Précédemment : Alexandre est très différent des jeunes de son âge. Depuis sa chambre, il épie les faits et gestes de ses voisines, notamment les plus intimes, avec des jumelles surpuissantes. À quelques jours de la rentrée scolaire, une nouvelle locataire emménage dans l’appartement en face du sien. Elle enchaîne les séances de masturbation et les parties de baise à un rythme de fou. Alexandre n’en croit pas ses yeux. Est-ce la partenaire idéale dont-il a toujours rêvé ?
Alexandre continue de fixer la scène, interloqué. La blondinette att**** ses vêtements et dissimule tant bien que mal sa nudité alors que l’homme effectue un pas en arrière, apparemment sur la défensive. La nouvelle venue lui adresse une gifle magistrale avant de quitter les lieux, sans demander son reste. S’agit-il de sa femme ?
Petite cerise sur le gâteau : l’homme quitte à son tour l’appartement, certainement pour retrouver sa compagne et lui fournir une excuse valable. De fait, il abandonne la locataire du 52, privant par la même occasion Alexandre d’un magnifique spectacle.
— Merde !
Alexandre est furieux. Il fait les cent pas pour contenir son énervement, puis regarde à nouveau dans les jumelles. La voisine enfile sa robe, décolle ses jolies fesses du parquet et se dirige vers le sofa pour s’y allonger. Une idée lui vient alors en tête. Et voilà qu’il fouille dans les tiroirs de son bureau, à la recherche de quelque chose.
— Je l’ai !
Le jeune homme saisit son portable et compose le numéro du 52 écrit sur un morceau de papier, et prie pour qu’il soit toujours bon.
(Téléphone) Driiiiiing ! Driiiiiing ! (Téléphone) Driiiiiing ! Driiiiiing !
— Allô ?
A cet instant, Alexandre éprouve une grande joie. Il zoome en direction du salon, plus précisément vers le sofa où la belle est étendue, le combiné du téléphone dans sa main droite.
— Bonsoir… Je sens comme une frustration dans le son de ta voix… Je suppose que tu n’as pas eu le temps de prendre ton pied…
— Pardon ? Je ne sais pas qui vous êtes… Mais rien ne vous autorise à me parler de la sorte ! Et encore moins de choses aussi intimes !
— Du calme. Je suis la solution à ton problème. Je vais combler ton manque… Tout d’abord, tu vas écarter les cuisses… et ensuite, tu vas te caresser la chatte. Je sais que tu en as envie ! Il n’y a aucun mal à se donner un peu de plaisir. Vas-y ! Laisse-toi aller…
La jeune femme semble hésiter, puis finit par céder après un moment de réflexion. Elle remonte légèrement sa robe, ne doutant pas à cet instant qu’elle offre la vision de son sexe encore luisant de désir à un parfait inconnu. Elle palpe ses petites lèvres du bout des doigts, les repousse en douceur et dessine des cercles minuscules sur son clitoris, lui procurant quelques gémissements. De sa main valide, elle active le haut-parleur du téléphone et le pose sur l’accoudoir du divan, puis tire sur son vêtement pour libérer son sein droit et le masser. De son côté, Alexandre observe la scène en silence, la main droite cramponnée à son membre à nouveau en érection.
— Allô ? Je ne t’entends plus…
La blondinette soulève son bassin, plonge les deux mains à l’intérieur de ses cuisses, rejette la tête en arrière et se mordille la lèvre inférieure, les yeux mi-clos. Bien calé dans son fauteuil, Alexandre se délecte du spectacle.
— Excellent ! Ton clito doit être tout dur à présent… Dis-le-moi !
La voisine a maintenant deux doigts à l’intérieur de sa fente. Elle les agite très vite.
— Dis-le-moi !
— Ah ! Je me caresse le clito… Il est tout dur ! Je ne sais vraiment pas ce qui me prend… Je ne devrais même pas vous écouter… Aaaaah !
Alexandre en a mal aux yeux tant il est scotché à ses jumelles. La jeune femme semble complètement se laisser aller, particulièrement avide de plaisir. Elle dégage son sein gauche et coince son téton entre le pouce et l’index, le titillant avec le bout de sa langue.
— Et maintenant, tu vas introduire un doigt dans ton petit cul… Au fait, est-ce que tu aimes te faire prendre par là ? Je suis sûr que oui…
— Oui ! J’aime beaucoup ! Aaaaah ! J’en mets même deux !
La voisine est allongée sur le ventre, le bassin légèrement relevé, deux doigts enfoncés à l’intérieur de son anus, et en glisse un troisième avec une certaine facilité, son petit anneau étant déjà bien lubrifié grâce aux secrétions de son vagin.
