Ceci n’est pas une suite de « quand Margot devient chienne » mais une petite variation. Où l’on retrouve BHV et Anne dans l’antre médiéval.
C’est un petit supplément pour certains qui se reconnaîtrons…….. Bonne lecture.
– STOP !!!
Anne se pétrifia instantanément. Comme électrifiée. Bien sur elle avait reconnu ma voix, mais là, dans ce contexte, celle-ci prenait une tonalité différente. De plus elle ne m’avait pas vu et se demandait d’où elle lui provenait. Elle avait une idée de la direction, mais la soudaineté de mon intervention l’avait scotchée sur place.
Par contre moi, j ‘avais entendu ses pas hésitant descendre les escaliers de pierre. Je me doutais bien que c’était Anne. Sans doute même je le souhaitais.
Anne posait pour moi depuis déjà un bon moment et je la connaissais sous toutes les coutures. J’avais fait un nombre incalculable de photos et de toiles où, avec ou sans Margot, elle tenait une place importante. J’avais l’impression même de la connaître plus que physiquement. Il me semblait deviner quelques uns de ses désirs cachés. J’avais pu observer à plusieurs reprises, l’humidité entre ses cuisses selon les poses que je lui faisais prendre qui me laissait penser que la sage et timide Anne avait quelques pensées érotiques, voire lubrique, allez savoir.
– QUE VIENS-TU FAIRE ICI PETITE MALHEUREUSE?!!! Ne t’ais-je pas dit que cet endroit t’était interdit ? Que tu prenais un risque en franchissant cette porte ? Est-ce parce que Margot n’est plus là que tu te crois autorisée à venir dans mon antre ?
Anne ne bougeait toujours pas. Pas plus qu’elle n’ouvrait la bouche. Sans doute se disait-elle qu’elle avait fait une erreur en osant s’aventurer dans le fief de son mentor. C’est vrai que ça lui était interdit, mais depuis tout ce temps où elle en avait entendu parler, la tentation était trop forte. Le seul problème, c’est qu’elle pensait s’y retrouver seule.
– ALORS ?!! Tu ne dis rien ? Margot ne t’a rein dit ? Je te préviens, si tu entres davantage dans cette pièce, tu ne pourras plus faire marche arrière. Si tu fais un pas de plus, c’est ma volonté seule qui s’applique ici. Ne crois pas faire une petite visite d’un musée ou d’une salle de jeu. Tu as compris, un pas de plus et tu es à moi ?! Réfléchis bien avant. Ici il n’y a pas de bout d’essai et si ce n’est pas bon on s’en va. Attention !!
Anne ne bougeait toujours pas. Dans sa tête, la confusion régnait. C’était même un torrent qui dévalait tant les idées contradictoires se bousculaient. Elle en avait envie de franchir ce pas. Mais d’un autre côté la perspective d’un voyage sans retour l’effrayait. Et puis, bien sur elle savait ce qui se passait ici. Margot le lui avait raconté. Quand elle repensait aux récits de Margot, elle était vraiment excitée. Chaque fois elle finissait par se caresser et se donner du plaisir toute seule. Et là, c’était du concret. Les récits de son amie allaient devenir réalité. Il allait la prendre en main et lui imposer sa volonté. Mais n’était-ce pas ça qu’elle voulait justement ? Il est évident qu’il avait remarqué que certaines positions t’excitait et te faisait mouiller, ça n’avait pas pu lui échapper. Et puis elle ne pouvait se le nier à elle-même, il lui faisait envie. Elle avait été tellement contente lorsque Margot, pourtant son amie et qui l’est restée d’ailleurs, avait quitté le château définitivement. C’est bien pour ça qu’elle était descendue. Elle pensait être seule, mais le voulait-elle vraiment ?
Voilà, sa décision était prise, elle fit un pas en avant.
– STOP !!!
Une seconde fois, Anne fut pétrifiée. Elle termina son pas mais resta figée là où elle était. Je me doute qu’elle se demandait qu’est-ce qui m’arrivait encore. Elle avait pris sa décision alors pourquoi je la stoppais de nouveau ? J’avoue que je n’étais pas mécontent de l’effet produit.
– Je vois que tu as pris ta décision. A partir de cet instant tu fais tout ce que je te dis sous peine de punition. Je te le redis une dernière fois. Retournes immédiatement en arrière ou tu ne pourras plus le faire. Si tu décides de continuer malgré mes mises en garde je veux que tu retires tes sous-vêtements si tu en as. Ensuite tu avances.
