Mes vacances en camping-car étaient terminées…
Le mois de juin avait bien commencé, les têtes étaient tournées vers les bleus.
Je regarde parfois le foot avec Romain, d’un œil, il est vrai que certains matches m’attirent plus que d’autres tant le jeu est actif, et le temps passe à une vitesse…
Certains comptent en bières par heure, mais il est vrai qu’à un certain niveau, on ne s’ennuie pas, et même le suspens nous emporte jusqu’au coup de sifflet final…
Et s’il y a prolongation et tirs au but, alors là attention aux cardiaques…
Lorsque Romain n’est pas là, je ne mets pas souvent la télé, préférant d’autres évasions.
Mais ce jour-là, je croise une voisine, qui revient du centre-ville…
– Bonsoir… Marika je crois ?
– Oui, et vous Mandie, c’est cela ?
– Oui, la maison au 345 un peu plus haut.
– Vous aviez sonné chez moi lors de votre arrivée, pour être certaine d’être dans le bon lotissement.
– Et voilà, après 6 mois, nous avons acheté la maison, fait quelques aménagements, et établi notre quotidien. Phil, mon mari s’est installé un peu plus bas depuis hier, il est kiné…
– Oh, c’est super ça, un kiné un peu osthéo ?
– Exact, mais pour les amis et amies seulement, il n’a pas le droit… Mais je vous assure qu’il est doué. Et vous ?
– Oh je sais faire plein de choses avec les mains et les doigts, mais…
– Je ne voulais pas !… Oh, je mets toujours les pieds dans le plat… Excusez-moi…
– Non, j’aime plaisanter, on a besoin de rire et chaque occasion…
– Oui, c’est vrai, je m’excuse tout de même…
Sa chevelure blonde, bouclée, poitrine assumée, pantalon moulant, la cinquantaine je dirais…
Elle parle de son installation de ses enfants installés sur Paris, de ses besoins de soleil qui les ont décidés à changer de cadre… Donc elle ne connaît encore personne, juste les relations de son époux…
– Mon mari a invité quelques nouveaux amis, pour le matche de ce soir, si vous aimez le foot, ou pas d’ailleurs, car j’aurais un prétexte pour te garder avec moi…
– Oh… C’est gentil… Je suis seule ce soir, bien pourquoi pas si c’est entre amis, et décontracté !
– Et même plus, si tu aimes te divertir entre adultes, nos amis sont très virils, mais pas très sages, comme le mien. Les femmes c’est échelonné et varié, on va dire pour tous les goûts…
– Oh, je vois de plus en plus, j’en ai l’eau à la bouche…
– Je pensais t’avoir bien jugée. Active, aimant la vie, l’amour, les hommes, le sexe…
– C’est vrai que depuis mon divorce et ma retraite, c’est un peu comme une bouée…
– Miam, j’ai mon diplôme de maître-nageur… Alors viens comme tu es, je ne cuisine pas, tout est neuf chez moi, enfin… (sourire)… Et puis devant la télé, bières, chips, je vais prendre quelques petits fours, des douceurs, des glaces, etc…
– Je peux participer ?
– Absolument pas, je te dois un service…
– Oh ! Je vous ai mis sur le bon chemin…
– Et bien dans ces moments, c’est crucial… A ce soir Marika… sans rien, n’oublie pas !
– A ce soir Mandie… Mais je mettrai le minimum sinon, ça va jaser !…
Elle comprend et explose d’un rire franc, direct, jovial, nature…
Elle me botte cette femme… Ils doivent avoir du fric, la villa que je connais, car appartenant à une ancienne amie, entoure une immense piscine à débordement avec jacuzzi, un parc arboré, garage immense, tout clos sans vis-à-vis, des arbres magnifiques, une grande pelouse, belle vue si je me souviens bien… …
Le baiser est indirect, mais erreur volontaire… Joue manquée, lèvre inférieure effleurée…
Sa main tient la mienne un peu trop… Ses yeux cherchent la réponse que je lui ai déjà glissée plus haut…
– Je n’ai pas froid aux yeux, et je sais m’évader de mon quotidien. Avec ou sans Romain d’ailleurs, je suis devenue libertine à cause de mon ex-mari…
– Merci pour la précision, nous pourrons nous entendre sans risque… Je…
Mes lèvres se posent sur les siennes, ma langue joue avec la sienne, mes jambes se dérobent…
– Réponse à tes questions ?
– 100 pour 100, tu m’as mis le feu…
– Toi aussi, à ce soir…
Au moins c’est clair ! Bon, sans rien ou avec un peu ?
Des bourges de cinquante ans ? Ca aime quoi en matière de vêtements féminins ?
