LA SUITE de Dernier jour des vacances et Léa
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Je me réveille le matin, la pièce est inondée par le soleil, il me faut quelques secondes pour réaliser que je suis dans la chambre de Léa. Les fenêtres sont ouvertes et il commence à faire chaud dehors. Léa est allongée sur le ventre à côté de moi. Je regarde sa belle silhouette, ses courbes parfaites, sa peau couleur cuivre sous ses longs cheveux noirs en bataille, ses cuisses affutées et son beau cul rond et ferme. Elle est vraiment magnifique. Je me lève je n’ai pas de vêtement à mettre. J’att**** la serviette sur le lit pour la mettre autour de la taille.
Je descends au premier, la maison est calme, tout le monde dort. Je vais dans la cuisine pour me faire un café. Virginie est devant la plaque de cuisson, elle attend que le café passe dans la cafetière italienne. Elle porte une veste kimono en soie blanche qui lui couvre à peine les fesses et le vêtement trop petit cache difficilement son énorme poitrine.
– Bonjour !
– Oh ! Bonjour ! J’étais dans mes pensées. Tu as passé une bonne nuit ?
– Oui merci.
– Et hier la soirée ? Tu as passé du bon temps ?
– Oui, c’était notre première partouze et pour moi c’était vraiment bien.
– Et pour ta femme ?
– Je ne sais pas où elle est !
– Tu ne lui as pas parlé pour savoir comment c’était pour elle ?
– Non, quand je suis parti me coucher, elle était prise en sandwich par 2 hommes. Et je pense qu’elle n’avait pas la tête à discuter.
– Tu as dormi où ?
– Dans la chambre de Léa.
– Ah oui c’est vrai, j’ai vu qu’elle ne ta pas quitté de la soirée. J’étais sur la chaise longue pas loin de vous. Je vous ai regardé faire l’amour. Elle avait l’air d’apprécier.
– J’espère. C’est une jeune femme intéressante et pleine de fougue.
– J’étais comme elle a son âge, c’est pour ça que je la comprends et je ne lui refuse rien.
– Elle m’a un peu raconté ses expériences.
– Et alors tu en pense quoi ?
– Je suis assez admiratif de vos relations mère fille.
– Merci. Elle aime le sexe et moi aussi, alors autant le faire en pleine harmonie !
Elle arrête la cafetière qui siffle et me demande si je prends du sucre.
– Oui.
Elle se retourne et se penche en avant pour prendre une boîte de sucre dans le placard et fait mine de chercher autre chose. Je regarde sa veste découvrir son entre jambes. Ses fesses son bien rondes et sa fente ainsi que ses lèvres sont parfaitement dessinées. Elle me tend la boîte et voit la bosse sous ma serviette.
– Tu as un cul aussi beau que ta fille !
– Merci, ça me touche !
Elle pose 2 tasses sur le plan de travail, nous serre du café et nous continuons notre conversation assis sur des tabourets de bar.
– Tu étais avec une femme hier soir.
– Oui j’adore me faire lécher la chatte et Thomas n’aime pas ça. Donc quand je vais à une partouze j’essaye de me trouver une femme et en règle générale je ne suis pas déçu.
Elle regarde la bosse sous ma serviette qui n’a pas diminuée. Elle me passe la main sur la cuisse et remonte jusqu’à mon sexe.
– Je t’ai vu léché Léa hier. Elle avait l’air de prendre son pied. Tu aimes les cunnilingus.
– Oui j’adore ça.
Elle dénoue sa ceinture et ouvre sa veste.
– Ça te dirait de gouter à la mère après la fille ?
Elle pousse les tasses et viens s’asseoir sur le plan de travail les jambes largement écartées en face de moi pour s’offrir à la volupté de ma langue.
Je fais glisser sa veste de ses épaules. Elle a quelques kilos en plus, quelques rides, et des seins beaucoup plus gros mais elle n’a pas à être jalouse de sa fille. Elle a beaucoup de charme et est vraiment très sexy. Je m’approche d’elle l’embrasse sur la bouche, dans le cou, j’embrasse sa poitrine, son ventre. Ses mamelons larges et ses tétons sont sensibles et pointus. Je la pousse en arrière et la rapproche du bord. Avec mes doigts je caresse son pubis taillé en triangle et sa fente pour ouvrir ses lèvres pulpeuses. J’embrasse ses cuisses, je pose mon visage entre ses cuisses ma bouche embrasse ses lèvres douces et humides. Je la lèche et elle gémit de plaisir. Son sexe ruisselle de bonheur.
Elle joue avec ses seins. Je lèche ses lèvres et suce son clitoris. J’enfonce 2 doigts dans son sexe largement ouvert. Je lui lèche le clitoris et les lèvres. Elle mouille beaucoup. Elle pousse ma tête d’une main pour me sérer encore plus fort sur sa vulve. Je l’entends prendre du plaisir. Elle se tord, gémit visiblement super excités. Je la lèche et la suce. Elle jouit.
