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Le cocu content …

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Le soir de notre anniversaire de rencontre, j’ai offert à Valérie le bracelet qu’elle voulait tant, même si c’était une véritable petite folie. J’avais préparé un bon petit dîner en amoureux afin que la soirée se déroule parfaitement. Enfin presque tout, ma petite Valérie arrivant avec une heure de retard, folle furieuse après son patron et ayant en plus complètement oublié notre anniversaire. Dire que généralement, on pense que ce sont les hommes qui oublient les anniversaires !
Enfin la soirée ne se passe quand même pas trop mal, même si on est loin de ce que j’avais espéré. Valérie s’en rend d’ailleurs tout à fait compte et se confond en excuses toutes les dix minutes. Au milieu du repas je lui dis d’arrêter et de profiter plutôt de la soirée. Elle me regarde droit dans les yeux, puis glisse sous la table et entreprend une fellation dont elle a le secret. Evidemment nous n’avons pas mangé le dessert, la soirée se terminant au lit bien plus tôt que prévu. Durant les jours suivant, je sentais Valérie plutôt distante et tracassée. Je lui demandais pourquoi tant de soucis, elle me répondit qu’oublier l’anniversaire de notre rencontre était vraiment impardonnable de sa part.
Le samedi suivant, en rentrant de chez un ami, je trouve un mot de Valérie :

« Prends une douche et habille toi nous sortons ce soir. »

Vers 20 heures, fin prêt je me demande quelle surprise m’attend lorsque le téléphone sonne. Valérie m’annonce qu’elle vient me chercher en voiture dans 5 minutes. Le temps de fermer la maison et voici la voiture devant le portail. Mon amour est au volant, maquillée, un long manteau ne dévoile que ses jambes gainées de soie. Elle est splendide. Elle m’embrasse tendrement et me souffle à l’oreille :

— « Bon anniversaire mon amour, cette nuit est ta nuit…. »

Je frémis et me sens très fier d’être son mari.

— « Où allons-nous ? »
— « Nous allons dîner dans un endroit que tu ne connais pas ! »

Nous arrivons devant un restaurant assez sélect, je la regarde de plus en plus étonné. Nous rentrons, un serveur nous accueille et prend aussitôt nos manteaux et là j’ai eu le premier choc de la soirée.
Ma chérie, si discrète, porte un tailleur avec une minijupe. Visiblement la veste portée à même la peau est plus déboutonnée qu’il ne conviendrait, offrant à tous un décolleté étourdissant qui s’allonge presque jusqu’au milieu de ses seins. Je reste sans voix. J’entends Valérie qui prend les choses en main et se dirige vers notre table. Je la suis dans un état second, mais tout à fait conscient de l’effet produit sur le serveur et les autres convives attablés.
Tout en dégustant notre repas, Valérie m’explique sa petite mise en scène. Ce soir elle a voulu me faire plaisir et s’est donc acheté ce tailleur, des bas et un string. Je n’en reviens pas ! Et je dois dire que pendant qu’elle m’expliquait tout cela, je n’ai pu détacher mon regard de ses seins qui se balançaient librement sous sa veste. Je n’étais d’ailleurs pas le seul qu’elle envoûtait. Le serveur ne se gênait pas pour la regarder avec insistance, et plus particulièrement son décolleté. Une pointe de jalousie montait en moi lorsque Valérie me dit :

— « Il ne faut pas, après tout n’es-tu pas fier d’avoir une femme qui attire les regards? Laisse-moi faire et profite du spectacle. »

Sans me permettre d’esquisser la moindre parole, elle se lève et se dirige vers les toilettes. La plupart des hommes présents, moi compris, l’ont suivi du regard.
Au bout de quelques minutes elle est revenue, rayonnante, les yeux brillants d’excitation ; elle avait quelque chose de différent. C’est seulement lorsqu’elle s’est assise que je suis aperçu que son décolleté baillait franchement. Elle avait déboutonné encore plus sa veste et devenait ainsi très provocante. Franchement, elle m’épatait et m’excitait à la fois. L’excitation remplaçait petit à petit jalousie. Elle me chuchota alors :

— « Ce que tu ne sais pas, pas plus que les autres, c’est que je n’ai plus de string… »

Mon érection grandit encore au point de me faire mal dans mon pantalon. Le serveur vint alors et nous demanda ce que nous voulions tout en louchant dans le décolleté de Valérie. Elle fit mine de réfléchir tout en jouant avec le tissu de sa veste dévoilant discrètement un de ses beaux seins au regard avide du serveur. Une fois seuls elle me demande :

— « Tu as aimé ? »
— « Oui, mon amour »
— « Moi aussi cela m’excite. »

C’est dans une tension incroyable que nous terminons le dîner. Il est encore tôt pour rentrer et Valérie me propose de sortir danser un peu pour entretenir cette tension qui nous excite tant. Bien sûr j’accepte et lui laisse le choix de la suite de la soirée. Nous partons pour une sorte de piano bar dont nous avions entendu parler. Dans la voiture je caresse doucement ses cuisses et en remontant délicatement je m’aperçois qu’effectivement elle ne porte rien sous sa jupe et que son sexe est complètement inondé.
Nous arrivons rapidement à destination et découvrons l’endroit qu’un de nos amis nous avait chaudement recommandé. Lumière tamisée, ambiance feutrée quelques couples dansent au son d’un piano qui joue une douce mélodie. Nous nous installons un peu en retrait et commandons deux cocktails. Les sens de plus en plus échauffés par l’excitation et l’alcool Valérie me propose de danser. Doucement nous évoluons ainsi un long moment au milieu des autres danseurs. Je propose à Valérie un autre cocktail et la laisse près de notre table. Lorsque je reviens un homme d’une cinquantaine d’années l’invite à danser ; un bref regard dans ma direction pour demander mon accord et elle se dirige vers la piste au bras de son cavalier.
De ma place je peux les voir tourner doucement au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de l’homme qui commence à caresser le dos de ma femme. La jalousie, et l’excitation me reprennent. Un moment je capte le regard interrogateur de Valérie. Mes yeux brillants, mon sourire sont autant de oui à sa question muette : Bien sûr si tu le veux, laisse-le continuer, il n’y a pas de mal à se laisser un peu caresser le dos.
Je continue donc à observer ce couple, composé de ma chérie, l’amour de ma vie, et de cet inconnu dont les mains se font plus insistantes, plus pressantes. Ils se rapprochent lentement de notre table j’aperçois alors leurs corps serrés l’un contre l’autre dansant doucement. Ils ne sont plus qu’à deux ou trois mètres lorsque l’homme face à moi, regarde dans ma direction. Lentement sans lâcher une seule seconde mes yeux il se penche et embrasse délicatement ma femme sur l’épaule et remonte lentement vers le cou, puis la joue s’arrêtant juste à la commissure des lèvres.
C’est à ce moment précis que la musique cesse. Je vois alors Valérie remercier cet homme et venir me rejoindre.