Pantalon ? Robe décolletée ? Tailleur, ou plus sport ? Jean, tennis, top fleuri…
Je passe en revue ma garde-robes, et après un bain, je m’habille simplement, d’un short blanc, tennis, tee-shirt bleu et rose…
Je me regarde dans la glace, j’aimerais les choquer… Beurk ! Ca envoie…
Mes seins pointent sous le tissus un peu fin, le short galbe mes hanches, mes cuisses en ressortent… L’œil remonte, s’arrête, continue… Dieu, ils ne vont pas regarder la télé !
Oui ou Non ?
Merde !
Je prends mes clés, il est l’heure et je sors à pieds l’air léger, le sourire éclatant…
Ma silhouette attire les regards de quelques voisins sortant du lotissement, un coup de klaxon léger me fait sursauter, je hausse les épaules en regardant droit devant.
J’oblique dans la première rue à gauche, qui monte légèrement, il n’y a plus personne… J’aperçois le portail au fond, je suis rassurée…
Quelques véhicules sont stationnés dehors. Pas mal la Porsche… J’aperçois Mandie…
– Hello Marika, c’est super d’être venue, tu es ravissante, tout à fait le ton de la soirée… Eh ! Les copains ! Voici mon amie et voisine Marika qui s’ennuyait seule chez elle… Elle n’aime pas spécialement le foot, mais pas mal d’autres choses, surtout qu’elle a mis une tenue en accord avec le foot, venez la saluer…
Un groupe arrive vers moi, j’ai presque peur. Mandie fait les présentations :
– Alors voici, mon époux d’abord, Phil.
A gauche Germain, comme le PSG, confrère et associé de Phil. Sandrine son amie de ce soir, je plaisante c’est sa femme…
Puis Lynn, divorcée, femme d’affaires, PDG d’une société Paramédicale. Son ami c’est Cliff, lui c’est tout frais…
Enfin Dolly et Serge, elle est l’assistante de Phil et Germain, associés au cabinet, lui, son copain.
Je détaille les quatre couples, en tendant ma joue à tout ce beau monde…
Phil est élégant châtain, sportwear chic, regard franc, une main douce, une poigne directe, des lèvres douces… Ses yeux plongent dans les miens puis dans mon décolleté…
Germain lui ressemble, brun, bronzé, yeux verts, craquant lorsqu’il garde ma main une fraction de seconde dans la sienne… Sandrine est la poupée blonde de service, je la vois bien dans la Porsche et pour la Porsche… Blonde, mince, jeune, jupe courte verte, jambes fuselées, lunettes noires, chemisier blanc et vert… Escarpins… Sourire…
Lynn, belle blonde, coiffure hyper chic, permanentée. Elle accroche la cinquantaine, son compagnon est jeune, souriants et charmants tous les 2… Je sens leurs yeux sur mes seins, puis sur mes fesses… Tiens, tiens !…
Enfin Dolly, la trentaine, amène, serviable voire effacée avec sa voix douce, je la sens prête à se sacrifier à chaque instant pour l’un ou l’autre de ses employeurs, en baissant ses yeux marrons sur sa jupe noire… Son ami est jeune aussi, dans la trentaine.
Viens Marika, voici le salon multimédia que Phil a fait installer…
Une pièce vitrée, des canapés moelleux, fauteuils, bar, tables basses, coussins, je dirais aussi lupanar. L’écran est géant, il prend tout le mur le plus éloigné, dans une douce pénombre et les couleurs sont magnifiques, les noirs intenses, la pelouse est parfaire, on croirait qu’elle vient jusque dans la pièce…
Nous prenons place, les verres sont sur une table basse, on attendait que moi…
Mandie vient vers moi, à coté de Lynn…
– Voilà, tout est servi, les bières au frigo, les alcools ici, les chips et les amuse-gueules ici. Nous regardons le début avec vous, mesdames bon foot, messieurs bonne soirée…
Le match est intéressant, mais la France n’est pas là, manque d’entrain, de punch, de mordant…
La lumière baisse peu à peu et nos bavardages gênent ces messieurs, on se tait…
Lynn est volubile, parle bien et ses yeux sont vifs, coquins, j’ai compris ce qu’elle recherche et je vais le lui donner… Elle a dû se faire les deux kinés, et sans doute Mandie aussi…
Les séquences s’enchaînent, la France marque, on saute de joie, on s’embrasse…
Je regarde du côté de Lynn, son ami l’embrasse en malaxant un sein, elle a passé une main sur le pantalon qui dévoile une bosse, la main de Lynn s’y attarde et insiste… Après cet échange rapide de caresses, son chemisier reste ouvert, elle reprend sa place, il regarde l’écran, la bosse n’est pas partie…
Ses yeux comprennent et me sourient… Elle me parle à l’oreille…
– Je l’ai connu hier soir… En boîte… Ce matin, je l’ai trouvé dans mon lit… Aucun souvenir… Je devais venir seule, je n’ai pas eu le courage de l’abandonner… Il est jeune, vif, obéissant. Si ça te dit…
– Je ne veux pas t’en priver, si tu as tout oublié…
– Oh, pas tout quand même, ce matin au réveil, il m’a redonné la mémoire…
– Ah, c’est pour ça que tu l’as gardé… Tu vis seule ?
