Chapitre 2
Je me réveille avec un horrible mal de tête, j’ai froid et je n’ai plus mes vêtements, en fait je suis entièrement nus.
Je me lève pour regarder ou je suis et sent comme un collier autour de mon cou, la sensation est froide et pas très agréable, il fait tellement sombre dans cette pièce que je palpe mon cou avec mes mains pour vérifier.
C’est bien un collier au toucher il a l’air en métal, et je sens aussi qu’il y a comme une chaine qu’y est attaché, je tire dessus mais je sens une résistance, la chaine doit être fixé au mur.
Je regarde autour de moi et essaie de voir quelque chose dans l’obscurité, je ne vois rien, la pièce et sombre et légèrement humide.
Ah si je vois un filet de lumière sous ce qui doit être une porte.
Bon je suis dans une pièce plongée dans le noir, entièrement nus attaché par le cou et chose bizarre je sens que mon pénis et emprisonnée également dans une sorte de cage on dirait, je ne serais pas trop dire ce que c’est.
J’essaie de me remettre mes idées au clair, refais ma soirée et me demande comment j’ai bien pus arriver dans cet endroit sinistre.
Je me dis Alex calme toi, il doit bien il y avoir une explication à tout ça, certainement une mauvaise blague ou que je suis en garde a vue dans les locaux de la police.
Non c’est trop bizarre.
Peut-être que je me suis fait k**napper pour une rançon !!
– Ne panique pas, ne panique pas me dis-je à haute voix
Je vais m’assoir sur cette banquette inconfortable et attendre quelqu’un viendra déjà me chercher.
Je me mets assis dos au mur les jambes repliées sur moi-même, j’ai froid et je commence à avoir faim, je ne sais même qu’elle heure il est …
Après un long moment, je ne saurais dire si c’était des heures ou des jours, j’ai perdu toute notion du temps, j’entends des bruits de pas venant en direction de ma cellule.
Je me relève et tourne ma tête en direction de la porte
-Peut être viens ton me délivrer pensais-je
Le bruit s’arrête devant la porte de ma cellule, est une trappe s’ouvre sous le bas de la porte.
Je me précipite vers celle-ci afin de pouvoir demander des explications en criant
– S’il vous plait, s’il vous plait, que fais je ici ?
– Qui êtes-vous !?
Je vois juste qu’on me fait glisser une gamelle, et que la trappe se referme avant que je n’ai pu atteindre la porte.
Une fois celle-ci atteinte, je tambourine sur celle-ci a m’en faire mal aux poings, mais personne ne me répond.
Je craque
Je pleure comme un gosse à chaude larme…
– S’il vous plait !! revenez !!!
– Dites-moi pourquoi je suis làaaaa ?!
Mais aucune réponse, mis à part l’écho de mes cris.
Je retourne à ma banquette et me met en position fœtale et tente de me calmer en continuant à me demander ce que je fais la et qu’est-ce qu’on me veut à la fin.
Le temps passe et je commence à avoir faim, mon vente gargouille.
Je me dirige alors vers la gamelle que l’on m’a donnée, je m’approche et là, je vois un plateau en métal et une gamelle en métal également, mais elle a plus la forme d’une gamelle pour chien que d’une assiette.
Je cherche les couverts, il n’y en a pas, je vais donc devoir manger avec les mains.
Ça me dégoute !!
Bon j’ai trop faim je plonge ma main dedans et ressens que c’est froid et plutôt gluant, je porte cette pâte à la bouche, et là je me rends compte que ce n’est vraiment pas bon, le goût est horrible.
Mais bon tant pis j’ai trop faim, et je mange tout.
Une fois fini de manger, Je ne remets pas la gamelle près de la porte, mais près de ma couchette, comme cela ils seront bien obligés de rentrer pour venir la chercher et je pourrais voir qui sont mes ravisseurs.
Assis sur ma couchette j’attends que le gardien repasse.