— « Tu es en colère ? » Me demande-t-elle inquiète.
— « Non pourquoi le serais-je ? »
— « Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ? »
— « Si, je dois dire que j’ai aimé te voir danser avec lui, j’ai aimé le voir te caresser, t’embrasser. Et toi ? »
— « C’était très agréable ! »

C’est à ce moment là qu’intérieurement je me suis posé la question pour la première fois de savoir si cela me plairait qu’elle fasse l’amour avec un autre que moi. Prenant mon courage à deux mains je lui demande alors si elle aimerait danser à nouveau avec lui. Elle me regarde, interrogative mais ne répond pas. Quelques longues secondes s’égrènent, puis elle me dit :

— « Cette nuit est ta nuit. Je t’aime. Je ferai ce qu’il te plaira. »

Nous sommes restés de longues minutes à nous regarder, à nous embrasser. Enfin je lui dis :

— « Ecoute mon amour, je sais que tu adores danser et je ne voudrais pas te priver. Vas-y si tu en as vraiment envie. »

Elle me sourit, m’embrasse, puis se lève lentement et se dirige vers la piste de danse. Au bout de quelques minutes l’homme revient et se met à danser devant elle. Petit à petit ils s’écartent du centre de la piste pour se retrouver dans un coin assez sombre qui est proche de notre table. Le style de ma femme jusque là assez sage dévie lentement vers une danse de plus en plus sensuelle voire lascive. Je regarde fasciné ma chérie adorée exécuter une espèce de parade amoureuse qui n’a pour but que d’exciter le mâle qui se trouve devant elle.
L’homme se rapproche d’elle, lui chuchote quelque chose à l’oreille. Valérie le regarde et lui sourit. Ils se remettent alors à danser l’un contre l’autre, bougeant au rythme de la musique, rapprochant toujours un peu plus leurs corps jusqu’à se coller. Mon excitation grandit encore bien que mes sentiments soient plus axés sur la jalousie et la colère. Voir ma femme aussi calme, aussi décontractée dans les bras de cet homme me fait mal.
Je la vois alors me regarder et articuler distinctement : « Pour toi, je t’aime ».
Ma tension intérieure chute brutalement et je lui souris. Elle regarde alors son cavalier et l’embrasse sur la bouche. Pas un baiser du bout des lèvres, mais un baiser profond, sensuel. Les mains de son cavalier descendent doucement sur les fesses de Valérie pour l’obliger à se plaquer encore davantage à lui. Ils dansent ainsi quelques minutes se rendant caresses et baisers. À la fin de la série, l’homme la prend par la main et l’attire vers sa table où ils retrouvent un autre couple. Je les observe, toujours plus excité, elle rit, boit un peu, rit encore ; elle est belle, désirable…
Son cavalier pose sa main sur sa cuisse et commence à la caresser. Elle me regarde interrogative. Je lui fais à nouveau un grand sourire qui a pour effet de la détendre complètement. Elle s’appuie sur le dossier de la banquette et se laisse aller pour mieux apprécier. Lentement la main remonte vers le haut de sa cuisse dévoilant mon ange toujours un peu plus. L’autre couple décide alors d’aller danser. Sans doute se sentent-ils de trop. L’homme est en train d’embrasser Valérie lorsque sa main effleure sa toison brune. Il marque un temps d’arrêt, puis reprend son exploration. Même s’ils sont un peu abrités par la semi-obscurité et par la situation géographique de la table qui est assez éloignée de la piste de danse, le spectacle de ma chérie la jupe complètement remontée ne peut pas échapper à toute l’assistance. Je regarde rapidement autour de moi, un peu affolé. Je ne repère personne d’autre que le couple de tout à l’heure semblant s’en être aperçu. L’homme continue de caresser Ludi tendrement. Puis lui a chuchoté quelque chose et s’est dirigé vers la sortie. Valérie est venue me rejoindre, les yeux brillants.

— « Je t’aime », me dit-elle.
— « Moi aussi. Mais pourquoi est-il parti ? »
— « Il m’attend dehors, seule… »
— « Que comptes-tu faire mon amour », demandais-je inquiet.

A ce moment, mes sentiments étaient tellement confus que je ne savais même pas quelle réponse je souhaitais entendre. Elle me regarde dans les yeux et me répète pour la troisième fois de la soirée :

— « Cette nuit est ta nuit. Je t’aime. Je ferai ce qu’il te plaira. »

Le problème c’est que je ne savais plus ce que je voulais ! Je suis resté un long moment sans rien dire, juste lui caressant les cheveux. Enfin je romps le silence :

— « Où t’a t-il proposé ? »
— « Je lui ai dit chez nous. »
— « Vas-y mon amour si tu le désires. »
— « Rejoins-moi à 4 heures. Je serai alors toute à toi mon amour. »

Elle m’embrasse tendrement, se redresse devant moi, déboutonne totalement sa veste de tailleur, prend son sac, traverse toute la salle et sort. Je reste seul, rempli de sentiments contradictoires, il est à peine minuit.
Les quatre heures suivantes se traînent lamentablement. Je danse un peu, discute beaucoup avec le barman. Je suis dans un état d’excitation incroyable.
Il est quatre heures pile lorsque je rentre chez moi. J’ai croisé une voiture à moins de deux cents mètres de ma porte d’entrée. À cette heure, il y a fort à parier… Je monte directement dans notre chambre. Valérie est là, étendue sur le lit conjugal. Je la regarde, elle est encore plus belle. Je m’approche et l’embrasse tendrement sur le front. Son odeur est brouillée par celle d’une eau de toilette pour homme. Je descends mes lèvres vers les siennes. Une autre odeur dont je devine l’origine, le sperme de son amant, chatouille mes narines. Une érection se déclenche immédiatement.

— « Mon amour, je t’aime. »
— « Moi aussi, je t’en supplie crois-moi ! »

Je lui souris. Je continue de descendre lentement vers ses seins tout en déposant de petits baisers.

— « S’il te plait laisse-moi me laver. »
— « Non ! Je te veux ainsi. »

Je descends jusque vers son sexe et là, je vois sa vulve luisante de sperme. Valérie me regarde inquiète. Je suis fasciné par ce spectacle, par l’odeur de sexe qui imprègne la pièce, par la « dépravation » de mon ange qui s’est donnée sans retenue à un inconnu. Je me déshabille rapidement et viens me blottir contre elle. Je la rassure par des mots tendres et beaucoup de douceur. Enfin elle commence son récit :

« Il lui avait demandé de venir le rejoindre seule, mais que si elle le faisait, elle devait aussi lui montrer qu’elle irait jusqu’au bout. C’est pourquoi elle a traversé toute la salle la veste déboutonnée. Une fois sortie elle a rejoint l’homme qui l’attendait près de sa voiture. Puis rapidement elle est montée et a indiqué le chemin jusqu’à notre maison. Le trajet s’est déroulé dans une tension extrême. Une fois arrivés à destination l’homme a dit doucement : Tu es prête ?
Ils sont montés directement dans notre chambre, se sont embrassés longuement tout en se déshabillant mutuellement. Il l’a longuement embrassée, léchée avant de venir sur elle. Ils se sont regardés dans les yeux, puis tout doucement il est entré en elle. Il est resté quelques secondes sans bouger, pour qu’elle s’habitue à l’idée d’un autre sexe que le mien en elle. Puis il a commencé de lents et longs va-et-vient jusqu’à ce qu’elle mette ses jambes sur ses reins comme un signal d’acceptation.
Ils ont fait l’amour sans s’arrêter pendant presque trois heures. De son propre aveu, Valérie devenait plus « chienne » à chaque minute. Elle l’a sucé longuement, s’est mise en levrette, lui a demandé d’être plus violent, de lui tirer les cheveux… »

Pendant son récit, je me suis mis sur elle afin de la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant qu’elle me racontait sa nuit d’amour. L’excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle, mon sperme rejoignant celui de son amant. Je l’ai regardée alors pour lui dire combien je l’aimais… Elle m’a simplement répondu avec un grand sourire : «je t’aime aussi».
Lentement je suis descendu jusque vers sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que j’avais moi-même déposé.
Au bout de quelques minutes, Valérie s’est mise sur le ventre, découvrant son joli fessier avec comme seul commentaire :

— « N’oublie rien mon amour. »

