Le piège était parfait 2
Nous roulions depuis presque trois heures et juste avant d’arrivée à Bordeaux, Vika me dit :
« Beryn, tu n’es pas très bavarde ? Je lui réponds que cette situation me décontenance vraiment et que je ne suis pas sûr de pouvoir continuer ainsi car j’ai une angoisse permanente depuis le départ de Tours. Elle me répond avec une immense douceur :
« Ma petite chatte, je t’ai dit d’être patient car tu vas comprendre très vite pourquoi tu ne pourras plus retourner dans ta maison et que cette nouvelle vie est désormais ton unique échappatoire. »
Puis elle rajoute avec toujours plus de délicatesse :
« Je n’aime pas te voir comme cela car je sais que tu es une bonne âme mais je dois accomplir mon job jusqu’au bout et te conduire à destination. Cependant je veux bien te faire une confidence mais à la condition que tu m’offres une faveur en échange ? Ok Beryn ? »
« Oui Vika, dites-moi tout ce que vous savez sur mon sort et je vous promets de faire tout ce qui sera nécessaire pour vous combler. » Et là l’énigmatique Vika reprends sa respiration et me dit :
« Alors Beryn il faut que tu comprennes que Maître Frédéric ne t’as pas choisi par hasard. Il a agi pour faire plaisir à sa sœur Nadège ! » Sans avoir le temps de faire ressortir mon étonnement, Vika poursuit :
« En effet Nadège a rencontré votre femme dans un séminaire professionnel automobile et ce fût un véritable coup de foudre. Nadège est d’une grande beauté et elle a su envouter votre épouse et la convertir au lesbianisme. Et aujourd’hui elles veulent vivre sans contrainte leurs fulgurantes attirances. Et de ce fait elle a utilisé le charisme de son frère pour vous faire dérailler bien renseigné au demeurant par votre femme pour certains détails de votre intimité. Alors comprenez bien que vous n’avez plus de chez vous et que l’obéissance à maitre Frédéric est votre unique bouée de sauvetage. »
Le choc est d’une v******e incroyable en mon corps, je suis totalement tétanisé par les confidences de Vika mais malgré cela j’ai une érection tenace. Tellement que c’est la première fois que je traverse l’agglomération bordelaise sans y avoir prêté intention une seconde. Je reste sans voix. Et la compatissante Vika reprend :
« Maintenant que tu sais, je vais te donner un sédatif comme cela tu ne verras pas la misère jusqu’à notre arrivée dans la propriété de Maître Fréderic. Mais avant je veux avoir ma récompense. »
Sur ce elle s’engage sur une aire d’autoroute boisée et déserte. Stoppe son véhicule relève sa jupe et elle me dit sur un ton sec:
« Beryn suce moi » Totalement abasourdi, anéanti, lessivé par les événements que je viens d’apprendre je m’exécute docilement et viens lécher le joli abricot de ma conductrice. Au bout de quelques minutes de régal buccal, Vika telle une féline indomptable jouie bruyamment.
Puis rassasié, elle repousse mon visage, réajuste sa jupe et me dit : « Dommage que tu sois sous le joug de maître Fréderic car je crois que tu aurais pu me rapporter beaucoup d’argent, tu as une vraie nature de chienne soumise et il y a une kyrielle d’hommes fortunés qui recherche de la chair fraiche comme la tienne pour assouvir leurs perversions! »
Puis sortant de la voiture et en se dirigeant vers les toilettes, elle me lance fièrement : « Je vais te faire un souvenir de mon intimité. » Et disparait dans le local tenant dans sa main droite une bouteille d’eau.