Le temps passe, mais qu’elle heure est -il bon sang, j’ai vraiment perdu tout sens du temps.
Tout d’un coup j’entends à nouveau des bruits de pas dans le couloir, ils s’arrêtent devant la porte de ma cellule, la trappe s’ouvre et une main pour essayer de récupérer le plateau repas.
Je vois que celui le cherche à tâtons mais ne le trouve pas, je me dis qu’il va devoir rentrer et je pourrais voir son visage.
Mais non, il ressort son bras, ferme la trappe et à l’air de s’éloigner si je me fie au bruits de ses pas.
– Merde !!! criais-je
Je me remets donc en position fœtale et essaie de dormir.
Un jet d’eau froide me fait me réveiller en sursaut, je me relève et je vois deux homme cagoulé dans l’encadrement de la porte un tiens un énorme tuyau et m’arrose d’un puissant jet d’eau qui me plaque sur le mur.
Le deuxième s’approche de moi et récupère le plateau repas, une fois celui-ci pris, il retourne vers la porte, le jet d’eau s’arrête et ils referment la porte.
Je suis mouillé et transi de froid, ma couchette et mouillé, je suis donc obligé de me coucher par terre de l’autre côté de la pièce.
Me voilà bien aider maintenant, j’ai froid, je suis trempée, et maintenant je dois me coucher à même le sol sans couverture ni matelas.
Je pleure, je n’en peux plus je suis à bout.
Je ne me reconnais plus, jamais je n’ai pleuré de ma vie jusqu’à maintenant, et la cela fait deux fois, ma confiance en moi et mon air supérieur de mâle alpha me quitte.
Je finis par m’endormir d’épuisement nerveux.
Quand je me réveille, j’aperçois près de la porte un plateau repas, il faut dire que maintenant mes yeux se sont habitué à l’obscurité.
Je dirige vers le plateau et mange, c’est toujours la même chose que la dernière fois et je trouve ça toujours aussi mauvais, mais bon, j’ai faim…
Ma gamelle finie je remets le tout bien près de la porte en face de la trappe, et part m’asseoir par terre dans un coin de la pièce.
Je commence à ressentir l’envie de faire mes besoins, mais ou faire cela il n’y a pas de toilette dans cette pièce.
Je regarde autour de moi, refais le tour de la pièce plusieurs fois à quatre pattes et là, j’aperçois qu’il y a un seau sous la couchette que je n’avais pas vu jusqu’à présent.
Je le prends et me dis qu’il pourrait me servir de toilette.
Qu’elle humiliation, mon dieu jamais je n’aurais pensée de toute ma vie déféquer et pisser dans un seau.
D’ailleurs en parlant d’uriner, comment vais-je bien faire pour faire cela avec la cage qui m’entoure mon pénis, je ne vais pas pouvoir faire cela debout comme un homme.
Pas le choix, je m’accroupis au-dessous du seau et fais mes besoins.
Je suis presque devenue un a****l je pue, je suis attaché par une chaine à un mur et dois faire mes besoins dans un seau, et pour conclure le tout je dois manger une bouillie infâme qui ressemble à du pâté pour chien.
Je pense que je n’aurais pu tomber plus bas.
Je rejoins donc mon coin de pièce ou je m’assois, à quatre pattes parce que je suis écrasé sous le poids de cette humiliation et là j’attends que le temps passe.
Tout d’un coup la porte s’ouvre
Trois homme cagoulé rentre dans la pièce, ils me mettent un sac sur la tête, me donne des chocs électriques avec un Taser tout en me criant dessus
– Ferme ta gueule petit enfoiré !!
– Tu n’es plus rien, tu es un chien !!
– Suis-nous N°23, et ne fais d’histoire !!
Ils m’ont enlevé mon collier, et m’emmène avec eux hors de ma cellule, je ne peux pas résister je me laisse faire
Mais ou m’emmène-t-il ?
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