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Humilié comme une pute

Humilié comme une pute



Malgré que je sois marié, je n’arrive plus à me passer de bite aujourd’hui, c’est devenu un besoin de plus en plus fort.
J’ai la trentaine dépassée et depuis que j’ai goûté à ma 1ère queue, il y a une dizaine d’années, je me sens devenir de plus en plus accro.

J’aime les femmes, je ne suis pas spécialement attiré par les hommes, mais me faire traiter comme une salope par des mecs, surtout des jeunes, est pour moi un plaisir, je me sens à ma place. Je sais que je ne suis pas le seul homme marié à me comporter en véritable lope face à un mec.
Bien évidemment, je recherche la discrétion, du fait que je sois marié, mais aussi ma position de patron dans un métier à l’image virile m’oblige à refréner mes envies. Seulement, je n’habite pas en milieu urbain, donc difficile de se noyer dans la masse.

Hier, le besoin était trop fort, j’avais envie de bite, je n’aurais pas dû, mais impossible de me retenir et sachant le nombre de jeunes touristes en cette saison, la tentation n’étais que plus forte.
Vers 18h00, je décide de prendre ma voiture et me dirige vers un parking proche d’une dune, je sais pour le fréquenter, qu’à quelques mètres de ce parking, il y a un endroit en bordure de dune connu pour ce genre de plan, en plus avec pas mal de sapins qui permettent une certaine discrétion.

Je longe les sapins, une dizaine de types en fond autant, mais d’âge assez avancé, 50 à 60 ans, pas qu’il ne m’arrive pas de me faire baiser par des vieux, mais aujourd’hui, j’avais envie d’une jeune bite. Et là, je croise un jeune mec en caleçon de bain et tee-shirt, il était légèrement en retrait du chemin et fumait tranquillement une cigarette, je dirais une vingtaine d’années, peut-être plus, assez costaud, carré et au moins 1.80 m. Il me regarde passer, je fais demi-tour, son regard me suit, mais sans laisser paraître aucune expression d’approbation. Je m’approche de lui, il ne bouge pas, continue à fumer en me fixant avec un regard noir, je me risque à passer ma main sur son short pour sentir sa bite, il se laisse faire, continuant à me fixer.

Il ne bande pas, mais au toucher, elle semble être d’une bonne dimension. Son regard n’est pas rassurant, mais sa passivité me pousse à aller plus loin, je passe ma main à l’intérieur de son caleçon de bain, et là…je sens une bite au repos qui se raidit au toucher de ma main, elle semble énorme. Il lit mon expression de surprise sur mon visage, ça le fait sourire, un rictus de fierté. Et là, sa passivité disparaît, il me repousse de son bras, écrase sa clope et me dit :
– A genoux et suce !

Son ton est limite agressif, je lui réponds :
– Oui mais pas là, dans les sapins ! Lui indiquant la direction

Son regard noir se pose plusieurs secondes sur moi, laissant apparaître le début d’un énervement, mais acquiesce par un simple :
– Ok

Il me passe devant et se dirige vers l’endroit indiqué, un groupe de sapin ombragé, il rentre dessous et s’arrête net, me faisant face, moi je l’ai suivi comme un petit chien. Sauf que sa position était visible de la dune, aucun branchage ne cachant le lieu. Ne voulant pas prendre le risque de le vexer une seconde fois et le voir se casser, j’avais trop envie de me taper sa grosse bite, je me positionne à 1,50 m de lui, à l’abri des regards et me mets tout de suite à genoux pour lui montrer ma soumission totale.

Il me regarde avec curiosité, ça le fait même rigoler, il se décide à venir à moi, me prend la tête et l’appuie violemment à sa bite, toujours couverte par son short, il lâche un seul mot « sale pute ». Il me repousse la tête sans ménagement, là je comprends tout de suite qui est le mec, j’ai 20 ans de plus que lui, mais le vrai mec c’est lui, c’est ce gamin !

Il baisse son caleçon, sort sa bite presque raide, la prend en main et me la montre, tel un trophée et me lance :
– Elle te plait ma grosse bite, pédé ?

