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cocu le premier jour de l’année

cocu le premier jour de l’année



Notre réveillon en Creuse ne devait pas être plus animé que de coutume. J’avais décidé Josie de finir l’année avec mon meilleur pote, une soirée à évoquer des souvenirs de trente ans …
Plusieurs fois Denis m’avait fait part du peu d’entrain que Jo manifestait au lit, il la trompe régulièrement, mais ce 31 décembre, il me confie ne pas avoir éjaculé tout le mois. Toute l’après midi, nous nous livrons : pratiques sexuelles, fantasmes, je lui avoue que j’aimerais tellement voir Josie se faire baiser ! On rit et on boit tout en préparant le repas entre mecs.
La soirée passe très vite autour de nos bons petits plats, l’alcool coule à flot, trop pour Jo qui s’écroule sur la table à peine minuit passé. Qu’importe, nous finirons de festoyer à trois … mais les heures passent et Josie lance : « je vais me coucher, vous n’êtes pas drôles, vous ressasser toujours les mêmes souvenirs ! »
Denis lui lance : « et si on jouait à colin maillard ? »
La règle est ancestrale mais simple, les yeux bandé, un concurrent doit reconnaitre ceux qui sont en face de lui ou d’elle, en touchant avec la bouche ou les mains toutes parties du corps de ceux qui lui font face !
Génial s’écrit Josie, je commence, ce qui nous fait beaucoup rire, si j’avais débuté, je n’aurais pas eu de mal à faire la différence entre les deux autres belligérants. Dernier point du règlement, à chaque erreur un gage.
Première épreuve, elle doit reconnaitre les pieds … pas si évident puisque Josie se plante, premier gaga : quitter un vêtement propose Denis
… Josie retire ses chaussures, nous sommes à égalité pour avoir au préalable quitté les notres pour les besoins du jeu.
Deuxième épreuve, à qui est le téton avec la bouche ? La salope se plante encore, pourtant elle a bien pris son temps, enroulant sa langue autour de nos mamelons, à toi, à moi, je ne suis pas sûre je recommence … C’est pas possible, je suis persuadé qu’elle l’a fait exprès, le résultat est que les deux mecs sont torse nu, Denis ayant du mal à masquer une grosse bosse dans son pantalon … Josie étant obligée de retirer un habit commence à dégrapher sa jupe, je propose d’arrêter le jeu … Josie n’a pas de sous-vêtements, je l’ai regardé se préparer et j’ai bien apprécié sur l’instant, mais là je réalise qu’elle va se retrouver la chatte à l’air devant mon meilleur ami et je panique un peu …
Denis nous ressert du champagne, ma belle vide sa coupe d’un trait et enchaine, sa jupe glisse sur ses dimup, laissant apparaître ses jambes fines et son pubis rasé… ne quittant pas mon pote des yeux, je le vois rougir, il est écarlate, au bord de l’asphyxie … Josie lance alors : »c’est quoi la prochaine épreuve ? » Denis lui répond : « tu saurais reconnaitre le sexe de Roger sans les mains ? »
Présentez-moi vos petites bites et je vous dirait ! »
Denis est le plus prompt à baisser son pantalon, son sexe me semble énorme, mais quand à mon tour je me met cul nu, ma bite parrait tout aussi surdimensionnée, je n’ai pas souvenir d’une telle excitation.
La salope s’est agenouillée, elle attend que nous avancions, ce que fait mon ami ; sans doute guidée par l’odeur du sexe, josie pose ses lèvres sur le gland, puis met en bouche le superbe présent, juste quelques va-et-vient, puis elle se tourne vers moi et répète sa prestation … elle dit hésiter et demande à recommencer le test, Denis ne se fait pas prier et lui laisse à peine finir sa phrase que sa bouche est de nouveau pleine … après mavoir bien sucé elle affirme : »celle là, ce n’est pas celle de mon homme » cette nième erreur lui coûte son chemisier, elle prend son temps pour le déboutonner, consciente que si elle a les yeux bandés, nous ne perdrons pas une miette du spectacle, elle dévoile enfin sa poitrine gonflée de désir, ses bouts se sont allongés trahissant son excitation … j’empoigne mon appareil photo et immortalise l’instant : Josie nue, ou presque puisqu’elle a encore ses dimup, mon pote planté devant elle avec une gaule d’enfer et Jo toujours affalée sur la table !
Denis prend Josie par les épaules et la pousse vers sa chambre, je les suis avec mon appareil photo, ils s’allongent, elle d’abord, écartant rapidement les cuisses, ses lèvres sont écartées et luisent d’une envie qu’elle ne peut pas renier. Au premier coup de reins de mon pote, elle laisse échapper un gémissement, sa queue s’ est déjà introduite toute entière … je photographie encore et encore, ça y est, je suis cocu ! À travers le bandeau, elle entrevoit les éclairs du flash, à chaque cliché je devine qu’elle se raidit, ses chairs intérieures enserrant son membre viril, comme pour mieux s’en familiariser ! Je les photographie sous tous les angles … Elle est abandonnée sur le dos, ses bras en arrière pour s’agripper au barreaux du lit, ses jambes enroulées autour de la taille de son amant qui la baises sans capote, sa chatte déborde de foutre et de mouille, je m’en réjouis et capture ces instants juteux, ses couilles se sont vidées une première fois et viennent taper entre les fesses de ma salope ! Elles claquent, je clique, Josie n’en peut plus de ces coups de flash, en un mouvement elle retourne son partenaire qui se retrouve dominé, elle le chevauche et, d’un geste arrache le bandeau, ses yeux clairs illuminés de plaisir se perdent un instant dans
les siens … son érection devient douloureuse, il aimerai ssûrement la prolonger sans éjaculer mais quand Josie se redresse encore, cambrant le dos pour bien profiter de toute la longueur de la queue, ses seins dressés et ses aréoles hérissées de chair de poule, c’est un deuxième flot de sperme qui l’innonde ! Elle continue de se déhancher le corps toujours plus en arrière, ses mains accrochées aux genoux de Denis, sa vulve grande ouverte lui dévoile son clitoris, il a alors un regain de virilité … reprend le commandement des opérations, en s’extirpant de l’emprise de Josie, il la met en position et lui fait comprendre que la suite sera une levrette, elle obéit se mmettant à quatre pattes, les fesses bien écartées ! Ce n’est peut être pas la chatte qu’elle veut se faire pénétrer, d’ailleurs sa main enserrant le pénis le guide vers un tout autre orifice … je suis comme paralysé, elle m’a toujours refusé cette entrée et cette salope va se faire enculer devant moi … j’abandonne mon appareil photo, l’excitation est trop forte quand, dans un cri, il lui dépucelle le cul facilité par le sperme et la cyprine qui s’étaient écoulés de leurs organes … je me masturbe frénétiquement, je me rapproche de la bouche entrouverte de ma belle qui avale mon gland et je jouis en elle en même temps que mon cocufieur .. nos trois corps s’affalent sur le lit, les draps sont maculés d’auréoles …Mon esprit est encore tellement occupé de cette véritable orgie que je ne t’ai pas vu t’en aller, j’aurais tellement aimé te remercier …

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