– On dit ça, oui, mari parti, enfants partis, donc je pêche au hasard de quoi calmer mes nerfs et le reste… Et toi ?
– Même chose, je vis à cent mètres, j’ai un ami qui assure le minimum en ce qui concerne les nerfs… Pour le reste, on reste indépendants, nous permettant des parenthèses, comme ce soir… Le sexe et ses tourments…
– Tu me plais, toi, tu es directe.
– Tu t’es fait les deux zozos aussi ?
– Obligée, je ne peux pas baisser mes prix, donc je baisse ma culotte, et ça passe…
– On dit donner de sa personne…
– N’est-il pas ? Ils sont accros, machos, leurs femmes ont des cornes comme pas possible, ils font ce qu’ils veulent, je pense qu’elles aussi, d’où cette soirée…
– Elle ne m’a pas parlé de sexe…
– Moi, si… Et on l’a fait hier, non avant-hier, elle est venue m’inviter au bureau…
– Et ?
– Super coup, si tu aimes comme moi, elle envoie…
Je croise ses yeux, un sourire aux lèvres, je me retourne, la fête a débuté…
Mandie est tournée vers Germain qui a une main sous la jupe de Dolly et Sandrine a ouvert ses cuisses à Serge…
– C’est parti, on peut se désaper les filles, la piscine est ouverte, le bar est garni, les capotes sont en libre-service sur les tables…
Sa main sort le sexe énorme de son copain d’un soir et elle plonge le chérir…
– Viens, tiens !
Elle me fait une place… Nos mains se chevauchent, il nous regarde en ôtant nos vêtements…
Je m’agenouille, et tout en salivant la hampe dressée, ses lèvres glissent autour de l’objet, je vois ses cuisses s’ouvrir pour nous permettre de découvrir ses trésors…
Ma main s’y niche, explore, la culotte descend comme par magie, elle avance son bassin vers moi, je colle ma langue, elle ferme les yeux et s’abandonne tout en chérissant le membre.
Son chemisier est malmené, il déboutonne, retire comme il peut, nos mains se retrouvent sur la poitrine de sa maîtresse… Chacun un sein, au moment où elle délire par ma langue enfouie, glissante, coquine et envahissante à loisir… Elle pose une main sur ma tête, et m’impulse un rythme, en avançant encore et écartant ses cuisses, puis les relevant…
Mandie est écartelée de l’autre côté du sofa, une tête s’active entre ses cuisses… Je vois un sexe arriver sur ses lèvres, celui de Cliff…
Dolly s’offre à Germain, Serge baise Sandrine avec fougue, son sexe empalé dans la chatte lui procure du plaisir ce qu’il exprime en grognements sourds…
Les quatre femmes sont maintenant assises chacune sur leur partenaire, empalées en un ensemble parfait.