Anne resta immobile quelques secondes supplémentaires. Je voyais bien que son cerveau bouillonnait encore à ce moment précis. Mais je ne pouvais plus intervenir, il fallait que cette ultime décision vienne d’elle. Je savais pertinemment que Margot avait bien dû lui raconter ses prouesses, elles étaient amies de longues dates. Aussi, si elle continuait c’était en pleine connaissance de cause.
Toujours sans un mot, Anne passa les mains sous sa petite robe, baissa son string et le quitta. Elle le laissa tomber négligemment près d’elle et commença à avancer dans la direction d’où elle avait entendu ma voix.
Dès lors, je m’avançais dans le peu de lumière que distillait l’éclairage indirect. Dès que Anne me vit, elle bifurqua dans ma direction et s’arrêta à deux mètres de moi. Elle me regarda dans les yeux une fraction de seconde puis baissa son regard. Je ne bougeais pas. Je ne disais rien. Je laissais monter la tension. Même si elle savait ce qui pouvait lui arriver dans ce lieu, il fallait encore qu’elle s’interroge. Qu’elle se demande ce que j’allais pouvoir bien faire d’elle. Allais-je l’attacher ? La suspendre ? La menotter ? La rudoyer ? Lui donner du martinet ou autre lanière ? Il me fallait créer cette tension pour que les plaisirs qui allaient venir soient décuplés. L’attente est le meilleur moment du plaisir. Je devais faire durer ce moment.
Anne eut un léger sursaut lorsque je me décidais à bouger. Je m’avançais vers elle, jusqu’à la frôler. Je fis le tour de son corps, doucement. Du dos de la main j’effleurais sa croupe tendue, crispée je devrais dire. Un frisson la parcourut jusque dans le cou remontant son échine. J’entendais sa respiration devenir plus rapide, je devinais les pulsations de son cœur aux battements de ses veines. Le crissement de mes ongles sur le tissu agaçait son épiderme qui se transformait en chair de poule. Je tournais toujours autour d’elle et mes doigts maintenant frôlaient sa hanche. De nouveaux frissons parcouraient son corps. Je me retrouvais de nouveau face à elle. Ses seins se soulevaient au rythme de sa respiration devenue plus saccadée. Les tétons tendaient le tissu. Et plus la respiration accélérait, plus le tissu frottait les seins et plus les tétons se tendaient. Avec le dos de la main encore, je caressais doucement son beau ventre plat que j’admirais tant lors des séances de pose. Encore un frisson. C’est pourtant vrai qu’elle est belle. Bien sur que j’en avais envie. Mais je la savais exclusive. Elle l’avait dit à Margot qui me l’avait répété. Je savais qu’elle ne voudrait pas être la doublure de son amie. Et surtout ne pas faire comme elle. Et là, maintenant, sous ma main, elle frissonnait à mes caresses. Je laissais descendre mon bras et frôlais à peine son mont de vénus. Puis tout en caressant sa hanche gauche, je me saisis d’un téton que je pressais entre le pouce et l’indexe tout en l’étirant. Je le laisse reprendre sa place et j’empaumais tout le sein tendrement, comme pour apaiser la petite douleur infligée une seconde auparavant.
Tu as les yeux fermés, la bouche entrouverte. Tu respires fort. Je me colle à toi, passe mes bras derrière toi et te saisis les fesses en te plaquant contre moi. Tu rouvres les yeux, surprise, juste au moment où je te prends la bouche dans un baiser violent, impératif. Tu m’acceptes en me donnant ta langue et nous mélangeons nos salives dans ce baiser qui devient chaud, torride, sensuel.
Lorsque nos lèvres se séparent, je te prends par la main et t’entraîne vers un autre coin de la pièce dont, je n’en doute pas, margot t’a sûrement déjà parlé.
Lorsque nous arrivons devant l’engin, tu écarquilles les yeux. Puis tu comprends à quoi cela sert en te souvenant des récits de ton amie. Je n’ai même pas besoin de te faire signe, tu viens docilement mettre ta tête dans le carcan comme une condamnée, ainsi que tes bras dans les encoches prévues à cet effet. Je referme la partie amovible sur toi en prenant garde de ne pas te blesser et je mets la clavette de fixation.
