Nous étions allé chercher la voiture en sortant du restaurant et nous nous étions garé devant le restaurant pour attendre la serveuse.
Ma femme était dans un état d’excitation rare. Comme nous avions une demie heure à attendre avant que la serveuse ne finisse son service, j’ai dis à ma femme de se tourner vers moi dans la voiture et d’ouvrer grand ses cuisses, elle a remonté sa jupe laissant exposée sa chatte totalement épilée et trempée. J’ai commencé par lui caresser les jambes en prenant bien soin de ne pas toucher sa chatte tout en m’en approchant le plus possible. Elle essayait d’attirer ma main vers sa chatte en donnant des coups de reins ou bien en essayant carrément d’att****r ma main.
– Ecoute ma cochonne si tu veux jouer avec quelque chose triture toi les seins et laisse moi m’occuper de ta chatte.
– Mais tu n’y touche pas salaud ! Tu refuses d’y mettre les doigts pour me soulager !
Je ne lui ai pas répondu et j’ai continué à la titiller sans lui donner satisfaction. De son côté elle se pinçait furieusement les tétons dans une tentative de se faire jouir comme ça. Elle ne jouissait pas mais en revanche sa chatte coulait de façon impressionnante. Je n’étais pas en reste, avec une érection douloureuse tellement ce que je voyais et entendais (ma femme n’a jamais été discrète dans ses ébats) m’excitait. J’allais donner un grand coup de langue sur le sxe offert et palpitant de mon épouse quand la serveuse est sortie du restaurant.
Je suis sorti de la voiture et j’ai fait signe à notre invitée de la soirée, elle nous a rapidement rejoint et s’est installé sur la banquette arrière.
Quand elle a vu dans quel état était ma femme elle a éclaté de rire
– Putain ta femme a besoin qu’on l’aide non ?
– Oui mais pas ici, tu peux jouer avec ses seins si tu veux mais pas à sa chatte.
– Salaud ! Et toi pelote moi les seins petite salope.
– Oh madame se la joue comme ça ? Hautaine et insultante… Tu vas le regretter madame…
Rigolant toujours elle s’installe confortablement, bien calée dans son siège et répond distraitement à mes questions (ce qui me permet d’apprendre qu’elle s’appelle Martine) tout en ignorant royalement ma femme (qui s’appelle Mimi). Nous arrivons vite à la maison, sortir du parking prend deux minutes, Mimi ne s’est par rhabillée et ses cuisses brillent de cyprine. Elle est complètement chaude, brûlante même.
Arrivés à la maison nous nous installons dans le salon. En moins de vingt secondes ma femme est nue, les jambes écartées et en train de gémir qu’elle a besoin qu’on s’occupe d’elle. Je demande à Martine de se mettre à l’aise et lui dit que je reviens tout de suite. Je vais rapidement dans la chambre et y prends quelques accessoires dont nous nous servons dans nos jeux ma femme et moi. Je pose les affaires derrière le canapé, à l’abri des regards. Martine s’est déshabillée, ses gros seins sont lourds et super excitants, sa chatte est totalement rasée. Elle attends les jambes ouvertes elle aussi mais ne cesse d’éviter Mimi qui veut qu’on la baise, qu’on la touche.
Rapide comme un chat je saisis une cheville de ma femme lui passe une menotte et referme l’autre sur le pied du canapé. Avant qu’elle n’ai eu le temps de se rendre compte de ce qui se passe j’ai déjà menotté ses mains et les attache à un autre pied avec une corde. Me saisir de la jambe libre et l’attacher à son tour est plus problématique vu que Mimi est dans un état de colère effroyable. Mais, j’arrive à mes fins malgré tout. Je me tourne alors vers Martine et lui demande:
Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?
Viens me lécher, je suis sure que tu fais ça bien. Je m’agenouille devant sa chatte offerte et commence à tracer des cercles autour avec la langue sans toucher ses lèvres ou son clitoris. Au bout de trois minute elle m’att**** les cheveux et me tire contre sa chatte trempée de désir en disant d’une voix rauque : Assez de conneries bouffe ma chatte maintenant !
C’est avec plaisir et appétit que je lui obéis. Je concentre mes efforts sur son clitoris tout en explorant sa chatte avec mon pouce. Elle grogne de plaisir et me presse encore plus la tête contre elle. Puis je glisse mon autre pouce dans sa rondelle lubrifiée par l’excitation de sa chatte et ma salive. Je tête son clitoris goulument et au bout de quelques minutes elle est traversée de soubresauts et jouit dans ma bouche, inondant le canapé de sa liqueur.
Mimi implore qu’on s’occupe d’elle qu’on la fasse enfin jouir.
Je chuchote un peu à l’oreille de Martine pour lui dire quoi faire ensuite sans que Mimi puisse se douter de quoi que ce soit. Martine rigole et passe derrière le canapé pendant que je présente ma queue bien raide devant la bouche de ma femme.
Baise moi plutot je veux que tu me prennes…
Je l’att**** par les cheveux et gifle ses lèvre avec ma queue : Suce moi ma belle salope…
Elle secoue la tête, je continue mon manège : Suce moi maintenant ne fais pas de caprice…
D’un seul coup ses yeux s’écarquillent de surprise sa bouche s’ouvre toute ronde, Et elle pousse un petit cri de surprise. J’en profite pour pousser ma bite aussi loin que possible dans sa bouche.
Pendant que je distrayais Mimi avec ma queue, Martine a enfilé le gode ceinture de Mimi et vient de l’enfoncer jusqu’à la garde dans la chatte de Mimi. D’où la surprise de cette dernière. La serveuse prend visiblement son pied à baiser ma femme sans ménagement à grand coups de reins. Je sors ma queue de la bouche de ma femme, elle se met à gémir bruyamment au rythme de Martine qui la besogne fortement. Je passe derrière elle et commence à jouer avec ses jolies fesses. Elle fait une pause et m’intime l’ordre de l’enculer sans faire de chichis. J’écarte ses fesses à deux mains, pousse ma langue aussi loin de que possible dans sa rondelle offerte et impatiente puis pousse lentement ma queue dans son cul pendant qu’elle vient à ma rencontre..Quand j’y suis jusqu’à la garde j’entame un mouvement lent et régulier, décidé à savourer cette sensation brûlante et cette étroitesse le plus longtemps possible. Elle se remet en mouvement de telle sorte que chaque coup de rein que je lui donne la pousse plus loin encore dans la chatte de Mimi qui gueule de plaisir à présent. Martine gémit aussi sans retenue.
Mimi est la première à succomber à la vague de plaisir qui la submerge, Martine serre ma bite tellement fort dans son cul que je ne peux plus bouger et jouit à son tour. S’en est trop pour moi et j’éjacule à long traits mon foutre brûlant tout au fond de ce cul délicieux. titubant, je détache Mimi et entraîne les deux femmes dans le lit conjugal pour un peu de repos et plus sans aucun doute au petit matin.
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