en parfaite maitresse de maison.
– Bien volontiers…
Tenant le plateau d’une main, elle tenait le couvert de l’autre pour me servir. Comme elle était à coté de moi, j’en profitais pour lui carresser les hanches, et un peu les fesses.
Puis elle alla servir son mari de l’autre coté de la table, et enfin, revint s’assoir à sa place, pour se servir à son tour.
– Reste debout.
– Pardon ?
Sandrine commençait tout juste à se servir.
– Oui, tu ne vas pas manger avec nous quand même… Tu vas rester debout et attendre qu’on ait fini, pour nous servir la suite.
Sandrine se leva, doucement, faisant reculer sa chaise en même temps, et se retrouva un peu bête, ne sachant pas quoi faire, tandis que je mangeais, en lui reluquant son soutien gorge et sa culotte.
Je terminais mon assiette, dans un certain silence, et Sandrine me débarrassa, ainsi que son mari. Elle revint peu après nous remettre des assiettes propres, puis après un nouvel aller retour à la cuisine, déposa un plat où elle avait cuisiné de la lotte au safran, accompagné de riz et de petits légumes. Elle dépiota le poisson avec technicité devant nous, puis se plaça à coté de moi pour me servir.
A nouveau, je me mis à lui carresser la cuisse, et à jouer un peu avec sa culotte, carressant doucement la fine dentelle sur le coté, au niveau de sa hanche.
Puis elle alla servir son mari.
– Ca sent bon. Serre toi également.
Sandrine, sans dire un mot, se servit à son tour. Un peu bêtement, elle demanda :
– je.. je peux m’assoir ?
– Oui, dis-je en haussant les épaules.
Puis je regardais Jacques.
– Elle t’excite pas ta femme comme ca ? moi elle commence à me faire bander.
– Elle m’excite toujours ma femme… c’est elle qui ne veut pas… trop…
– Mais là je suis sur qu’elle va être d’accord pour te faire plaisir, tiens, va te mettre à coté d’elle et donne lui ta queue…
Jacques, doucement, se leva, et alla se mettre à coté de sa femme. Il déboutonna son pantalon, et son sexe gonflé sortit de suite. Sandrine, assise, regarda le sexe de son époux, qui était presque à hauteur de son visage.
– Allez Sandrine, branle le, suce le, montre un peu comment tu fais ça. Et excusez moi, je commence à manger, pendant que c’est chaud.
De sa main droite, sans regarder, elle attrappa le sexe de son mari du bout de ses doigts, et commença un mouvement de va et vient. Jacques ferma les yeux, profitant de cet instant rare. Elle faisait de facon assez automatique et non chalente , et le va et vient etait assez court.
– Préviens moi quand tu viens, lui dit-elle.
Je vis Jacques se crisper et murmurer :
– Oh je viens, je viens…
Aussitôt, elle arrêta sa branle, et prit sa serviette, je suppose pour qu’il jouisse dedans. C’est Jacques qui se branlait seul à présent, tandis que sa femme lui présentait la serviette.
– Dans son assiette, lui dis-je.
Jacques ne se fit pas prier. Tout en regardant sa femme, il s’approcha un peu de la table, et éjacula trois longs jets de sperme sur la lotte et le riz encore fumant de Sandrine, qu’elle venait de se servir dans son assiette.
Elle fit la grimace, alors que Jacques remettait son pantalon en place, et retournait s’assoir.
– Bon appetit Sandrine, j’espère que tu ne vas rien laisser dans ton assiette. Mange vite, ça va tiedire…
Degoutée, Sandrine prit ses couverts, et poussa un peu avec son couteau le sperme qui couvrait son poisson.
– Je ne peux pas, fit-elle. Je vais vomir….
– Et bien tu vomiras… qu’est ce que je m’en fous. Je te demande de manger et finir ton assiette pour l’instant. Ce qui se passera après, on verra bien.
Tous trois nous mirent à manger silencieusement. Je voyais Sandrine choisir avec précaution dans son assiette. Pour le poisson, elle réussit à faire une petite selection minutieuse, mais pour le riz, elle cru qu’il avait été épargné, mais se rendit compte en bouche qu’il en était imbibé. Elle fit une grimace de dégout et eu comme un relan de son estomac.
Je me levais et me mit derrière elle.
– Ne crache pas salope. Tu vas le manger ce foutre. Et tu vas aimer ça.
Je mis ma main sur sa culotte et commença à lui masturber la chatte au travers. Si elle s’était montrée précise en matière de maitresse de maison, je lui montrais qu’à mon tour, j’étais précis avec mes doigts. Je les agitais exactement sur son clitoris, pile dessus, modifiant ma cadence, y allant soit tout doucement, soit rapidement.
