Le temps passait. Les journées, les semaines passaient. Madame Lopes n’avait pas reproduit l’épisode des toilettes qui m’avait salement excité et voilà que je devenais peu à peu esclave de cette femme, de ses formes pleines et épanouies. De ses seins que je jugeais être du 110E au jugé, de son large fessier de méridionale. Ni elle ni moi n’avions reparlé de « l’incident »; mais elle comme moi savions à quoi nous en tenir à ce petit jeu. Durant une période il règnait une sorte de non-dit entre nous. Madame Lopès venait chaque mardi et vendredi après-midi et s’acquittait de son travail avec brio. En tant que femme de ménage elle prenait soin de toucher le moins possible à mes affaires mais elle m’avait ébranlé l’esprit. Je ne parvenais pas à me retirer du cerveau l’image de ses cuisses appétissantes dont elle se caressait le milieu et dont la cuvette devait supporter cette masse de chair bien conséquente. Le souvenir de ses seins aussi me hantait l’esprit; ces deux énormes mamelles qui avaient dû faire cèder plus d’un soutien-gorge, en même temps qu’un bon nombre de congénères masculins.
Depuis ce fameux moment des toilettes nous n’avions pas osé aborder ce sujet, du reste nous ne nous parlions presque plus en dehors d’aspect pratique. Je sentais que quelqu’un devait briser la glace et ainsi je décidais un après-midi de prendre les choses en main.
Je pris le prétexte de lui demander de récurrer la baignoire et je lui montrais d’infimes traces. Elle se pencha au dessus afin de mieux les apercevoir et je ne pouvais que remarquer le décolleté de sa gigantesque poitrine. Celui-çi était orné d’une croix ce qui renforçait encore davantage mon excitation.
-« Qu’est ce que tu regarde ?. Tu n’es pas censé de montrer la crasse de ta salle de bain? ».
Elle me dit cela en plantant son regard vers le mien ,puis se releva tout en se caressant les seins.
« …c’est ca que tu veux, hein mon saligaud ?!… Ils en ont connu des salauds ces deux-là !!!. Oui ils ont connu des salauds comme toi. Seulement, les toucher et en faire ce que tu veux ça se mérite, tu comprends?. C’est bien la peine que d’inventer des prétextes rien que pour me piner… »
A ce moment-là je ne contrôle plus rien. Je m’étais mentalement préparé d’inombrables fois afin de lui dire les bons mots, les bonnes phrases.
-« Je… ne sais pas… ne sais rien ».
Madame Lopes me fixa d’un air qui se voulait méprisant.
-« Ah tu ne sais pas toi?… Mais moi, oui moi… je sais ce que je veux. A l’instant là !!! ».
D’autorité elle retira ses chaussures avant de retirer son pantalon de travail, puis faire de même pour sa culotte. Elle s’installa à l’intérieur de la baignoire, debout, me tournant le dos ,avant de fléchir légèrement les jambes.
Elle me regarda par dessus son épaule.
-« Tu sais quoi?. Puisque tu n’es pas capable de te comporter comme un homme et de me dire ce que tu as vraiment envie de moi et bien tu seras ma lopette, faute de mieux ».
Là dessus elle se cambra encore davantage, écartant ses larges fesses et révélant une béance rose qui avait dû être bien utilisée…
-« Lèches moi ça!!!. Un jour tu m’as dis que tu aimais la propreté et bien voilà le moment pour faire tes preuves »…
Là dessus je m’installais dans la baignoire derrière elle puis m’allongeais. Mes mains prenaient le relai des siennes pour bien écarter cette raie large, odorante et très fortement marquée.
J’accomplissais ma basse besogne ,ce qui lui arracha des grognements de plaisirs sans frein aucun. Le moment était bestial et se déroulait dans une ambiance et des odeurs de fauve. Quelquefois madame Lopès accompagnait sa jouissance de pets sonores ,obscènes et je devais supporter les senteurs abominables qui parfumaient mon visage.
Au bout d’un moment elle se retourna, le regard toujours insatiable.
-« Après ça je suis sûr que tu as envie d’une bonne douche, hein ma lopette? »…
Et elle se plaça juste au dessus de moi toujours accroupi, ses larges cuisses arquées et appétissantes.
Et ce fut une douche très agréable.
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