Je t’ai volontairement laissé ta robe. J’adore, du moins au début, te caresser par dessus le tissu. Je trouve ça follement érotique. Néanmoins la position que tu viens d’adopter a partiellement découvert tes jolies fesses. Ainsi coincée, tu ne peux me voir. Je ne te touche pas encore. Que peut-il se passer dans ta tête à cet instant ? C’est le premier moment vraiment important. Jusqu’à présent mes caresses étaient assez superficielles et tu pouvais éventuellement te sauver. Mais là, impossible. Tu es à ma merci petite Anne perverse ! Et tu te demandes ce qui va t’arriver désormais.
– Toujours décidée ?
– …
– ANNE! Toujours décidée.
– Oui bien sur. Et puis maintenant je n’ai plus le choix, non ?
– En effet. Mais je voulais te l’entendre dire.
Je me rapprochais de toi. Je remontais ta robe un peu plus sur ton dos afin de dégager complètement ton petit cul. Et il est joli ce petit cul. La peau est douce, satinée, ferme. Je te fais écarter un peu plus les jambes. Ta chatte m’apparaît, gonflée, humide. Je passe ma main.
– Mais dis moi ma petite salope, tu as l’air de trouver ça à ton goût on dirait. Vu comment tu mouilles, je pense qu’on ne va pas s’ennuyer tous les deux. Hein ma petite pute ?
– …
– Tu ne dis rien ? Tu es ma petite pute ou pas ? RÉPOND !
– Euh … Oui.
– OUI QUI ET OUI QUOI ???!!!
– Oui… Euh… Oui, Mmm, oui Maître ?
– Voilà ça c’est bien et oui quoi ?
– Oui Maître je suis votre petite pute.
– Et bien tu vois, on y arrive. Et qu’est-ce on leur fait au petite pute comme toi ?
– Je ne sais pas Maître.
– COMMENT TU NE SAIS PAS ! TU NE SAIS PAS CE QU’ON FAIT AUX PUTES ?!
J’arrêtais de te caresser les fesses pour te mettre une claque sur l’une d’elles. Cinglante sans être très prononcée. Mais en tout cas elle te prit au dépourvu, tu ne t’y attendais pas à celle-là.
– ET MAINTENANT, TU AS LA RÉPONSE À MA QUESTION ?
– Je crois oui, maître.
– Alors je t’écoute ma petite salope.
– Je crois qu’on les baise Maître.
– C’est ça, c’est exactement ça. Et c’est ce que je vais faire. Je vais te baiser comme tu le mérites. Tu as voulu entrer dans la pièce interdite et bien tu dois en accepter les conséquences. Mais avec ta chatte trempée, ça ne va pas te poser grand problème.
J’avais mes deux mains sur ses fesses et je les cajolais, je les caressais avec de temps à autre une petite claque qui provoquait un sursaut mais aussi un peu plus d’humidité entre ses cuisses. Je me rapprochais jusqu’à me coller à ton cul. Mes mains remontaient aussi puis glissaient sur les flancs et remontaient de nouveau mais cette fois, sous la robe et sur le ventre. Anne était parcourue de longs frissons successifs. Un gémissement s’échappa de sa bouche lorsque j’empoignais ses deux seins. Bien qu’encore habillé, elle devait sentir mon érection contre son cul. Je tirais à pleines mains sur ses seins raidis par le désir afin d’être bien plaqué contre elle. Puis je me retirais et me déshabillais promptement. Une petite claque sur la fesse en passant et je venais me présenter devant Anne, coincée dans son carcan, frustrée de ne pouvoir rien voir dans son dos.
– Vois dans quel état tu m’as mis petite salope. Tu vas devoir parfaire le travail pour que ma queue soit au maximum quand je vais te l’enfiler.
Disant cela, je te prends la tête et je viens te donner non pas un baiser mais un surplus de salive en précisant que c’est pour que tu me lubrifies bien la bite. Ensuite, tel que je le ferais de ta chatte, j’enfonce ma bite tendue dans ta bouche. Tu ne peux pratiquement pas bouger dans cet espace réduit, aussi c’est moi qui fait quelques va-et-vient en tenant ta tête entre mes mains. J’essaie de ne pas aller trop loin dans ta gorge pour que tu n’aies pas de haut le cœur, car ta position incommode n’arrangerait pas les choses.