Oh que oui, elle me plaisait ! Toutes les salopes comme moi ne demanderaient qu’à l’avoir en bouche, ma réponse était immédiate :
– Oui, elle est énorme !

Il s’est mis à rigoler et me dit :
– Alors la grosse pute, qu’est-ce que t’attends pour la prendre ?

Il s’était reculé de 50 cm, j’avance à genoux vers sa bite qu’il tenait toujours en main, ça le faisait marrer de me voir avancer à genoux vers lui.

Je suis à sa hauteur, il bouge sa bite de gauche à droite comme une friandise que l’on n’arrive pas à att****r, il rigolait, un rire moqueur. Et enfin ma bouche se pose sur sa belle bite, il ne me laisse pas le temps de savourer, qu’il me l’enfonce à fond en criant :
– Suce salope !

Je ne pouvais même pas répondre, ma bouche était pleine, sa bite était énorme, entièrement raide, le seul son que je pouvais sortir était « hum… ».
(Je dirais 22/23 cm, et presque le diamètre d’une canette, c’était une 1ère pour moi ! Ce n’est pas tous les jours que l’on voit ça en réel !).
Il relâche enfin la pression, ressort sa queue, me dit :
– Regarde-moi grosse pute !

Mon regard se dirige vers le sien, il lui était facile de comprendre qu’à ce moment-là, je lui appartenais. Son regard était celui du dominant, je ne cherchais que ça et il l’avait vite compris. S’il m’avait dit « je vais baiser ta femme », je lui aurais dit « oui » !
Je me sentais à ma place, incapable de lui résister et surtout aucune envie de le faire.
Il recule d’un bon mètre et me dit :
– Allez viens pédé, viens montrer que tu es une bonne grosse pute !

Je savais que sa position n’était plus à l’abri des regards, c’était le genre de type fier de son gros zob et qui voulait montrer quel vrai mec il était, quitte à m’humilier !

Je n’étais plus capable d’opposer une résistance, pourtant je savais très bien le risque que je prenais, mais quand un type me traite comme une salope et m’insulte, il peut tout me demander. Je me suis donc avancé à genoux vers lui, il criait :
– Allez gros pédé, bouge ton gros bide, t’es qu’une grosse pute !

Et moi j’avançais…arrivé à sa hauteur, j’ai aperçu à ma droite deux types qui regardaient, probablement deux des vieux que j’avais croisés. Il m’a enfoncé sa bite d’un coup sec et il est resté comme ça sans bouger, certainement pour montrer aux deux autres que c’était lui le mec.

Puis il me défonça la bouche, j’étais à 2 doigts de vomir, il relâchait de temps en temps son étreinte. A chaque fois, j’étais plié en deux, à cracher et il reprenait, me traitant de grosse chienne … j’avais même les larmes aux yeux. Quand il a vu ça, il a carrément stoppé, m’a dit :
– Regarde-moi sale pute, dis que t’aimes être traité comme une pute !

J’ai répondu « oui, j’aime être traité comme une pute ! » et là, il m’a décroché une baffe et m’a dit :
– Suce salope !

Je voyais du coin de l’œil que les curieux augmentaient, pas que des vieux apparemment, certains mataient, d’autres se branlaient.

Je devais vraiment avoir l’air d’une vraie salope devant eux, moi un homme marié.
Ça semblait l’amuser, il continuait à me claquer entre deux coups de bite. Il m’a même obligé à ouvrir ma chemise, et il prenait un malin plaisir à se moquer de mon ventre, du style « grosse salope, t’as du bide gros porc … »
Jusqu’au moment où un homme s’est approché, la bite en branle et s’est mis à lui dire :
– T’as trouvé une bonne lope, je vais gicler !

Et il a tout lâché sur ma joue et ma chemise, ça dut l’exciter. Au même moment, il me tient la tête, sa grosse bite en bouche et je sens son jus qui sort par saccades. Il criait :
– Avale sale pute, allez avale !!!

J’ai tout avalé, presque au point de m’étouffer !

