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Ma soumission à ma future femme

Ma soumission à ma future femme



Ma vie et ma sexualité ont pris depuis quelques années un tour étrange. Peu gâté par la nature : petit, maigre, pas très beau, j’ajoute à ce sombre tableau un zizi ridicule de 8 centimètres en érection. Autant dire qu’à l’époque du début de ce récit, je n’avais eu, à vingt quatre ans, aucune aventure sérieuse avec une fille ! Les deux seules que j’avais réussi à ramener dans ma chambre ne continuèrent pas leur relation avec moi…

J’ai toujours été lucide sur ma personne et ai toujours compris que ce serait pour moi plus difficile que la majorité des gens pour accéder au bonheur de la vie de couple.

A vingt quatre ans, j’ai fait la connaissance de Nadia, ma voisine de palier du nouvel appartement que je venais de louer. Dès que je l’ai vue, je suis tombé amoureux d’elle ! Grande, brune, les yeux verts, elle a une classe naturelle et un charme hors norme. Au début, je n’osais l’aborder, trop intimidé et pensant bien entendu qu’elle était inaccessible pour moi. Je l’épiais cependant, lui connaissant quelques amants de passage, j’appris qu’elle travaillait à quelques pas de là dans un magasin de fringues de luxe. Je fis sa connaissance un beau jour en me proposant de l’aider à décharger quelques courses de sa voiture vers son appartement. Elle avait une façon de me parler et de me regarder un peu hautaine, comme si je n’avais que peu de valeur à ses yeux… Etrangement, cela ajouta à mon attirance pour elle ! Elle me remercia du bout des lèvres du service que je venais de lui rendre. Ce soir là, je me suis branlé en pensant à elle… Les jours qui suivirent, j’ai continué à l’épier, guettant le moment opportun pour lui venir en aide… Cela devint une habitude que je l’aide à décharger sa voiture où que je lui rendre différents services comme changer une ampoule grillée, aller chercher son linge au pressing, tondre la pelouse de son petit carré de jardin… Bref, une foule de petites choses qui faisaient que je la côtoyais de plus en plus. Elle semblait apprécier l’aide que je lui apportais et discutait un peu avec moi de la pluie et du beau temps…

Je tombais alors éperdument amoureux d’elle, d’une façon intense et exclusive, je ne vivais que pour les petits moments que je passais avec elle. A mon avis, elle s’aperçut bien vite de mon amour mais elle ne fit rien pour me faire comprendre que je n’avais aucune chance, au contraire elle me demandait de plus en plus souvent des services… Je ne savais plus trop quoi penser, je n’osais me faire des idées mais d’un autre côté, j’avais envie de lui déclarer ma flamme. Elle finit par me confier un double de la clé de son appart pour que je puisse y faire le ménage quand elle n’était pas là. Elle ne me proposa même pas de me payer pour se service mais j’acceptais volontiers…

Entrer ainsi dans l’intimité de Nadia était pour moi un bonheur intense et je m’appliquais à ne pas la décevoir en tenant d’une main de maître la propreté de la maison de ma voisine. J’adorais par-dessus tout nettoyer ses affaires et particulièrement ses dessous… J’ai aussi trouvé dans une armoire quelques books de photos où elle posait pour de la lingerie. Je me suis astiqué plusieurs fois en les matant ! Ce manège a duré quelques mois. Au fil du temps, je sentais que Nadia s’habituait à ma présence et qu’elle appréciait les service que je lui fournissais. Désormais en plus du ménage, je lui faisais la cuisine, le repassage… J’étais devenu complètement soumis à ses moindres désirs. Notre relation pourtant n’évoluait pas vers plus d’intimité, elle gardait cette barrière entre nous qui me montrait bien que je devais rester à ma place… Elle me parlait souvent sèchement et me regardait toujours de façon hautaine…

L’été venant, elle s’habillait de façon de plus en plus légère et je ne pouvais m’empêcher de la regarder en coin… A plusieurs reprises, elle s’en aperçut et j’en fus extrêmement gêné. Pourtant, elle ne faisait rien pour se cacher, bien au contraire, il lui arrivait souvent de façon impudique de m’en montrer plus que la morale le voudrait…

Lorsque ces différents amants de passages venaient chez elle, je restais chez moi à me morfondre de jalousie. Mais que faire ? Lui avouer mon amour aurait été catastrophique et m’aurait sûrement coupé d’elle !