Tremblant, redoutant ce qui va suivre, je prends ses jolies fesses dans mes mains et les écartent doucement. Son anus dilaté recrache un liquide blanc. Bien qu’elle ne m’ait jamais autorisé la sodomie, je l’ai quand même nettoyée avec application.
Nous nous sommes endormis l’un contre l’autre serrés. Au petit matin j’ai découvert une nouvelle Valérie, plus coquine, plus sensuelle. Seule une trace de morsure sur l’épaule, faite par son amant d’un soir, nous a rappelé la folle nuit que nous venions de passer.
Quelques semaines plus tard, nous venions de faire un câlin lorsque dans l’intimité de notre lit Valérie s’est mise à reparler doucement de cette soirée. Je fus à la fois surpris et excité à l’évocation de cette nuit pendant laquelle ma si délicieuse femme s’était donnée sans retenue à un inconnu. Elle m’avoua alors tout le plaisir qu’elle avait eu, aussi bien physique que cérébral. Je l’ai caressée durant sa confession, réveillant son envie.
Immédiatement mon sexe s’est durci, une envie irrépressible est montée en moi et en elle. Nous avons refait l’amour sauvagement, violemment tellement l’excitation était grande.
Une fois calmés, nous avons rediscuté plus calmement de cette soirée et de cette envie d’aventures.
Valérie m’avoua alors l’émoi ressenti dans son rôle de femme sexy, de femme facile et devant le comportement des hommes à son égard. Mais si elle voulait recommencer, ce n’était qu’à la condition de le faire en ma présence. Je lui dis alors que je voulais moi aussi la voir ainsi parce que j’aimais cela.
Ce fût une sorte de libération pour elle ; Valérie se posait beaucoup de questions sur elle, sur moi, sur notre couple depuis ce soir-là. Je la rassurai alors définitivement en lui disant que je voulais la voir faire l’amour avec d’autres hommes.
Quelques jours plus tard, un vendredi soir, je dis à Valérie :

— « Nous sortons ce soir. »
— « Où cela ? »
— « Tout d’abord un restaurant, puis tu verras… »

Elle me regarde, une lueur coquine dans les yeux, et part vers la salle de bains pour se préparer. Une fois sous la douche, je prépare ses affaires achetées pour l’occasion en les disposant sur le lit : porte-jarretelles noir, bas, chemisier noir transparent, une veste noire et une jupe fendue sur le devant.
Elle sort de la salle de bain, parfumée et maquillée, portant juste une serviette. Dieu que ma femme est belle ainsi !
Je la croise et entre à mon tour dans la salle de bain sans un mot. Elle entrouvre la porte juste quelques minutes après et me demande doucement :

— « Chéri, tu n’as rien oublié ? »
— « Si tu fais allusion à des dessous, je te réponds que c’est une perte de temps pour une fille facile comme toi. »

Mes propos l’ont touchée, elle m’a regardé avec un air étrange, mêlé d’excitation et de colère. Je décide alors de pousser le jeu un peu plus loin pour tester sa réelle volonté.

— « Et tu n’oublieras pas de te maquiller un peu plus, je te trouve un peu fade. »

Ce fût comme une gifle. Elle baissa les yeux, indécise. Mais rapidement je la rassure en lui disant :

— « Je te veux très chaude ce soir, pour notre plaisir à tous les deux. Je t’aime. »

Elle me regarde alors et me dit qu’elle m’aime aussi. Nous finissons de nous préparer chacun de notre côté.
Nous montons dans notre voiture direction le restaurant de notre fameux anniversaire. À peine assis, je l’embrasse amoureusement et la félicite pour sa beauté. Nous roulons quelques minutes sans un mot, chacun pensant aux évènements qui ne manqueront pas de se produire.
Une fois arrivés, nous dégustons un merveilleux repas largement arrosé, surtout pour Valérie, sous l’œil intéressé du serveur qui nous a reconnus dès notre entrée.
Juste avant le café je suggère à ma femme si sexy ce soir de remercier le serveur qui s’est si bien occupé de nous. Elle me regarde interrogative. Puis doucement écarte un peu les pans de sa veste. Ses seins sont parfaitement visibles au travers de son chemisier, ses tétons tendant le tissu. Le serveur se délecte de la vue, je suis sûr qu’il est lui-même très excité. Nous finissons notre café et quittons le restaurant.
Tout en marchant en direction de notre voiture nous parlons du serveur.

— « Tu as aimé t’exhiber devant lui ? »
— « Oui beaucoup, je suis très excitée tu sais. »
— « Moi aussi… Veux-tu continuer et aller plus loin ? »
— « Oui mon amour. »
— « Alors je te propose une chose : je veux te voir très très chaude, j’aimerai voir une Valérie sans aucune gène, aucune limite. »
— « Mmmm, je le veux aussi. Merci de me comprendre si bien et de m’aimer autant. »

Nous montons en voiture et nous nous dirigeons vers le piano-bar pour continuer de suivre le déroulement de notre soirée d’anniversaire.
Nous entrons et prenons place à une table isolée et loin de la piste de danse. Nous nous embrassons, nous nous disons des mots doux, des mots d’amour. Petit à petit, nous sentons tous les deux que le temps de passer aux choses sérieuses est venu.

— « Tu viens danser ma chérie. »
— « Oui »

Nous nous dirigeons vers la piste de danse. L’alcool, la musique, l’érotisme de la soirée emportent Valérie dans un tourbillon sans fin, elle devient plus chatte, plus coquine. Un moment les mouvements des autres danseurs nous éloignent l’un de l’autre. J’en profite pour me reculer franchement et observer ma douce épouse se trémousser au son de la musique.
Plusieurs hommes se rapprochent d’elle. Ils dansent avec elle. Mon cœur s’accélère. Puis d’un coup, je reconnais l’un d’eux. C’est son amant d’un soir ; un terrible doute s’insinue en moi, et si c’était voulu, calculé ? Mais non après tout ce n’est pas possible, c’est moi qui ai choisi le programme de la soirée.
L’homme prend Valérie dans ses bras et l’embrasse sur la joue. Un baiser appuyé, tendre. Ils parlent quelques secondes, puis Ludi me cherche des yeux. Nos regards se croisent enfin. Ses yeux dans mes yeux, elle prend entre ses mains la tête de son partenaire et l’embrasse sur la bouche longuement. Ils se remettent à danser tout en se souriant.
Je commande deux nouveaux cocktails et regagne notre table tout en les surveillant. Après quelques minutes ils me rejoignent. Il s’appelle Jacques et semble extrêmement décontracté. Valérie et moi le sommes beaucoup moins… Nous engageons la conversation sur des sujets tout à fait banals. La gène commence à nous gagner tous les trois. Valérie prend alors les devants en prenant la main de Jacques dans la sienne. C’est comme un signal ; il me regarde, je lui souris lui confirmant ainsi mon accord. Il se tourne vers Ludi et l’embrasse tendrement sur la bouche. J’imagine leurs langues se joindre, s’enrouler, se lover l’une contre l’autre. Je suis fou d’amour pour elle, dans un état d’excitation indescriptible. Jacques me regarde et me complimente :

— « Votre épouse est véritablement superbe, vous formez un très beau couple. »
— « Merci, mais ce soir il ne faut pas la considérer comme mon épouse, mais seulement comme une femme libre. »

Valérie me regarde, rayonnante. Dieu qu’elle est belle. Puis doucement elle retire sa veste dévoilant à Jacques sa poitrine qui se dessine très distinctement sous son chemisier très transparent. Il est sous le charme, moi aussi d’ailleurs.

— « Libre de repartir danser avec moi ? Le voulez-vous Valérie ? »

Valérie, après un bref moment d’hésitation, me regarde et répond :

— « Oui, totalement ! »

Ils repartent danser, la tenue de Valérie attirant tous les regards ; ceux des hommes qui se régalent ainsi que ceux des femmes beaucoup plus énervées.
Après quelques danses Valérie revient me rejoindre, seule. Elle est un peu honteuse de sa conduite, la danse l’ayant quelque peu dégrisée. Je la rassure, l’embrasse et lui propose de décider la suite de la soirée.

