Histoire de sexe fétiche Histoires de sexe en groupe

Un doux rêve 2

Un doux rêve 2



Le lendemain matin, j’étais toute ragaillardie.
Je passais rapidement un déshabillé et m’assis à la grande table devant mon petit déjeuner. Cochon était affairé à la cuisine entre vaisselle et je ne sais quoi encore. Il s’agenouilla pour me saluer silencieusement du bout des lèvres sur mes chevilles et me servi mon café.

La maison résonnait de toutes ces préparations et je le sentais stressé.
Je décidais de prendre l’air pour cette belle fin de matinée.
Cochon m’agrafa mon soutien gorge et agrafa mes bas aux 6 jarretelles. Ses mains tremblaient et je m’en amusais.
C’était quasiment le seul moment de la journée pendant lequel il pouvait m’approcher alors que j’étais quasiment nue. (Lorsqu’il rendait hommage à mon Clitoris, je passais généralement une chemise de nuit et sa tête était enfouie dessous, s’imprégnant de mes odeurs intimes.) Il finissait à genoux à essayer de se concentrer sur mes jarretelles (avec ses gants jetables, ce n’était pas facile !)
J’étais debout devant lui et m’amusais à tortiller des hanches et frotter malencontreusement son visage rougi de désir.

Il y avait des années de cela, Cochon avait été mon mari. Il n’était plus que mon homminal de compagnie aujourd’hui. J’avais opéré une renaissance jouissive mais lui était resté ancré là. Son désir de mon corps ne le quittait plus. Mieux encore, toute Femme qu’il apercevait dans la rue, à la télé, tout parfum, tout bruit de talon sur la chaussée, l’excitait comme un jeune chien.
Il souffrait de cela mais avait découvert la dévotion et le sacrifice en retour. Ses mains tremblaient de désir mais aussi de bonheur d’être là à mes côtés.

Une fois habillée, il m’aida à enfiler une paire de bottes et mon manteau d’hiver. Je me promenais prendre le soleil dans le quartier pendant qu’il faisait tout reluire.
J’étais songeuse à propos de Cochon. Noémie m’avait plusieurs fois poussé à m’en séparer. Elle le trouvait trop vieux, trop fatigué. Je lui rétorquai que j’étais attachée à sa présence, son caractère, son odeur même oui. Noémie avait ri et m’avais moquée. J’avouais que sa langue servile connaissait mes envies sans que je donne mes instructions, qu’il savait tenir une maison et qu’il obéissait maintenant assez bien.

Certes une ou deux corrections mensuelles, comme le répétait ma vétérinaire, étaient toujours bénéfiques pour assoir mon autorité.

Noémie, elle, ne s’était pas embarrassée.
Son dernier homminal (qui était également son mari avant l’établissement de la nouvelle Gynarchie ‘Féminité et Plaisir’ il y a une dizaine d’année) avait pris de l’exéma, puis ensuite une toux bronchitique. Elle n’avait pas hésité, elle l’avait emmené chez la vétérinaire pour le faire piquer. Son nouvel homminal (elle en possède deux) est beaucoup plus jeune et de la nouvelle Education.
Noémie bien que du même âge que moi, avait toujours été friande des nouvelles tendances.
Pour les homminaux de compagnie, elle s’était bien renseignée. Elle m’avait expliqué les nouveaux homminaux étaient pris en charge dès l’enfance, voir la naissance pour les plus jeunes. Leurs malheureuses mères s’en débarrassaient volontiers quand elles avaient déjà un homminal à tout faire à la maison.

L’état les élevait dans des écoles séparées des Filles bien sûr. Ceux-ci ne recevaient qu’une scolarité leur permettant de savoir compter, comprendre un texte, voir le retranscrire par écrit. Il est toujours utile de pouvoir suivre une recette de cuisine, lire la liste des commissions. L’essentiel de la formation se basait sur les travaux manuels du bâtiment mais aussi de la couture, du tricot, du repassage bien sûr. Les plus inaptes se voyaient dirigés vers les emplois simples mais très utiles de porteurs, portiers, portes parapluies, nettoyeur public de chaussures, Ces jeunes homminaux étaient directement castrés dès leur orientation. C’était plus simple à gérer, ils étaient moins revêches.
Puis pour ceux qui savaient comprendre un texte type notice d’emploi d’un fer vapeur ou repasser un chemisier satin sans faux plis, l’école les dirigeait vers une section d’éducation sexuelle.
Des vidéos et des mannequins leur expliquaient le B A BA du plaisir féminin, étudiaient le Clitoris, les seins, l’anus chez la Femme. Noémie m’avait aussi expliqué que leur sexe était inséré à l’intérieur d’automates pendant que leur langue devait provoquer un orgasme sur un simulateur. Dans ce cas ils étaient masturbés (attention quelques va et vient seulement), sinon leur bite recevait une décharge électrique.