Quand elle réapparait l’eau de sa bouteille a changé de teinte et entrant dans l’habitacle elle me dit joyeusement :
« Je ne sais pas si j’aurais l’occasion de te revoir Beryn mais je veux que tu gardes un souvenir de ma générosité » Elle ouvre son sac à main y prends deux comprimés blancs, qu’elle fait dissoudre dans la bouteille et m’ordonne :
« Bois mon champagne Beryn car quand tu te réveilleras tu auras ce goût inimitable dans la bouche. » Après ma promesse ultérieure, je ne pouvais qu’obéir à la perverse Vika. Je bus avec dégout le breuvage qui m’était destiné. Une fois tout avalé la potion médicamenteuse, Vika conclut :
« Quand tu te réveilleras douce et dévouée Beryn. Tu seras dans l’antre de ton Maître Frédéric qui te feras découvrir toutes les facettes de ta nature soumise et docile. » Et aussitôt terminé sa phrase Vika vient me déposer un doux baiser sur mes lèvres encore humide de champagne et en s’exclamant : « Advienne que pourra pour toi chienne soumise Beryn. »
Mon réveil est brutal car ce sont des jets d’urine sur la face qui vienne me sortir de mon état comateux. Je suis complétement nu dans une baignoire les mains attachées au-dessus ma tête fixé au mur. Je suis totalement sans défense face à la pluie de pisse qui vient s’abattre sur ma figure. C’est une grande femme brune ressemblant à une déesse égyptienne qui ricane en ajustant chirurgicalement ses frappes urinaires. En me voyant réveiller, elle m’ordonne en brandissant un fouet de la main gauche :
« Ouvre la bouche, esclave » terrorisé par cette situation, j’obtempère et le liquide chaud descend dans ma gorge. J’essaie d’avaler tant bien que mal et forcément de l’urine ressort de ma bouche et je reçois deux violents coups de fouet sur les cuisses. Ma prédatrice me dit sans scrupules :
« Ma salope je suis Nadège la sœur de Maître Frédéric et j’ai pour mission de te dresser pour que tu sois la chienne obéissante malléable corvéable à merci de mon frère. » Puis arrêtant afin son écoulement d’urine elle poursuit :
« Tu es ici en tant que domestique, esclave, putain de mon frère. J’ai vu ton album photo tu es vraiment parfaite pour ce rôle. Alors aujourd’hui je vais te corriger pour que tu puisses réfléchir sur ton rôle exact dans cette maison. Mais avant d’aller exécuter la sentence je vais te demander de lécher tout ce qui reste comme trace de mon champagne dans la baignoire. » Et Nadège me détache les mains du mur. Et avec une dextérité de prestidigitatrice elle me menotte les mains dans le dos. Puis deux nouveaux coups de fouet viennent s’abattre sur mon dos avec l’ordre suivant :
« Allez chienne de Beryn grouille toi à faire briller cette baignoire avec ta langue de pute. » Je n’ai pas droit choix que de m’acquitter de cet amer besogne. A force d’avaler toute cette urine j’ai des remontées acides jusque dans la bouche. Mais ma tortionnaire me guette et à chaque fois que je suis moins énergique dans ma manière de laper c’est le fouet qui vient me rappeler mon nouveau statut.
Enfin elle s’approche de ma tête et me caresse le visage et me dis :
« Bonne chienne, bien obéissante comme je les aime » Puis elle m’ordonne d’ouvrir la bouche et de sortir ma langue et me vient me cracher a plusieurs reprises sur le visage. Elle me dit triomphante : « Ma salope Bientôt c’est du foutre qui remplacera ma salive mais je crois que tu n’y perdras pas au change. »
Elle termine sa phrase en touchant légèrement mon sexe en folie avec les lanières du fouet. J’étais humilié, torturé comme jamais et pourtant le fait de savoir que j’allais devenir la boite à foutre de Maître Fréderic m’occasionnait des pulsions incroyables. Puis ma geôlière reprend :
« Mais avant cela il faut que tu ressentes au plus profond de ta chair les douleurs inhérentes à tes éventuels désobéissance. Alors je vais te fouetter sur tous le corps pour que tu portes pendant quelques jours les marques de ta nouvelle appartenance. »
Sur ce elle m’ordonne de sortir de la baignoire et de la suivre. Les mains menottées je ne peux qu’obéir surtout que mon corps ressentait déjà diverses brulures occasionnées précédemment par les lanières du fouet.