Ta bouche et ta langue sont un pur délice. Tu me suces à merveille et ma queue ne tarde pas à me faire mal tant elle est raide. Je me retire tout doucement d’entre tes lèvres et un filet de bave reste accroché entre ta bouche et le bout de mon gland. Je remets ma queue à l’intérieur puis la ressorts. Il y a encore ce filet de bave mais cette fois tu reviens le chercher avec ta langue. Je me baisse pour te voler un baiser rapide et la queue bien raide, je vais derrière toi.
Je te sens fébrile, impatiente. Tu écartes tes jambes sans mon ordre, d’instinct. Ta chatte ruissèle déjà. Elle est gonflée d’envie. Tes grandes lèvres se sont ouvertes d’elles même. Je ne peux pas résister et je me mets à genoux derrière toi et je plonge ma langue dans ta chatte offerte. Mon Dieu que tu es bonne. Ce nectar est béni. C’est une pure merveille. Tu as le goût du miel. Je bois à ta source, c’est trop bon et ça m’excite. Mais toi aussi d’ailleurs car tu coules de plus en plus. Je bois ce jus, ce torrent de cyprine qui lubrifie ton antre sacré.
Une fois repu, je me relève. Ma queue est devenue presque violette tant je suis excité par ton cul, ta chatte, tout ton corps. Je pose mon gland au bord de ton trou glissant et c’est toi qui m’aspire au fond de tes entrailles. Je ressors presqu’entièrement et replonge aussitôt. Mon pubis cogne contre tes fesses, mes couilles battent dans le vide et je crois bien que ma bite a encore grossi. J’écarte tes fesses pour bien voir mon pieu entrer et sortir de ton vagin. Je sens que tu me serres. Tu me branles avec ton vagin. Tu m’aspires. Je sens le plaisir monter en moi. Pour cette première, je veux te posséder entièrement, je vais jouir dans toi. Cela scellera notre contrat virtuel. Je suis au bout de ma résistance. Je ne vais pas pouvoir tenir encore bien longtemps. De ton côté je t’entends gémir et haleter. Ton cœur cogne dans ta poitrine. Ton ventre ondule de ta respiration saccadée. Je tiens ta hanche d’une main, je claque tes fesses de l’autre au moment où un ultime coup de rein me fait éjaculer mon foutre au fond de ton ventre. Nous avons tous les deux en même temps un cri rauque venu du fond de nos gorges qui vient ponctuer l’orgasme qui nous secoue.
Je finis de me vider en toi et je m’affale sur ton dos que j’embrasse tendrement en caressant par en dessous, tes seins apaisés.
– Anne, tu es vraiment bonne. Tu as un goût de miel. Ta chatte est un délice. Je crois qu’on va bien s’entendre tous les deux ma petite salope. Finalement, ça t’a plu de faire ma petite pute, hein ?
– Oui mon Maître, j’ai aimé.
Je vais te délivrer et je te prends dans mes bras. Tu m’enlaces à ton tour en te calant langoureusement dans le creux de mon épaule. Tu serais une chatte je crois bien que je t’entendrais ronronner. Je t’entraîne vers le lit tout proche et on s’allonge, toujours enlacés. Nos bouches se cherchent puis se trouvent. Nos langues partent à la découverte de l’autre et tes mains aussi d’ailleurs. J’en sens une qui glisse sur mon ventre et qui inexorablement, se dirige vers ma queue ramollie. Tu t’en saisis et commence à me branler doucement. Puis tu masses mes couilles tendrement. Tu reviens sur ma bite qui te semble-t-il a repris un peu de vigueur. Alors tes lèvres quittent ma bouche et tu te tortilles afin de venir me prendre dans ta bouche et continuer ce que ta main avait commencé. Du moins c’est ce que je crois car en fait, c’est la caresse de tes cheveux que je sens sur mon sexe ragaillardi. Je vois ta tête bouger et la vague de ta crinière suit le mouvement et vient effleurer ma peau sur mes cuisses, mon ventre, jusque sur ma poitrine puis revient sur mon sexe. Pendant ce temps une main s’est emparée de mes testicules de nouveau gonflés d’envie. Elle malaxe doucement mes deux boules, descend parfois glisser un doigt entre mes fesses puis revient enserrer la base de ma queue ce qui à le don de me faire bander encore plus fort. C’est alors que je sens un souffle chaud sur mon gland. Anne descend sa bouche grande ouverte et semble m’avaler tout entier sans que je ne sente ses lèvres sur mon membre. Le manège se reproduit puis la bouche se referme. Je suis au fond de sa gorge.
