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Chronique V – Par le Lapinblanc44

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ATTENTION : Les écrient qui peuvent découler des chroniques vont être un mélange de réalité et de mon invention, en espérant que vous vous retrouvez dans mes écrits.


Les photos introduit dans les chapitres ne sont qu’un emprunt, ils ne sont pas de moi.



Chapitre 11 : « La boulangère »



Nouvelle histoire, nouveau chapitre. Voilà quelques temps que je n’avais pas écrit de nouvelle histoire. Mais ce matin, en me levant de mon lit, j’avais en tête une ex qui rien cas penser à elle, à son regard ténébreux me faisait dresser mon sexe.



Pour ma famille, mes collègues et amies je désignais cette ex sous le pseudonyme de « La boulangère » tout simplement car, elle travaillait à l’époque dans une boulangerie.



Commençons par vous remettre un peu dans le contexte de notre rencontre. Dans la vie de tout les jours, je travaille auprès de malades polypathologiques et en dehors je m’occupe beaucoup de ma grand-mère (faire les courses, ménages etc…) un jour, elle et moi décidions d’aller faire des courses ensemble et sur le chemin du retour elle souhaitait un baguette de pain à la boulangerie à côté de chez elle. Ma grand-mère décida de rester dans la voiture le temps que j’aille prendre la baguette.

En entrant dans la boulangerie, je peux vous dire que j’ai eu un coup de foudre en voyant cette fameuse boulangère. Des cheveux noirs lisses, des yeux foncées ténébreux, habillée de manière un peu vintage avec des bas lui mettant en avant ses jambes ainsi qu’un tablier mettant en avant ses formes ni trop maigre, ni trop ronde juste ce qu’il fallait.
Cette première rencontre fut un vrai désastre…elle m’avait déjà déstabilisé, le simple fait de dire bonjour et passer ma commande, se résumait à des bégaiements.



Les semaines ont passées et j’allais de plus en plus à la boulangerie pour des broutilles une pâtisserie, une baguette de pain…la patron de la boulangerie c’était trouvé un bon client 🙂 Parfois, cela m’arrivait de juste ralentir pour l’apercevoir lorsque je n’avais pas le temps de m’arrêté. 
Je suis plutôt de nature réservé, ouvert mais en ce qui concerne les relations personnelles, je suis timide…il suffit qu’une fille m’intéresse pour n’importe qu’elle raison, je fais mettre énormément de temps pour lui proposer quelques choses.

C’est donc pour cela qu’avec la boulangère, j’ai également été très…long, mes collègues comparaient mes récits aux feu de l’amour tellement que je prenais mon temps.
Bref, effectivement les semaines ont passées ainsi que les mois. Au bout de pratiquement 10 mois, j’étais toujours à faire les courses avec ma grand-mère qui avait bien évidemment été mise au courant (elles sont toujours de bon conseils les mamies), nous nous rendions une nouvelle fois à la boulangerie, à chaque fois, je faisais le même sketch en voiture « Bon aujourd’hui, c’est là bonne, je l’invite » mais non, je n’ai pas réussi à lui décrocher une syllabe…En reprenant la voiture, ma grand-mère me sort une phrase genre « faudra se lancer un jour… » et je ne sais pas pourquoi, cela à fait clic en moi. J’ai fait demi tour, je suis de nouveau rentré dans la boulangerie. Elle me regarda avec de grand yeux en me demandant, si j’avais oublié quelques choses et l’interrompit en lui disant « Non non, je voulais savoir, si vous seriez disponible un soir ou en week-end pour aller boire un verre ? »

Ça réponse fut immédiate « Non merci » avec un petit sourire gêné…

De retour en voiture et pour le reste de la journée, j’étais blasé. Je n’avais pas essayé d’insister ou de savoir pourquoi.



Mais les évènements on prit une tournure plus ou moins différentes. Une semaine plus tard, je me connecte sur mon compte Facebook et dans la rubrique « retrouver des amis », je tombe sur sa collègue qui travail avec elle, une certaine Mélanie. Je lui ai écrit, en lui expliquant, qui j’étais, que j’avais voulu invité sa collègue et que j’espère n’avoir pas été impoli et je m’en suis arrêté là.
De nouveau, une semaine a passé et je reçois une réponse de cette Mélanie m’expliquant qu’au contraire, je n’avais pas été impoli, ni même indiscret, qu’elle en avait discuté entres elles a la boulangerie. Elle me précise, qu’elle m’a dit « non » directement car elle était sur son lieu de travail et qu’elle ne voulait pas être embêté par son employeur, qu’elle acceptait que je lui passe mon numéro de téléphone.
Puis, j’ai commencé à discuter avec la boulangère et appris son prénom « Chloé » 



Simplement des discutions par sms, pour apprendre à se connaitre. Puis elle accepta qu’on se rencontre un soir dans le bourg de la commune. Toujours aussi ravissante, elle aimait prendre soin d’elle. Petite balade pendant plusieurs heures, à parler du tous et de rien…puis je l’ai raccompagné chez elle. J’étais toujours sous le charme, car j’ai réussi à notre premier rendez-vous à mettre la voiture dans le fossé juste en bas de chez elle, en la raccompagnant. Soirée mémorable…



Après cette soirée, nous continuions de nous fréquenter puis nous sommes avons débuté notre relation, nous sortions ensemble. Pas la relation idyllique, elle finissait ses études et travaillaient à la boulangerie. Cela nous laissait quelques occasion pour nous voir, nos échanges étaient principalement par SMS, mais cela n’empêchait pas nos moments ensemble agréable. Elle était timide mais ouvert, nos échanges par sms pouvait être sérieux sur tous domaine mais également érotiques. Etant l’un de ses premiers copains, elle était novice dans se domaine mais elle avait le mérite d’essayer et c’était mignon.