Elles se donnent leur plaisir en sautillant ou plus lentement pour les plus gourmandes, par de longs mouvements de leur bassin, venant engloutir le membre désiré…
Elles se tiennent au cou de leur amant, offrant leurs seins, en les embrassant tendrement…
Lynn se met à jouir du sexe de son coup d’un soir, elle se retourne, il passe ses bras autour de sa poitrine, et vient malaxer et pétrir doucement ses seins…
Je coule mon désir en la voyant et en l’entendant feuler, et elle vient m’embrasser pour la première fois… Que de douceur, sa bouche, ses lèvres… Je m’approche d’elle, elle se relève et me laisse sa place… Le sexe est magnifique et devant Cliff, elle me masturbe, mais se rend compte que c’est inutile et elle me laisse profiter… je m’abaisse doucement, jusqu’au contact du gland, qui ouvre insidieusement mes petites lèvres, découvrant l’entrée de ma grotte, mon vagin éploré, je soupire de plaisir lorsque je m’empale… Oh, que c’est bon !…
Il est gros et long et me remplit entièrement, me procurant les sensations désirées qui font grimper mon plaisir et mes râles…
Ma main caresse le sexe de ma nouvelle amie, je la doigte, elle me veut… J’excite son clitoris, entre mes trois doigts les plus longs, les plus fins, elle gémit…
– Oui… Viens me faire jouir ma belle…
Mon pouce s’évade sur son anus, tourne lentement, humide, indiscret, pour laisser place à un majeur envahissant…
– Ah !… Oh !… Oui !… Continue !…
Je lui obéis, et ma main s’active dans ses méats, en cadence, en rythme, elle se tord, se soulève, écarte ses cuisses et s’offre, à quatre pattes, agenouillée, elle m’offre ses fesses…
Position de soumise, en levrette, sodomie espérée et plus si affinité…
Elle gémit fort, râle en ondulant sa croupe… Si belle…
Alors Germain qui la voit ainsi, vient la prendre, glissant sa bite dans l’abricot détrempé de désir, et l’entraîne vers un puissant orgasme qui nous transperce de plaisir…
Cliff la prend sur lui, enfonce son dard dans son petit trou, et offre à Germain un duo magique…
Ils la prennent ensemble, en rythme, Phil arrive en entendant la jeune femme crier son plaisir, pour remplacer Cliff qui a éjaculé un peu tôt, grisé par ses ébats…
Elle se laisse faire, leur abandonnant son corps, savourant cet accouplement hors norme, jouissant de plus en plus de ses deux amants…
Serge m’entraîne sur le second canapé, Dolly me prend dans ses bras et pose ses lèvres contre les miennes… Nos ventres se frôlent, se frottent, elle écarte ses cuisses et m’invite à boire son calice, tandis que Serge caresse tendrement mes seins, envahit mon intimité, me frotte, me masturbe longuement faisant jaillir ma source et mes gémissements de chatte en chaleur, puis il se penche et vient aspirer mes sucs… Je fonds sous leurs caresses combinées…
Ecartelée, il me prend, avide, dominant, plante son sexe et me travaille, tandis qu’elle m’offre sa petite chatte dorée, encore pleine de sperme…
Mandie nous regarde, se malaxant les seins, fermant ses yeux, alors que Serge s’agite de plus en plus vite et me fait perdre le nord quelques minutes… Il a éjaculé lorsque je l’ai resserré avec mes muscles du vagin, emprisonnant son sexe, le portant à la jouissance, les hommes adorent ce final…
Mandie me prend dans ses bras…
– Je le savais, tu es une experte… Fais-moi l’amour…
Elle m’entraîne dans sa chambre et tandis que les corps s’enchevêtrent dans le salon, le match gagné par la France, nous fêtons cette victoire à notre façon…
– Il me trompe sans se cacher, alors moi aussi, mais le plus dur pour lui c’est que je jouisse avec une autre femme… Ca le rend dingue. Son ami c’est pareil, ils ont deux bites dans la tête… Ils baisent tout ce qui est potable dans leur officine… Leur salope d’associée en prime, et leur secrétaire pour des extras sous le bureau…
– Tu exagères…
– Non, tu verras, je t’emmènerai un jour…
On s’allonge, on se colle, on fait un 69, plus d’une heure, nous voguons sur les rives du plaisir lesbien, osant, tentant, recommençant à nous offrir, pensant juste à jouir sous les doigts et la langue de l’autre…
Enlacées, en ciseau, sexe contre sexe, je me frotte à elle, adorant ce contact externe qui irradie dans la vulve et le vagin, effleurant nos clitoris…
– J’aime… Tu es sensuelle et tu m’emmènes où tu veux… Continue, je veux jouir encore et encore, je veux te revoir, je veux t’aimer…
– Donne-moi cette chatte si avide…
– Tu veux un gode ceinture, j’aime aussi ?
Je passe l’objet, viens contre elle, et tandis que ma main plonge dans son vagin, le membre factice ouvre son anus et mes mouvements de bassin font le reste et l’emportent dans un puissant orgasme…
Phil et Germain, sont entrés et nous regardent, la bite en l’air…
– Quel pied de regarder ces deux chiennes… Enlève ta ceinture, on va la remplacer…
Je jouis de Germain, puis de Phil puis des deux, elle aussi se lâche, crie à son mari de lui faire un enfant, et il éjacule en elle tandis que Germain explose dans ma chatte…
Lynn vient nous lécher, calmant nos sexes rougis. Sandrine et Lynn embouchent les membres pleins de sperme, et les engorgent de belle façon, professionnelles du sexe…
Vannées pour nous, vidés pour eux, nous reprenons vie un peu plus tard au salon, toujours nues et de plus alcoolisées, nous offrant tant et plus, caressantes et aimantes, gourmandes, délirantes, affolant les hommes qui sont vite débordés par ces furies en folie…
Le gode me sert à empaler Lynn, que je prends à fond avec Cliff, la poussant à l’extrême jouissance, et multipliant les positions inédites…
Jusqu’à épuisement, dans le grand lit de la chambre, par terre, dans la salle de bains, sur la terrasse, sodomisée, partagée par les quatre hommes de cette soirée, deux par deux dans son vagin, un dans la bouche et le dernier me remplaçant dans l’anus…
Vous rêviez d’une nuit de folie ?…
Lynn connut l’extase, la sensation d’avoir franchi un nouveau pallier dans sa recherche.
