Une semaine passa, rythmée par le travail, de nouvelles ventes, quelques soirées au resto, et beaucoup de sexe avec ma mère. Elle s’en prenait plein la chatte dès le reveil, et le week end je passais mon temps à la baiser ou à la masturber. Elle gardait son élegance naturelle, se maquillait avec prenait soin d’elle, prenait des rendez vous chez l’esthéticienne, s’achetait regulierement des robes et des chaussures. Ainsi que de la lingerie, qu’elle choisissait en connaissance de mes gouts, avec de la dentelle, et beaucoup de transparences.
Elle gérait tout à la maison, les repas, le ménage, et les courses. Et elle le faisait bien. Elle avait été femme au foyer avec mon père, et elle avait pris gout à s’occuper d’un interieur en véritable maitresse de maison.
Ce jour là, c’était un jeudi. J’avais décidé de ne pas aller à l’agence et de me reposer. J’avais eu deux ventes dans la semaine, mes collègues parlaient d’abord de chance du débutant, mais ils devaient bien admettre que soi la chance perdurait, soi j’étais un bon négociateur.
Ma mère se réveilla avant moi, je la sentis bouger, elle fut surprise de me voir encore couché. Elle ne dit rien, se leva, puis revint au bout d’un quart d’heure.
– Chéri… Il est neuf heure… Ton reveil n’a pas sonné.
– Je me lève dans vingt minutes… Je me repose aujourd’hui.
– Ah, je ne savais pas. Je te laisse te reposer.
– Prépare le petit déjeuner, j’ai dix euros dans la poche de ma veste, passe à la boulangerie pour prendre des croissants et des pains au chocolat. Et fais couler du café…
Je me tournais sur le coté, tandis que ma mère prit ses affaires pour s’habiller, puis sortit de l’appartement. Je me rendormis et me réveilla plus tard, je sentis l’odeur de café. Je me levais doucement, à poil. Je sortis de la chambre, traversa le couloir, et vit que ma mère avait préparé le petit déjeuner sur la table basse, devant la télévision. Elle avait pris deux croissants, deux pains au chocolat, et deux tasses étaient sorties.
Ma mère sortit de la cuisine, en robe d’été blanche et bleu. Elle me fit un sourire et me demanda si j’avais bien dormi.
Pour toute réponse, je dis à ma mère :
– Ou est le café ?
– Il est prêt, je vais te le chercher.
Ma mère fit demi tour vers la cuisine. J’allais m’installer dans le canapé, et alluma la télé. Je pris un croissant et mordit dedans, tandis que ma mère revenait pour me verser le café dans ma tasse.
– Dis, tu pourrais m’attendre, fit ma mère.
Je regardais ma mère s’approcher pour me servir.
– Qu’est ce que tu fais ?
– Comment ça ? Je te sers ton café.
– Habillée ? Enlève tout ça avant de me servir.
Ma mère eut un moment d’arrêt et je l’entendis souffler. Je me levais, en mordant à nouveau dans le croissant.
– Comme tu es là, j’aimerai qu’on sorte un peu tous les deux, me fit-elle.
– Approche.
Ma mère fit un pas vers moi. Je lui administrais une giffle rapide, qui claqua sur sa joue droite. Sa tête valsa un peu sur le coté, et elle renversa un peu de café par terre.
– N’oublie pas tout ce que je fais pour toi, lui dis-je. Tu me sers nue. Allez.
Je me rassis, tandis que ma mère, après s’être passé la main sur la joue, posa la cafetière sur la table, et retira doucement sa robe, en la retirant par le haut. Elle se retrouva seins nus, et en culotte blanche en dentelles.
– Voilà, enlève cette culotte aussi.
Ma mère fit glisser sa culotte de ses deux mains, et se pencha un peu pour la retirer complètement.
– Enfile là sur ta tête.
– Pardon ?
– C’est français ce que je dis, non ?
Ma mère regarda sa culotte, qu’elle tenait dans sa main, l’ouvrit un peu, et se l’enfila doucement sur la tete. Le tissu, qui avait jusque là frotté contre sa chatte, se retrouvait sur son visage. Maladroitement, elle reprit la cafetière, et me versa le café dans ma tasse. Puis elle s’approcha de l’autre tasse.
– Qui t’a dit de te servir. Reste debout à coté de moi, pour l’instant.
Je mangeais tranquillement, et prit mon café. Je regardais un peu la télé. Ma mère se tenait debout, nue, à coté du canapé, et attendait. Je jetais un oeil à un moment par terre, sur les traces de café qu’elle avait fait tomber par terre quand je l’avais gifflé.
– C’est sal par terre, lui fis-je remarquer. Tu fais quoi pendant la journée ?
Puis je regardais la table, il restait un dernier pain au chocolat. Je regardais ma mère avec un sourire.
– Tu me le fais manger s’il te plait.
Ma mère prit le pain au chocolat. Je savais qu’elle adorait ça. Elle me l’apporta à la bouche, et je mordis dedans.
– Branle toi la chatte en me faisant manger.
Ma mère se mit deux doigts sur la chatte, amenant à nouveau le pain au chocolat vers ma bouche. Je mordis dedans, macha un peu, puis cracha un morceau par terre, non loin de l’endroit où ma mère avait renversé le café.
– A genou, il est là ton petit dej.
Ma mère considéra le sol, les taches de café à présent froides, et le morceau maché de pain au chocolat. Elle se masturbait bêtement à coté de moi, debout, ne sachant pas trop quoi faire.
– A quatre pattes, va manger ton petit déjeuner.
Ma mère se mit doucement à quatre pattes, devant les restes trainant au sol. Elle baissa la tête pour récuperer le morceau de pain au chocolat qui lui faisait envi, tandis que je passais derrière elle, et lui écartais les fesses de deux mains. Elle commença à manger, en sentant glisser ma queue doucement dans son cul.
– Leche le café ! Lave par terre, regarde, c’est sal !
Je lui donnais de bons coups de bite dans le cul, tandis qu’il avançait un peu vers le café. De sa langue, elle lécha une fois par terre, un peu dégoutée de ramasser également de la poussière. Elle toussota un peu, pendant que je commençais à lui démonter le cul avec vigueur. Je sentis ma mère avancer d’un coup, ma queue sortit d’elle, elle se redressa mal à l’aise, en disant juste « stop » ; je vis que mon gland était partiellement couvert de merde.
– Et bien maman, tu fais quoi là ?
Elle me fit signe de la main, tout en s’éloignant vers la salle de bain. Je pris la cafetière encore un peu chaude, et rejoint ma mère. Elle était assise sur les toilettes, et avait enlevé la culotte qu’elle portait jusqu’à présent sur la tête.
– Attends, s’il te plait, attends…
D’un coup sec, je jetais le contenu de la cafetière sur ma mère. Elle poussa un hurlement, se retrouvant couverte de café… chaud simplement, et non plus brulant.
– Tu ne me dis pas d’attendre. Et je veux te voir maman, je veux te voir chier.
– Attends, c’est dégradant ça…
– Putain de salope, ta gueule ! , lui dis-je en lui adressant une nouvelle giffle sur la joue droite. Puis je saisis ses mamelons, et me mis à les pincer et à les tourner fort.
Le visage de ma mère se crispa par la douleur.
– Ecarte tes jambes, montre moi ce que tu fais…
Ma mère écarta les cuisses. Je me penchais, face à sa vulve entrouverte, et regardais en direction de ses fesses. Il ne me fallut pas longtemps à attendre pour voir glisser un long étronc, sous les pleurs de ma mère. Une fois l’étronc à moitié sorti, elle se mit à pisser juste devant moi. L’étronc tomba, et elle continua de pisser pendant quelques instants encore.
Quand elle eut fini, elle leva ses yeux rougis vers moi, et se passa une main sur le visage pour s’essuyer ses larmes.
– J’ai pas fini de t’enculer, lui dis-je.
– Ce n’est plus possible. C’est trop maintenant.
– Donne ton cul !
– Arrete de me parler comme ça !
Deux claques fusèrent. Mais c’était ma mère qui me les avait donné.
Je restais interloqué un instant.
Ma mère se leva pour prendre du papier toilette. Je l’attrappais par le bras et la tira dans la chambre, puis lui fit traverser le couloir.
– C’est comme ça que tu me remercies de prendre soin de toi, tiens, je vais te montrer ce que tu es sans moi !
J’ouvrais la porte de l’appartement donnant sur le couloir de l’étage. Tout était éteint. Ma mère se crispa, tenta de résister, mais je la flanquais dehors, nue, couverte de café, et le cul sali de merde.
Je voyais que ma mère était en panique, elle avait peur et elle était en colère. Je claquais la porte derrière elle. Elle tapa un moment. Pas trop fort, sans doute de peur d’attirer la curiosité des voisins, s’ils étaient chez eux. Puis elle m’appella doucement. J’attendis. Je l’entendis s’excuser, me demander pardon, me demander de lui ouvrir la porte.
J’ouvris, et elle se précipita à l’interieur. Je croisais les bras devant elle.
– ce que tu as fait est inexcusable, lui dis-je. Tu merites une punition.
– Excuse moi, excuse moi cheri…
– Mets toi face à moi, les bras bien le long du corps. Et tu ne bouges plus.
Ma mère s’executa. Elle se figea face à moi.
– Supplie moi de te pardonnner. Et dis moi que tu es ma pute.
– Je… je t’en supplie… excuse …
Pendant qu’elle commençait à dire ses mots, j’orientais ma queue vers son ventre et commençais à lui pisser dessus.
– Excuse moi, je suis ta pute…
J’orientais mon jet sur son ventre et sur ses seins. L’urine coulait ensuite le long de son corps, sur ses jambes, ses cuisses, pour finir en flaque autour de ses pieds.
– Giffle tes seins.
Ma mère, doucement, donna une claque sur le haut de son sein droit.
– Aussi fort que les claques que tu m’as mis salope.
Elle se donna une claque un peu plus forte, mais tout ça demeurait bien hésitant. Sans doute inconsciemment elle ralentissait sa main au dernier moment.
– Les bras le long du corps, lui dis-je, en finissant de pisser.
Elle s’executa. Je regardais sa poitrine, ses seins tendus vers moi. Une pluie de claques vinrent se déverser dessus, je visais principalement les mamelons, et ma mère se courba en deux de douleur.
– Redresse toi, montre tes seins.
Ma mère se redressa doucement. Je repris mes claques, exclusivement sur son sein droit, visant à chaque fois le mamelon. Ma mère criait un peu, à chaque fois que la giffle lui parvenait. Ses seins étaient rougis. Doucement, je la fis venir à la salle de bain, récupérai la culotte qu’elle avait enlevé, et la tendis à ma mère.
– Essuie toi le cul avec.
Ma mère prit la culotte, se la passe entre les fesses, frotta un peu, et la reposa sur le bord du lavabo, couverte de traces et de trainées marrons.
– Tu la remets sur ta tete, comme tout à l’heure.
Doucement, ma mère enfila la culotte sale sur sa tête, se retrouvant avec des trainées d’excrements au niveau de son visage.
– A chaque fois que tu iras aux toilettes, à partir de maintenant, tu viendras me demander l’autorisation, et si je veux regarder. Et si je ne suis pas là, je veux que tu m’appelles. Et tant que tu ne m’as pas entendu te dire d’accord, tu te retiendras.
Ma mère hocha simplement la tête.
– va t’allonger sur le lit, écarte les jambes, et ouvre ta chatte avec tes mains.
Ma mère alla vers la chambre sans dire un mot. Elle s’installa sur le lit. Je la rejoignis, elle m’attendait, jambes écartées, s’ouvrant la chatte des deux mains. Je m’allongeais sur elle, et glissais ma queue dans sa chatte. Son corps sentait le café, et la pisse. Ses seins étaient rougis par les coups. Sa culotte, enfilée devant son visage, était bien plus sale que ce qu’il m’avait semblé de premier abord.
– MMmmh Beatrice… ca te gene pas si je pense à Beatrice en te baisant hein ?
Ma mère ne disait rien. Je la baisais fort. Sa chatte faisait des bruits trempés. Mais elle ne gémissait pas, ne faisait aucun bruit, ne prenait pas d’expression. Je la bourrai, encore et encore.
Au bout de 30mn, sentant que j’allais jouir, je retirai la culotte du visage de ma mère, sortit ma queue de sa chatte, et lui dit d’ouvrir la bouche. Sans prendre la moindre expression, ma mère ouvrit sa bouche en grand, et je vins me branler juste devant. J’éjaculais à l’interieur, trois grosses rasades, en murmurant le nom de Béatrice. Ma mère avala mon foutre d’une gorgée.
Je me relevais, considérant ma mère, salie, usée.
– Va te faire ta toilette, fais toi belle, je t’invite dans un beau resto à midi. Sois élégante.
Je me rendis à la cuisine pour me faire un café.
A croire que je dois tout faire moi même, dans cette maison.
Ajouter un commentaire