Je suis vraiment excité. Je m’apprête à vivre encore une soirée exceptionnelle. Devenir le filleul de Sarah de Montferrat est sûrement la meilleure chose qui me soit arrivé dans ma vie. Je ne sais pas encore ce qu’il va se passer au juste, mais ça risque d’être jouissif. « Soirée initiation » m’a dit marraine ! Elle ne m’a pas dit ce que ça signifiait exactement, mais je suspecte une soirée d’intégration des nouvelles recrues du club. J’en suis quasiment sûr. J’ai passé toute la semaine à me demander quelles filles de ma promo seraient susceptibles de rejoindre le club. Je dois dire qu’il y a beaucoup de possibilités. J’ai bien un doute sur une personne en particulier.
Nous sommes tous réunis dans le cocotier ; c’est le surnom que l’on donne à la grande salle de notre école qui nous sert de salle de repos lors des pauses. Lors des soirées organisées à l’école par les clubs comme celle de ce soir, c’est la salle toute désignée pour accueillir de tels événements.
Des canapés ont été disposés le long des murs afin que tout le monde puisse admirer le spectacle tranquillement. Aliénor, qui est la vice-présidente du club si j’ai bien compris, nous a accueillis et nous a fait nous installer les uns derrière les autres au fur et à mesure que les nymphes et que les favoris arrivaient. Puis une fois que tout le monde semblait être là, elle s’est absentée quelques secondes puis est revenue nous annoncer que la soirée allait bientôt débuter. Elle est venue ensuite s’installer à mes côtés en m’annonçant que marraine voulait qu’elle s’occupe de moi.
En attendant que débute enfin la soirée, je jette un coup d’œil aux invités. Je compte 25 mecs, pour la plupart de seconde et troisième années. Moi et trois autres sommes de première année. Le nombre de filles est, par contre, plus réduit. J’en compte huit de seconde année et trois de troisième année, et il manque encore Sarah dans la salle. Ça en fait au moins douze, un peu moins de la moitié des mecs. À ce nombre, je suppose que vont s’ajouter les nouvelles recrues. Combien seront-elles ?
Cette fois c’est bon, Sarah fait enfin son apparition. Les discussions s’arrêtent d’un coup. Marraine est ravissante : elle est vêtue d’une robe de soirée qui lui arrive à mi-cuisses et qui souligne admirablement ses formes. La robe lui donne une allure classe. Je lâche un sourire devant cette apparition.
— Bien le bonsoir à tout le monde. Tout d’abord, je vous remercie tous d’être venus ce soir.
Plusieurs filles et mecs lancent des acclamations de joie et applaudissent. Pris dans l’enthousiasme, je fais de même sous l’œil amusé d’Aliénor.
— Il était une fois une jeune femme du nom de Samantha Angevin, se lance-t-elle. Samantha intégra une année une école de commerce où la vie scolaire était d’un ennui le plus total. Elle intégra cette école avec un rêve en tête : elle rêvait d’un endroit où les filles n’auraient pas à cacher leurs goûts particuliers, où les filles pourraient s’adonner à tout ce qu’elles aiment sans risque et sans craindre les jugements. Elle fit alors part de son idée à ses amies et, après maints efforts, le club des nymphes vit le jour. Il dut malheureusement couvrir son activité principale sous couvert d’activités caritatives. À partir de ce jour, la vie scolaire ne fut plus jamais d’un ennui à mourir.
— Ouais ! Vive Samantha Angevin ! hurle une voix.
— Le rêve de Samantha continua de vivre après son départ, poursuit marraine. Elle avait fait de nouveaux adeptes. Ces filles nouvellement libérées lui ont permis de transmettre son héritage aux générations d’étudiantes suivantes. Ainsi, promotion après promotion, le rêve de Samantha continua de perdurer jusqu’à aujourd’hui. Nous nous devons donc de faire perdurer ce rêve à notre tour afin de permettre à toutes les filles des promotions futures de vivre pleinement leurs envies. Pour cela, Samantha avait instauré un code strict : l’initiation !
Nouveaux cris de joie. L’ambiance est surexcitée.
— Elles sont cinq ce soir, pour votre plus grand plaisir. Cinq filles de première année partagent le même rêve que Samantha. Et pour prouver qu’elles sont dignes de porter son message, elles sont prêtes à se soumettre aux épreuves de l’initiation dont la première aura lieu ce soir. Veuillez, Messieurs-Dames, accueillir ces cinq beautés !
Une des filles de seconde année vient de se lever et ouvre la porte d’entrée, laissant apparaître une autre fille habillée de talons aiguille et de rien d’autre.