Passons du virtuel à la réalité. Lors d’un de mes jours de repos, Chloé souhaitait que je passe la voir à la pose de son établissement car la matinée avait été éreintante. Nous sommes parties, nous balader à côté des bâtiments, il y a un parc ainsi que plusieurs stades de sport. Nous suivions un chemin, sans trop savoir ou nous allions mais, nous trouvions une petite guérite abandonnée pour nous installer, s’enlacer, s’embrasser. Nous y reviendrons régulièrement, pour des petits moments à nous et comme je vous le disais, Chloé avait le mérite d’essayer, malgré sa timidité, elle essayait de surmonter sa peur pour me faire plaisir. Dans nos échanges érotiques parfois, nous imaginions des scénarios et justement, elle essayait parfois, dans cette petite guérite.



(Je suis beaucoup de le détail dans mes histoires, peut-être un peu trop. Je me dis que l’immersion est le meilleur fantasme, n’hésiter pas à me le dire)

Dans cette petite guérite, nous étions debout, pas de banc pour s’assoir, pas grave, nous aimions être enlacer l’un contre l’autre. Et lors de nos embrassades, j’ai senti qu’un jour, elle me caressait sur mon pantalon. Je n’ai pas besoin de vous le dire, mais mon sexe était déjà dur bien avant cela.

Pas de blabla et nous en parlions pas sur le moment, par sms le soir, je ne voulais pas qu’elle soit gêné.
Elle me caressait, n’osait pas me regarder, se mordait quelques fois la lèvre en se blottissant la tête contre mon torse.

Lorsque nous y revenions, nous continuons à nous enlacer puis, nos caresses s’intensifiait, moi je lui caressais les fesses, bien fermes, ronde et douce, un vrai délice. Tandis qu’elle me caressait toujours à l’extérieur du pantalon ou bien le torse, sous le t-shirt.

Cela continuait à chacune de nos rencontres au même endroit. Pour ma part, toujours sur ses fesses mais également son entre-jambes au travers de sa culotte, car elle est souvent en robe.
Chloé, me sorta la bite un jour, la prit dans un main pour me branler en m’embrassant. Les fois ou nos lèvres n’étaient pas collé, c’était pour regarder mon sexe qu’elle tenait, qu’elle branlait. 

Pour ma part, elle ne souhaitait pas que j’aille plus loin pour le moment avec elle, que mes mains reste en dehors de ses vêtements, elle me disait, ne pas encore se sentir prête. Ce que je pouvais comprendre.

Pendant une certaine période, nous sommes rester à la masturbation, quelques fois, nous parlions de fellation ou qu’on se retrouve l’un chez l’autre pour être dans un contexte un peu plus intime, mais cela resta comme cela pour le moment.

Nos premiers disputes sont venu certainement de là, moi qui aurait aimé passer plus de temps avec elle, qu’au moment des pauses repas.

Nous avions réussi à se voir, une fois chez elle toujours lors d’une pause repas pendant son travail à la boulangerie, comme elle y habitait à côté. Entré dans son appartement et nous étions parti à nous embrasser, sans nous parler, à être allongé sur son canapé. Elle me leva et retira mon t-shirt pour me caresse, tandis que je profitais de ses fesses cambrer sur moi.
Elle prit d’elle même l’initiative, de descendre, me déboutonner et me déballer le pantalon et le slip pour retrouver mon sexe. Aucune hésitation, elle me goba, le gland, peut-être que cela faisait longtemps qu’elle souhaitait me faire une fellation. C’était très agréable mais ne souhaitait pas que je la regard, alors elle cachait son visage avec ses cheveux.
Lorsqu’elle revient à moi, pour m’embrasser, j’ai voulu également prendre la même initiative, nous changions de position et lui libéra les seins pour les embrasser. Mais lorsque je voulu descendre, pour lui faire un cuni, elle m’arrêta. Me disant, ne pas être prête pour aller plus loin.
Elle acceptait toutefois les caresses a travers sa petite culotte, qui était facilement trempé et me laissait entrevoir les lèvres de son sexe.

Malheureusement, nous avons reprit nos habitudes de la petite guérite ou cette fois, elle se donnait à coeur joie de me faire des fellations.

Je ne vais pouvoir vous détaillez, plus de moment avec Chloé la boulangère, car notre relation à finalement coupé court. Mais, je réussi à trouvé un gif, on dirait son sosie.

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