— En voilà une fille obéissante… Tu prends ton pied, n’est-ce pas ? Je me caresse aussi… Et ma queue ne va plus tenir très longtemps…
— Aaaaah ! Je suis en train de jouir…
À présent, la locataire du 52 sonde les profondeurs de son anus, mais aussi celles de son vagin, et hurle son bonheur dans le combiné du téléphone.
— Moi aussi ! Montre-moi un peu ton derrière… Que tu puisses bien recevoir tout mon jus !
La jeune femme met un moment à reprendre ses esprits, épuisée à cause de l’orgasme qu’elle vient d’avoir.
— Allô ! Allô ! Salope… Tu vas me répondre ?
— Fichez-moi la paix, sale pervers !
Alexandre secoue une dernière fois son sexe, puis regarde la blondinette filer vers la fenêtre la plus proche, sans rien cacher de son anatomie. Était-ce volontaire de sa part ? Elle continue de fixer les environs, probablement à sa recherche.
— Ne me rappelez pas !
Ainsi s’achève la communication. Mais cela ne semble pas affecter Alexandre. En fait, il est ravi de la tournure des événements. Après tout, la voisine s’est volontiers prêtée à son petit jeu… Et elle a aimé ça !
Alexandre continue de fixer la locataire du 52 jusqu’à ce qu’elle s’en aille dans la salle de bain. Il passe une partie de la nuit à échafauder un plan. Et au petit matin…
(Téléphone) Driiiiiing ! Driiiiiing ! (Téléphone) Driiiiiing ! Driiiiiing !
— Bonjour… Est-ce que tu as bien dormi ?
— Encore vous… Je vais raccrocher !
— Si j’étais toi, j’y réfléchirais à deux fois. Fini le plaisir d’entendre le son de ma voix…
La jeune femme reste silencieuse.
— Je vois… Tu sais être raisonnable. À présent, tu vas brancher le haut-parleur. C’est fait ?
— Oui.
— Parfait ! Et maintenant, j’attends de toi une obéissance totale ! Est-ce bien compris ?
— …
— Alors ?
— Oui.
Alexandre se frotte les mains, tout excité.
— Pour commencer, tu vas te placer devant ta fenêtre, que je puisse te voir… La vue de ton corps me rend dingue. Voilà… C’est très bien. Ta nuisette… Enlève-la.
La voisine suit docilement les ordres. Elle approche de la fenêtre, regarde au travers, et tire délicatement sur les bretelles de son vêtement pour le faire tomber. Elle ne porte rien en dessous.
— Magnifique ! Tourne un peu… Ton petit cul est à croquer ! Hmmm ! Dis-moi… Quel effet ça fait de s’exhiber pour un inconnu ?
— Je… je ne devrais pas… Je sais que c’est mal. Et pourtant… Je ressens du plaisir.
— Tes jambes… Écarte-les.
Alexandre ne quitte pas des yeux sa camarade de jeu. Elle multiplie les poses, étalant chaque partie de son anatomie.
— Maintenant, ouvre ton sexe en grand. Montre-moi comment tu mouilles.
La blondinette repousse ses petites lèves du bout des doigts, dévoile son intimité dans les moindres détails, et ne peut résister à la tentation de se caresser. Mais cela ne convient pas à Alexandre…
— Stop ! Tu es supposée m’obéir… Dans le cas contraire, je raccroche. À moins que ça soit ton homme qui te manque ?
— Pas du tout ! Ce type m’a raconté des salades… Voilà ! Je ne me touche plus…
— OK. Mets-toi quelque chose sur le dos. J’ai déposé un colis à l’accueil. Vas-y. J’attends ton retour…
De sa position, Alexandre la regarde enfiler un peignoir, puis quitter l’appartement à grandes enjambées. Son absence ne dure pas plus de cinq minutes. À son retour, elle pose le paquet sur la table basse.
— Très bien. Ouvre la broîte.
Impatiente, la jeune femme déchire l’emballage. Alexandre entend un petit cri dans le combiné du téléphone. Il la voit sortir un godemichet du paquet, puis le scruter sous tous les angles.
— Il te plaît ? J’en suis certain… Caresse-le. Voilà… Tu tiens entre tes mains une queue bien raide. La mienne. Tu aimes ça, n’est-ce pas ?
— Oui. Votre queue est si grosse… J’aime la caresser.
La voisine branle le sextoy avec sa main droite, délicatement, et part du bas pour aller vers le haut. Elle s’attarde parfois sur les grosses veines en caoutchouc, les effleurant du bout des doigts.