Je trouvais de nouveaux partenaires, à la morale convenant à mes standards, une voisine accro au sexe, avec un mari volage et un amant déluré.
Dans la semaine qui suit, Mandie sonne à ma porte. Elle admire ma piscine, mon jardin secret, coin de pelouse dédié aux câlins, ma maison l’inspire, elle me parle de Romain qui justement doit passer ce soir.
Je l’invite, mais avant elle me conduit au cabinet des kinés.
– Viens, tu vas comprendre…
Je la suis, elle a une clé qui ouvre une porte arrière, referme derrière elle et m’entraîne dans un couloir, on entre dans une salle obscure, genre archive, avec des agrès. Elle me montre un fauteuil que nous partageons… Nos bouches se trouvent, se fondent… Sa langue fouille, ses mains caressent, malaxent, soulèvent, je sens son doigt effleurer mon clitoris, mes cuisses s’entrouvrent, elle me berce contre elle…
Soudain, un rais de lumière, elle me tire par le bras…
On se cache derrière une armoire, son mari rentre, vêtu de sa blouse, il est accompagné de Dolly, elle aussi en blouse blanche.
– Tu vois, tu as encore mélangé deux clients, je fais quoi moi pour réparer tes bêtises ?
– Je ferai attention…
– Elles ont trente ans d’écart, confondu ???
– Je sais monsieur… Il y a quelque chose qui ne va pas ?
– Mon copain, depuis l’autre soir…
– Ce qui se passe en dehors des heures de travail fait partie du privé. Ici tu es une employée que nous pensions modèle… même si on t’a sautée l’autre soir, tous les deux on a pris un plaisir certain avec toi depuis que tu es embauchée…
– Je vérifierai à l’avenir, monsieur… Je serai une gentille secrétaire, ouverte à tout pour que vous me gardiez !
Elle ouvre sa blouse, elle est nue…
– C’est à vous tout ça… je sais faire des choses que votre femme ne sait pas…
– Ah ? et quoi ?
Elle se colle à lui, descend le pantalon, prend le sexe, l’embouche… Le sexe grossit, grossit… Elle est ravie, sourit…
– Oui, ça elle le fait…
Elle prend le sexe bandé, le pose entre ses seins et le masse avec ses lobes…
– Oh, oui… Je reconnais… Continue…
Elle le masturbe lentement, elle écarte ses cuisses et se masturbe aussi devant lui…
Les deux lobes excitent la bite, elle la reprend en bouche, et l’attire en elle… Elle plonge en elle, elle crie de plaisir…
– Attends…
Elle se couche, à l’envers, le bassin relevé, la chatte offerte, ouverte, les cuisses repliées, il en est atterré…
Il n’a qu’à se baisser pour la prendre, c’est un puits sans fin qu’il pénètre, à fond, elle jouit rapidement, le ressentant pleinement dans cette position acrobatique…
Il plonge en cadence son dard, droit, et recommence encore, elle jouit chaque fois, la main de Mandie vient me caresser, je me laisse faire et même mieux je lui rends la caresse, elle est trempée…
Elle me fait ce qu’elle veut que je lui fasse, un doigt, deux, trois… On ne peut pas jouir, ni crier…
Devant nous, la fille a son vagin grand ouvert, il change de trou…
Sans ménagement il la sodomise dans la même position, juste réglée pour que sa bite la prenne droite, plonge, la fait délirer…
– Oh, oui, je suis une salope, mauvaise secrétaire, fais de-moi ton jouet sexuel, prends ma chatte et mon cul, mets-y ta pine et jouit… Je suis heureuse quand tu me baises comme une salope, une chienne… Serge n’a pas supporté de me voir baiser avec vous deux…
– Pourtant il a enfilé nos femmes…
– Ouais, il est con… Le sexe c’est bon sans réfléchir…
Elle le prend dans sa bouche et lui fait une fellation jusqu’au bout, il gicle sur son visage et elle ouvre sa bouche en tendant sa langue pour recueillir les dernières gouttes…
– Oh, quel pied… Tu es une sacrée bonne femme, tu aimes la bite autant que nous…
– C’est bon de se faire prendre comme ça au bureau… Ca me détend… J’ai les deux trous éclatés, tu as une bite monstrueuse… ta femme s’en doute non ?