— « Jacques va revenir dans quelques minutes, il discute avec un ami. Je crois qu’il veut nous le présenter. »
— « Que désires-tu ? »
— « Tu veux toujours me voir avec un autre homme ? »
— « Oui mon amour. »
— « Alors attendons-le. »

Quelques minutes plus tard Jacques revient avec son ami. Il est plutôt petit, un peu bedonnant, pas franchement beau, mais son sourire illumine son visage qui dégage une grande douceur. Je sens Valérie un peu réticente au premier abord, mais la voix douce de Jean-Louis, le nouvel arrivant, finit par la rassurer. Nous buvons alors un autre cocktail pour faire connaissance, l’ambiance se détend doucement. Valérie est assise entre les deux hommes.
Je l’observe, fier de l’avoir pour femme. Jacques lui chuchote quelques mots à l’oreille. Elle le regarde et l’embrasse longuement. Un pesant silence autour de la table s’est créé. Nous nous regardons avec Jean-Louis. Puis dans un même mouvement, Valérie cesse d’embrasser Jacques, tourne la tête et tend ses lèvres entre-ouvertes à Jean-Louis qui, après un rapide coup d’œil dans ma direction, embrasse mon ange à son tour.
La voir embrasser sans aucune gène un autre homme me donne un choc. Elle réalise cela sans aucun déplaisir, bien au contraire. Je la vois à présent différemment, la jalousie montant en moi, ou plutôt l’énervement et une forme de haine s’emparant de moi. Valérie qui me connaît bien le détecte immédiatement. Elle dit alors tout haut :

— « Sachez messieurs que j’appartiens à mon mari et à personne d’autre. C’est lui que j’aime et que j’aimerai toujours, même si ce soir je me donnerai à vous… C’est pour lui avant tout que je le fais. »

Même si cette dernière phrase n’est pas tout à fait vraie, elle m’ôte tout sentiment de colère et attise mon envie.
Jacques propose alors d’aller tous les quatre dans un hôtel qu’il connaît pour continuer plus au calme cette soirée si bien commencée.
Nous montons alors dans sa voiture, Valérie et Jean-Louis à l’arrière, moi à l’avant. À peine démarré, j’entends des bruits suspects derrière moi. Je me retourne et les vois qui s’embrassent à pleines bouches. Valérie prend alors la main de Jean-Louis et la guide entre ses cuisses largement écartées. Horrifié j’entends alors Jean-Louis dire tout haut à son copain :

— « Elle est trempée ! »

Valérie que j’imaginais plus prude, comme quoi on ne connaît jamais vraiment les gens, lui répond :

— « Oui, je suis à vous ce soir ! »

Nous sommes arrivés sur le parking de l’hôtel, Jean-Louis avait encore ses doigts dans le sexe de ma femme. Il les retire enfin et lui donne à lécher. Puis nous sortons de la voiture. Ma petite femme adorée est dans un état second, prête à tout, moi aussi d’ailleurs. Nous entrons et prenons une chambre sous le regard amusé et envieux du veilleur de nuit.
A peine arrivés dans la chambre, Jacques retire alors la veste de Valérie, ouvre largement son chemisier et retire sa jupe. Il lui demande alors d’aller nous chercher du champagne dans le frigidaire. Elle traverse la pièce devant nous, presque nue, impudique, le sourire aux lèvres. Dieu qu’elle est belle, Dieu que je l’aime. Elle nous ramène la bouteille docilement. Jean-Louis l’invite à boire encore et encore.
Puis elle se dirige vers moi m’embrasse et en profite pour me déverser de sa bouche dans la mienne une petite rasade de champagne. Elle se relève va vers Jacques et fait de même, puis vers Jean-Louis. À chaque passage nous en profitons pour caresser ses seins, ses cuisses, pour la pénétrer de nos doigts avides. Nous finissons bientôt la bouteille ainsi. Elle est, sous l’effet de l’alcool, de l’excitation et de l’envie de plus en plus chaude, de plus en plus impudique, de plus en plus indécente. Jacques me chuchote :

— « Tu regardes seulement ou tu participes ? »

L’entendre parler comme cela de ma femme et de ce que cela suppose m’électrise littéralement. Je lui réponds de commencer sans moi pour l’instant.
Il se déshabille rapidement, Jean-Louis aussi d’ailleurs, et prends Valérie dans ses bras. Ils esquissent quelques pas de danse, je vois le sexe dressé de Jacques se perdre dans la toison de mon amour. Ils s’embrassent. Jean-Louis vient se coller au dos de Valérie et lui mord doucement les épaules, le cou. Je m’assois dans un fauteuil tout en sortant mon sexe pour le caresser.
Lentement Jacques lui retire son chemisier. Elle est à présent presque nue, seulement vêtue de son porte-jarretelles, de ses bas et de ses talons hauts. Jean-Louis lui appuie fermement sur les épaules, lui intimant ainsi de s’accroupir. Elle se retrouve ainsi accroupie entre ses deux inconnus leurs deux sexes à hauteur de son visage. Elle est face à moi. Tout en attrapant ces deux queues elle me regarde dans les yeux avec un grand sourire, écarte largement les cuisses et articule distinctement sans un son : « Je t’aime ».
Valérie, ma tendre chérie, prend alors ces deux queues dans sa bouche et commence à les sucer. Les deux hommes prennent chacun un sein et le malaxe, le tire, le caresse. Je suis au bord de l’explosion, mais je ne veux pas jouir maintenant.
Les deux hommes apprécient visiblement. Au bout de quelques minutes, ils se séparent, Valérie ne suçant plus que Jacques qui doucement s’agenouille. Jean-Louis de sa voix douce lui dit :

— « Regarde bien ton homme, pendant que je te pénètre. »

Il la prend alors par les hanches et doucement entre en elle. Mon tendre amour gémit rapidement sous les coups de boutoirs qui se font rapidement de plus en plus violents. Jacques sort sa queue et caresse le visage de Valérie. Je suis devant un spectacle magnifique. Je n’ose plus me toucher de peur de jouir. Jean-Louis dans un râle s’arque boute, la prend par la taille pour s’enfoncer au maximum et jouit en elle tout en mordant sa tendre épaule. Valérie pousse elle aussi une plainte, signe de sa jouissance. Au bout de longues secondes Jean-Louis se retire, je me lève et vois alors la chatte béante de ma femme d’où s’écoule un filet de sperme. Jacques qui a vu mon regard me dit :

— « Approche-toi et admire la chatte de ta femme qu’on a bien ouverte ! »

Sans une seconde d’hésitation je m’agenouille et sous le rire des deux compères je contemple la vulve souillée, la chatte dégoulinante de sperme de ma petite femme. Puis, Jacques fait monter Valérie sur le lit et la couche sur le ventre. J’imagine sans mal la suite ! Moi qui n’ai toujours pas eu droit à ses reins, elle va se donner une deuxième fois.
Effectivement il se positionne au-dessus d’elle et très lentement, avec beaucoup de douceur, il fait pénétrer son sexe entre les fesses de ma femme. Je me rapproche et chuchote doucement à l’oreille de Valérie que je l’aime… Elle m’entend à peine.
Jean-Louis se caresse, Jacques s’active longuement entre ses reins. D’abord lentement puis avec de plus en plus de force. Je vois sa longue queue entrer et sortir du cul de Valérie. La chambre est saturée d’odeur de cyprine, de sperme, de sueur. Mon cœur s’affole, mon sexe aussi, je jouis sur le visage et les cheveux de ma tendre chérie. Jacques et Valérie jouissent quelques secondes plus tard. Nous restons de longues minutes silencieux dans cette ambiance de sexe ; repus. Lentement nous émergeons de notre torpeur.
Valérie me chuchote que nous devrions rentrer à présent. J’acquiesce et prends congés de ses deux amants d’un soir. Valérie me chuchote alors que le taxi arrive qu’elle sente le sperme couler le long de ses jambes. Je la regarde et l’embrasse tendrement.
Nous nous asseyons à l’arrière, Valérie au milieu de la voiture serrée contre moi. Tout en l’embrassant je glisse ma main entre ses cuisses humides pour la forcer à les écarter. Si le chauffeur a la bonne idée de regarder, tant mieux pour lui !
Arrivés directement à la maison, nous avons fait l’amour avant même d’être arrivés dans notre chambre. J’ai dorloté ma petite Valérie tout le reste du week-end et je compte bien le faire tout le reste de notre vie.
Nos deux précédentes aventures ont considérablement changé notre vie de couple en la pimentant et nous faisant découvrir d’autres facettes de nos personnalités. Nous en avons reparlé et Valérie m’a avoué très rapidement cette fois vouloir franchir encore un peu plus loin la limite de ce que son éducation lui avait interdit jusqu’à ces dernières semaines.
Nous avons décidé, d’un commun accord de laisser les choses se faire d’elles-mêmes, sans les provoquer cette fois-ci.
En fait nous n’avons pas attendu longtemps ! Quelques jours plus tard après nos discussions, un soir vers 21 heures le téléphone se met à sonner ; Valérie étant la plus proche répond :

— « Allo »
— « … »
— « Oh bonsoir Jacques, comment allez-vous ? »

Mes oreilles se dressent et je me rapproche.