Pour ceux qui avaient été pris en charge dès la petite enfance, le traitement était différent mais le but recherché était le même : donner du plaisir.
Leur bite, insérée dans une cage minuscule pendant toute leur tendre enfance, gardait à l’âge de jeunes adultes, la taille ridicule d’un enfant de 3 ans. Mieux, m’expliquait Noémie avec des yeux brillants : leur petit instinct bestial avait oublié comment bander. Leur petit sexe qui pour certains pouvaient se confondre avec un clitoris, en oubliant la paire de couilles gonflée dans son anneau, mouillait abondamment lorsqu’on leur montrait un sexe de femme ou un escarpin sous le nez. Le sexe restait flasque et inerte. L’excitation était à l’intérieur : pour ceux là, un simple massage de la prostate et leur sperme dégoulinait par flot de la petite zigounette et coulait lentement le long de leurs couilles.
Noémie, avec son tout nouveau jeune homminal, prenait un pied fou. Sa langue était infatigable et agile.. Il fallait même le restreindre à léchouiller ses pieds et ses jambes. Pour avoir un peu de tranquillité, elle avait du acheter une cage pour l’enfermer quelques heures par jour. Côté tenue maison, je doute qu’un jeune homminal de 16 ans atteigne les talents de mon Cochon. Il faut voir comme le mien lave et range ma lingerie dans mes tiroirs.

Non, je vais réfléchir encore un peu pour Cochon.
Noémie me prêtera peut-être son jeune caniche pour cette chaude soirée qui s’annonce, je suis certaine qu’elle les aura emmenés dans son coffre de voiture.

Noémie et ses surprises…

Lorsque je rentrais finalement, l’après midi touchait à sa fin.
Je n’étais finalement pas rentrée pour déjeuner, mais étais allé au restaurant avec le joli serveur au cul bien rond (voir épisode précédent). Un de ses jours, il faudra je le fasse passer sous ma table. Je connais sa patronne.
Cochon n’avait pas encore débarrassé mon assiette propre. Je lui tirais l’oreille et lui tordais les couilles à travers sa culotte pour ce manque de rigueur. Mes semelles de bottes étaient sales et pour éviter de salir à nouveau la maison, il se précipita à mes pieds pour me déchausser et les nettoyer illico.
Quel homminal, quand même !

Malgré le bruit que faisait mon homminal avec ses casseroles dans la cuisine, je parvenais à écouter les ‘Suites pour violoncelle de Bach’, un verre de martini à la main. J’avais passé ma nouvelle robe et j’étais satisfaite du rendu avec ma paire de bottes.

La sonnerie retentit.
J’entendis les mules de Cochon se précipiter pour ouvrir la porte d’entrée. Il avait du mal à marcher avec ses hauts talons fin, mais il avait fière allure avec sa culotte qui lui remontait haut sur les hanches. Je lui avais fait 2 couettes avec des élastiques assortis dans ses cheveux que je n’avais pas eu le temps de tondre.

Noémie était là, resplendissante. Nous avions le même âge (la cinquantaine assumée) et la même corpulence. Des courbes et des bonnets E bien remplis (comme elle aimait plaisanter). Ses nouvelles bottines vertigineuses en cuir vernies (que Cochon léchaient en guise de respect) étaient assorties à sa robe de pute (comme elle l’avait appelée) : vinyle noir moulant qui plissait sur ses hanches et son ventre généreux, remontant à mi cuisse, décolleté plongeant sur ses mamelons blancs compressés dans un soutien gorge du même vinyle. Sa chevelure brune coupée au carré (elle sortait de sa visagiste), ses yeux noirs : une diablesse conquérante.
Une Noémie en pleine forme.
Nous nous serrâmes dans les bras, tournant sur nous même en plaisantant, pendant que ses deux homminaux, excités par mes bottes en cuir laqué, léchaient mes semelles en guise de salut.

Nous étions autour de la table de salon. Cochon nous avait resservi un martini chacune. Ses petits compagnons avaient reçu instruction d’enlever leur legging blanc (seule tenue extérieure autorisée pour eux) et se tenaient nus à ses pieds.
Nous discutions des dernières directives de la Gynarchie et des conséquences sur l’évolution de notre vie. Je baissais les yeux sur le nouveau jeune homminal de Noémie qui changeait de position. De la pointe de ma botte, je levais le menton du jeune chiot :

‘Alors, c’est ça ta nouvelle acquisition ? Voyons ça !’
‘Oui, c’est M456. Il est encore à contrôler, je ne sors jamais sans mon tazzer et ma cravache, mais il promet. Il s’entend assez bien avec ’B65’ malgré la différence d’âge’
‘Regardes un peu ça’ De la pointe de son talon, elle appuyait sur une paire de couille bien rebondie, ‘des grosses couilles et une petite bite de souris, c’est comme ça les nouveaux modèles’

