Cela fait déjà quelques temps, je me suis mis à me travailler les tétons et j’y ai pris un immense plaisir si bien que maintenant, dès que je les effleure même à travers mon tee shirt cela m’excite énormément. Mon anus se met à frémir et il me prend une irrésistible envie de me faire enculer.
Dans ces cas là, je saute dans ma voiture et me rend dans un lieu de rencontre pas très loin de chez moi ou j’ai de fortes chances de rencontrer des client.
Arrivé sur place je me gare et pénètre dans ce bois ou ont été installés, je ne sais par qui, des sortes d’autels sacrificiels fait de pneus ou blocs de polystyrène. Je prend l’allée du fond et tourne aussitôt à gauche dans un petit chemin en cul de sac ou se trouve un premier autel en pneumatiques. Ce n’est pas le préféré des adeptes car c’est paraît-il celui qui est visité par la police mais je l’aime bien car c’est aussi celui ou il y a le plus de visiteurs.
Je m’installe et me déshabille plus ou moins selon le temps et m’occupe de mes tétons, j’aime sentir un rayon de soleil qui vient chauffer mon corps à travers les branchages ou bien les caresses d’un courant d’air sur mes fesses et mon sexe.
Je tourne toujours le dos au chemin de manière à ne pas voir qui arrive, j’aime les surprises. Parfois un léger craquement vous prévient d’une arrivée imminente, parfois rien, vous sentez soudain un souffle dans le cou, une main qui vous caresse les fesses ou vous palpe les couilles, c’est déjà un grand plaisir qui monte en vous.
Généralement le client passe devant et me regarde me triturer les tétons avant de prendre les affaires en mains. Certains font ça avec délicatesse mais d’autres sont de véritables sadique et pincent et étirent mes tétons sans ménagement jusqu’à faire vraiment très mal je gémis et grimace de douleur mais je vois dans leurs yeux le plaisir qu’il ont à me faire souffrir et souvent ils ajoutent « T’aime ça ma salope hein ! » en pinçant de plus belle. N’y tenant plus je leur dis « Va y encule moi maintenant, je t’en supplie »
Ils ne se font pas prier et on vite fait de me retourner et m’aplatir le torse sur l’empilage de pneus le cul bien en l’air. Là aussi, certains y vont avec délicatesse mais d’autre sont de vrais bourrins et vous fourrent leur grosse bite dans le cul sans ménagement. C’est parfois très douloureux mais une fois qu’ils sont dedans bien au fond, quel pied ! Je les encourage de la voix « oh oui vas y plus fort, vide toi dans mon cul » j‘adore ça, oui je sais c’est con mais je préfère vraiment sans capote.
Pendant que je me fait prendre, souvent d’autres types se sont engagés dans le chemin et assistent au spectacle. Si je les vois en me retournant je leur fait signe de la main de venir nous rejoindre et il n’est pas rare qu’un ou plusieurs viennent me présenter leur bite devant la bouche, je les gobe immédiatement et prend un immense plaisir à les sucer jusqu’à ils éjaculent dans ma bouche et j’avale tout pendant que mon enculeur se vide dans mes entrailles. Parfois, la place une fois libre est aussitôt prise par un autre client qui vient se soulager dans mon cul. J’en ai eu jusqu’à trois de rang, j’aimerai bien en avoir plus, je suis devenu complètement addicte à la sodomie et au sperme.
Là j’ai vraiment faim mais en cette saison les clients sont frileux.
Mes Tétons (suite)
Mon client régulier
Toujours au même endroit que dans mon précédent récit, j’ai un client qui est venu plusieurs fois me chercher. Il arrive par derrière moi pendant que je suis à m’occuper de mes tétons sans que je ne m’en aperçoive. Il me colle une tape sur le cul et me dit « Allez vient on va plus loin » comme on dirait « allez vient on monte » à une prostituée. Plus loin c’est le chemin suivant, il y a au milieu de celui ci un autel sacrificiel constitué de blocs de polystyrène. C’est vrai que cet endroit est plus discret. Je me rhabille sommairement et le suis donc jusqu’à l’endroit convenu.
Aussitôt rendu sur place je me désape rapidement, je sais ce qui m’attend. Mon client connaît mes penchant et commence par s’occuper de mes tétines qu’il pince et étire avec sadisme. Puis comme je le lui avait demandé il s’intéresse à mes couilles qu’il malaxe et triture sans précaution, c’est douloureux mais j’aime ça !
Après ce traitement je me penche en avant le buste appuyé sur l’autel, les fesses bien en l’air et là commence ma fessée, c’est ma punition parce que je n’est pas été sage. Il y va le bougre il me tape dessus à bras raccourci et je l’encourage à frapper plus fort. Son truc c’est, quand j’ai les fesses bien écartées, de frapper violemment bien dans le milieu en plein sur mon anus qui ne demande que ça.
La dernière fois j’ai osé lui demander de me frapper sur les couilles, pour qu’il puisse les atteindre plus facilement je les repoussé en arrière avec ma main formant une fourche avec le pouce et l’index. Il ne sait pas fait prier et ma aussitôt mis une voler de claques sur les parties génitales.
Waouh ! La douleur est insupportable du coup je retire ma main pour que mes testicules soient moins vulnérables. Il continue malgré tout de taper dessus du plat de la main. Heureusement que je suis affalé sur cet autel car avec la douleur j’ai les jambes coupées. Malgré la douleur, la jouissance est suprême.
Le salaud je pensai qu’il y aurait été avec précautions.
Après je le supplie de m’enculer mais ce gars ne le fait que si j’ai des capotes et ce n’est pas toujours le cas, maintenant j’ai pris mes précautions.
S’il ne m’encule pas, il s’assoie sur l’autel après avoir baissé son froc et m’ordonne de le sucer ce que je fais sans rechigner bien sur ! Il fini gratifier ma bouche de son sperme abondant et crémeux dont je me délecte avant de l’avaler.
D’autre fois, pour me finir, il s’occupe de ma bite qu’il décalotte à l’extrême et masturbe avec une grande vigueur que s’en est presque douloureux. Mais il arrive toujours à me faire éjaculer ce qui, l’age faisant devient plus rare.
La prochaine fois j’ai envie de lui demander de me fouetter le cul avec mon ceinturon mais vue l’ardeur qu’il met à faire les choses j’ai un peu peur.
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