– Mange !
Sandrine machait sans fin. Mon autre main carressait son soutien gorge et ses seins. Je dégageais un mamelon de sous un bonnet, qui devint rapidement dur. J’accelerai ma cadence sur sa culotte.
Elle serra les cuisses d’un coup, comme si elle jouissait, en poussant un petit gemissement.
– Oh non, c’est pas ça jouir…., lui dis-je, en lui ecartant les cuisses.
Je lui ecartais la culotte sur le coté, et continuait de la masturber, la main directement sur sa chatte à présent. Elle était completement trempée. J’agitais son clitoris (qui avait une belle taille, il sortait carrement de sa vulve). Elle machait toujours, tout doucement, alors je lachais ses seins, et pris du riz et du poisson couverts de sperme dans ma main, et lui étala sur la poitrine. Je la sentis se crisper et tressaillir un peu. Je commençais à avoir un peu mal au doigt tellement je tournoyais vite sur son clitoris. Elle fit de petits soupirs, de plus en plus insistants, et se sentit son bas ventre se contracter fort et quelques petites gouttes de mouille giclèrent de sa chatte puis dégoulinèrent de son entre-jambe.
J’enlevais ma main de sa chatte, et lui remit doucement sa culotte en place. Elle étouffait légèrement, elle avait avalé ce qu’elle avait en bouche. Sa respiration était encore haletante, et elle reprenait doucement ses esprits.
– Débarrasse, on a fini. Et on peut passer directement au dessert.
Sandrine se leva au bout de quelques instants. Doucement. Sa culotte était trempée, et sa poitrine était badigeonnée de nourriture et de sperme. Elle débarrassa les assiettes, tandis que je me resservais tranquillement du champagne. Je l’entendis un peu sangloter en s’éloignant, puis pleurer une fois arrivée à la cuisine.
Jacques regardait dans le vague, mal à l’aise.
Sandrine revint avec des petites assiettes, qu’elle posa devant nous, puis repartit en se séchant les larmes. Elle revint avec un fraisier qu’elle avait fait elle-même durant l’après-midi. Elle coupa trois parts, et me servit, puis son mari, et enfin elle.
On mangea en silence. Sandrine se contenait pour ne pas pleurer. Elle essuya ses larmes d’un revers de la main, et ne leva pas la tête de son assiette.
Une fois fini, je me levais, déboutonna mon pantalon, et sortit ma queue en erection. Je me mis à me branler un peu, pour durcir encore plus, et me mis à coté de la maitresse de maison. Je lui pris la tete entre mes mains et lui colla mon gland contre sa bouche. Elle entrouvrit timidement la bouche, et je lui donna un violent coup de bite pour lui enfoncer la queue jusqu’aux couilles. Je ressortis et elle toussa à s’en etouffer.
– Ah, c’est bon comme ça, encore…, lui dis-je.
Je représentais mon gland devant sa bouche, lui reprit la tete entre mes mains, et m’enfonça dans sa bouche, tout doucement cette fois, jusqu’à ce que mon gland soit dans sa gorge, et mes couilles contre ses lèvres. Elle eut un haut le coeur et une envie de vomir, et je mis à lui baiser la bouche, cognant bien au fond de sa bouche. Je la vis palir un peu.
Je sortis ma queue gonflée comme jamais, retirais mon pantalon, et alla m’installer dans le canapé. Sandrine et Jacques se levèrent également.
– Jacques, enlève la lingerie de ta femme, et offre la moi.
Ce dernier se mit dans le dos de sa femme, lui dégrafa le soutien gorge, qu’il posa sur le dossier d’une chaise, et lui baissa sa culotte. Nue au milieu de la pièce, Sandrine était visiblement particulièrement mal à l’aise. Elle ne cherchait plus à cacher avec ses mains un corps toujours très agréable à regarder pour son age (elle avait la cinquantaine).
Ses seins étaient jolis (moins généreux que ceux de ses filles par contre) et ne tombaient presque pas, et sa chatte, bien poilue mais épilée pour le maillot, était particulierement excitante.
– Sandrine, donne moi ta culotte.
Cette dernière prit sa culotte que son mari avait posé à coté du soutien gorge, et me la tendit. Je l’ouvris pour en voir l’interieur, bien mouillé et portant des traces multiples. Je la mis à la bouche pour la lécher un moment, me délectant du parfum et du gout de sa chatte. Puis, je la mis autour de ma queue, et commençais à me masturber en regardant Sandrine.
– Jacques, tu es d’accord pour me regarder défoncer ta femme ?