La situation changea un beau jour de Juillet : alors qu’assise dans une chaise longue à prendre le soleil, je la matais du coin de l’œil…

– Et bien Karim, que regardes-tu là ?
Surpris par sa remarque, je balbutiais :
– Heu… Ri… Rien…
– Comment ça rien ! Je vois bien que tu me regardes avec insistance…
– Excusez-moi Nadia.

Puis, alors que je m’attendais à ce qu’elle me dise quelque chose, elle garda le silence et continua à bronzer comme si de rien n’était ! Le lendemain soir, un homme vient passer la soirée avec elle, il était vingt trois heures quand elle me téléphona :

-Allo Karim ?
– Oui ?
– C’est Nadia, pourriez-vous me rendre un service ?
– Oui ?
– Pourriez-vous aller au distributeur de préservatif du coin pour m’en ramener ?
– Ou… Oui, oui !

Je m’empressais d’accéder à sa demande tout en étant extrêmement troublé par celle-ci !
Muni de la boite de capote, je sonnais chez elle : l’homme m’ouvrit, nu, il était hyper baraqué, au moins vingt centimètre de plus que moi et disposait d’un sexe qui me parut sur dimensionné ! Il se saisit de la boite et me referma la porte au nez en balbutiant un merci du bout des lèvres…
La journée suivante, je retrouvais les capotes remplies de sperme alors que je nettoyais la chambre de ma voisine. Celle-ci, en rentrant, me remercia pour le service de la veille.

– Merci beaucoup Karim, grâce à toi, j’ai passé une soirée merveilleuse…
– De rien…
Comme j’étais jaloux de l’homme, mon ton fut sûrement renfrogné, ce qui n’échappa à Nadia :
– Qui y a-t-il ? Cela vous a choqué que je vous demande ce service ?
– Je… Non… Non… Enfin…
– Ne me dites pas que vous êtes jaloux ?
Je manquais défaillir… Et elle rajouta :
– Oh mais je sais bien que vous me désirez ! Oui c’est cela, vous êtes jaloux de mon amant ! … Bon écoute, ne te berce pas d’illusion, je n’ai aucune attirance pour toi mais pour te remercier des nombreux services que tu me rends, je veux bien te récompenser…
Et elle tomba sa mince robe d’été, seul vêtement qu’elle portait !
Je devais sembler complètement idiot face à elle, les bras ballants, la bouche ouverte, tremblant de tous mes membres…
– Et bien mon ami, qu’attends-tu pour faire pareil que moi ?
Timidement, je tombais à mon tour mes habits, peu fier de ce que je lui présentais…Et ce que je craignais se produisit, elle éclatât de rire !
– Oh, oh mais mon pauvre ! C’est complètement ridicule ce que tu me montres là ! Je n’ai jamais vu un sexe d’homme aussi petit !
J’étais pétrifié mais la vue de son corps me faisait quand même bander !
– Et bien, si c’est sa taille maximale, je crois que ma récompense va s’arrêter à ce que tu te branles toi-même !

J’étais humilié mais excité, une étrange sensation qui, finalement, était loin de me déplaire… Elle me demanda de la lécher, ce que je fis avec application…

– Pff !!! Même ça, tu ne sais pas t’y prendre, me dit-elle… Allez, finis-toi et qu’on n’en parle plus, tu finis par me frustrer !
Je tentais de m’excuser :
– Je suis désolé, je ne demande qu’à apprendre…

– Mouais, ce n’est pas gagné… Bon écoute, pour aujourd’hui, tu vas te branler pour te calmer, mais demain, tu iras en ville m’acheter un gode de bonne taille dans un sex-shop. Avec ces chaleurs, j’ai des envies que tu ne peux satisfaire et mes amants sont soit en vacances, soit trop pris par le boulot dans la journée pour venir me sauter. Le seul homme que j’ai sous la main, si je peux appeler ça un homme, c’est toi, donc autant que tu te perfectionnes et apprennes à me donner du plaisir avec ta bouche !