Il est resté sa grosse bite enfoncée dans ma bouche quelques secondes, le temps de bien se vider. Hum…c’est le moment que je préfère, recevoir le foutre en bouche ! Puis il l’a retirée doucement, contrairement à son habitude, je pense qu’il voulait en faire profiter les voyeurs de plus en plus nombreux. Ce type aimait montrer son énorme bite et il pouvait crâner sans peine, non seulement elle était grosse, mais il savait s’en servir ce con, j’en ai pris plein la gueule.
Il m’a seulement lancé un « bouge pas salope », je suis resté à genoux, la chemise ouverte, le regardant renfermer son engin sous son caleçon, observé par les autres. A ce moment-là, je me sentais tellement salope que rien d’autre ne m’inquiétait, même si j’étais conscient que j’allais devoir me lever, reprendre le chemin en direction du parking, devant tous ces regards qui m’avaient vu me faire traiter comme la dernière des salopes, la honte me submergerait, et probable que des rires moqueurs ou insultes fuseraient ….

D’un coup sec, je sens une pression sur ma tête m’obligeant à lever mon regard, c’était lui qui me regardait pour me poser une question : T’es marié ?

Moi : Oui.

Il me lâche, m’envoie une claque derrière la tête. En partant et me dit : Grosse pute, t’es qu’un pédé !

Sa claque était violente, j’ai dû mettre mes deux mains à terre pour ne pas me retrouver à plat ventre. Je me tourne légèrement pour tourner le dos au « public » et refermer ma chemise, j’avais du sperme sur le menton et sur la joue, la honte commençait à venir …

Je n’ai pas eu le temps de finir de me boutonner qu’une main m’empoigne par le col arrière de ma chemise et j’entends :
– Putain, t’es une vraie pute à bite !

Il m’entraînait dans le fourré à l’abri des regards où nous avions commencé, je tourne la tête pour voir le visage du type qui m’entraînait, non …. Ce n’est pas vrai ! Pas lui ! Il se marre et me dit :
– Tu sais qui je suis connard, hein lopette ?

Oh oui, je l’avais reconnu, je l’avais croisé qu’une fois, c’était un jeune branleur avec qui j’avais eu des problèmes lors de mon boulot ! Et il était là, il m’a vu sous un autre jour ! Là, j’étais mort de peur !

Après quelques mètres, il m’a lâché, plutôt poussé à plat ventre au sol, juste le temps de tourner la tête que j’aperçois deux autres types, des vieux derrière lui, il leur crie de façon agressive, propre à lui :
– Taillez-vous ou je vous défonce la gueule !

Les deux vieux ont fait demi-tour aussi rapidement qu’ils étaient venus.
Il s’est retourné vers moi :
– Toi, tu fermes ta gueule ou je t’en fais autant, et baisse ton froc !

Sa phrase s’est finie avec un coup de pied dans mon entrejambes :
– Baisse ton froc et lève ton cul grosse pute ou je vais te faire saigner !

Il m’avait fait hyper mal, mais soit par peur ou le fait que j’aimais qu’un jeune type me traite comme ça, et il était très jeune, j’ai obéi, baissé comme je pouvais mon jean et mon boxer, ça ne semblait pas assez rapide pour lui :
– Tu te magnes la pute !

Il s’était mis sur le côté et m’a décroché un coup de pied au ventre :
– Eh le gros, je t’ai dit lève ton cul !

J’avais aperçu, juste avant son coup au ventre, qu’il enfilait un préservatif, j’ai à peine aperçu sa bite.
J’ai obéi bien évidemment, levé mon cul en avançant mes genoux vers moi, je l’ai senti se positionner sur moi, sa main gauche à la hauteur de mon épaule, et ses genoux au sol touchaient mes cuisse. Sa bite cherchait mon trou du cul, guidé par sa main droite :
– Lève ton cul connard ! Putain, tu vas le lever ton gros cul ?

Je faisais de mon mieux, son poids ne me gênait pas, il était plutôt d’un petit gabarit, musclé sec, mais pas très lourd.
Tout d’un coup, je sens sa bite qui essaye de forcer l’entrée, il a du mal, ça ne l’arrête pas, il force au maximum, et elle finit par rentrer d’un coup sec. « AAAHHHHH !!! », je n’ai pas pu m’empêcher de crier, il m’avait fait mal, aucune préparation :
– C’est ça, gueule grosse pute, je vais te faire crier ta race !