— Veuillez applaudir Élisa Mannal ! lance marraine.
Tandis que la salle lui répond, la fille – une grande blonde aux cheveux courts – s’avance tranquillement, complètement nue, et vient s’installer aux côtés de marraine.
— Veuillez accueillir maintenant comme il se doit Anzhelina Kyakatzkyetsky.
Une nouvelle blonde fait ainsi son apparition dans la même tenue que la précédente. Je n’ai pas eu beaucoup d’échanges avec cette fille au nom imprononçable que j’oublie toujours depuis le début de l’année, mais je me souviens l’avoir déjà observée avec envie. Elle porte des tenues punks généralement. Blonde aussi, mais avec de plus long cheveux ; pas aussi grande que la précédente, mais des formes plus marquées. Elle finit par s’installer à côté d’Élisa sous les applaudissements et les sifflements.
— Faites du bruit pour la demoiselle suivante : Marie Gauvin.
La troisième fille fait son apparition d’une façon plus timide. Pas très grande, de longs cheveux châtains et de magnifiques yeux verts ; elle s’installe aux côtés des deux autres. Cette fille est généralement plutôt discrète. Je n’aurais jamais pensé la voir dans ce club.
— C’est au tour de Natacha Grojean. Faites-lui bon accueil !
Et voilà la pouffiasse de service qui fait son entrée, aussi nue que les précédentes filles. Je n’aime pas vraiment cette fille : une brune dont les tenues en cours font encore plus salope que ma grande sœur. En plus, elle a l’habitude de se tartiner à outrance le visage de maquillage. Je trouve que le résultat est à vomir. Bon, il faut reconnaître que son corps est plutôt pas mal. C’est elle qui doit avoir les plus gros seins des recrues déjà arrivées. Elle rejoint les autres en roulant exagérément du cul sous les applaudissements.
Bon, plus qu’une recrue. Je suis quasiment sûr de savoir de qui il s’agit.
— Notre dernière demoiselle, je suis sûr que vous la connaissez déjà tous. Veuillez accueillir Élodie Dejoel !
Sans surprise, ma grande sœur fait alors son apparition. Ma bite se tend encore plus dans mon pantalon en la voyant arriver. C’est bien la première fois depuis longtemps que je la vois nue. Elle a vraiment un corps de rêve ; de beaux seins, certes pas aussi gros que ceux de Natacha, mais bien plus jolie, et un cul super. L’apparition de ma sœur déclenche un boucan infernal. Applaudissements, sifflements et acclamations accueillent son arrivée. Les mecs tapent même du pied. Le vacarme dure aussi bien plus longtemps pour elle. Non vraiment, ça n’a rien à voir avec l’arrivée des quatre autres filles. C’est avec le sourire qu’Élodie rejoint les rangs.
— Elle est déjà présumée être la future présidente du club, m’explique Aliénor.
Pourquoi ceci ne m’étonne pas ?
Le boucan finit peu à peu par se dissiper et marraine reprend la parole.
— Bien. Maintenant que nous les avons accueillies, nous allons pouvoir commencer la soirée par l’apéritif. Il y a de l’alcool, des boisons soft pour ceux qui préfèrent, et de quoi grignoter aussi. Nos cinq beautés vont se faire un plaisir de vous servir. Mais attention ! Interdiction aux mains baladeuses. Eh oui, Messieurs, désolée, mais vous n’avez pas le droit de laisser traîner vos mains sur ces magnifiques corps.
Une clameur de fausses protestations s’élève. Marraine est huée. Pendant ce temps-là, cinq nymphes de seconde année se sont levées et ont ramené cinq chariots où sont entreposés alcool et autres boissons, verres et gâteaux d’apéritif.
— Ah oui j’oubliais, reprend marraine, souriante. Les mains sont interdites, mais pas les objets. Pour cela, nous avons réuni une petite sélection d’objets avec lesquels vous pourrez les toucher. Camille, tu veux bien, s’il te plaît ?
La seconde année qui avait ouvert la porte aux nouvelles recrues part récupérer un gros sac entreposé au fond de la salle et commence à distribuer, semble-t-il au hasard, un objet à chaque personne. J’ai alors la surprise de découvrir tous ces objets : une carotte, une tapette à mouche, une semelle de caoutchouc, un gant, une lampe torche, un rouleau de papier, une brosse à dents électrique et d’autres objets de formes équivoques. Quand arrive mon tour, Camille fouille dans le sac et sort un gode en caoutchouc. C’est la première fois que j’en vois un ; c’est vraiment très ressemblant. Je m’apprête à le prendre mais Aliénor se précipite dessus avant moi.
