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[VU SUR LE NET] Kary-25

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Je vous raconte une des soirées de Madame. Oui une des soirées, car il y en a eu plusieurs. Mais je me souviens particulièrement de celle-ci parce que ce soir-là j’ai encore franchi un autre point de non-retour face à ma condition de soumise, ou devrais-je dire, ma condition d’esclave. C’était une de mes journées de congé. J’étais nue, je portais mes bracelets de cuire aux chevilles et aux poignets. Il était environ 15 heures de l’après-midi et j’étais couchée en boule sur le tapis du salon. J’ai entendu cogner à la porte. Madame savait sûrement qui c’était puisqu’elle leurs avait ouvert le portail à l’entrée du domaine. Carole est allée répondre.

-Bonjour Madame Amanda… Vous êtes venu avec carpette.

-Bien oui ma chère, j’aime bien lui faire prendre l’air.

J’ai vu Maitresse Amanda entrer avec son soumis « carpette », je me suis aussitôt levée sur mes quatre pattes et je me suis dirigée rapidement vers carpette. Nous nous sommes mutuellement renifler le derrière comme de bon toutou. Je sais que cette attitude est très appréciée de ma propriétaire. Bien entendu j’ai aussi léché les souliers de Maitresse Amanda. Puis les Maitresses sont passées au salon commencer à discuter pendant que leurs toutous se sont couchés à leurs pieds. Il ne s’est pas écoulé beaucoup de temps avant que les autres amies de Madame arrivent et que le même rituel recommence. Ainsi est arrivé Madame Samantha et sa soumise « rigolote » ainsi que Madame Caro et son soumis « vermisseau ». Puis nous nous sommes tous retrouvés aux pieds de nos Maitresses respective pendant qu’elle se faisait la conversation. Il y avait des périodes comme celle-là ou nous ne faisions rien à part faire une imitation parfaite d’un bon toutou au pied. Puis arrivait l’heure du repas.

-Bonjour Mesdames… Vous pouvez passer à table maintenant.

-Merci Sylvie, nous arrivons.

Les Maitresses se sont levées et se sont dirigées fièrement vers la salle à manger avec leur a****l de compagnie bien en laisse marchant à quatre pattes à leurs coté. Elles se sont assises à leur place respective comme à l’habitude et nous, les soumis, nous nous sommes placés à genoux, à côté de chacune de nos Maitresses attendant leurs ordres.

À cette étape de mon éducation de soumise j’étais heureuse d’être à genoux à coté de ma déesse et j’attendais ses ordres avec impatience pour les exécuter avec enthousiaste et dévouement. Les Maitresses avaient reprises leurs conversations se faisant servir la soupe par Sylvie et Carole. Après quelques minutes Madame est venue placer son bol de soupe devant moi par terre. Il en restait deux, trois lapées que je me suis empressée de lécher pour me sustenter. Je savais que les restes des Maitresses étaient notre seul nourriture de la soirée. Les autres soumis ont fait de même.

Les domestiques sont venues chercher les bols vides. Madame leurs a mentionné de revenir un peu plus tard pour le reste du service. Puis les Maitresses se sont amusées un peu. À tour de rôle elle lançait un petit morceau de pain de l’autre côté de la salle à manger et nous devions aller le chercher à quatre pattes et le manger par terre comme un toutou le ferait. Elles s’amusaient à nous regarder déambuler le cul bien relevé et déglutir notre pitance accroupis et obéissants. Immédiatement après avoir tout avalé les miettes nous revenions près de la table se remettre à genoux attendant qu’elles ne veuillent bien nous en redonner.

Puis le repas se continuait dans le même esprit. Finalement lorsque les domestiques sont arrivées avec le dessert Madame m’a ordonné d’aller sous la table et de lui lécher la vulve doucement. Pas pour la faire jouir, mais pour la détendre un peu. Les autres Maitresses se sont offert le même privilège bien entendu. Alors pendant de longues minutes j’ai léché sa vulve trempé sachant que trois autres soumis faisait la même chose pour leur Maitresses juste à côté de moi.

Le souper terminé et étant repus des restes de nos Maîtresses nous nous sommes tous dirigés au garage. Je ne comprenais pas pourquoi nous allions dans cette direction. Madame a ouvert la porte et j’ai immédiatement remarqué qu’il n’y avait plus de voiture. Une table avait été installé au milieu ainsi que plusieurs chaises de chaque côté.

-Couche-toi sur la table kary.

-Oui Madame.