– Je ne sais pas mais elle n’a plus rien à pomper…
– Il ne faut plus le faire le soir, juste à midi, tu pourras reverdir…
– Pas con…
– Si elle manifeste du désir, prends une pilule. Serge le faisait, ça marche bien, il devenait énorme, m’éclatait le cul… J’avais du mal à le sucer alors que sans pilule il rentre entièrement jusqu’à ma gorge…
– Qu’est-ce que tu fais ?
– Laisse-toi faire…
Elle le penche en avant sur le fauteuil, comme elle l’était…
Puis elle commence à lui lécher la bite, puis l’anus…
– Attends, je…
– Chut, calme… Détends-toi… Tu me l’as fait et j’ai aimé…
Son doigt prépare l’assaut, elle salive, glisse en lui, revient, puis rentre un doigt, son majeur…
– Oh…
– Chut… Détends-toi… Elle aspire le membre qui reprend vigueur, l’avale… Elle sent la chaleur, pousse son doigt, il jouit…
Elle recommence plusieurs fois, tout en pompant son dard, elle le sodomise de plus en plus profond et jusqu’à trois doigts…
Il crie son plaisir… La prend dans ses bras et la serre contre lui en l’embrassant comme une amante…
– On ne m’avait jamais fait ça… Tu es une fée du sexe… Oh… Je te sens encore…
– Moi aussi, je te sens souvent depuis que tu me baises chaque soir…
– Ca t’a plu l’autre soir avec les femmes ?
– Oui… J’aime me faire lécher la chatte par une femme… J’aime peloter, sentir sa chatte sous mes doigts, pénétrer, la sentir partir, comme moi… Une femme plus âgée que moi, belle, sensuelle, bien habillée, manucurée et coiffée, qui en impose et qui s’offre à toi quelques minutes plus tard en beuglant comme une pucelle, c’est excitant et super jouissif……
– Tu parles de Lynn ?
– Oui, mais aussi de Marika. Celle-là elle en connaît un rayon sur les femmes… Elle m’a bluffé… Anéantie, explosée, juste avec ses mains, sa langue, ses doigts…
– Elles avaient un gode…
– Oui, j’ai essayé aussi, mais bof, j’aime trop la vraie bite pour en prendre une en plastique dans le cul…
– C’est certain, mais lorsqu’il n’y a pas d’homme ?
– On se fiste, j’arrive à passer ma main entière maintenant… C’est super bandant !…
– Tu baiserais pour moi ?
– Qui ?
– Des gens, des clients, des clientes, des bourges, des vieux, des jeunes, des nunuches mal baisées… Je monte un réseau avec un ami…
– Pourquoi pas… A voir…
– On en reparle. Allez c’est l’heure de la fermeture…
– J’aimerais baiser encore avec toi, ailleurs qu’ici…
– Hôtel ?
– Non, partout : plage, forêt, en ville, avec un inconnu et une inconnue, un couple… J’aimerais être ta soumise, humiliée devant d’autres, prise devant toi comme l’autre soir… Ils y sont tous passés, c’était bon…
Ils referment la porte en se rhabillant, nous voici nues interloquées par ce que l’on vient de voir et d’entendre…
– Tu crois qu’il faut que je divorce ?
– Il ne t’aime plus ? Car là, c’est que du sexe…
– Si, il me fait l’amour tendresse, comme un marin rentrant au port…
– C’est l’âge, il se sent vieillir, je connais ça chez les hommes… Et puis pimenter vos relations c’est bon aussi, ce n’est pas tromper. Là par contre, se faire la petite par tous les trous, penser à la prostituer… Il faut surveiller ça…
– Je le fais…
– Germain et Sandrine ?
– Oh, pareil, elle est cocue, ils ne sont pas mariés… Il va souvent en ville, au golf, comme Phil, je ne sais pas s’il baise Dolly, je pense que oui tout de même, c’est leur déversoir…
– C’est dégueulasse, la pauvre…
– Elle aime ça, elle aime être dominée, ça l‘excite. Et être leur maîtresse, ça la valorise. Ce n’est pas un vagin qu’elle a, c’est un garage à bites !…
– En tous cas le mien il a aimé cette soirée…
– Faut ce qu’il faut pour la libido !
On sort par derrière en riant comme des ados…
– Tu fais quoi ce soir ?
– Il a un tournoi de tennis…
– Viens, je suis avec Romain, piscine barbecue ?
– S’il y a Romain, alors je viens…
– Salope !
