Quelques semaines s’étaient écoulées depuis la présentation de Sandrine à ma famille. Ma mère était assez mal à l’aise les premiers temps, ne sachant pas trop comment se comporter avec elle, qui avait son âge. Sandrine prit plusieurs initiatives, lui proposant de faire du shopping ensemble, ou d’aller toutes les deux s’inscrire dans un salon de massage. Ma mère trouva l’idée sympathique, et elles y allèrent tous les mardi et les jeudi, en fin de matinée.
Je baisais Sandrine tous les soirs en gardant les portes ouvertes, pour que l’on puisse nous entendre. Elle était complètement docile, et venait regulierement me sucer lorsque je commençais à espionner ma soeur ou ma mère avec les cameras.
Sandrine m’apprit qu’elles partageaient maintenant le même vestiaire dans le salon de massage et se changeaient ensemble.
– Ta mère était assez pudique les premières fois mais maintenant ça va mieux, elle est en confiance avec moi, elle me parle plus librement. Elle ne cache plus son corps avec des serviettes comme les premières fois.
– Vous parlez de vos corps à ces moments là ?
– Elle m’a juste dit que j’avais un joli corps, je lui ai répondu que elle aussi. Elle a de beaux seins, mais quand je lui ai dit ça, elle est devenue presque écarlate.
– Ca fait un moment qu’elle n’a plus reçu d’homme dans sa chambre…
– Elle m’a dit qu’elle était mieux seule en ce moment.
Je regardais ma mère à la camera. Elle se mettait en maillot de bain, sans doute prévoyait-elle de passer un moment sur le bord de la piscine. Je regardais Sandrine. Elle lisait presque dans mes yeux. Elle ramassa quelques affaires, une serviette, et murmura :
– Ne quitte pas l’écran des yeux.
Deux minutes plus tard, elle tapa à la porte de la chambre de ma mère, et passa la tête.
– Excuse moi, ça te dérange si je prends une douche chez toi ? Fabrice est dans la salle de bain depuis un quart d’heure et il n’en sort pas…
– Oui, fit ma mère. Entre fais comme chez toi…
– Tu vas aller à la piscine ? fit Sandrine en retirant sa robe, se retrouvant en culotte et soutien-gorge.
– Oui, je vais prendre un livre et bouquiner un peu sur le transat.
– C’est ce que je comptais faire aussi après. J’ai pris deux maillots, tu préfères lequel ?
Sandrine hota son soutien-gorge, baissa sa culotte, et ouvrit sa serviette sur le lit, dans laquelle se trouvaient deux maillots de bain, un bleu, et un noir.
– J’aime bien le noir, fit ma mère. Il est très joli.
– Il te plait ?
– Oui, beaucoup.
– S’il te va, je te le donne.
– Vraiment ?
Sandrine hocha la tête avec un sourire doux. Ma mère prit le maillot et se dirigea vers la salle de bain pour l’essayer. Sandrine lui emboita le pas, et elle fut un peu pris au dépourvu. Elle aurait préféré se changer seule. Sandrine, qui était nue, alla vers la douche, et commença à faire couler de l’eau. Ma mère retira le haut de son maillot, laissant jaillir ses seins. Sandrine s’approcha d’elle, posa sa main sur ses hanches, ce qui fit un peu sursauter ma mère, et lui dit :
– Je pense que l’on a à peu près le même tour de poitrine.
Elle prit le haut du maillot, et aida ma mère à l’enfiler, lui agrafant dans le dos.
– Il te va à la perfection… regarde le décoleté qu’il te fait !
– C’est vrai qu’il me va bien, fit ma mère. Il est très joli.
– Essaie la culotte.
Ma mère baissa sa culotte, tandis que Sandrine restait derrière elle, les mains posées sur ses hanches. Elle attrappa la culotte du maillot noir, quand elle sentit les seins de Sandrine se coller contre son dos, et sa main glisser de sa hanche vers son pubis.