— « … »
— « Bien merci »

Après quelques civilités d’usage, la tournure de la conversation prend une direction beaucoup moins classique et je vois ma Valérie qui finalement s’assoit en face de moi et me regarde l’œil brillant.

— « Oui nous en avons reparlé avec mon homme. Nous avons beaucoup aimé cette soirée. »
— « … »
— « Je ne pense pas qu’il soit opposé à ce que nous nous revoyons. »

J’acquiesce de la tête sans trop bien comprendre ce qui se trame. Jacques lui parle longuement, Valérie lui répondant juste par oui ou par non. Au bout de quelques minutes elle conclut la conversation par ces mots :

— « Moi aussi Jacques, je vous embrasse tendrement. Je suis à vous. »

Valérie raccroche, et me regarde. Elle s’approche de moi, me sourit.

— « C’était Jacques, il a trouvé notre numéro sur le net via notre adresse. Il désire vraiment nous revoir et s’est donc permis de nous appeler. »
— « Nous revoir, ou te revoir ? »
— « Me revoir en fait, enfin principalement moi. Il nous invite à dîner. »
— « Qu’as-tu répondu ? »
— « J’ai accepté. »

Là je dois dire que j’avais l’impression que la situation m’échappait totalement, sans aller d’ailleurs avec une certaine dose d’excitation.
Puis Valérie poursuivit :

— « Chéri, tu connais la règle que je n’ai moi-même pas oublié ! Je reste ta femme avant tout ; ce ne sont que des expériences physiques et en aucun cas autre chose. Mais si tu ne veux pas continuer dans ces conditions, je me plierai à ta volonté. »
— « Que t’a t’il proposé exactement ? »
— « De dîner prochainement, et d’y passer la soirée bien sûr. »
— « Pour ?… »
— « Nous deux, il a également précisé qu’il y aura des surprises. »
— « Franchement Valérie tout cela commence à m’inquiéter un peu. Je ne voudrais pas mettre en péril notre amour. »
— « J’ai très envie d’y aller. Découvrir, avec toi, de nouveaux plaisirs met mes sens en émoi ! Mais j’insiste, cela ne peut se faire qu’à deux. Je t’aime et je désire avant tout notre bonheur. Ecoute, Jacques doit nous envoyer quelques petits conseils et quelques éléments concernant la soirée. Si tu le veux, on attend de recevoir cette lettre et on décide après. »
— « Ok »

Nous n’en avons pas reparlé pendant deux jours, néanmoins chacun de nos regards était chargé d’envie, de désir et surtout de défi. Qui se dégonflera ?
Enfin nous reçûmes cette lettre tant désirée, enfin plutôt les lettres : une pour Valérie, une pour moi, avec interdiction de lire celle de l’autre.
La mienne disait en substance :

« Votre charmante épouse est informée des grandes lignes de la soirée et, en acceptant de répondre positivement à mon invitation, accepte donc librement les évènements qui en découleront. Elle pourra se retirer du jeu quand elle le voudra dès lors qu’elle prononcera les mots suivants « S’il vous plait arrêtons-nous là ».
Quant à vous, vous serez libre de participer comme bon vous semble ainsi que d’arrêtez le jeu par les mêmes mots que votre épouse. Néanmoins par expérience je vous conseille de la laisser choisir le moment.
Je vous remercie d’apporter un soin particulier à votre tenue… »

Ainsi seule Valérie avait le programme de la soirée. Ma lettre n’avait que pour seul but de me rassurer. Elle a donc toutes les cartes en mains et peut donc seule décider. Je regarde alors Valérie qui lit avec beaucoup d’attention sa propre lettre. Son sourire d’envie se fige peu à peu en une espèce de grimace que je ne sais interpréter. Elle lève enfin les yeux et me fixe. Nous restons quelques secondes les yeux dans les yeux sans rien dire. Puis elle me déclare fièrement qu’elle aimerait beaucoup aller à cette soirée à la seule condition que j’accepte.
La manière avec laquelle elle me demande mon autorisation, marquée à la fois par du respect, de l’amour, du défi m’excite. Dieu comme je ne connais pas ma femme ! Je ne peux qu’accepter l’invitation en notre nom à tous les deux.
Valérie se rapproche de moi, m’embrasse tendrement. Nos langues se cherchent, se trouvent, se lient… Une nuit torride s’annonce !
Nous sommes invités le vendredi soir suivant, nous n’avons que 2 jours. Valérie prend son jour de congé pour bien se préparer me dit-elle.
Je rentre vers 18h30 et je trouve sur la table de l’entrée juste un petit mot d’elle :

— « Je passe te prendre vers 20h. Je t’aime à la folie. »

20h juste : un coup de klaxon devant la porte. Je sors et rejoins mon ange dans la voiture. Un doux parfum monte vers mes narines. Elle est là près de moi, belle, maquillée, désirable, le sourire aux lèvres, dans son manteau qui me cache sa tenue. Ma main s’avance vers sa cuisse en éclaireur, elle me repousse gentiment.

— « Puisque je ne peux en voir plus peut-être me diras-tu où nous allons ? »
— « Chez Jacques, ce n’est qu’à quelques kilomètres. »

Nous arrivons au pied d’un bel immeuble. Je regarde ma petite femme adorée et lui dis simplement :

— « Es-tu prête ? »
— « Et toi l’es-tu ? »
— « Oui. »

Nous descendons de la voiture et nous nous dirigeons vers l’entrée. Sans un mot nous prenons l’ascenseur. Arrivés au sixième étage, je vois ma tendre Valérie sortir un objet noir de son sac à main puis me demander :

— « Aide-moi à mettre mon masque s’il te plait. »

Une fois en place, celui-ci lui cache uniquement les yeux, le bas du visage disparaissant sous une fine voilette noire également. C’est incroyable, le masque cache ses traits si bien qu’elle n’est pas reconnaissable, pourtant à l’évidence il ne peut y avoir de doute sur son identité lorsqu’on la connaît bien. C’est très troublant.
Elle sonne à la porte. Jacques nous ouvre rapidement.