A ce rythme là, je ne vais pas tenir longtemps, c’est sur, et pourtant j’ai d’autres projets. Je calme donc tes ardeurs et je te fais te lever en même temps que moi. A peine debout tu te remets dans mes bras en m’attrapant la queue. Je dois à nouveau te repousser et je t’entraîne vers le siège gynécologique qui se trouve tout près. Tu t’y installes rapidement sans que je te sollicite. Par contre c’est moi qui ferme les sangles sur tes poignets et tes chevilles. De nouveau tu m’es offerte.
Instantanément, devant ce spectacle de tes cuisses ouvertes, je reprends une érection de bête. Je te regarde. Que dis-je, je t’admire. Ton sexe béant coule déjà rien que sous mon regard. Je le vois palpiter au rythme de ta respiration qui s’emballe déjà un peu. Ton petit bouton d’amour sort. Il semble avoir une vie propre. Je m’approche et je souffle dessus. Il réagit. C’est incroyable comme tu es sensible. Tout ton sexe est gonflé. On sent le désir, il est palpable. Je vois bien que tu tentes d’avancer ton bassin. Je vois bien que tu appelles les caresses. Je n’ai pas les cheveux longs pour t’infliger le même supplice que tu m’as fait peu de temps auparavant, mais de nouveau je souffle en orientant ce jet invisible sur tes cuisses, puis dans le creux, puis enfin sur tes grandes lèvres toutes gonflées qui s’écartent sous la caresse de l’air pulsé. Je vois le rose de ta grotte qui tranche par rapport à ta peau légèrement basanée. Je ne peux plus résister et je plonge littéralement dans ton antre offert à ma lubricité.
Je suce ton clito. Je l’aspire. Je le tête. Je l’enroule dans ma langue. Je le lèche. Puis je replonge ma langue dans ton vagin. Au plus profond que je puisse. Toi tu gémis de plus en plus. Ton ventre ondule tant ta respiration s’est accélérée. Tu écartes tes cuisses autant que tu le peux. Tu avances toujours ton bassin au maximum. Je vois bien que tu voudrais avoir les mains libres. Tu as envie de te caresser, je le sais, de me caresser aussi, de me prendre la tête pour l’enfoncer dans ta chatte si tu le pouvais. C’est frustrant de ressentir toutes ces sensations et de ne pouvoir agir. D’être obligé de subir. Mais c’est comme ça que je te veux. J’ai passé mes mains sous tes fesses et je les soulève autant que possible pour mettre ma langue le plus au fond de tes entrailles. Moi aussi si je le pouvais, j’entrerai entièrement dans ton ventre. A ce moment, c’est la bestialité qui semble s’être emparé de nos deux corps. Nous sommes luisants et ruisselants de sueur.
Je me relève entre tes cuisses. Je te regarde. Tu as les yeux fermés et la bouche entrouverte. Mais te sentant observée, tu ouvres les yeux et tu me regardes aussi. C’est le moment que je choisis pour enfoncer ma bite dans ta chatte trempée de cyprine. Tu es étroite Anne et c’est bon. Je sens les parois de ton vagin me serrer au fur et à mesure que mon dard pénètre. Lorsque nos pubis se rencontrent et que mes couilles tapent ton cul, je m’arrête. Je suis en toi et je ne bouge plus. Je suis dur en toi qui me serre et je te regarde à nouveau. Tu rouvres les yeux aussi et nos regards se croisent. Nous ne parlons pas mais une volée de mots vient pourtant de passer d’un regard à l’autre. Ces mots là sont plus forts encore que ceux qu’on aurait pu prononcer. Je reprend mon va et vient et tu refermes les yeux.
– T’es bonne ma salope ! Tu l’aimes ma queue, hein cochonne ?
– Oh oui mon Maître, c’est trop bon mon Dieu, c’est trop bon.
Tout en te bourrant la chatte, je te pétris les seins. Je fais rouler les tétons entre mes doigts. Je tire dessus. Ils deviennent de plus en plus gros et de plus en plus longs aussi. Je passe ma main sur ton ventre, sur ton mont de vénus, puis sur tes cuisses. Après je passe mes bras sous tes cuisses et je t’att**** aux hanches pour mieux te tenir et m’enfoncer en toi. Mes coups de reins s’accélèrent. Je sens que je ne tiendrais plus très longtemps mais il me semble que ton orgasme arrive aussi. Je me contiens, ta respiration devient saccadée, ton bassin se soulève, ma bite va exploser, il faut que tu viennes maintenant, je n’en peux plus. Tu râles, tu gémis et tout d’un coup tu cries alors qu’un flot de cyprine m’arrose le bas ventre. C’est pour moi comme le signal d’une libération et je sors ma queue qui crache son venin sur ton ventre par jets chauds et gluants. J’atteins même tes seins et je te caresse avec mon foutre, partout, pour t’enduire de mon être. Toi tu coules toujours. La source semble intarissable. Je me baisse à nouveau entre tes cuisses et je bois le nectar divin qui s’en échappe.