Elle reste allongée une minute pour reprendre ses esprits une main caresse son sein et l’autre sa fente. Elle se redresse, ouvre ma serviette, prend ma bite dans une main pour la rendre bien raide et se laisse glisser du plan de travail pour venir s’empaler sur ma verge en érection.
– J’ai envie de toi. Baise-moi !
Mon membre pénètre son vagin pour s’y engouffrer violement. Sa chatte est béante et trempée.
Elle m’embrasse et se serre fort contre moi pendant que son cul fait des vas et vient au-dessus de mes cuisses.
Ma queue est enfoncée au fond de son vagin parfaitement lubrifié. Son clito frotte sur le bas de ma bite et mon pubis.
– Oh oui, c’est bon !
L’intérieur de son sexe est humide. On baise rapidement entrelacées tous les deux. Ses gros seins font des allés et retours sur mon visage, je la regarde perdre ses moyens. Mes mains agrippent ses fesses, son minou coule de plaisir. Elle commence à jouir, des petits cris s’échappent de sa bouche, elle a les yeux qui pétilles.
– Oh Oui c’est bon, continue, j’aime ça ! Tu vas me faire jouir !
Je suis prêt à jouir aussi et je finis par jouir en même temps qu’elle. Elle se redresse et me serre fort dans ses bras ! Je l’embrasse et la caresse. Ses seins sont pointus et gorgés d’excitation.
Elle se retire et je caresse son minou trempé de mouille et de sperme qui coule entre ses jambes.
– Bonjour !
Sur le côté derrière moi ma femme nous regarde adosser au mur. Je ne me demande depuis combien de temps elle est là à nous observer, si Virginie l’avait vu… Si elle était excitée par la présence de ma femme… peu importe…
– Il faut partir, on a de la route.
Je remets ma serviette. Virginie a remis sa veste en place et nous avons fini nos cafés.
Dans la voiture ma femme était très silencieuse. Je lui demande si elle est triste de partir. Elle me dit que non. Je lui demande pourquoi elle ne dit pas un mot.
– Je pensais à hier soir. Qu’est ce que tu as fait ? Je ne t’ai pas vu !
– Tu te rappelles de la femme qui nageait quand on est arrivé ?
– Oui
– C’est la fille de Thomas et Virginie !
– Quoi ? Tu as baisé avec leur fille ?
Je lui raconte toute ma soirée du début à la fin. Elle écarte les cuisses, sa bouche est entrouverte. Elle aime ça, elle prend du plaisir. Je la regarde se mordiller la lèvre inférieure et agripper une partie de sa jupe pour la faire remonter sur ses cuisses.
Je pose ma main sur sa cuisse. Mes doigts passe sur sa superbe toison blonde pour la caresser. Je glisse délicatement un doigt dans sa fente. Mon majeur pénètre son vagin pour s’y engouffrer délicatement. Elle est déjà toute mouillée.
– Je n’en reviens pas que ça te plaise autant. Et toi ta soirée ?
– Au début je suis restée avec Thomas et Elsa. Une nouvelle amie de Virginie. Elle n’était pas au courant pour l’énorme bite de Thomas.
Je continue à la caresser sa fente pendant qu’elle me raconte sa soirée.
– On l’a sucé toute les deux. Qu’elle belle bite ! Et après on a baisé pendant qu’Elsa se faisait lécher à califourchon sur son visage.
– Tu n’as pas eu trop de mal à faire renter sa bite dans ta chatte.
– Au début oui. J’ai cru ne pas y arriver tellement sa verge me faisait mal. Je me suis laissée glisser tout doucement jusqu’à temps que mon vagin se dilate. Après j’ai continué à me faire limer avec de long va et vient en prenant mon temps.
– Tu es vraiment une salope. J’aime ça !
Elle passe sa main sur mon sexe gonflé à bloc.
– Je vois !
– Et après tu as fait quoi ?
– Après avoir jouit, Elsa a pris ma place et j’ai rejoint un couple à côté de nous. Les deux femmes se caressaient et se léchaient alors je me suis occupée des 2 hommes. 2 mecs pas mal. J’ai commencé par sucer les deux à la fois et après un me baisait pendant que je suçais l’autre et vice versa. Et ils ont joui dans ma bouche. J’ai bien pris mon pied.
– Eh bin, ma cochonne.
– Attends, après je leur ai demandé de me prendre en sandwich. Un fantasme que j’avais depuis longtemps.
– Putain t’es vraiment une chienne en chaleur !
– Oui merci.
Ma main entre ses cuisses frotte légèrement son clitoris gonflé de plaisir. Elle descend ses fesses et écarte encore plus les jambes pour jouir. Elle perd ses moyens et pousse un cri de plaisir. Ses jambes flagellent pendant que ma main continue à parcourir son entre jambes.
Son orgasme est fort. Sa chatte est liquide et chaude. Ma main est trempée.
On rentre, les vacances sont finies.
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