C’est ainsi que je rentrais à son service aussi pour les choses du sexe mais notre relation, bien qu’ayant évolué, resta toujours la même : elle commandait et j’obéissais. Elle prenait un malin plaisir à me ridiculiser et à me soumettre et finalement j’adorais cela. Je pense qu’elle assouvissait avec moi un côté de sa personnalité qu’elle avait bien encré en elle, c’est-à-dire une personnalité de dominatrice.

Quand je m’y prenais mal, il arrivait qu’elle me corrige en me giflant… Plusieurs fois, elle me donna la fessée… Le seul plaisir qu’elle m’accordait était que je pouvais me masturber en sa présence. Sinon, pas de fellation et de caresses de sa part ; quant à lui faire l’amour, je n’y pensais même pas !
Elle m’appelait désormais « petite chienne » car elle trouvait que je la léchais de mieux en mieux !

J’eus droit (quand elle considéra que j’étais bien docile et soumis à sa personne) à être présent quand elle reçut un de ses amants. Je dus les servir et obéir au moindre de leur désir… Ainsi, je lubrifiais le trou de son cul de avant que son amant la sodomise !

Il avait lui aussi des tendances de dominateur et ne se privait pas de me donner des ordres et de me ridiculiser. Nadia l’encourageait en lui disant que j’aimais être traité de la sorte, ce qui n’est pas faux d’ailleurs !

Son baiseur devint son amant principal et il ne tarda pas à proposer de me rentrer par derrière… J’étais vierge à l’époque et cette idée me fit frémir mais, sous les ordres de Nadia, j’acceptai et y trouvai même un plaisir immense. Elle acheta donc un gode ceinture pour me prodiguer à son tour cet acte. Par la suite, je devins, à ses dires, une vraie petite pédale, me faisant enculer à chaque fois que son amant venait à la maison…C’est à cette époque là qu’elle me proposa de venir habiter chez elle ! J’acceptais avec joie, les larmes aux yeux… Elle et son amant ont alors eu l’idée de me féminiser, partant de l’idée que je n’avais aucune utilité en tant que mâle et vue que j’avais plutôt un comportement de femme. La transformation fut spectaculaire, c’est vrai qu’une fois habillé et maquillé, je ressemblais vraiment à une fille ! Cela nous plu à tous les trois et, peu à peu, je pris l’habitude de me vêtir et me comporter comme une nana…

Désirant me faire évoluer dans ma féminité, Nadia me fit prendre des hormones. Résultat, je perdis le peu de pilosité que j’avais et une petite poitrine poussa !

Un jour, elle cassa avec son amant et j’en fus désolé car il savait bien me troncher le derrière ! Elle eut de nombreux amants mais je n’eus droit de participer à aucun de ses ébats. Une année passa et mon physique continua à changer : j’étais devenu complètement femme… Rien dans mon physique ne pouvait donner l’impression que j’avais une verge entre les jambes… Même ma voix avait changé : elle était haut perchée ! J’étais devenu « transsexuelle » !

Et je le suis toujours ! Je vis toujours avec Nadia, on forme un drôle de couple tous les deux. On a des amants de passage, souvent heureux de baiser deux personnages aussi étranges que nous : la dominatrice hautaine et le mari soumis ! Je suis toujours aussi amoureux/amoureuse d’elle et je pense que, de son côté, depuis que je suis devenue (d’apparence) une jolie fille, ses sentiments envers moi ont évolué vers de l’amour.

FIN.

A propos de l'auteur

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