Tu mets du temps à récupérer ta respiration normale. Ton ventre est encore secoué de spasmes. Ta chatte frémit toujours, entrouverte. Tu coules encore mais il me semble que ce n’est plus le même nectar qui s’échappe. Je bois. Mais oui, ma salope, tu urines par petits jets. Je retourne à la source, cette pluie d’or est trop bonne. Un jet plus fort m’asperge le visage, alors je colle ma bouche sur tes lèvres gonflées pour n’en pas perdre une goutte. Tu continues tes petits jets et j’avale ce champagne. C’est comme un élixir, c’est un philtre d’amour, il agit sur moi comme une potion magique, je bande à nouveau. Mais tu n’es pas en reste car un nouvel orgasme te cueille. Cette fois la cyprine se mêle à ton urine. Je recueille ce miel enivrant au fond de ma gorge. C’est un flot ininterrompu. Je peine à tout boire. Ton clito est énorme. Il est excité par mes caresses et sans doute aussi par ton orgasme. Je me relève et replonge ma queue turgescente dans ton vagin serré. Je m’agrippe à tes seins et je rentre et sors de ta chatte à grands coups de reins. Je suis déchainé. Ton urine m’a excité au plus haut point. Ma bite me fait mal tant elle est tendue de désir. Mais ce dernier est le plus fort et dans un dernier assaut, j’explose en toi. Je déverse mon foutre au fond de ta grotte et je laisse ma bite ramollir dans ton antre, serrée par tes muscles vaginaux. Je suis affalé sur ton corps, nos respirations se confondent. Je sens encore ton ventre onduler contre le mien. Je me retire.
Je viens à côté de toi. Tu es toujours ligotée à ce siège. Je t’embrasse tendrement. Mes mains parcourent ton corps. Je sens le sperme collant partout sur tes seins, ton ventre. Je lèche tes tétons qui s’érigent aussitôt. Ils sont vraiment réactifs ces petits dards. Je vais te laver mon ange, tu vas voir.
J’approche un marchepied et je grimpe dessus. Ainsi je domine ton corps. Tu me regardes un peu surprise. Je commence à t’uriner sur le ventre. Je dirige le jet sur ta chatte toujours frémissante, j’arrose aussi tes cuisses puis je reviens sur ton nombril, ton ventre encore et tes seins qui bandent de plus belle. Je ne sais pas maîtriser mon jet, aussi j’ai presque fini lorsque j’atteints ta bouche qui s’est spontanément ouverte pour accueillir les dernières gouttes. Je me mets à califourchon sur toi et je rentre mon sexe dans ta bouche. Tu le têtes. Tu le suces comme pour en faire sortir encore quelque chose et tu es prise d’un autre orgasme. Ton corps s’agite sous moi. Tes muscles se contractent et ta chatte coule de nouveau mais je ne suis plus en position pour te boire ma princesse.
Je te libère de mon sexe et je descends tout en restant sur toi et je te prends la bouche dans un long baiser qui exprime j’espère, tout l’amour que je ressens pour toi à ce moment.
Je viens à cet instant de prendre une décision. Nous jouerons encore au Maître et à sa soumise certes, car j’ai d’autres jouets à te faire découvrir Anne, et nous aimons ça tous les deux. Mais je veux faire de toi mon égale. Ma compagne. Mon amour.
Je te détache te ton siège de tortures. Douces tortures oui, mais tu ne pouvais réagir, coincées comme tu l’étais. Tu te frictionnes les poignets pour que la circulation du sang se refasse à nouveau régulière. Je fais de même avec tes chevilles puis je te prends dans mes bras pour t’aider à descendre. Une fois à terre, nos bouches se retrouvent, nos langues s’entremêlent. Nos corps enduits de nos fluides mélangés se collent et se soudent ensemble.
– Anne, je ne veux que toi dans ma vie désormais. Je t’aime !
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