Il m’enculait violemment, s’amusant à me faire crier à chacun de ses coups de bite, mais je commençais à apprécier, mes cris de douleur se transformaient en gémissements, il baisait bien ce petit con, il le voyait et lançait :
– T’aimes le zob toi, t’es une grosse lope, grosse pute ! T’aimes ça ma bite ?

Et j’ai répondu instinctivement entre deux gémissements :
– Oh… oui !!!

Il s’est bloqué dans mon cul, à peine une ou deux minutes après avoir commencé à m’enculer, j’ai compris qu’il giclait, il poussait même un râle de soulagement qui m’a paru d’ailleurs très viril pour un jeune mec comme lui.

Il se retire, se remet debout, m’appuie sur mes fesses avec son pied, je me retrouve affalé sur le ventre. Je sens quelques chose tomber sur mes fesses, j’ai compris plus tard que c’était le préservatif, il ne me dit rien sauf :
– Tu ne bouges pas grosse pute !

Je suis resté dans ma position, toujours sous le plaisir de son enculade, et il s’adresse de nouveau à moi :
– Tourne la tête et regarde-moi connard !

Je m’exécute, relève légèrement la tête et la tourne péniblement vers lui qui positionné derrière moi, et là, je le vois avec son téléphone à la main, j’entends deux ou trois clics ! Il m’avait pris en photo ce petit con, les fesses à l’air, un préservatif sur le haut du cul, du sperme de mes précédents juteurs sur le visage !!! Je ne savais plus où me mettre, la honte !
Il remet son portable dans sa poche, s’approche à la hauteur de mon visage, le jean toujours ouvert, la bite sortie, mais molle :
– Nettoie, t’as compris grosse merde, nettoie mon zob !

Je n’osais pas répondre, pourtant la dernière fois, c’est moi qui commandais, les rôles n’étaient plus du tout les mêmes: aujourd’hui, c’était moi qui lui obéissais, humilié par ce jeune mec.
Je prends position à genoux devant sa bite, il me crie :
– Gros porc, essuie-toi avant !

J’att**** le pan de ma chemise et m’essuie du mieux possible le visage. À la vision de mon geste, il se radoucit un tout petit peu :
– Voilà t’as compris qui est le boss maintenant, allez nettoie !

Et il approche sa bite molle sans la toucher, il la colle à mon visage. J’ouvre la bouche, la prends et commence à lui nettoyer le mieux possible. Elle reste, même molle, d’une dimension correcte, et je prends du plaisir à sentir sa bite circoncise dans ma bouche. Elle reprend en quelques secondes de la vigueur et se durcit, elle est bonne, bien large, de 18/19 cm de long. À ce moment, il se retire :
– Oh gros pédé, tu la lâches, t’es pas vrai toi ! T’en veux encore sale pute … hein, t’es ma pute ?

Son ton était redevenu hyper agressif, je me recule, toujours à genoux, la chemise tachée et ouverte, le jean baissé.
Il se refroque et dit une nouvelle fois :
– T’es ma pute ?

Je ne comprenais pas ce qu’il voulait et je reçois, pour la seconde fois, un violent coup dans mes couilles, je me retrouve recroquevillé au sol, pleurant de douleur et je l’entends :
– Dis-le que t’es ma grosse pute maintenant … tu veux que je te défonce ?

Moi, sous la douleur et la peur de ce gamin, je réponds docilement : Oui

Lui : Putain connasse, dis-le que t’es ma grosse pute !

Moi : Je suis ta grosse pute !

Le pire, c’est qu’en le disant, j’en avais envie !

Il m’a simplement répondu :
– T’as intérêt à t’en souvenir la prochaine fois, grosse merde !

Et il se barre.

J’essaye de me rhabiller le plus correctement possible, j’ai encore mal et j’ai pourtant aimé ça ! Je me fais tout petit pour rejoindre ma voiture.

FIN

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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