— « Bonsoir, vous êtes les bienvenus dans ma demeure. »

Je lui serre la main un peu angoissé. Valérie reste là entre nous deux. Un moment de flottement puis j’interviens :

— « Ma chérie peut-être devrais-tu embrasser notre hôte. »

Il se rapproche d’elle et tendrement lui dépose un baiser sur les lèvres. Puis il la débarrasse de son manteau. Enfin je peux voir son accoutrement ; robe noire dos nu descendant jusqu’au bas des reins et s’arrêtant au-dessous des genoux tout en étant largement fendue sur le devant, visiblement pas de soutien-gorge, escarpins noirs, probablement des bas. Très classe et follement aguichante. Pourtant un petit quelque chose me tracasse, un je ne sais quoi qui me trotte dans la tête. Tout d’un coup j’aperçois une chaînette autour de la taille de Valérie, ce qu’elle n’avait jamais voulu mettre pour moi. Elle se rapproche et me chuchote :

— « Jacques pense que je l’ai mise à sa demande. Mais mon amour c’est uniquement pour toi que je l’ai mise, pour te prouver mon attachement à toi, même si ce soir pour tous elle aura une signification différente. »

Je reste sans voix ne réussissant qu’à lui sourire. Puis soudain je comprends le sens de ses paroles : ce soir aux yeux de tous, sauf aux miens, elle appartient à Jacques.
Quelques minutes plus tard un couple arrive à son tour ; ils sont visiblement très à l’aise. Jacques et Valérie les accueillent. Je reste en retrait comprenant rapidement que mon rôle est d’être spectateur.
Un jeune homme nous sert du champagne. Rapidement l’ambiance se détend. Nous prenons place autour de la table. Valérie nous offre un succulent dîner, agrémenté de délicieux vins. Nous passons une excellente soirée dans une ambiance feutrée.
Après le café, au son des notes de musique les deux femmes se mettent à danser, bientôt rejointes par l’homme du couple, l’ambiance monte alors d’un cran ; la femme se fait embrasser par Jacques sous le regard de son mari.
Jacques se tourne vers Valérie et lui demande d’aller l’embrasser. Sans hésiter, docilement, ma chère femme traverse le salon et embrasse profondément cet inconnu. Décidément je ne m’habitue pas ! D’autant plus que je constate que Valérie met tout son cœur à l’ouvrage !

— « Assez ! Tonne Jacques. Seulement l’échantillon est gratuit. Si cela t’intéresses tu sais ce qu’il te reste à faire. »

Je regarde ma tendre chérie interloqué par ce que je viens d’entendre, et complètement stupéfait par sa réaction. Sans un regard pour l’homme, les yeux baissés elle se recule soumise à Jacques qui me regarde en souriant. L’homme regarde Valérie et demande à voir.

— « Tu vas voir que je l’ai préparée pour toi ce soir. »

Jacques se positionne derrière mon ange et lentement écarte le bas de sa robe noire. Les bas apparaissent aux yeux de tous, puis ses cuisses blanches, puis enfin son pubis complètement rasé portant une petite lettre « J » en bas du ventre !
Impudique, obscène, ma femme est offerte comme une vulgaire pute. Je vais crier grâce à cette soirée lorsque je vois Valérie qui, d’elle-même, commence à dénouer le haut de sa robe afin de libérer ses seins. Je sens une présence derrière moi. C’est la femme qui vient se coller à moi, qui m’embrasse dans le cou, me caresse lascivement. Mon excitation est à son comble. Je ne sais plus que penser.
J’aperçois l’homme donner des billets à Jacques puis emmener Valérie dans une pièce voisine. Je ne peux plus réagir, je ne le veux plus, je veux moi aussi avoir du plaisir. Je me laisse aller totalement dans les bras de cette femme sensuelle. Je sens des mains me caresser, puis ouvrir ma braguette et libérer mon sexe. Elle m’embrasse avec beaucoup de sensualité lorsque je sens une autre bouche sur mon sexe ! C’est le jeune serveur, qui agenouillé devant moi, commence une fellation. Je ne veux pas qu’elle cesse et malgré tous mes préjugés je le laisse donc faire. Au bout de quelques minutes, la femme me chuchote à l’oreille :

— « Pour moi, prends-le dans ta bouche. »

Je la regarde tétanisé !

— « Suce-le et baise-moi après. »

Le vocabulaire cru, l’ambiance, l’érotisme de la soirée m’ont fait accepter ! Je le relève, il veut m’embrasser, je détourne légèrement la tête, puis me glisse jusqu’à son sexe déjà en érection. Je le masturbe un peu, c’est étrange de sentir une autre queue que la mienne dans ma main. Lentement ma bouche s’approche, et accueille ce membre jusqu’au fond de ma gorge. J’ai un haut le cœur puis commence à le sucer comme j’ai vu faire ma tendre Valérie.
La femme se couche prêt de nous elle se caresse la chatte longuement tout en me masturbant. Nous sommes là tous les trois concentrés sur nos émotions, nos sensations. La femme me tire sur le sexe tout en répétant un mot comme un leitmotiv. Je finis par comprendre « viens ». Je me couche sur elle, délaissant le jeune homme, et d’un coup la pénètre jusqu’à la garde. Elle gémit. Nous faisons l’amour sauvagement. Enfin je ne peux me retenir plus longtemps et me laisse aller au fond de la femme qui jouit elle aussi.
Je reprends mes esprits pour entendre Valérie gémir dans la pièce d’à côté.
Lentement je me lève et m’approche de la porte. Elle est en levrette sur le lit, l’homme la baisant avec ardeur. Ces mots crus me semblent de rigueur tellement le spectacle est hallucinant : ma tendre Valérie, nue, à quatre pattes, les seins tressautant à chaque pénétration, se faisant prendre contre de l’argent. Mon érection repart immédiatement. J’entends Jacques me dire :

— « Si tu veux tu pourras la prendre aussi. »

Dans un état second je m’entends répondre :

— « C’est combien ? »
— « 100 euros pour toi. Je prends les chèques. »
— « Ca marche. »

Je ressors rapidement et remplis à la hâte un chèque. En revenant dans la chambre je vois l’homme qui dans un râle s’écroule sur Valérie se vidant en elle.
Il se relève à peine que je me jette sur Valérie et la pénètre d’un coup. Elle sursaute. Sa chatte largement ouverte m’accueille sans problème. Je la pistonne brutalement, comme pour me venger d’elle, de sa perversité, de sa débauche. En fait plus je suis violent plus elle semble aimer.
Malheureusement je ne peux tenir longtemps et je me déverse en elle au bout de quelques petites minutes.
Jacques me regarde en souriant une coupe de champagne à la main. Il recommande à Valérie d’aller faire un brin de toilette avant de nous rejoindre et me prend à part :

— « Voulez vous continuer ? »
— « C’est à Valérie qu’il faut demander. »
— « C’est une réponse qui vous honore. »

Nous discutons de choses et d’autres lorsque mon ange toujours masquée nous rejoint.

— « Voulez vous continuer ? »
— « Nous devons rentrer. Mais que voulez-vous encore de moi ? »
— « Je n’ai rien eu de vous ce soir. Aussi je pense qu’avant de partir vous pourriez … »

Avant même la fin de la phrase, Valérie s’agenouille et sors le sexe de Jacques afin de le sucer. La fellation dure, dure, mais nous regardons fascinés cette bouche enserrer ce sexe, cette langue lécher ce gland, cette main aux ongles rouge-carmin aller et venir le long de cette queue. Enfin dans un sursaut Jacques éjacule dans la bouche de ma femme. Elle le regarde dans les yeux tout en avalant le sperme, puis dépose un petit baiser sur cette queue qui redevient molle.
Il l’aide à se relever, elle lui sourit. Je suis fier de ma tendre Valérie, fier de la voir si belle, si sexy, je suis fier de notre amour.
Nous remercions notre hôte et repartons dans notre maison. Nous avons fait à nouveau l’amour, mais tendrement cette fois, amoureusement.
Les précédentes aventures n’ont fait qu’augmenter notre appétit et quelques jours plus tard, nous avons longuement parlé de cette dernière soirée et des sensations qu’elle nous a procuré.

— « J’ai beaucoup aimé te voir appartenir à Jacques. Lui demander la permission de me servir de ton corps à ma guise a été un réel bonheur ! Mais je dois t’avouer quelque chose : j’ai fait l’amour avec la femme de la soirée… Je te prie de croire que ça n’a été que physique. »
— « Je le sais, Jacques m’avait prévenue de cette éventualité. Je t’aime et je suis contente pour toi. »
— « J’ai également eu des relations avec le jeune serveur. »
— « Explique-moi s’il te plait. »

Valérie me regarde avec beaucoup de tendresse et de douceur. Comme si elle savait déjà ce que je vais lui avouer. Elle me caresse lentement les cheveux, me susurre des mots doux.