— Non, ça c’est pour moi. Camille, passe-lui autre chose.
Camille me tend alors un plumeau pour chats.
— Ah oui, j’oubliais, lance marraine une fois finie la distribution des objets. J’interdis formellement aux mecs de se caresser ou de se toucher. Nous tenons à ce qu’ils restent en forme pour nos gentilles demoiselles.
Marraine indique aux cinq filles de prendre chacune un chariot et de commencer à faire le service et vient nous rejoindre, Aliénor et moi. Elle m’embrasse, puis deux minutes plus tard elle est appelée par un type à l’autre bout de la salle et donc nous quitte déjà. Les nouvelles recrues distribuent les verres tandis qu’elles subissent sans broncher les assauts de divers objets. Lampe torche, carotte ou brosse à dents se promènent ainsi le long de leurs seins, fesses et sexes. Le parrain de ma sœur l’oblige à faire le service en tendant le cul en l’air et lui tape doucement dessus avec le rouleau de papier.
C’est Natacha la pouffiasse qui vient nous servir, Aliénor et moi. Aliénor lui claque le gode sur sa grosse poitrine tandis que la pouf lui sert son verre.
— Ça, c’est des nichons parfaits pour une branlette espagnole. Qu’est-ce que t’en penses, Thomas ?
— Euh, oui, lui réponds-je, plutôt attiré par le spectacle de ma sœur se faisant claquer les fesses.
— Voyons voir…
Elle lui glisse le gode entre les deux seins et commence un mouvement de va-et-vient. Elle lui demande de se tenir les seins comme pour une véritable branlette espagnole.
— Oh oui, c’est parfait ! Merci ! lui dit-elle en lui faisant comprendre qu’elle pouvait aller servir quelqu’un d’autre.
La soirée continue de se dérouler et Aliénor me fait la conversation. Nous parlons ainsi de nos vies, de cours et enfin de Louise comme si de rien n’était. Du coin de l’œil, je repère la punk au nom imprononçable à quatre pattes en train de se faire prendre par la carotte tandis que la tapette à mouche lui fouette les fesses. Elle semble bien apprécier.
— Tu sais, tu n’as pas le droit de te toucher, mais rien ne t’empêche de me toucher, moi… me lance Aliénor en écartant les cuisses et en remontant sa petite robe blanche.
En effet, plusieurs gars sont déjà en train de masturber les filles de seconde et troisième années. Ma main glisse alors sous la robe et atteint un sexe bien humide. Ah, elle n’avait pas de culotte, la coquine ! Je lui caresse les lèvres et enfonce un premier doigt, ce qui la fait gémir. Et c’est tout naturellement que nous reprenons ainsi notre conversation sur Louise là où elle s’était arrêtée. Je ne sais pas quelle serait la réaction de cette dernière si elle apprenait que je suis en ce moment même en train de doigter sa marraine. En tout cas, je connais deux autres personnes qui donneraient cher pour être à ma place : David et Sylvain. À aucun de ses trois-là je n’ai dit ce qu’il s’était passé lors de la dernière soirée, ni n’ai mentionné la soirée en cours. Je sens que David n’arrêterait pas de me faire chier si jamais il apprenait ce qui est en train de se passer.
Après avoir fait plusieurs fois le tour des différents invités, marraine nous rejoint enfin et sourit en me voyant, la main plongée sous la robe d’Aliénor.
— Pouf… fait-elle en se laissant tomber dans le canapé. C’est fatiguant ! Entre Damien qui m’appelle parce qu’il a cassé la carotte dans le cul d’Élisa et Natacha qui n’arrête pas de renverser des verres, je cours dans tous les sens. J’ai bien besoin d’un verre.
Elle fait alors signe à ma sœur de venir avec son chariot.
— Tiens, sers-moi une vodka-orange s’il te plaît, Élodie.
Ma sœur commence à remplir le verre tandis que les yeux de marraine s’attardent sur le plumeau pour chats dont je n’ai pas encore eu l’utilisation.
— Oh oui, le plumeau ! fait-elle avec joie. J’en ai de très bons souvenirs. T’as jamais testé, Élodie ? C’est vraiment très agréable.
Ma sœur lui fait signe que non de la tête.
— Tiens, montre-lui, fillot ! m’ordonne-t-elle sans me laisser le choix.
Je tends alors le plumeau d’une main tremblante sur le ventre de ma sœur et le promène doucement. Elle me jette un regard noir mais est obligée de se laisser faire, puisque c’est un ordre de la présidente. Mon érection a gagné de plus belle. J’ai une main plongée dans la chatte d’Aliénor et l’autre tient le plumeau qui caresse le ventre de ma sœur. Cette dernière est d’ailleurs prise de frissons.