– Il est bon, il m’a faite jouir quand j’étais assise sur lui au début… Sa queue m’a envahie, il me clitorisait en même temps, il massait mes seins en triturant les bouts, je me suis ouverte, et j’ai joui pendant 10 minutes, il faisait tout le travail… Géant ton mec, un amant de choix…
– Alors il est à toi ce soir…
– Et toi tu veux un homme ? Serge t’a appréciée.
– Ah, oui, c’est vrai, on a fauté ensemble un grand moment…
– Mais j’ai mieux en réserve et je pense que cela te plaira, et puis tu aimes les surprises…
Nous convenons qu’elle viendra chez moi, avec ou sans maillot de bain, et avec sa surprise…
– J’ai appelé au tennis, mais pas de réponse, son portable est éteint, c’est pratique…
Je la fais entrer, et derrière, je trouve la surprise, des dents d’un blanc immaculé, des lunettes, une peau noire, un sourire à m’en pâmer, et sa main qui s’empare de la mienne et qui ne la lâche plus jusqu’au salon d’été…
– Je vous présente Dylan, ami de mon époux que l’on a retrouvé ici, installé à Sète…
– Le plaisir est pour nous, on se tutoie, tu es chez toi ici Dylan… Mon ami, Romain, nous partageons beaucoup de choses, nous avons déjà partagé Mandie l’autre soir, entre autres…
– Tu es directe ce soir Marika, mais je lui avais dressé un tableau…
– Et ben, il est à l’aise, allez, hop, à poil dans la piscine…
Romain n’en croit pas ses yeux, Mandie nue plonge et s’accroche à son sexe sous l’eau, et le met en bouche en toute discrétion, le temps pour nous de nous plonger… Les dents blanches me sourient, le geste est précis, il me tient par le sexe qu’il a enserré dans sa main…
J’ai écarté les cuisses, je sens un doigt…
Romain se désintéresse de moi, accroché aux seins de Mandie, qui lui parle à l’oreille…
Chacun dans un bout de la piscine, on a pied sur les bords, son sexe tape immédiatement contre mon ventre… Un bâton… Que dis-je, une canne !…
Je n’ai jamais vu ça !… je pense que l’eau fait loupe, mais tout de même, j’avance ma main pour…
Mon dieu, j’arrive juste à le prendre dans la main, quand à la longueur, aucune idée pour l’instant…
Son baiser est désarmant, car sa main s’insinue en même temps que sa langue… Mais pas au même endroit…
A force de la manipuler, je sens de nouveau son arbre contre moi…
Si j’entends quelques gémissements en provenance de Mandie, je ne peux m’empêcher de prendre le membre dans ma main et de le masturber…
Quel engin !… va me falloir les deux mains pour bien faire, mais le souhaite-t’il ?
Il me soulève, me porte, me dépose, me retourne… Je peux m’asseoir sur sa bite… Ses mains taraudent mes seins, il se met à bander encore…
– J’ai envie de toi…
– Je le sens bien chéri, mais tu as la notice ?
– C’est simple tu te laisses faire… Tu vas crier ton plaisir dès que je t’aurai prise…
– Ah ? Tu es sûr ? On peut en jouir ?
Et il a raison, le bougre fait son chemin, adossée à la margelle, agrippée à son cou, il a ouvert mes cuisses largement et son sexe est venu m’électriser…
Pointé délibérément vers ma chatte, le gland énorme l’a ouverte lentement, comme un abricot, mon abricot qui perdait son jus d’avance…
Jouissif, ses reins se sont mis en fonction, et l’ont poussé au plus profond de mon vagin, distendant mes chairs et libérant mes râles les plus profonds…
Tandis que mon amie jouissait de mon homme, je le faisais cocu avec rage et passion, rivée sur son énorme bite qui continuait à m’emporter sur divers nuages…
Je ne le pensais pas mais il a pu me prendre complétement, ce qui l’a poussé à terminer le travail jusqu’à ce que je lui débite des sornettes pendant mon orgasme…
Mais, élégantissime, il a tout gardé pour le reste de la nuit…
Etendue sur le matelas de ma zone détente, j’ai pu enfin goûter à ce membre exceptionnel, savourant cette hampe longuement comme une glace éternelle, sur laquelle ma langue put s’offrir un rallye… Alors mes lèvres n’ont pas résisté à essayer de le prendre en bouche, mais ce fut vain… Je dus me contenter de jouer avec lui, de m’aider de mes mains, puis de me reprendre sans attendre, dégoulinante de désir à force de le chérir…
Il reconnut avoir joui, lorsque j’ai soupesé les bourses magnifiques, puis léchées avec application et talent…
Mais pour l’instant, il continue à me peloter, ce qui entretien mon désir…
– Alors les amoureux ? Du sexe ?