— « J’ai pris son sexe dans ma bouche. »
— « Tu as aimé ? »
— « Non… Je crois que c’est vraiment l’atmosphère de la soirée… »
— « Je t’aime »
— « Moi aussi mon amour. »

Puis nous avons longtemps parlé de son plaisir à être offerte, du mien à la voir ainsi…
Suite à nos premières expériences très réussies, nous avons voulu continuer. Nous évoquions pourtant jamais ce sujet. Pourtant quelques sourires complices, quelques regards vers son sexe imberbe nous a rappelé toute cette soirée de grands plaisirs.
Un soir, à la faveur de l’intimité de notre lit conjugal, nous avons repris notre discussion. Valérie me déclare alors son envie de recommencer une soirée avec Jacques et ses amis. Je ne sais que répondre. L’envie me taraude aussi mais je redoute de la perdre. Je la mets en garde :

— « Jacques ne se contentera pas de revivre la même chose. Probablement en voudra t’il plus. »
— « Je suis prête à le lui demander. »
— « Toi oui, mais moi ? »
— « Je reste avant tout à toi et seulement à toi. Tout ce que je vis, ce que nous vivons n’est que physique pas sentimental ! Et puis tu pourras peut être revoir cette jolie femme de la dernière fois… »

Cette diablesse me connaît trop bien ; il m’est alors difficile de résister à sa demande.

— « Tu y as beaucoup pensé ? »
— « Oui, je suis sûre de le vouloir, s’il te plait permet-le moi ! Il me faut ton plein accord. »
— « Ok appelle donc Jacques. »

Le lendemain, dans la journée elle est parvenue à le joindre. Il s’est évidemment montrer très enthousiaste à l’idée de nous rencontrer à nouveau d’autant plus que Valérie l’avait invité à prendre le café pour le samedi suivant.
Vers 14h30, Valérie était partie faire quelques courses lorsque Jacques est enfin arrivé un magnifique bouquet de fleurs à la main. Je l’ai fait entrer et lui ai proposé un café agrémenté d’un cognac. C’est à ce moment que Valérie est arrivée dans le salon. Jacques, toujours gentleman s’est levé. Elle s’est approchée de lui. Très lentement tout en me regardant dans les yeux elle s’est laissée embrasser sur la bouche longuement.
Le message était clair ! Je l’avais à nouveau « perdue ». Jacques s’est rassis et nous avons repris notre discussion. Valérie nous a laissé quelques minutes.

— « Je vous félicite encore d’avoir une épouse aussi épanouie, aussi libre dans sa tête et dans son corps. Vous avez beaucoup de chance ! »
— « Oui en effet, je vous remercie pour elle, et pour moi. »
— « Je ne veux en aucun cas être indélicat, aussi je vous rappelle qu’à tout moment Valérie, comme vous, vous pouvez faire cesser ce jeu libertin ; je me plierai à votre volonté. »
— « Je vous remercie de votre discrétion et de votre délicatesse. »

Valérie nous rejoint à cet instant. Elle a entendu la fin de notre conversation et nous sourit tendrement. Je m’aperçois qu’elle s’est changée : elle est à présent en robe, bas et talons hauts. Jacques lui demande de venir s’asseoir près de lui, ce qu’elle fait docilement. Nous continuons à deviser tout en buvant notre cognac.
Jacques tout en me parlant, demande à mon ange de venir s’asseoir sur ses genoux. La discussion continue et je vois la main de notre invité qui commence à caresser le bras nu de Valérie. Elle me regarde, me sourit ; elle est heureuse dans les bras de cet homme.
Jacques prend son verre, boit un peu, puis le porte aux lèvres de ma chérie qui boit à son tour. Je suis dans un état d’excitation incroyable et nous n’en sommes qu’au début!
Jacques lui déboutonne le haut de sa robe, puis sa main en écartant le bustier ainsi ouvert, libère un sein. Je regarde ce spectacle fasciné attendant la suite.
Jacques me parle de notre maison, je ne l’écoute plus, mon attention se portant exclusivement vers cette main qui caresse, vers ces doigts qui font rouler ce téton, qui le tirent, le pincent. Mon érection est douloureuse dans mon pantalon. Je n’ai qu’une envie : me caresser.
Valérie apprécie visiblement la caresse et se détend complètement. Ce petit jeu dure quelques minutes puis Jacques dit tout en m’adressant un clin d’œil :

— « Chérie ressert-nous du cognac. »

J’ai cru que j’allais jouir dans l’instant. Ce diable d’homme me volait ma femme, ma vie. Je devenais l’invité.

— « Oui pardonne moi. » Répondit-elle tout en se levant pour nous remplir généreusement nos verres.

Elle se penche, ses seins sont complètement sortis de sa robe. Son décolleté me dévoile son corps jusqu’à ses cuisses. Elle porte sa chaîne autour de la taille mais pas de culotte…
Après avoir rempli nos verres elle me regarde en souriant. Je l’aime à la folie !
Puis ma tendre chérie se blottit à nouveau dans les bras de notre invité qui aussitôt reprend ses caresses.
La discussion a alors pris un tour plus sérieux lorsque Jacques nous a déclaré avec beaucoup de douceur et de tact :

— « Vous formez tous les deux un couple magnifique et extrêmement sympathique. Mais je suppose que ma présence ici va un peu plus loin qu’un simple café, et aussi un peu plus loin qu’un simple moment très agréable passé en votre compagnie ; et je n’entends pas forcément par-là, un après midi en lui-même. Aussi je me permets de vous demander ce que voulez exactement de moi et ce pour notre plaisir à tous. »

Nous nous sommes longuement regardés avec Valérie. Au bout de quelques secondes je me suis rappelé de ses paroles : « …Ton plein accord… »… J’ai alors pris la parole :

— « Nous voulons tout simplement vivre d’autres soirées, vivre d’autres aventures. Valérie aime vous « appartenir » et j’aime la voir ainsi. »

Jacques s’est alors tourné vers Valérie. Elle lui a alors souri, puis l’a embrassé tendrement lui témoignant ainsi son accord.
Celui-ci devant cette situation très érotique n’a pu cette fois éviter de se laisser entraîner par son envie. Jacques, généralement très maître de lui, presque flegmatique, semblait alors très excité, embrassant ma femme avec passion, tout en caressant son corps, pétrissant ses cuisses. Je ne pus résister plus longtemps, et baissais mon pantalon pour me masturber.
Jacques demande alors à Valérie de venir me prendre dans sa bouche. Elle se lève et s’agenouille devant moi. Sa bouche sensuelle s’ouvre et gobe la totalité de mon sexe d’un seul coup.
Jacques regarde la scène en souriant. Je vois une bosse imposante dans son pantalon.
Valérie me suce divinement, je suis au bord de l’explosion lorsque j’entends Jacques lui dire :

— « Ma chérie, suce le bien parce que nous partons tous les deux dans 10 minutes, il faut donc qu’il garde un bon souvenir de toi ! »

A ces mots j’éjacule dans la bouche de ma femme qui ouvre des yeux immenses. Elle ne sait que dire, que faire, à part avaler !

— « Etes-vous d’accord ? »

Valérie me regarde. Je lui souris et lui chuchote :

— « Vas-y si tu le veux, ça m’excite tu sais. »

Elle se relève, m’embrasse longuement, me dit qu’elle m’aime à la folie. Je suis très fier d’elle.
Jacques est déjà debout son manteau à la main. Pendant que Valérie va chercher le sien il me dit :

— « Ne vous inquiétez pas, je prendrai soin d’elle. Nous passerons la soirée avec vous. »

Puis je les raccompagne à la porte et après un dernier baiser, je laisse partir ma femme avec Jacques.
Je restais seul dans notre maison vide. Toutes les pièces exhalaient le doux parfum de Valérie me laissant encore plus seul et encore plus excité.
J’ai pu donc régler tous les problèmes d’intendances rapidement. Je suis resté un long moment dans notre chambre conjugale attendant avec impatience le coup de téléphone. Puis après m’être préparé, j’ai attendu avec beaucoup d’impatience le coup de téléphone de Valérie ou de Jacques.
C’est lui qui m’a appelé vers 19 heures 30. Sans aucun autre détail il me donnait rendez-vous vers 20 heures 30 chez lui.
Dans un état d’excitation et d’énervement incroyables je suis arrivé un peu en avance. Valérie et Jacques m’attendaient. Je regarde mon ange. Elle porte une robe noire à large décolleté et surtout arbore un sourire radieux. Sa tenue était très provocante, et surtout pleine de promesses…
Après un apéritif très copieux, Jacques me remercie pour la merveilleuse après midi passée avec Valérie avec un sourire énigmatique.