Je regardais, estomaquée : la cage du chiot effectivement était minuscule. On discernait un gland au fond d’une cage d’à peine 2 cm de longueur (signe de la prise en charge d’une bonne Education avant la puberté), tandis que les couilles encerclaient quasiment la cage sur les côtés. Le petit était bien musclé, ses pectoraux et ses avant bras témoignaient de longs moments passés à 4 pattes. Il portait un lourd collier, signe de son éducation récente. Il était très affectueux, comme me l’avait confié Noémie avec un clin d’œil. Sa langue ne quittait pas la semelle de ses bottines brillantes. Une langue démesurée, conforme aux modifications chirurgicales opérées dès l’enfance des jeunes mâles.
Je sentais mon petit string coller dans ma fente humide.
Noémie me fit un clin d’œil.

‘Toi, tu vas me le voler !’

Nous éclatâmes de rire en repoussant le chiot de nos chaussures, ce qui apparemment l’excitait encore plus.

‘Tu sais, mon Cochon a le béguin pour toi’ je l’ai vu de ses petits regards sur ta robe de pute.
‘Ah oui ?’
‘Heureusement que je viens de lui dire de changer sa serviette hygiénique, il doit mouiller comme une pucelle devant son nouveau plug !’

Eclats de rire.

‘Alors Cochon, ça te démanges ?’

Noémie, se tournant vers moi avec un grand sourire : ‘Alors, il est plein de combien ?’
‘Depuis le 15’
‘le 15 septembre ??
‘Août !’
‘Août ???? Ma salope !
‘C’est comme ça que je le préfère. Si je lui mets un doigt dans le cul, tu peux être certaine qu’il explose.
‘Hum ! Tu aimes vivre dangereusement mon Angèle ! Tu n’as pas peur qu’il craque. Je ne sais pas qu’il te griffe ou se mette à pisser partout, arracher les plantes ??
‘C’est déjà arrivé, ma belle ! Il m’a coincée contre un mur et a simulé une enculade en pressant sa cage contre ma culotte, un soir dans ma chambre, ses mains sur mon porte jarretelle’
‘Incroyable ! Qu’est ce qu’il lui a pris ? Il s’est cru à nouveau un Homme !’
‘Tu parles, au bout de 10secondes, il s’est écroulé à mes genoux en pleurant sur mes bas ‘pitié, pitié’. Je lui ai écrasé ses couilles pleines dans mon poing et je l’ai trainé à reculons dans le cagibi à poubelles. Il y a pleurniché 3 nuits et 3 jours sans boire. Quand je l’ai sorti de là, je l’ai fouetté au sang. J’ai même du changer mon tapis ! Et crois moi, avec la punition qu’il a reçue, même un homminal ne peut pas l’oublier. 300 coups de fouets en 3 jours, minerve pendant 30 jours et abstinence supplémentaire de 6 mois.’
‘Waouh ! Et alors ?
‘Ca fait 2 ans, depuis c’est 1 vidange par trimestre au maximum. 4 fois par an grand maxi. Ca me prends 4 fois 10 secondes en général.’
‘Hum ça m’a mis en appétit toute cette histoire. Tu me le prêtes pour le repas ? B65 fera le service. Lui, c’est le bon pépère avec sa giclée tous les 28 jours’
‘Et le chiot, vient me renifler alors ?’
‘Allez ça marche ! A table alors ?’

Noémie s’était levée brusquement.
Je fis de même ‘Cochon, viens sous la table tout de suite !’

Un coup de la bottine de Noémie vint réveiller la truffe de du B65 ‘Toi tu lèves ton gros cul et tu fais le service à la place de Cochon, sinon je te lasse à la SPH*!’

(* SPH Société Protectrice des Homminaux, bien sûr)

Le repas avait été agréable.
Nous nous étions mises côte à côte avec Noémie et son vieux mari B65 nous servait le repas préparé par Cochon.
Je ne vis de lui que sa tête enfouie entre les cuisses de ma voisine. Sa robe moulante lui remontait jusqu’en haut des cuisses. Noémie appréciait pleinement les grands coups de langues particuliers de Cochon. Pour ma part, le chiot de Noémie était très actif sur mon bouton d’or la tête enfouie sous ma robe, ou sur mes cuisses ou mes bottes.
Je le repoussais régulièrement de mon abricot pour ne pas fondre trop vite. On avait allumé la télé et regardions un vieux film de la planète des singes.
Ce thème nous excitait toutes les deux : un homme se retrouvait au milieu de singes qui dominaient les hommes en les traitants comme des animaux. Le héros découvrait la situation et voulait se révolter, mais se retrouvait avec un collier derrière des barreaux.
Classique mais relaxant.

Nous étions là, heureuses, avachies cuisses écartées sur nos chaises. B65 derrière nous immobile remplissait régulièrement nos verres d’un bon petit vin blanc, quand la sonnette de la porte retentit.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire