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Les affres de Julie (6)

Les affres de Julie (6)



Nous avons beaucoup parlé de Julie jusqu’ici. Mais pour vous permettre de faire les liens qui vous manquent, il est important que je vous parle maintenant de moi.

J’ai été le compagnon de Julie pendant quatre ans. J’ai aimé cette fille, comme un damné, et du jour au lendemain, elle m’a écarté de sa vie. Sans explication.
Elle m’a mis à la porte, n’a plus voulu me parler, simplement parce qu’elle en « avait assez ». J’aurai aimé une discussion avec elle à ce sujet, mais elle m’a méprisé à chaque fois que j’ai essayé de la contacter.

Sa soeur a été proche de moi durant cette dure période de séparation. J’ai du également aller voir un psychiatre, qui se montra particulièrement choqué par le manque d’empathie de Julie. Il m’aida doucement à remonter la pente. On a essayé la méthode du pardon, puis de l’oubli. Mais celle qui me permit de refaire surface, ce fut la méthode de la vengence. Le psychiatre ne me recevait plus comme un client ordinaire, il haissait le genre de femme qu’était Julie, et il voulait participer à cette vengence. Il voulut tout savoir sur elle. Il nota en particulier le fantasme qu’elle gardait enfoui au fond d’elle à propos de son père.

Elle ne m’en a pas parlé souvent. Je sais que c’est le premier homme pour lequel elle s’est masturbée. Et que rien ne l’avait fait jouir aussi fort. A tel point que, lors de nos ébats, lorsqu’elle jouissait plus fort que d’habitude, je me demandais si elle pensait à moi, ou si elle s’imaginait dans les bras de son père.
Je voyais sa soeur régulièrement. C’est chez elle que j’avais trouvé les clés de l’appartement de Julie. J’y étais allé plusieurs fois, en son absence, et j’avais installé plusieurs cameras de surveillance, très discrètes.

Pour la surveiller.
Pour la pièger.
Pour ma vengence.

Rappellez-vous, c’est sa soeur qui a insité pour qu’elle aille voir un psychiatre. Elle savait que le miens m’avait particulièrement aidé, elle lui a donc donné ses coordonnées. C’est là que le piège a commencé à se fermer sur Julie. Non seulement il se mit à mettre le trouble dans son esprit, mais en plus il lui prescrivit un puissant psychotique, ainsi qu’un diurétique. Ce qui devait calmer ses angoisses allait lui provoquer de violents troubles mnésiques et cognitifs, et elle aurait regulierement envi d’uriner. Le psychiatre m’avait expliqué :

– Lorsqu’elle commencera à prendre ces medicaments, tu pourras marcher à coté d’elle dans son appartement, qu’elle ne remarquera même pas ta présence. Elle aura des moments d’absence, où tu pourras faire ce que tu en veux, et des moments de lucidité, où elle se sentira perdue, angoissée, et sera facilement manipulable.

Quand elle a fait appel à un serrurier, j’ai du être très réactif. Une chance encore, sa soeur m’en avait parlé, et je lui avais donné la carte d’un ami, qui m’avait confié un double.

Je me rendais tous les soirs chez Julie. Parfois seul, parfois accompagné du psychiatre. Et on baisait Julie dans son lit, autant dans sa chatte que par le cul. Et le matin, je la regardais se lever, elle ne se rappellait de rien, elle ne se rendait même pas compte qu’elle était aspergée de sperme.

Son voisin aurait pu poser problème, c’était quelqu’un que je ne connaissais pas, qui s’était pris de sympathie pour Julie et qui voulait visiblement la protéger. Mais heureusement pour moi, il était regulièrement en déplacement, et ne posa pas plus de problème que ça.

Je me suis longtemps posé la question, pourquoi préscrire le diurétique ? Le psy m’avait répondu que c’était un but de la faire « regresser ».

– Je veux la faire devenir la pisseuse à son papa… Qu’elle regresse… Que ça devienne une obséssion pour elle de se masturber en pensant à son père. Qu’elle ne trouve du plaisir qu’ainsi.
Elle passait certaines après-midi à se masturber dans son salon, à regarder une photo de son père. Quand elle jouissait, elle attendait quelques instants pour reprendre ses esprits, et replongeait sa main vers sa chatte pour se masturber à nouveau. Elle ne remarquait même pas qu’elle y passait des journées.
Elle ne remarquait même pas que j’étais là, à la filmer ou à la prendre en photo. Je plaçais ma camera juste devant sa chatte, et elle ne disait rien. Je n’avais même plus besoin de mes camera de surveillance. Je me montrais au grand jour, et elle ne me voyait pas, ou bien, lorsqu’elle commençait à reprendre ses esprits, disait voir une silhouette noire, avec une cagoule. Elle prenait peur, et m’obéissait sans sourcillier.
Avant d’oublier.

Ca m’arrivait de la baiser pendant ces longs après midi où elle se masturbait. Je la filmais en même temps, je lui giflais les seins en tapant ma queue au fond d’elle. Je lui demandais de penser à son père, et elle jouissait fort, sans pouvoir se retenir.

Il y a quelques jours, nous avons changé ses médicaments par des placebo. Des simples comprimés neutres, sans effet. Elle a doucement commencé à retrouver sa lucidité.

Elle se posait des questions, ne comprenait pas ce qui lui arrivait, tout cela était source de stresse pour elle. Et avec bonheur, j’ai pu constater que la seule chose qui la détendait, c’était le soir, en se couchant, de se doigter longuement en appelant doucement son père.

Le quatrième jour, j’ai eu la soeur de Julie au téléphone, qui m’a dit qu’elle irait chez ses parents profiter de la piscine, et qu’elle envisageait d’appeller Julie pour qu’elle vienne avec elle.
Je me montrais enthousiaste à l’idée, lui dit que ça lui ferait surement du bien.
Et ce cinquième jour, je suis allé voir Julie alors qu’elle prenait son bain.

Son père était passé la voir, la veille au soir.
Ils avaient mangé ensemble. Elle ne s’en rappellait plus, et peut être était-ce mieux comme ça. Elle l’avait accueilli en jupe et chemisier noirs, mais le chemisier était tellement décoleté, mettant en valeur un soutien gorge en dentelles, que c’était difficile pour son père, malgré le fait que ce soit sa fille, de ne pas y plonger le regard par moment. Puis, après le dessert, elle s’était absentée deux minutes pour se changer et enfiler un déshabillé transparent, laissant voir sa poitrine et sa toison au travers. Son père avait montré un réel mal à l’aise, mais devant l’absence de gène de sa fille, n’avait rien dit. Ils avaient pris le café dans le canapé, et Julie s’y était lovée confortablement, les cuisses écartées, laissant voir distinctement sa toison et les lèvres de sa chatte légèrement entrouvertes.
Son père était parti vers minuit. Elle s’était couchée, et moi je suis arrivé. J’ai sorti ma camera, je l’ai installé sur un trepied devant Julie, toujours dans le canapé.

Elle a baissé sa culotte, et s’est masturbée furieusement devant mon objectif, agitant follement son clitoris, et s’enfilant par moment deux à trois doigts dans la chatte.

– Papa… Papa… Ca m’a excité de manger avec toi… J’aurai aimé que tu me la mettes bien profond avant de partir.
Excité à mon tour, j’arrêtais la camera, et la baisa dans le canapé. J’étais excité à l’idée d’envoyer cette vidéo où elle se masturbe à son père.

Et c’est ce que j’ai fait, ce fameux matin, après avoir débarrassé la table, et être allé la voir prendre son bain, lui intimant de se montrer nue l’après midi même à son père. Je me suis installé sur son ordinateur portable, ai téléchargé la vidéo, et l’ai envoyé sur la boite email de son père, en utilisant le mail perso de Julie.

– Papa… Papa… Ca m’a excité de manger avec toi… J’aurai aimé que tu me la mettes bien profond avant de partir.

C’était impressionnant de la voir se masturber la chatte si frénétiquement en disant ces paroles.

A SUIVRE

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