– Tu fais quoi ? marmonna ma mère, marquant sa surprise et une certaine opposition.
– Je te trouve tellement belle, fit Sandrine, en passant ses doigts dans les poils bouclés de ma mère, jusqu’à atteindre les lèvres de sa chatte.
Ma mère eut un petit geste de recul, et son visage exprimait vraiment qu’elle était mal à l’aise.
Sandrine n’en tint pas compte, et, face au miroir, commença à masturber ma mère, en agitant doucement ses doigts sur son clitoris.
– On est amies, j’ai envi de te faire du bien… laisse toi un peu aller, murmura Sandrine.
Ma mère répliqua d’un ton sec :
– Arrête je t’en prie, c’est n’importe quoi…
– Oh non ce n’est pas n’importe quoi… tu mouilles… Ca te fait du bien… Tu en as besoin…
De son autre main, Sandrine dégrafa le haut du maillot, qui tomba légèrement en avant, et se mit à carresser le sein droit de ma mère, tout en continuant de lui masturber la chatte. Elle tournoyait, encore et encore, sur son clitoris. Ma mère se mit à respirer légèrement plus vite, regardant dans le miroir ce que Sandrine lui faisait.
– Tu es belle, j’ai envi de te faire du bien… murmurait encore Sandrine, en passant ses doigts sur le mamelon qui était devenu dur. Ma mère sentit deux doigts entrer en elle, glissant dans sa chatte mouillée.
Elle haleta légèrement, et laissa Sandrine faire aller et venir ses doigts en elle. Puis elle recommença à lui carresser le clitoris, et là ma mère se sentit proche de l’orgasme.
– Tu vas jouir ? lui demanda Sandrine.
Ma mère hocha la tête, en fermant les yeux et se mordillant la lèvre. Sandrine la carressa sans s’arrêter ni ralentir dans sa cadence. Ma mère poussa un long soupire et serrant les cuisses, se penchant également en avant. Sandrine laissa sa main en place, mais cessa de bouger. Elles restèrent ainsi quelques instants, puis ma mère se redressa doucement.
– Oh mon Dieu, tu es complètement folle… murmura t-elle.
– Le maillot est à toi je crois… Tu l’as bien mérité.
Toutes deux se mirent à rire, ma mère évacuait une certaine pression, se sentant d’un coup incroyablement proche de Sandrine. C’était la première fois qu’elle partageait un acte sexuel avec une femme, et son comportement actuel le traduisait dans ses gestes.
Sandrine passa les mains le long de son corps et murmura :
– Tu comptes t’occuper de moi ?
Ma mère ne savait pas trop comment réagir, et Sandrine le comprit rapidement. Elle rassura ma mère.
– Ne t’inquiète pas… Je comprends… Je voulais surtout te faire plaisir… Par contre, ça te dérange si je me carresse ?
– Non, je vais te laisser…
– Non reste… Je veux me carresser en te regardant…
Ma mère resta un peu interloquée, tandis que Sandrine commençait à se masturber la chatte à deux mètres d’elle. Elle la regardait fixement, pointant un à un son visage, ses seins, son sexe. Ma mère devint rapidement écarlate, très génée, voulut s’éloigner en s’excusant, mais Sandrine lui supplia de rester.
– Encore une minute, s’il te plait, ça me fait du bien… Regarde moi jouir pour toi…
Sandrine se mit à jouir à son tour, en se frottant frénétiquement le clitoris. Elle plongea son regard dans celui de ma mère. Elles restèrent un moment à se contempler ainsi, silencieusement.
– Ca fait du bien, murmura Sandrine.
– Ca oui, enchaina ma mère.
Elles s’approchèrent l’une de l’autre et s’enlacèrent, en silence. Sandrine se dirigea ensuite vers la douche, qu’elle était venue prendre initialement. Et ma mère enfila le maillot que lui avait donné Sandrine, prit un livre, et se dirigea hors de la pièce pour rejoindre la piscine.
A suivre…
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