– Oui, fit ce dernier, résigné et soumis.
– Bon, Sandrine, demande moi que je te baise.
Sandrine me regardait en train de me masturber fort dans sa petite culotte. Aucun son ne sortait de sa bouche.
– C’est pas compliqué ce que je te demande, repete après moi, « je veux que tu me baises la chatte ».
– … je veux que tu me baises la chatte, fit elle sans conviction, à demi voix.
– Alors viens t’assoir là dessus, lui dis-je en posant la culotte à coté de moi, et en tenant ma queue dressée.
Sandrine s’approcha jusqu’à se placer au dessus de moi, et descendit doucement ses hanches vers ma queue. Mon sexe rentra en contact avec le sien, et elle continua de descendre doucement. Ma queue glissa toute seule dans sa chatte chaude et trempée. Elle descendit jusqu’à se retrouver assise sur moi, et se mit à bouger son bas ventre pour monter et descendre sur moi.
Jacques s’assit dans le canapé à coté de nous et regarda passivement sa femme s’empaler avec une certaine sensualité sur ma queue. Je lui malaxais les seins, dont les mamelons étaient devenus durs, et elle haletait un peu. A mon tour, je me mis à lui donner des coups de queue dans la chatte, tapant fort à chaque fois au fond de sa moule. Elle se cambra pour mieux m’accueillir et me saisit par les épaules.
Je continuais de lui malaxer les seins quand je sentis subitement sa chatte se contracter. Elle poussa un long rale en faisant la grimace et se mordant la lèvre, et je sentis mon ventre être aspergé de mouille. Sa chatte venait de couler comme une rivière et ma queue faisait un bruit mouillé de plus en plus sonore en allant et venant en elle. Elle se cambra à nouveau, ma queue sortit d’elle, et de la mouille coula à profusion de sa chatte.
– Putain, mais c’est une femme fontaine, et tu ignorais ça ??? dis-je à Jacques.
Je me dressais, passant mon main sur mon ventre trempé, et amenant mes doigts à ma bouche. Sandrine s’allongea sur le dos et voyant que je bandais toujours, écarta les cuisses. Je pus voir maintenant bien distinctement et précisement sa moule. Elle avait d’assez grosses lèvres, et un clitoris tendu à l’extreme. De mes mains, j’écartais sa chatte, pour ouvrir sa fente, les grosses lèvres s’écartèrent, laissant visible son trou béant et trempé. Je m’installais contre elle, mettant ses jambes sur mes épaules, et présenta ma queue sous sa chatte. Elle ne dit rien, et j’essayais d’y aller doucement. Parce que c’était une evidence, c’était la première fois pour elle. Une fois mon gland entré dans son cul, je me mis à donner de petits coups de queues, et je me retrouvais rapidement au fond de son cul, mes couilles tapant contre elle.
Jacques avait du mal à réaliser que c’était sa femme qui acceptait tout ça. Je l’enculais à présent de toutes mes forces, et elle gémissait, tout en se masturbant la chatte rapidement.
Je sortis d’un coup, sentant que je venais, et arrosa copieusement la chatte de ma belle-mère pendant que celle-ci continuait de se masturber fort. Me voyant et me sentant decharger sur elle, elle se cambra et se frotta la chatte comme une folle, et un long jet de mouille gicla dans le canapé et sur moi.
Elle se recroquevilla et se coucha sur le coté, haletante, reprenant sa respiration et ses esprits. De mon coté, je m’essuyais la queue dans sa culotte.
Sandrine se redressa doucement et alla dans la direction de la salle de bain. Je rassemblai mes affaires pour partir, Jacques quand à lui ne disait rien, restait abasourdi.
J’enfilai mon manteau et souhaitait quand même remercier la maitresse de maison. J’allais à la salle de bain, dont la porte était fermée. Je tapais à la porte et entrait. Sandrine était assise sur les toilettes.
– Je voulais te remercier pour ce diner, vraiment délicieux, et le reste…
Sandrine, un peu génée, ne savait pas quoi dire.
Je m’approchais d’elle, descendit ma braguette, et me mit à pisser fort. Mon jet gicla sur ses seins, et coula le long de son corps, coulant dans les toilettes et également par terre. Je la regardais fixement, et elle baissait les yeux. J’urinai pendant un bon moment, puis, une fois terminé, je remontais ma braguette, et sortit de la pièce. J’allais dans leur chambre, fouilla dans la lingerie de Sandrine, prit deux culottes et un soutif, que je glissais dans ma poche, en guise de souvenir, expliquais-je à Jacques.
Et puis, il fallait que je rentre, car ce soir, j’avais une vidéo à poster sur internet.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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