Avoir être sorti de la salle de bain nous empruntons un étroit escalier en pierre qui nous conduit dans une cave. Et là surprise j’aperçois une silhouette déjà présente en tenue de dominatrice. Oh stupeur c’est ma femme Sophie ! Pas le temps de tergiverser, elle s’approche de moi et me balance deux paires de gifles magistrales. Furieuse elle me dit :
« Alors comme cela tu m’as menti, tu ne m’as pas avoué que tu quittais la maison pour aller retrouver un homme sous le prétexte d’un nouveau travail. » Puis après m’avoir claqué les joues deux nouvelles fois, elle continue :
« Après c’est ton droit d’aimer les hommes mais jamais plus tu ne reviendras chez nous ! Tu vas assumer tes tendances perverses jusqu’au bout mais je me dois de participer à ton baptême d’intronisation pour faire passer le cruel déshonneur que tu viens de m’infliger. »
Et sans ménagement mes deux tortionnaires me poussent au fond de la cave. Et après m’avoir attaché les mains a une barre en hauteur, entravé mes chevilles au sol les jambes bien écartées. Sophie vient face à moi et Nadège reste dans mon dos. Et en alternance chacune va me fouetter sur toutes les parties de mon corps, seul mon sexe est ménagé. Je dois après chaque coup de fouet de Sophie crier :
« Pardon Sophie de mes déviances mais je suis une vraie salope. » Et pour Nadège je dois également crier : « Merci Nadège de m’offrir un salutaire dressage. »
Je ne sais pas combien de temps à durer mon châtiment mais un moment j’ai dû perdre connaissance et lorsque doucement j’ai repris conscience de la situation avec d’immenses brûlures sur tout le corps, j’ai vu l’impensable ! Heureusement que Vika m’avait généreusement prévenue. J’ai vu Nadège et ma femme se rouler de délirantes galoches devant moi. J’étais trop martyrisé pour pouvoir pleurer.
Apres s’être dénudé elles ont osées faire l’amour devant moi en ricanant odieusement. J’étais humilié au plus haut point mais trop faible pour pouvoir réagir de quelconque façon. Puis elles sont parties sans un dernier regard. Au bout d’un temps interminable c’est Maître Frédéric en personne qui est venu me détacher et m’a conduit dans une chambre confortable. Il m’a dit :
« Maintenant que tu sais tout et que tu as reçu ta juste punition, nous allons passer aux choses sérieuses. Je veux Beryn que tu sois tout pour moi, je veux que tu répondes aux moindres de mes désirs. Je veux que tu sois ma femelle favorite. »
Puis continuant en me caressant délicatement le visage il poursuit :
« Alors je vais te laisser trois jours pour te remettre de tes émotions. Chaque matin et soir je viendrais te passer un onguent puissant sur tes brulures car j’ai besoin d’une chienne pas d’un zèbre. » Dit-il en riant.
« Et puis je commencerai à t’apprivoiser pour que tu m’obéisses au doigt et à l’œil. Il faudra que tu travailles dur pour mériter ton repas et tous les avantages liés à ton nouveau rôle. Mais je serais patient car je sais que j’ai trouvé une perle. »
Mais pour l’heure repose-toi, je t’ai apporté un plateau repas que tu dégusteras a ta convenance. Mais surtout médites sur ta nouvelle situation et vois surtout tous les avantages que tu vas pouvoir en tirer si tu es obéissant. »
Sur ce Maître Frédéric s’éloigna et malgré l’extrême épuisement je lui dis : « Bien Maître merci de votre diligence, je vais essayer de rebondir avantageusement dans ma nouvelle vie. »
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