-Sur le dos… Et place tes genoux sur le rebord.

-Oui Madame.

Les trois autres soumis me regardaient avec un air interrogateur, visiblement ils n’étaient pas au courant du déroulement de la soirée. Après avoir aidé Madame à m’attacher solidement aux pattes de la table Les maitresses se sont retirées et assises sur les chaises de chaque côté de moi flattant leur gentil toutou tout en me regardant avec intérêt. Ce n’est qu’à ce moment précis que j’ai vu une autre personne dans le garage qui s’avançait avec une table à roulette sur laquelle il y avait différentes choses.

-kary je vais faire inscrire ma marque de propriété sur toi, à partir d’aujourd’hui tu seras à moi pour toujours.

-Merci Madame.

Je ne savais pas trop ce que cela signifiait vraiment, mais je ne voulais surtout pas contrarier Madame. Si je l’avais fait, j’aurais certainement eu une bonne punition, imaginez, la contrarier devant ses amies et les autres soumis. Mais surtout je ne voulais pas voir de déception dans ses yeux. Je l’aimais et j’étais tellement bien dans mon état de soumise à son service et me dévouant pour elle.

Puis, j’ai vu une femme se placer entre mes cuisses ouvertes, se mettre des gants de latex et installer une aiguille sur son outil de travail. C’est à ce moment que j’ai compris que Madame m’offrait un tatou pour seller notre union. J’ai regardé autour de moi et j’ai vu les yeux de ma propriétaire s’illuminer de bonheur. Les soumis avait les yeux grand comme des billes. Était-ce la surprise, l’excitation ou la jalousie… Enfin la femme a commencé son travail. Cela faisait mal, je bougeais un peu et m’efforçait de ne pas crier, je voulais être forte pour que Madame soit fière de moi. Le travail de la tatoueuse m’a semblé une éternité. Tous les spectateurs hochaient la tête dans tous les sens pour ne rien rater du spectacle. Finalement la femme s’est retirée de mon intimité et tout le monde se sont approchés de mon entre jambes pour admirer l’œuvre de cette artiste hors du commun. Pour l’occasion, quoique toujours en laisse, les soumis ont eu droit de se tenir debout devant moi toujours fixé à la table.

-Un sourire kary…

Je me suis forcé pour étirer mes lèvres et faire le plus beau sourire possible et hop Madame venait de prendre une photo de moi pour immortaliser cette nouvelle étape de mon cheminement. Elle s’est approchée, et elle m’a montré le chef d’œuvre. Sur mon pubis il y avait d’écrit sur quatre lignes distinctes…

« Propriété
de
Madame
Pénélope »

Les lettres étaient petites mais très lisibles. Elles étaient écrites avec des lettres très sobres et raffinées. De chaque côté du « de » il y avait un petit cœur de couleur rouge. Cela me semblait être la chose qui faisait que la boucle se refermait. J’appartenais maintenant à Madame corps et âme sans possibilité de retour en arrière. Je ressentais tout de même une fierté d’avoir cette inscription sur ma partie intime, moi qui jadis avait toujours refusé de me faire faire un tatou ou un percing. Je lui appartenais, elle pouvait faire de moi tout ce qu’elle voulait. C’était comme l’ultime consécration de toute ma démarche. Mon cœur, mon âme, mon esprit lui était entièrement dédier. Mon cœur battait sans retenu, la sensation que j’ai éprouvé à ce moment-là est vraiment indescriptible. J’étais relégué au rang d’objet, de chose, de pute, de salope, chienne, j’obéissais maintenant sans penser, je trouvais mon plaisir juste dans le fait d’appartenir à quelqu’un qui pouvait disposer de moi à sa guise. Je venais d’être étiqueté comme une chose et cela me faisait mouiller. Je vous le dit la logique de mon cerveau est très étrange.
Étant donné ma séance de tatouage que je venais de subir Madame m’a laissé rester en boule à ses pieds pendant le reste de la soirée pendant que les autres soumis étaient utilisé pour divertir les Maitresses. Elles se sont bien amusées pendant, qu’en boule par terre, je ressentais encore cette chaleur dans mon bas ventre. Vers 23 heures les invités sont partis et madame m’a permis de me mettre au lit pour récupérer de cette nouvelle aventure. Après avoir faite ma toilette je me suis couchée sur ma paillasse au pied du lit de Madame et j’ai fermé les yeux.

Un grand frisson a traversé mon corps tout à coup. Mon rendez-vous chez le médecin le mois prochain…

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