— « Je me suis permis de faire quelques magasins avec Valérie. Elle s’habille d’un rien ! »
— « Que dois-je comprendre ? »
— « Que votre charmante femme a essayé quelques robes sous mon regard et sous le regard de quelques vendeurs. »

Le souvenir de Valérie sans dessous au moment du café s’est ravivé dans ma mémoire…

— « Et ? » Demandais-je un peu tendu.
— « Visiblement elle aime être exhibée… »

Je regarde ma femme. Elle me rend mon regard avec un léger sourire.

— « Décidément, vous avez beaucoup de chance, il suffit de demander et elle s’exécute. »

Jacques tout en me regardant ajoute :

— « Chérie vient t’asseoir près de moi. »

Il pose alors sa main sur le canapé, le majeur pointé vers le plafond alors que Valérie docilement, sans un regard pour moi, s’approche, soulève le bas de sa robe et s’assoit sur cette main, sur ce doigt.
Je ne reconnais plus ma femme, mais la voir soumise ainsi m’excite. Jacques continue de parler de choses et d’autres interrompu parfois par de petits soupirs de Valérie.
Au bout de quelques minutes Jacques me regarde et dit :

— « Chérie prépare toi nous allons sortir. »

Valérie docilement se lève et attend près de lui. Nous sortons rapidement et prenons la voiture de Jacques. Valérie prend place à côté de lui. A un feu rouge Jacques regarde Valérie qui se rapproche de lui et l’embrasse longuement presque amoureusement.
Nous arrivons enfin à notre destination : un parking désert faiblement éclairé. La voiture arrêtée, Jacques allume le plafonnier du côté de mon ange. Un silence pesant tombe dans la voiture ; nous savons tous ce qui va se passer. Quelques secondes ont suffi pour qu’un premier homme s’approche lentement. Jacques caresse la cuisse de Valérie tout en chuchotant à son oreille. Je ne peux entendre ce qu’il dit mais je vois ma femme respirer profondément et soupirer, signes de son trouble.
Le voyeur est là près d’elle. Alors lentement, tout en continuant de lui parler, Jacques déboutonne complètement la robe de Valérie afin d’exhiber son corps. L’homme a sorti son sexe et se caresse à quelques centimètres de ma femme, séparés seulement par la vitre.
Jacques demande à Valérie de se caresser ce qu’elle fait sans aucune gène. C’est un homme d’une bonne quarantaine, assez laid. Jacques demande à Valérie d’ouvrir sa portière, permettant ainsi à l’homme de toucher mon cœur à moi qui se laisse faire. Sa main pétrit ses seins avec rudesse, maladroitement, puis descend jusqu’à la vulve de Valérie. Jacques donne un préservatif à Valérie. Le message est clair… Sous mes yeux éberlués je vois ma tendre femme mettre le préservatif dans sa bouche et enfiler la capote sur le sexe tendu de cet homme. J’ignorais totalement qu’elle était capable de cela ! Elle entreprend alors une fellation sous le regard goguenard et les commentaires salaces de l’homme.
Rapidement celui ci se tend et jouit avec un râle dans la bouche de Valérie. Nous repartons le laissant là à attendre d’éventuelles autres voitures.
Jacques regarde Valérie avec beaucoup de tendresse. Nous nous garons devant un club privé situé dans le centre de notre ville. La soirée n’est donc pas terminée. Je ne sais que penser, mais cette situation m’excite et j’ai envie de continuer.
L’ambiance est feutrée, des tables sont disposées tout autour d’une piste de danse. Il n’y a pas beaucoup de monde : quelques couples dansent, plusieurs hommes seuls disséminés dans la salle les observent.
Nous nous installons à une table et nous dégustons une bouteille de champagne. Nos sens se réchauffent rapidement. Valérie a les yeux qui brillent de bonheur…
Jacques lui demande d’aller au bar s’asseoir. Dans un sourire elle se lève et s’installe au bout du bar dans une demi-pénombre. Jacques me rappelle alors les règles que nous nous sommes fixés : Nous pouvons arrêter ce jeu à tout moment.
Ses paroles me rassurent et je regarde Valérie avec amour assise sur un tabouret haut, souriante, les jambes croisées, dévoilant ainsi largement une jambe à la vue de tous. Elle est belle, désirable, je suis fier d’elle, d’être son homme !
Au bout de quelques minutes un couple s’approche d’elle et lui offre une consommation. Elle accepte en riant. Elle boit encore. Devant la réaction de Valérie, l’homme rapidement s’enhardit : il pose une main sur sa cuisse. Elle, lui sourit tout en le regardant. Il se rapproche d’elle et lui chuchote quelques mots à l’oreille. Il profite alors pour lui donner un baiser dans le cou.
Ma tendre Valérie renverse sa tête en arrière comme une invitation. L’homme passe derrière elle, la prend par la taille et doucement tourne le tabouret afin de la placer en face de la femme. Tout doucement celle-ci se rapproche et pose sa main sur la cuisse nue de Valérie.
Cette dernière tourne la tête vers nous ; du coin de l’œil j’aperçois Jacques lui sourire, comme un ordre muet lui intimant de continuer.
Alors Valérie regarde la femme et très doucement approche son visage, sa bouche. Pour mon plus grand plaisir je vois ces deux femmes s’embrasser tendrement, longuement.
La situation m’excite énormément, quel homme n’a jamais rêvé de voir cela ?
Toujours avec beaucoup de douceur, la femme attire Valérie vers une espèce d’alcôve située tout au fond du club. Jacques, le mari et moi les suivons sans un mot.
Tout en s’embrassant, lentement la femme ouvre la robe de Valérie et commence à caresser son corps. Jacques et moi ne bougeons plus admirant ce spectacle d’une rare tendresse, d’une rare délicatesse. Les deux femmes se déshabillent mutuellement. Elles s’embrassent, se lèchent, se mordillent ; petit à petit les caresses se font plus précises, plus franches. Mon sexe me fait mal mais je n’ose rompre l’harmonie de cet instant en le libérant. Pas un mot d’échangé, seulement des soupirs, des petits cris de bonheur et des respirations haletantes.
Elles se retrouvent bientôt tête bêche. La femme est la première à poser sa bouche sur le sexe de sa partenaire, Valérie semble hésiter une seconde puis tout doucement pose ses lèvres sur la vulve luisante d’excitation de cette femme totalement inconnue. Avec toujours beaucoup de douceur elles se lèchent, se pénètrent avec leurs langues, s’aspirent, se goûtent, se délectent de leurs sécrétions. Le spectacle qui nous est offert est merveilleux. Dans un parfait synchronisme ces deux corps se tendent une dernière fois dans un orgasme simultané.
Le mari, Jacques et moi restons silencieux un long moment les laissant récupérer. Elles se cajolent tendrement puis Valérie lève enfin son regard brillant vers nous, comme si elle venait juste de se rappeler notre présence. Elle respire le bonheur. Dieu qu’elle est magnifique, que je l’aime !
Elle rit doucement et dit :

— « Nous devrions peut être nous occuper de nos hommes à présent. »
— « Tu as raison, même si je crois sincèrement qu’ils ne se sont pas gênés pour nous regarder ! »

Valérie, entièrement nue, se relève et se dirige vers nous. Mon cœur s’arrête presque. Je la désire tan

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