— Ah, tu frissonnes… s’extasie Sarah. Moi aussi, ça me faisait frissonner. Tiens, fillot, montre-lui sur les tétons ; les miens pointaient comme des dingues.
Je suis sûr qu’en ce moment Élodie doit haïr marraine, mais elle n’en laisse rien paraître. J’amène donc le plumeau sur les seins de ma sœur, je les lui flatte du bout des plumes et finis par m’attarder sur ses tétons. Aliénor, la tête maintenant posée sur mon épaule, me regarde faire sans rien dire.
— Alors, Élodie, comment trouves-tu ta soirée d’initiation pour le moment ?
— C’est plutôt agréable, bredouille-t-elle avec un regard de plus en plus gêné. Et même excitant.
— Tant mieux.
Puis marraine met fin au supplice de ma sœur et la libère tandis qu’on l’appelle un peu plus loin. Marraine se lève et me laisse encore une fois avec Aliénor.
Cette dernière m’attire le visage pour me rouler des pelles. Après plusieurs minutes à l’embrasser ainsi et à lui peloter les seins, elle appelle Marie, la fille aux cheveux châtains qui se ramène à son tour avec son chariot.
— Alors, petite Marie, lui fait-elle, aimes-tu sucer des bites ?
— Euh, oui, j’aime beaucoup ça, lui répond-elle, hésitante.
— Très bien ; tu vas nous montrer ce que tu sais faire. Mets-toi à quatre pattes… Non, pas comme ça : tourne-toi sur le côté, que mon ami puisse voir ton joli petit cul. Oui, c’est ça ; tends bien ton cul en l’air. Écarte aussi les cuisses. Thomas doit avoir la meilleure vue possible.
Marie s’installe comme le lui a indiquée Aliénor en me lançant un regard furtif. Aliénor présente le gode devant la bouche et le lui enfonce. Marie se met alors à mimer une fellation. Aliénor me fait signe de profiter de la situation. C’est donc d’un geste plus assuré que précédemment que j’avance le plumeau à chats en direction de sa rosette. Les plumes lui chatouillent ainsi le trou de balle.
— Hum, il y a de la technique, lance Aliénor à Marie. T’as l’air en effet d’être une belle gourmande ; ça promet pour tout à l’heure…
Tandis que Marie continue de sucer amoureusement le faux pénis, je descends le plumeau et lui caresse les lèvres vaginales. Après quelques secondes, j’introduis ce plumeau à l’intérieur de sa chatte, ce qui lui fait lâcher un petit gémissement étouffé par la bite de caoutchouc qu’elle a dans la bouche. Après plusieurs allers-retours dans son vagin, je retire finalement le plumeau. Les plumes sont recouvertes de mouille ; l’une d’entre elles est même restée collée sur ses lèvres.
Aliénor lui retire finalement le sexe factice de la bouche et la libère.
— Votre attention s’il vous plaît ! lance la voix de marraine tandis que les cinq recrues amènent les chariots sur le côté et sortent de la pièce. Il est maintenant temps de passer à la seconde partie de la soirée, et à ce qui est véritablement la première épreuve de l’initiation. Nos cinq magnifiques beautés vont maintenant aller rejoindre chacune une salle. Il y a ce soir vingt-cinq mecs en tout. Elles auront donc pour mission d’en sucer cinq chacune et de ne pas en perdre une seule goutte. Seulement, elles auront les yeux bandés et ne sauront donc pas quels mecs elles sont en train de sucer. Il est formellement interdit de révéler son identité. Il est aussi interdit de leur maintenir la tête et de leur baiser la bouche. C’est à elles de faire le boulot. Profitez de ces bouches accueillantes ; laissez-vous faire et jouissez !
Marraine appelle ainsi les cinq premiers gars dont je fais partie. Elle désigne quatre des filles de seconde année et leur dit de mener les quatre autres gars aux filles. Elle me fait ensuite signe de la suivre et nous sortons à notre tour de la salle.
— J’ai un cadeau pour toi, fillot, me dit-elle tandis que nous marchons dans les couloirs déserts. Ça va te plaire !
— Un cadeau ? fais-je, surpris. C’est à dire ?
— Tu vas voir…
Nous arrivons ainsi devant une salle de cours où sûrement l’une des recrues est en train d’attendre. Mais laquelle ? Sarah m’indique d’y entrer et de ne rien dire. Je m’exécute alors et franchis la porte.
Je découvre finalement ce cadeau avec étonnement. Décidément, j’adore ma marraine ! Élodie est là, toujours aussi nue, à genoux et les yeux bandés.
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