– Il est magique ton ami…
– Ton Romain n’st pas mal non plus… On fait une pause…
– Je vais chercher à boire…
– Romain s’y est collé, tiens le voici, tu veux un verre ?
– Coca bien frais avec citron ou Thé glacé citron aussi…
Elle s’en va voir le plateau que Romain a déposé, mais elle ne reviendra pas car elle s’assoit sur lui dans le grand fauteuil et elle s’empale en criant de plaisir montrant à qui le veut, l’engin énorme s’engouffrer dans sa ravissante chatte. Au passage, il me fait un clin d’œil, complices jusqu’au bout…
Mais Dylan, m’a attiré sur lui. Allongée de tout mon long, j’embrasse ses lèvres, j’écarte mes cuisses à califourchon sur son bassin… Il est juste là… Le sexe bandé prend place contre ma chatte, il est si présent… Je n’y tiens plus…
Je me redresse appuyée sur mes bras tendus, ouvre mes cuisses et ondule mon bassin, le sexe rampe vers le mien, ouvre tout, magie du corps humain, c’est un torrent qui s’échappe et aspire son sexe, il n’a aucun mal à glisser plus avant…
– Oh !… Oui !… Je te veux…
Je me sens femme, femelle, délicieusement attirée, soumise à ce sexe que je vais prendre en moi.
Je m’empale en délirant, je jouis en le ressentant pénétrer mes entrailles, distendre mon vagin… Il me saisit par les fesses et impulse son rythme, ses larges mains me chavirent…
Il est divin…
Mon corps lui obéit, se délecte de lui, je feule doucement, délire de femme en plein coït, heureuse de partager ce sexe, de le sentir me posséder, de me faire vibrer, assouvir mon désir, le propulser dans mon ventre avec de larges mouvements de mon bassin et du sien qui vient à ma rencontre, empaumant mes fesses pour me coller à lui et atteindre le fond de mon vagin…
Je sens un orgasme arriver, une onde de chaleur, l’envie irrésistible de me perforer de son membre, de me clouer contre lui, accélérant nos mouvements, pour l’amener à se délivrer au fond de moi et de communier dans cet élan sexuel ultime…
Nos bouches se joignent, nos corps échangent leurs fluides, je suis sienne comme rarement j’ai atteint ce degré et je reste passive, le retenant en moi, il le souhaite aussi, venant caresser mes seins, le sexe libéré, niché dans mon vagin débordant de sperme, savourant mon visage, mes oreilles, mon cou, caressant mes cheveux…
– Tu es une princesse de l’Amour, 20 sur 20… Je veux rester en toi, ne plus bouger, m’endormir dans ton fourreau, recommencer, ressentir venir tes orgasmes, provoquer les miens… Je t‘aime…
– Oui, parfois une rencontre sort de l’ordinaire et une symbiose se crée… Je viens de connaître le plus merveilleux des partenaires sexuels depuis mon divorce, et même avant…
– Garde-moi dans tes contacts et ne m’oublie pas, appelle-moi dès que tu es triste, malade, seule, ou que tu as une envie irrésistible d’une grosse queue pour oublier ou te ramener sur terre…
Il ne croyait pas si bien dire…
Cet épisode de Coupe du monde terminée, je reprenais ma vie tranquille, je rêvais parfois d’une rencontre comme Dylan, une nuit entière avec lui, sans prise de tête, juste baiser !
Je n’ai pas dit que c’était arrivé, mais je n’ai pas dit le contraire non plus…
Romain me satisfait dès que j’en ressens le besoin. Il est parfait, toujours prêt.
Dylan c’est la cerise sur le gâteau, le rêve que toute femme devrait connaître dans sa vie, histoire de comprendre les différences et d’avoir une référence !
Cela s’appelle un étalon !
Dylan tout le temps ? Non, trop éreintant, à 20 ans certes… Et encore…
Par contre pour des soirées entre femmes, il serait l’homme de la situation et je l’épingle dans mon carnet de bal pour ça…
Je pense qu’avec 4 dames comme l’autre soir, genre cougars libérées, ogresses patentées, il s’en sortirait avec les honneurs…
Ca me fait penser que c’est bientôt mon anniversaire !… Pourquoi pas ?
Cette bluette est terminée, un souvenir parmi d’autres…
Rappelez-vous, j’écrivais au début de ce texte que certains hommes comptent le match en bière / heure…
J’ai inventé un nouveau concept pour mes copines, et toutes les femmes qui s’ennuient devant la télé, comptez en mec / heure durant les matches, vous verrez, c’est super !…
Salut les filles, bises à tous les footeux et bon match !
FIN
Marika842010
Juillet 2018
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