— Prends-la dans ta bouche.
Alexandre la suit dans ses déplacements. Elle s’installe dans le fauteuil situé près de la fenêtre, approche le godemichet et tend la langue pour lécher son extrémité. Par la suite, elle referme ses lèvres autour du phallus et entame un lent mouvement de va-et-vient.
— Petite vicieuse ! Écarte un peu plus les cuisses… C’est bien. Et maintenant, caresse-toi la chatte. Voilà… Hmmm ! Tu aimerais bien te l’enfiler ?
— Oh oui…
La blondinette tire sur la ceinture de son peignoir, puis frotte le sextoy contre son sexe humide, tapote gentiment son bouton avec et s’apprête à l’introduire dans son vagin.
— Stop ! Tu le rentreras uniquement si je t’en donne l’ordre !
— Aaaah ! Mais j’ai tellement envie…
Alexandre sourit. Quel plaisir de l’entendre supplier ! Il la fait patienter un moment.
— Je sais… Place-le au sol, face à la fenêtre. OK… Après, tu pourras t’asseoir dessus.
La voisine utilise la ventouse située à la base pour fixer le godemichet et le maintenir à la verticale, parfaitement dressé. Ensuite, elle se positionne au-dessus du jouet, le saisit d’une main et le dirige vers sa grotte. Elle lâche un long râle lorsque le gland synthétique écarte ses petites lèvres.
Durant cet intervalle, Alexandre en profite pour sortir sa verge et se branler sur la fille du 52. La voir s’ancrer sur le sextoy le fait presque éjaculer. Il se retient de justesse.
— Aaaah ! Votre queue dans ma chatte… C’est si bon !
La jeune femme fait coulisser l’engin à l’intérieur de son sexe, accélérant toujours plus la cadence. Elle ondule du bassin pour mieux le sentir.
— Je… je vais jouir !
— Petite cochonne ! Tu aimes te faire remplir, hein ?
— Ooooh ! Oui !
— Salope ! Je vais te faire jouir comme jamais…
Alexandre finit par tout lâcher, encouragé par les cris de la voisine. Il s’écoule environ une minute lorsqu’il recouvre ses esprits. Sa partenaire aussi semble épuisée. Il peut entendre le bruit de sa respiration dans le haut-parleur. Un son rauque et irrégulier.
— Te voilà bien rassasiée… Ce crétin ne sait pas ce qu’il a raté !
De son côté, la jeune femme ne dit rien. Elle reste étendue sur le parquet, sa poitrine se soulevant au rythme de sa respiration. Le godemichet n’est pas très loin, entièrement trempé.
— À présent, que je t’explique… Il n’y a qu’un seul moyen pour satisfaire les salopes comme toi… Tu seras ma chose. Et satisfaire mes désirs ta priorité. Est-ce bien clair ?
— Oui. Je suis vôtre.
— Et ?
— Et je répondrai à tous vos désirs.
— C’est parfait ! Tu vas pouvoir te reposer un peu. Puis tu attendras mon appel. J’ai d’autres projets pour toi…
Alexandre jette un dernier coup d’œil dans les jumelles, puis coupe la communication. Il passe les derniers jours des vacances scolaires à surveiller la voisine et lui proposer des petits jeux toujours plus avilissants, la transformant en véritable esclave sexuelle.
3 septembre 2013. C’est le jour de la rentrée. Alexandre se rend au lycée Condorcet où il est scolarisé. Il découvre alors la composition de sa nouvelle classe. Étant redoublant, la plupart des élèves qui constituent son groupe lui sont inconnus. À l’exception d’une fille qui vient de débarquer en ville. Une jolie blonde – bien roulée – dont le nom lui est vaguement familier. Mais il ne parvient pas à se souvenir où il a pu l’entendre…
Toujours est-il que la sonnerie retentit. Les lycéens suivent les professeurs jusqu’à leur classe respective. Alexandre figure parmi les derniers. Une fois à l’intérieur, il scrute la pièce et cherche une place disponible. Par la suite, il réalise que leur professeur est une femme. Et que cette dernière n’est autre que la locataire de l’appartement 52.
Alexandre peut sentir les battements de son cœur s’accélérer.
— Bonjour ! Je m’appelle Jeanne Godin. J’enseigne les mathématiques.
La jeune enseignante continue de parler mais Alexandre ne l’écoute pas, bien trop absorbé par ses pensées. Le moment de réflexion passé, il se dit que les événements prennent une tournure assez intéressante.
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